Hélène 7 Julia , première partie
Récit érotique écrit par Rouge [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Hélène 7 Julia , première partie
Hélène 7 : Julia.
Récit de Pierre.
- Oui, je suis venu, suite à nos échanges par internet…..
Ce mardi, je suis assis dans un fauteuil Chesterfield, dans le salon de Julia et de Philippe, dans une maison bien propre et anonyme, dans un lotissement prés de Rambouillet.
Sur le canapé, en face de moi, Philippe, une petite quarantaine, légèrement bedonnant, mais en forme, les mains posées sur les cuisses, mais agitées de petits mouvements
Et à sa gauche, Julia, un peu nerveuse, mais cela se comprend, étant donné les circonstances.
Elle est un peu ronde, mais pas autant que mon opulente Hélène, visage doux, avec un menton un peu gras, chevelure brune, taillée en carré. Elle s’est habillée, façon passe partout, style « je reviens du boulot », chemisier violet, assorti avec une jupe noire au-dessous du genou, mollets gainés de dentelle, probablement un collant. Ses mains tirent sur sa jupe comme pour cacher encore plus ses genoux
En fait, je suis le seul à être décontracté.
- Donc, Philippe, vous cherchez un « maitre » pour initier Julia à la fessée et au fouet ?
- Oui, je pense que ça manque à notre expérience de couple.
- Et vous avez déjà rencontré un autre postulant à ce rôle d’initiateur ?
- Oui, un type plutôt sec, et pas très délicat dans son vocabulaire. Il m’a fait assez peur et il ne nous n’a pas donné envie. Reprend Julia
- Je vous comprends.
Je laissai passer un petit silence et je reprends
- Julia, vous avez déjà été fessée
- Oui, ou plutôt non, juste quelques claques sur les fesses, un peu plus appuyées pendant une levrette.
- Vous comprenez bien que ce sera plus intense et physique, voir même dur.
- Je m’en doute.
- Une autre question, pourquoi voulez-vous être fouettée ?
- Mon mari me le demande, il le veut. Ses deux mains se crispent sur le tissu de la jupe.
- Mais vous, Madame, voulez-vous être fouettée ?
- Non, j’ai peur. Me répond- elle au bord des larmes.
Silence
- Madame, vous devez dire que vous voulez être fouettée.
Alors, dans un chuchotement, j’entends
- Oui, je veux être fouettée.
- S’il vous plait, Madame.
Alors, d’une voix forte et claire, elle répète
- Je veux être fouettée
Puis elle saisit la main de son mari en la broyant presque. Je reprends.
- Vous avez peur ?
- Oui, très.
- Mais ça vous excite, vous voulez savoir comment c’est.
- Oui.
Re-silence.
- Je veux faire une chose pour vous.
Je fais une pause ; Julia se détend légèrement, et abandonne les doigts de son époux.
- Je viendrai avec ma compagne. Elle aime se donner de cette façon, elle vous montrera, vous verrez, elle est endurante.
Julia lève des sourcils interrogatifs.
- Vous voulez dire que vous allez la fouetter devant nous.
- Non, mieux, elle se fera fouetter pour vous, Julia.
Elle a un grand sourire, et se cale contre son mari
- Alors, je veux bien
Quant à Philippe, il n’est pas difficile d’imaginer ce qui motive son sourire.
Julia se lève, et se dirige vers la cuisine, en roulant des fesses.
En moi-même, je note que son cul n’est pas aussi beau que celui de ma sultane, mais il peut inspirer un bon fesseur.
Une flute de champagne à la main, nous mettons les détails techniques au point.
- Il faut réserver une pièce, avec un cabinet de toilette, pour que ces dames se changent, et se maquillent ; Julia devra préparer une paire de bas, une serre taille avec jarretelles, et des talons, de préférence les plus haut de son armoire à chaussures, un peignoir ou un kimono. J’apporterai le «matériel ».
- Pour l’intendance, buffet froid, vin et petits fours pour le dessert.
Nous arrêtons la date au samedi suivant, vers vingt-une heures.
Mes hôtes me raccompagnent à la porte, et Philippe me serre la main.
