Hétéro Ep 03 Moi, très passif

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Hétéro Ep 03 Moi, très passif Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Hétéro Ep 03 Moi, très passif
Hétéro Ep 03
Moi, très passif


J'ai bien, j'ai très bien dormi. J'étais au chaud, il avait passé son bras par dessus moi et il me caressait le torse avec une grande douceur. Ça me changeait de la veille, j'aime bien les deux. L'idéal c'est un mec qui saurait donner les deux.

Sa main glissait sur mon torse, depuis mon cou jusqu'au bas de mon ventre, puis il reprenait. Il se réveillait doucement j'en faisais de même, sa main a glissé un peu plus bas et j'ai senti comme une réaction quand il a touché ma cage de chasteté. Il ne bougeait plus, mais tâtait avec sa main.

– C'est quoi ça ? Demandait-il d'une voix totalement réveillée.
– On a bien qu'on ne retirerait rien ! Alors j'ai rangé ce qui dépasse ! Lui répondais en me tournant sur le dos.

Il relevait la couette d'un geste rapide, allumait la lumière et relevait la tête.

– Ah oui, ça c'est une surprise. S'exclaimait-il.

Il me tâtait les couilles et tripotait ma cage.

– Pour une surprise, c'est une surprise … Remarque c'est bien, moi j'aime bien.

Il continuait à me tripoter les couilles et rapidement je remarquais qu'il bandait, pourtant il ne me semble pas qu'il bandait quelques instants plus tôt.

– J'avais comme l'impression que tu n'aimais pas vraiment me sucer la queue.

Il ne répondait pas et continuait à me tripoter les couilles.

– De plus on avait prévu que moi, je ne t'encule pas …

Il continuait, il explorait ma cage avec ses doigts.

– Donc je me suis dit que ça ne te manquerait pas si …
– Oui, oui, tu as bien fait, j'aime bien. Mais la clé ?

Là je lui ai expliqué, je gardais une clé mais elle était enfermée dans un petit tube en plastique à l'aide d'un cadenas en plastique lui aussi mais numéroté, pour l'ouvrir il suffit de le casser. Si je l'ouvre il pourra le voir en un coup d’œil. Il y a deux autres clés, c'est lui qui les garderait …

– Et je devrais l'ouvrir quand ?
– Quand tu le voudras !
– Définitivement ?
– Disons … On pourrait décider d'une période minimum … Un an …
– On est en octobre, un an à partir de l'année prochaine !
– Ok !
– Reconductible !
– … Là j'hésitais un moment avant de répondre … OK !

Il avait l'air content, moi je ne savais pas trop, je me demandait si ce nœud à l'estomac c'était pas déjà un début de regret. Je me demandais si finalement je n'avais pas réagi un peu vite. Puis je me rattrapais.

– Par contre il faudra que tu m'encourage régulièrement !

Il me faisait un large sourire, il bandait ferme, me donnait un baiser et en se caressant la queue …

– En t'enculant ?
– Par exemple ! Répondais-je sur un ton résigné. Enfin c'est l'impression que j'avais.

Il éclatait de rire et rajoutais sur un ton très fort !

– J'adore! Au moins il n'y aura plus aucun doute sur le rôle de chacun … Suce moi !

Le ton n'était pas autoritaire mais clair, il avait conclu par ce ' suce moi ', je n'avais alors plus qu'à m'exécuter. C'est ce que j'ai fait !

Il bandait ferme à ce moment, je me penchais sur sa queue, commençais par glisser ma langue sur son gland, j'y allais tout doucement, j'ouvrais au maximum ma bouche pour prendre son gland. Je savais depuis la veille que je n'en prendrais pas beaucoup plus mais j'essayais.

Le gland rentrait sans difficultés, et comme prévu rapidement ça bloquait. Il y avait une certaine partie de sa queue qui rentrait quand même, son gland s'écrasait dans ma gorge, oh il n'allait pas bien profond mais déjà me coupait la respiration.

Je ne sais pas si c'était juste pour rigoler, ou par taquinerie naturelle, mais c'est à ce moment et sans prévenir qu'il appuyait sur ma tête, son gland rentrait alors en force dans ma gorge. J'aurais bien râler mais là je ne pouvais plus respirer, je ne parvenait même pas à faire des bruits bizarres.

Je paniquais quelques instant puis il me lâchait et là je relevais la tête, j'aurais bien râler mais là je ne parvenait qu'à tousser. C'est après que j'ai râlé. Lui il rigolait.

– C'est pas malin ! Si tu recommences j'arrête de te sucer. Râlais-je.

Il rigolait le con …

Bon OK, je ne te touche plus .

Je fronçais les sourcille pour me donner un air farouche puis reprenais. Il se penchait sur moi et s'amusait à inspecter ma cage de chasteté, j'avais l'impression que ce truc le faisait bander encore plus. C'était peut être une impression mais en tous cas ça l'amusait. Il me tripotait les couilles.

– Ça ne te fait pas mal ce truc ?
– Gnon, gnon, gnon !
– Ça fait bien ressortir tes couilles.
– Gron, gron, gron …

Oui je sais là je n'étais pas très clair mais j'avais la bouche pleine. Et bien pleine en plus, c'était un gros calibre, enfin bien comme il faut quoi. Comme j'aime.