Julia me fait la bise, puis …
- Je suis impatiente de vous revoir et de rencontrer Madame. Vivement samedi.
Et soudain, elle dépose un baiser sur mes lèvres, puis elle se détourne et rentre dans la maison.
OOOO
Récit d’Hélène
Le 4X4 roule allégrement sur la route de Cernay.
Je papote, volubile, sur le siège du passager. Ce qui traduit mon excitation et mon impatience.
- C’est quoi le thème ce soir
- La flagellation, démonstration, puis initiation. Me répond mon coquin.
- Tout le plaisir pour les mecs, quoi.
- Tu es vraiment de mauvaise foi, je suis sûre que tu vas bien t’amuser avec Julia.
- Enfin, c’est quand même mon cul qui va prendre.
Question tenue, j’ai fait simple, je porte un grand pull argent avec un large col roulé, Le voyou qui y plongerait ses yeux ne verrait que le début de ma poitrine.
Une jupe moirée, rouge, à gros plis, cache mes jambes, descendant aux chevilles gainées de noir ; sous mon bas droit, on devine ma chaine de soumise.
Cette tenue ne permet pas de deviner ce que je porte ou ne porte pas dessous.
Sur le siège arriéré du 4X4, Pierre a posé la mallette, le sac à outils selon mon expression d’Hélène. Il voisine avec mon petit bagage contenant mes affaires me changer.
Le GPS nous dépose devant la maison de notre petit couple.
Pierre est en train de m’ouvrir la porte quand j’entends derrière lui
- Chéri, ils sont arrivés
Mon chauffeur se retourne, pour se retrouver dans les bras de Julia qui l’embrasse aussi sec.
Pour l’occasion, elle est vêtue d’une robe droite, vert anis avec les épaules nues, s’arrêtant au genou, avec une ceinture pour étrangler sa taille,
Puis elle se tourne vers moi.
- Hélène, je suppose.
- Oui, et vous c’est Julia.
Nous nous penchons l’une vers l’autre et elle me dépose un baiser sur les lèvres.
De son coté, mon coquin se contente de serrer la main à Philippe.
Nous remontons l’allée, en nous tenant par la hanche, nos deux culs roulant à l’unisson, comme s’ils étaient déjà complices.
Dans le salon nous attend une desserte, portant le seau à champagne déjà garni, un buffet de sushi et de sashimi (notre péché mignon), et un grand plateau de petits fours.
Le canapé et les fauteuils sont disposés en demi-cercle autour d’une table basse visiblement destinée à être l’autel de notre sacrifice. D’ailleurs, sur le côté, un petit tas de coussins est prêt à servir.
- Bon, c’est quoi le programme ? S’exclame Julia.
- Tu sembles bien pressée ma chérie .Lui répond Philippe.
Mon seigneur propose de mélanger les plaisirs de la chère et les plaisir de la chair : Sushi, prestation d’Hélène, break, sacrifice de Julia, et champagne et petits fours.
- Alors ne perdons pas de temps. Déclare Julia en s’emparant d’un Californie Rolls.
La collation se passe agréablement, en devisant gaiement, mais curieusement nous évitons le sexe comme sujet de conversation.
Il ne reste plus que quelques sushis quand je lance.
- C’est mon heure maintenant, c’est à moi d’être la reine de la soirée.
Un court silence, je m’approche de notre hôtesse, et lui prend la main.
- Julia, montre-moi le chemin.
Et nous disparaissons dans le couloir.
Nous entrons dans la chambre avec une salle de bain contiguë.Mon petit baluchon est déjà sur le lit. Un fauteuil trône dans la salle de bain.
- Ma Belle, prépare moi.
-
Julia remonte le pull et découvre ma poitrine, supportée par un corset rouge, elle commence à caresser les bouts dressés.
- Arrête de jouer, Chérie, occupe-toi de ma jupe »
Julia s’agenouille derrière moi et dégrafe mon vêtement, puis le fait glisser le long de mes fesses.
Lentement, mon cul plantureux apparait, la moire tombant sur les chevilles.
La taille est étranglée par le serre taille, auquel sont suspendus des bas noirs à couture. Ma croupe de belle poule est superbe, encadrée par le bas du corset, et la lisière des bas remontant haut sur les cuisses.
En un éclair, Julia comprend pourquoi on peut aimer fouetter le cul d’une femme.
- Embrasse-le s’il te plait. »
Julia pose sa bouche sur ma chair blanche et satinée.
- Pas comme ça, écarte moi et embrasse-moi au milieu.
Ma future victime est déjà soumise, elle ma mappemonde comme on ouvre une pêche et colle ses lèvres sur l’anus, puis elle glisse sa langue dans le cratère qui s’ouvre.
- Entre en moi. Fais-je, à la fois pour mon plaisir et pour jauger son degrés de soumission.
Je m’abandonne à cette caresse si intime et si érotique.
- Assez ma chérie, ne faisons pas attendre nos hommes !
Puis je m’assois sur le fauteuil et tends une brosse à ma presque amante.
Julia me peigne, tire les cheveux en arrière et forme une queue de cheval.
Puis je me maquille les yeux très noirs, et passe sur mes lèvres un rouge sang.
Je lui tends le collier, et la laisse, ainsi que les menottes et le bâillon.
Rapidement, j’enfile des talons de 10 cm, récupère une cape dans le sac.
Ma complice me passe le collier, m’attache les menottes dans le dos et me pose la cape sur les épaules.
Au moment de passer le bâillon, je l’arrête.
- Je vais adorer souffrir pour toi……... Embrasse-moi.
- Tu es folle, tout à l’heure, je veux que tu me prépare.me répond-elle
Puis elle me fouille avec sa langue, puis force le bâillon boule entre les lèvres.
Récit de Pierre.
J’enfile mon gant sur ma main droite quand Hélène fait son entrée, tenue en laisse ; ses mains dans le dos la cambrent et font pointer ses tétons.
Julia me tend le lien, puis elle s’assoit à côté de son mari.
J’ouvre la cape, ma coquine bombe sa poitrine insolente
Avec ma badine, je lui tapote la peau tendre de l’intérieur des cuisses pour qu’elle exhibe son sexe à peine voilé par un duvet châtain taillé en ticket de métro.
Je la fais pivoter pour présenter sa chute de rein et son cul de jument.
Je la retourne et je la guide vers la table des supplices.
Je la soutiens pendant qu’elle s’agenouille sur les coussins et qu’elle pose ses seins et sa tête sur la table. Je bloque ses jambes ouvertes par une barre d’écartement
Assis en face de la croupe de la belle, Philippe profite d’un point de vue imprenable.
Notre hôtesse se place de façon à voir à la fois, la cible de mes coups et le visage de la suppliciée. Celle-ci qui a fermé les yeux, les rouvre et lui envoie un baiser muet.
Le martinet bien en main, je le fais claquer en l’air.
Hélène frissonne. Puis le premier coup s’abat sur son cul. Puis le second. Ma chérie gémit doucement à chaque coup. Sa chatte s’humidifie au rythme du martinet.
Son cul rosit, les traces se superposent et marbrent ce cul magnifique.
- Je peux lui enlever son bâillon ; je veux l’entendre.
J’arrête net mon bras. Julia s’est levée et se dirige vers le visage de mon amour.
Elle dégrafe l’attache derrière la nuque, et fait glisser la boule hors de la bouche de mon aimée. Elle lui essuie la bave qui coule des lèvres avec un petit carré de soie.
Elle halète doucement.
- Mon chéri, tu peux reprendre.
Elle se cambre sans crier sous les deux coups suivants, mais le troisième lui arrache un cri étouffé.
Pause.
Mais Hélène sait que le pire (ou le meilleur) est à venir.
Je me penche près de son visage
- Cravache, huit coups.
Elle approuve dans un souffle. Du bout des lèvres, elle adresse un baiser à sa complice ; celle-ci a troussé sa robe et se caresse le sexe ; elle se lève et force ses phalanges chargées de son suc dans la bouche de ma coquine.
Puis elle passe du côté du cul de ma douce victime, glisse sa main dans la chatte, recueille sa mouille et se lèche les doigts.