Sans prévenir mon petit Benoît me retournait sur le ventre et s'allongeait sur moi. Je me suis laissé faire, j'aime bien me faire remuer comme ça de temps en temps. Il me lubrifiait alors le cul passait du gel sur sa queue et sans me laisser le temps de réagir, il m'enfonçait sa queue dans le cul avec vigueur.

Il m'avait déjà bien dilaté dans la nuit et je ne vous dis pas mais, c'est rentré tout seul. En un seul mouvement il se retrouvait bien calé dans mon cul. Il poussait fort et moi je gémissait fort de plaisir. J'étais bien dilaté et bien détendu depuis la fin de la soirée et je ne résistait pas, au contraire même je n'éprouvais qu'un intense plaisir, je gueulais rapidement de plaisir.

Il commençait alors à bien me limer le cul, il ressortait avec la même vigueur dont il avait fait preuve en entrant. Enfin quand je dis en entrant. Il ressortait avec violence et revenait aussitôt bien a fond, les mouvements étaient espacés au début mais rapidement ils devenaient rapides et toujours aussi violents.

Quand il s'enfonçait il se laissait retomber de son poids et c'est pas seulement dans le cul que je devais encaisser mais aussi sur le dos. Il me retombait sur le dos de tout son poids.

Il me balançait des coups de bassin, de toutes ses forces, par moment il se relevait sur les bras, par moment il continuait aussi à me buriner avec des coups de bassin. Toujours violents et de plus en plus rapides.

Je râlais, je gémissais, je me tordais comme je pouvais mais j'encaissais. Je me cramponnais à la couette, elle ne va pas tenir longtemps à ce rythme celle la. Il me saisissait par les hanches et me soulevait, il se retrouvait à genoux juste derrière moi, j'étais à quatre matte juste devant lui.

Son ventre frappait avec force et régularité contre mes fesses, l'extrémité de sa queue frappait avec violence et régularité contre mes amygdales. Enfin par moment c'est l'impression que j'avais. J'étais secoué d'avant en arrière avec force, c'était inutile de résister je n'avais aucune chance de m'en sortir, je n'essayais même pas je me résignais, je m'abandonnais à son plaisir. Il avait l'air d'aimer.

Moi je priais le dieu du cul de m'aider et de faire que chaque coup soit le dernier, il ne devait pas être disponible à cet instant car mon Benoît ne se calmait pas, il avait de l'endurance le bestiau. J'ai regretté de l'avoir laissé faire, j'ai regretté de l'avoir emmené chez moi, j'ai regretté et j'ai bien cru mourir.

Et j'ai regretté aussi de ne même plus avoir la force de lui dire d'arrêter, j'étais mort. Je vivais mes dernières secondes de ma vie, et c'était un cauchemars. Pourtant je ne suis pas une petite nature.

J'implorais silencieusement qu'il arrête.

Il me limait le cul, par moment il ressortait totalement de mon cul. Je me croyais sauvé, un instant j'avais l'espoir de survivre. Il me faisait un câlin, m'embrassait sur le dos entre les omoplates puis enfonçait de nouveau sa queue bien à fond dans mon cul.

Là de nouveau je hurlais. Mon cri se terminait comme une supplique, comme une plainte. On pouvait supposer que je pleurait bruyamment, et je pleurais d'ailleurs, mes yeux étaient inondés de larmes. Mais rien ne le calmait.

Il respirait fort, mais j'avais presque l'impression qu'il respirait plus fort à partir d'un moment. J'avais l'espoir qu'il finisse par conclure, qu'il se fasse plaisir et qu'il arrive à la conclusion. Les coups ne se calmaient pas, restaient toujours aussi violents mais plus lents, un peu plus lent puis vraiment plus lent.

Il me repoussait en avant et se laissait retomber sur moi. Là il ne bougeait plus. Je me demandais un moment si c'était bon signe. Il se retirait alors et c'est à cet instant que j'ai vraiment joui, j'ai éjaculé, j'ai gémis et tout ce que je pouvais dire alors c'était …

' Encore, oui encore ! T'arrête pas p'tit bite … ' . Comme vous pouvez le voir j'étais peut être mort mais là j'allais mieux, mais je devais encore avoir de la fièvre.

Je l'entendais qui rigolait, en allant vers la salle de bain. Moi je ne pouvais pas bouger, je sentais bien que si j'essayais de me lever je tomberais par terre, je n'essayais même pas.

Il est revenu rapidement.

– Alors bonhomme, comme ça je suis une p'tite bite ?
– Non, oui, mais non c'est pas ce que j'ai dit !
– Mais si !
– C'est pas ce que je voulais dire alors.

Je commençais à récupérer, comme vous pouvez l'entendre.

– Donc tu vas être mon vide couille pendant plus d'un an à partir de maintenant.
– Ouai !
– Ça ne t'inquiète pas que je défoule comme ça sur ton cul.
– Même pas peur, et puis j'ai rien senti !

Il pouffait de rire.

– Je te le dis comme je le pense. Tant que j'aurai la clé je pourrai décider, je ne te libérerai pas !
– Ah ouai, j'avais pas pensé à ça !

Je vous rassure, j'y avais pensé. Mais heu, comment dire … Là j'en prenais conscience, là seulement j'en prenais conscience !


Fin ( probablement )


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