Je lève mon bras et la cravache tombe, ma belle amante sursaute, un cri s’étrangle dans sa gorge.
J’enchaine les coups plus forts en les croisant sur les fesses.
Elle crie, se crispe, ses mains enchainées et ses pieds bloqués s’agitent en vain. Sa liqueur intime coule de sa fente bâillante : mouiller de douleur ….
Il lui reste quatre coups à endurer, mais elle ne les a pas comptés. Elle me fait confiance.
Je caresse son sexe avec la badine, elle soupire, elle est bien.
J’ajuste mon coup et en remontant, je lui fouette le sexe, en visant la fente
J’atteins le clitoris. Elle est foudroyée, tétanisée
Son cri s’est bloqué dans sa gorge, et elle se met à trembler de tout son corps.
Quatre cinglées à subir; je m’arrête, je lui laisse profiter du plaisir et de la douleur mêlés.
Un grand silence est tombé dans la pièce. Julia ne se caresse plus, une larme coule de son œil droit.
On n’entend plus que le halètement de ma douce victime.
L’intensité de cette séquence à la cravache a sidéré nos hôtes.
Ce n’est pas fini.
- Chéri…, viens…. écoute moi
Je me penche vers elle, elle me murmure à l’oreille.
Je ne crois pas ce que j’entends
- Quelle perverse tu fais.
- S’il te plait, je le veux… , j’en ai envie…… fais le…. - .
-
Je me relève et je tends la cravache à notre hôtesse.
- Helene veut que tu la fouettes. Elle veut que tu la finisses de ta main.
Julia s’installe derrière ma beauté, en face de ce cul déjà martyrisé.
La cravache s’abat timidement une première fois.
Mon amour réagit.
- Plus fort, ma belle.
Le coup suivant est plus puissant, ma beauté se cambre, gémit, halète.
La troisième cinglée est presque parfaite.
La suppliciée sanglote.
Julia lève la main pour la quatrième volée
Je l’arrête
- C’est ton dernier coup, elle veut que tu la marques.
- Que veut-elle dire.
- Tu dois lui zébrer les fesses. Prend plus d’élan et vise au milieu du fessier. Il faut que demain, elle ait un bleu.
Elle hésite, puis arme son coup.
La cravache frappe en plein milieu de la cible, la tige s’incruste dans la chair.
La suppliciée hurle, elle est secouée, elle se débat dans ses liens.
Puis elle s’apaise, elle râle, et sanglote, elle profite de ce moment d’apaisement qui suit cette séquence terrible.
Je la débarrasse de ses liens. Elle s’affaisse sur la table en laissant pendre ses bras.
Sa bourrelle laisse tomber son instrument, se précipite, lui prend le visage entre ses mains, et l’embrasse.
Elle lui mange les lèvres et lui colle un intense baiser lesbien.
Hélène s’assoit à moitié sur une fesse et se pelotonne contre moi, comme la chatte qu’elle est.
Julia s’excuse.
- Je t’ai fait mal, pardonne moi ma chérie.
- Idiote, c’était délicieux …... enfin, quand on est initiée.
Puis elle se tourne vers moi.
- Pierre emmène-moi dans la chambre, Et toi ma belle, tu me passeras la pommade.
Julia et Hélène sont revenues dans le salon. Les deux femmes se sont douchées. Notre hôtesse a revêtu un peignoir éponge. Ma chérie s’est emballée dans son kimono, elle s’est débarrassée de son corset et de ses bas, et elle a pris une bonne douche. Elle a entouré sa chevelure dans un turban assorti à son kimono.
Ses yeux sont démaquillés, mais restent marqués. Elle se colle contre moi et je ressens la douceur de ses rondeurs.
Une flute à la main, elle est redevenue joyeuse, et elle fait un sort aux petits fours.
Son assiette finie, elle se lèche les doigts, et fait signe à Julia de s’approcher.
- Ma belle, c’est ton tour, mais tu peux renoncer.
- Non, je veux le faire, mais j’ai peur.
- La peur, comme la préparation font partie du plaisir
- Alors prépare-moi s’il te plait.
Ma douce l’entraine par la main vers le boudoir des dames.
A suivre
Récit de Pierre.
- Oui, je suis venu, suite à nos échanges par internet…..
Ce mardi, je suis assis dans un fauteuil Chesterfield, dans le salon de Julia et de Philippe, dans une maison bien propre et anonyme, dans un lotissement prés de Rambouillet.
Sur le canapé, en face de moi, Philippe, une petite quarantaine, légèrement bedonnant, mais en forme, les mains posées sur les cuisses, mais agitées de petits mouvements
Et à sa gauche, Julia, un peu nerveuse, mais cela se comprend, étant donné les circonstances.
Elle est un peu ronde, mais pas autant que mon opulente Hélène, visage doux, avec un menton un peu gras, chevelure brune, taillée en carré. Elle s’est habillée, façon passe partout, style « je reviens du boulot », chemisier violet, assorti avec une jupe noire au-dessous du genou, mollets gainés de dentelle, probablement un collant. Ses mains tirent sur sa jupe comme pour cacher encore plus ses genoux
En fait, je suis le seul à être décontracté.
- Donc, Philippe, vous cherchez un « maitre » pour initier Julia à la fessée et au fouet ?
- Oui, je pense que ça manque à notre expérience de couple.
- Et vous avez déjà rencontré un autre postulant à ce rôle d’initiateur ?
- Oui, un type plutôt sec, et pas très délicat dans son vocabulaire. Il m’a fait assez peur et il ne nous n’a pas donné envie. Reprend Julia
- Je vous comprends.
Je laissai passer un petit silence et je reprends
- Julia, vous avez déjà été fessée
- Oui, ou plutôt non, juste quelques claques sur les fesses, un peu plus appuyées pendant une levrette.
- Vous comprenez bien que ce sera plus intense et physique, voir même dur.
- Je m’en doute.
- Une autre question, pourquoi voulez-vous être fouettée ?
- Mon mari me le demande, il le veut. Ses deux mains se crispent sur le tissu de la jupe.
- Mais vous, Madame, voulez-vous être fouettée ?
- Non, j’ai peur. Me répond- elle au bord des larmes.
Silence
- Madame, vous devez dire que vous voulez être fouettée.
Alors, dans un chuchotement, j’entends
- Oui, je veux être fouettée.
- S’il vous plait, Madame.
Alors, d’une voix forte et claire, elle répète
- Je veux être fouettée
Puis elle saisit la main de son mari en la broyant presque. Je reprends.
- Vous avez peur ?
- Oui, très.
- Mais ça vous excite, vous voulez savoir comment c’est.
- Oui.
Re-silence.
- Je veux faire une chose pour vous.
Je fais une pause ; Julia se détend légèrement, et abandonne les doigts de son époux.
- Je viendrai avec ma compagne. Elle aime se donner de cette façon, elle vous montrera, vous verrez, elle est endurante.
Julia lève des sourcils interrogatifs.
- Vous voulez dire que vous allez la fouetter devant nous.
- Non, mieux, elle se fera fouetter pour vous, Julia.
Elle a un grand sourire, et se cale contre son mari
- Alors, je veux bien
Quant à Philippe, il n’est pas difficile d’imaginer ce qui motive son sourire.
Julia se lève, et se dirige vers la cuisine, en roulant des fesses.
En moi-même, je note que son cul n’est pas aussi beau que celui de ma sultane, mais il peut inspirer un bon fesseur.
Une flute de champagne à la main, nous mettons les détails techniques au point.
- Il faut réserver une pièce, avec un cabinet de toilette, pour que ces dames se changent, et se maquillent ; Julia devra préparer une paire de bas, une serre taille avec jarretelles, et des talons, de préférence les plus haut de son armoire à chaussures, un peignoir ou un kimono. J’apporterai le «matériel ».
- Pour l’intendance, buffet froid, vin et petits fours pour le dessert.
Nous arrêtons la date au samedi suivant, vers vingt-une heures.
Mes hôtes me raccompagnent à la porte, et Philippe me serre la main.
Julia me fait la bise, puis …
- Je suis impatiente de vous revoir et de rencontrer Madame. Vivement samedi.
Et soudain, elle dépose un baiser sur mes lèvres, puis elle se détourne et rentre dans la maison.
OOOO
Récit d’Hélène
Le 4X4 roule allégrement sur la route de Cernay.
Je papote, volubile, sur le siège du passager. Ce qui traduit mon excitation et mon impatience.
- C’est quoi le thème ce soir
- La flagellation, démonstration, puis initiation. Me répond mon coquin.
- Tout le plaisir pour les mecs, quoi.
- Tu es vraiment de mauvaise foi, je suis sûre que tu vas bien t’amuser avec Julia.
- Enfin, c’est quand même mon cul qui va prendre.
Question tenue, j’ai fait simple, je porte un grand pull argent avec un large col roulé, Le voyou qui y plongerait ses yeux ne verrait que le début de ma poitrine.
Une jupe moirée, rouge, à gros plis, cache mes jambes, descendant aux chevilles gainées de noir ; sous mon bas droit, on devine ma chaine de soumise.
Cette tenue ne permet pas de deviner ce que je porte ou ne porte pas dessous.
Sur le siège arriéré du 4X4, Pierre a posé la mallette, le sac à outils selon mon expression d’Hélène. Il voisine avec mon petit bagage contenant mes affaires me changer.
Le GPS nous dépose devant la maison de notre petit couple.
Pierre est en train de m’ouvrir la porte quand j’entends derrière lui
- Chéri, ils sont arrivés
Mon chauffeur se retourne, pour se retrouver dans les bras de Julia qui l’embrasse aussi sec.
Pour l’occasion, elle est vêtue d’une robe droite, vert anis avec les épaules nues, s’arrêtant au genou, avec une ceinture pour étrangler sa taille,
Puis elle se tourne vers moi.
- Hélène, je suppose.
- Oui, et vous c’est Julia.
Nous nous penchons l’une vers l’autre et elle me dépose un baiser sur les lèvres.
De son coté, mon coquin se contente de serrer la main à Philippe.
Nous remontons l’allée, en nous tenant par la hanche, nos deux culs roulant à l’unisson, comme s’ils étaient déjà complices.
Dans le salon nous attend une desserte, portant le seau à champagne déjà garni, un buffet de sushi et de sashimi (notre péché mignon), et un grand plateau de petits fours.
Le canapé et les fauteuils sont disposés en demi-cercle autour d’une table basse visiblement destinée à être l’autel de notre sacrifice. D’ailleurs, sur le côté, un petit tas de coussins est prêt à servir.
- Bon, c’est quoi le programme ? S’exclame Julia.
- Tu sembles bien pressée ma chérie .Lui répond Philippe.
Mon seigneur propose de mélanger les plaisirs de la chère et les plaisir de la chair : Sushi, prestation d’Hélène, break, sacrifice de Julia, et champagne et petits fours.
- Alors ne perdons pas de temps. Déclare Julia en s’emparant d’un Californie Rolls.
La collation se passe agréablement, en devisant gaiement, mais curieusement nous évitons le sexe comme sujet de conversation.
Il ne reste plus que quelques sushis quand je lance.
- C’est mon heure maintenant, c’est à moi d’être la reine de la soirée.
Un court silence, je m’approche de notre hôtesse, et lui prend la main.
- Julia, montre-moi le chemin.
Et nous disparaissons dans le couloir.
Nous entrons dans la chambre avec une salle de bain contiguë.Mon petit baluchon est déjà sur le lit. Un fauteuil trône dans la salle de bain.
- Ma Belle, prépare moi.
-
Julia remonte le pull et découvre ma poitrine, supportée par un corset rouge, elle commence à caresser les bouts dressés.
- Arrête de jouer, Chérie, occupe-toi de ma jupe »
Julia s’agenouille derrière moi et dégrafe mon vêtement, puis le fait glisser le long de mes fesses.
Lentement, mon cul plantureux apparait, la moire tombant sur les chevilles.
La taille est étranglée par le serre taille, auquel sont suspendus des bas noirs à couture. Ma croupe de belle poule est superbe, encadrée par le bas du corset, et la lisière des bas remontant haut sur les cuisses.
En un éclair, Julia comprend pourquoi on peut aimer fouetter le cul d’une femme.
- Embrasse-le s’il te plait. »
Julia pose sa bouche sur ma chair blanche et satinée.
- Pas comme ça, écarte moi et embrasse-moi au milieu.
Ma future victime est déjà soumise, elle ma mappemonde comme on ouvre une pêche et colle ses lèvres sur l’anus, puis elle glisse sa langue dans le cratère qui s’ouvre.
- Entre en moi. Fais-je, à la fois pour mon plaisir et pour jauger son degrés de soumission.
Je m’abandonne à cette caresse si intime et si érotique.
- Assez ma chérie, ne faisons pas attendre nos hommes !
Puis je m’assois sur le fauteuil et tends une brosse à ma presque amante.
Julia me peigne, tire les cheveux en arrière et forme une queue de cheval.
Puis je me maquille les yeux très noirs, et passe sur mes lèvres un rouge sang.
Je lui tends le collier, et la laisse, ainsi que les menottes et le bâillon.
Rapidement, j’enfile des talons de 10 cm, récupère une cape dans le sac.
Ma complice me passe le collier, m’attache les menottes dans le dos et me pose la cape sur les épaules.
Au moment de passer le bâillon, je l’arrête.
- Je vais adorer souffrir pour toi……... Embrasse-moi.
- Tu es folle, tout à l’heure, je veux que tu me prépare.me répond-elle
Puis elle me fouille avec sa langue, puis force le bâillon boule entre les lèvres.
Récit de Pierre.
J’enfile mon gant sur ma main droite quand Hélène fait son entrée, tenue en laisse ; ses mains dans le dos la cambrent et font pointer ses tétons.
Julia me tend le lien, puis elle s’assoit à côté de son mari.
J’ouvre la cape, ma coquine bombe sa poitrine insolente
Avec ma badine, je lui tapote la peau tendre de l’intérieur des cuisses pour qu’elle exhibe son sexe à peine voilé par un duvet châtain taillé en ticket de métro.
Je la fais pivoter pour présenter sa chute de rein et son cul de jument.
Je la retourne et je la guide vers la table des supplices.
Je la soutiens pendant qu’elle s’agenouille sur les coussins et qu’elle pose ses seins et sa tête sur la table. Je bloque ses jambes ouvertes par une barre d’écartement
Assis en face de la croupe de la belle, Philippe profite d’un point de vue imprenable.
Notre hôtesse se place de façon à voir à la fois, la cible de mes coups et le visage de la suppliciée. Celle-ci qui a fermé les yeux, les rouvre et lui envoie un baiser muet.
Le martinet bien en main, je le fais claquer en l’air.
Hélène frissonne. Puis le premier coup s’abat sur son cul. Puis le second. Ma chérie gémit doucement à chaque coup. Sa chatte s’humidifie au rythme du martinet.
Son cul rosit, les traces se superposent et marbrent ce cul magnifique.
- Je peux lui enlever son bâillon ; je veux l’entendre.
J’arrête net mon bras. Julia s’est levée et se dirige vers le visage de mon amour.
Elle dégrafe l’attache derrière la nuque, et fait glisser la boule hors de la bouche de mon aimée. Elle lui essuie la bave qui coule des lèvres avec un petit carré de soie.
Elle halète doucement.
- Mon chéri, tu peux reprendre.
Elle se cambre sans crier sous les deux coups suivants, mais le troisième lui arrache un cri étouffé.
Pause.
Mais Hélène sait que le pire (ou le meilleur) est à venir.
Je me penche près de son visage
- Cravache, huit coups.
Elle approuve dans un souffle. Du bout des lèvres, elle adresse un baiser à sa complice ; celle-ci a troussé sa robe et se caresse le sexe ; elle se lève et force ses phalanges chargées de son suc dans la bouche de ma coquine.
Puis elle passe du côté du cul de ma douce victime, glisse sa main dans la chatte, recueille sa mouille et se lèche les doigts.
Je lève mon bras et la cravache tombe, ma belle amante sursaute, un cri s’étrangle dans sa gorge.
J’enchaine les coups plus forts en les croisant sur les fesses.
Elle crie, se crispe, ses mains enchainées et ses pieds bloqués s’agitent en vain. Sa liqueur intime coule de sa fente bâillante : mouiller de douleur ….
Il lui reste quatre coups à endurer, mais elle ne les a pas comptés. Elle me fait confiance.
Je caresse son sexe avec la badine, elle soupire, elle est bien.
J’ajuste mon coup et en remontant, je lui fouette le sexe, en visant la fente
J’atteins le clitoris. Elle est foudroyée, tétanisée
Son cri s’est bloqué dans sa gorge, et elle se met à trembler de tout son corps.
Quatre cinglées à subir; je m’arrête, je lui laisse profiter du plaisir et de la douleur mêlés.
Un grand silence est tombé dans la pièce. Julia ne se caresse plus, une larme coule de son œil droit.
On n’entend plus que le halètement de ma douce victime.
L’intensité de cette séquence à la cravache a sidéré nos hôtes.
Ce n’est pas fini.
- Chéri…, viens…. écoute moi
Je me penche vers elle, elle me murmure à l’oreille.
Je ne crois pas ce que j’entends
- Quelle perverse tu fais.
- S’il te plait, je le veux… , j’en ai envie…… fais le…. - .
-
Je me relève et je tends la cravache à notre hôtesse.
- Helene veut que tu la fouettes. Elle veut que tu la finisses de ta main.
Julia s’installe derrière ma beauté, en face de ce cul déjà martyrisé.
La cravache s’abat timidement une première fois.
Mon amour réagit.
- Plus fort, ma belle.
Le coup suivant est plus puissant, ma beauté se cambre, gémit, halète.
La troisième cinglée est presque parfaite.
La suppliciée sanglote.
Julia lève la main pour la quatrième volée
Je l’arrête
- C’est ton dernier coup, elle veut que tu la marques.
- Que veut-elle dire.
- Tu dois lui zébrer les fesses. Prend plus d’élan et vise au milieu du fessier. Il faut que demain, elle ait un bleu.
Elle hésite, puis arme son coup.
La cravache frappe en plein milieu de la cible, la tige s’incruste dans la chair.
La suppliciée hurle, elle est secouée, elle se débat dans ses liens.
Puis elle s’apaise, elle râle, et sanglote, elle profite de ce moment d’apaisement qui suit cette séquence terrible.
Je la débarrasse de ses liens. Elle s’affaisse sur la table en laissant pendre ses bras.
Sa bourrelle laisse tomber son instrument, se précipite, lui prend le visage entre ses mains, et l’embrasse.
Elle lui mange les lèvres et lui colle un intense baiser lesbien.
Hélène s’assoit à moitié sur une fesse et se pelotonne contre moi, comme la chatte qu’elle est.
Julia s’excuse.
- Je t’ai fait mal, pardonne moi ma chérie.
- Idiote, c’était délicieux …... enfin, quand on est initiée.
Puis elle se tourne vers moi.
- Pierre emmène-moi dans la chambre, Et toi ma belle, tu me passeras la pommade.
Julia et Hélène sont revenues dans le salon. Les deux femmes se sont douchées. Notre hôtesse a revêtu un peignoir éponge. Ma chérie s’est emballée dans son kimono, elle s’est débarrassée de son corset et de ses bas, et elle a pris une bonne douche. Elle a entouré sa chevelure dans un turban assorti à son kimono.
Ses yeux sont démaquillés, mais restent marqués. Elle se colle contre moi et je ressens la douceur de ses rondeurs.
Une flute à la main, elle est redevenue joyeuse, et elle fait un sort aux petits fours.
Son assiette finie, elle se lèche les doigts, et fait signe à Julia de s’approcher.
- Ma belle, c’est ton tour, mais tu peux renoncer.
- Non, je veux le faire, mais j’ai peur.
- La peur, comme la préparation font partie du plaisir
- Alors prépare-moi s’il te plait.
Ma douce l’entraine par la main vers le boudoir des dames.
A suivre
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Les avis des lecteurs
Maestro... qui aime les femmes, cela crève les yeux. Le Philippe n'a droit qu'à la portion congrue, alors que les belles se taillent la part du lion.
Jean
Jean