Honte et douleur

- Par l'auteur HDS Perruche77 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Honte et douleur Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Honte et douleur
Voici déjà quelques années, j’utilisais un site aujourd’hui disparu, du moins la rubrique « rencontres », pour rencontrer des mecs. Le plus souvent, il s’agissait de rencontres purement sexe, sodomie, pipe, fist, mais il m’arrivait quelquefois de rencontrer des dominateurs, car je suis soumis et exclusivement soumis.

Une fois donc, je réponds à une annonce d’un Maître cherchant un esclave pour le dresser. Je lui téléphone et nous concluons d’un rendez-vous. Je dois dire que ses paroles, sa voix, l’annonce de ses goûts en la matière m’avaient particulièrement séduits.

Le jour dit, je me rends à l’adresse indiquée, un pavillon en campagne, assez isolé, entouré d’un mur et barré par une grille. Je sonne, je me présente et la grille s’ouvre automatiquement. Je rentre et gare ma voiture devant la porte d’entrée.

Un homme sort de la maison et me regarde un instant avant de le faire signe, plutôt de m’ordonner, de rentrer. Arrivé dans le hall, il me fait tourner devant lui, m’examine longuement :

« C’est toi la lope ? Tu es bien sûr de vouloir me servir ? Tu peux encore repartir chez toi »

« Non, non je suis….. »

Une bonne claque me fais taire :

« Tu ne me parle pas comme çà, c’est Maître ou tu vas déguster ! »

« Oui Maître, pardon »

Nouvelle claque :

« Pas de discours, obéis simplement ! »

Il me montre une morte :

« Rentre là et fous toi à poil » »

« Oui ….. Maître »

Je rentre, c’est une pièce bien éclairée, avec des sièges et surtout une croix de Saint-André contre le mur.

Je me déshabille, jette mes vêtements sur une chaise et il tourne autour de moi, lentement, comme un maquignon examinant un animal qu’il veut acheter. Puis il me montre la Croix.

« Mets toi dos à la Croix »

Il me lie poignets et chevilles aux branches de la Croix. Nous rentrons dans le vif du sujet.

Il se tourne vers une armoire et en sort une cravache. Je commence à avoir peur. Il l’agite devant moi et d’un geste brusque, il me cingle le ventre avec. Je hurle, autant de surprise que de douleur.

Il reste immobile puis nouveau coup, cete fois sur les cuisses, puis sur les seins. J’ai tellement mal que je commence à pleurer tout en le suppliant d’arrêter. Mal m’en prend. Il me frappe à nouveau en me criant :

« Tais toi espèce de larve ! »

Puis il sort de la pièce et me laisse seul, attaché. Je respire mais un autre problème survient, je commence à avoir envie de faire pipi. J’ai tellement peur que je n’ose pas appeler.

Les heures passent, toujours personne, j’ai de plus en plus envie d’uriner, et finalement je sens un jet sortir de ma queue, puis c’est bientôt un jet continu, sans pouvoir me contrôler.

Il revient enfin dans la pièce, jette un coup d’oeil sur le sol devant moi, prend un air sévère et m’insulte copieusement.

« Salope, dégueulasse, pisseur, tu es pire qu’un chien, lui au moins il sait se retenir ».

Il saisit à nouveau la cravache et je reçois une correction salée, je hurle, mon corps me brûle, je pleure comme une madeleine mais rien n’y fait. Ce n’est qu’au bout de plusieurs minutes qu’il daigne arrêter de me torturer. En baissant les yeux, je vois les traces rouges qui zèbrent mon ventre.

Il s’approche, me détache les chevilles et me fait tourner, face contre la croix.

« Ecarte tes fesses salope ! »

Il sort de la pièce puis revient avec un bock à lavement et un tuyau. Il commence par m’introduire plusieurs suppositoires (je découvrirai plus tard qu’il s’agissait de laxatifs), puis le bout du tuyau dans l’anus. En fait, il y a trois tuyaux, l’un pour laisser passer le liquide et les deux autres pour gonfler chaque ballon. Il commence à pomper, je sens une boule gonfler dans mon ventre puis une autre à l’extérieur de mon anus. Je comprendrai plus tard qu’il s’agit d’un ensemble comportant deux ballons, parcouru par un tuyau terminé par une sonde. On gonfle d’abord le premier ballon à l’intérieur du rectum, puis le second à l’extérieur, ce qui bloque bien l’ensemble entre les fesses.

Il arrête de pomper, je sens dilaté. Il suspend le bock et ouvre la vanne. Je sens le liquide couler en moi, longuement, j’ai peu à peu le ventre qui se remplit. D’abord c’est une sensation pas trop gênante puis, au fur et à mesure que le rectum se remplit, je commence à avoir mal, de plus en plus, jusqu’à le supplier d’arrêter. Mauvais calcul, il me cingle les fesses avec sa cravache, stoppant es protestations.

Au bout d’un long moment, je suis bien rempli, en fait je suis prêt à exploser mais les ballons bloquent le flot en moi. Il détache le tuyau et ne restent que le duo de ballons. Il me retourne face à la croix et me lie à nouveau les mains aux branches. Puis il sort de la pièce.

Peu à peu, la gêne se fait de plus en plus importante. J’ai oublié de dire qu’il avait pris soin de me faire boire un bon mitre d’eau avant de pratiquer le lavement. J’ai envie de pisser, envie de chier, mais pour le pipi, je repense à la raclée que j’ai pris en me laissant aller, et côté chier, mon anus est totalement bloqué.

Je reste ainsi un temps très , très long, plus d’une heure je pense. J’en pleure de douleur tellement mon ventre, ma vessie me font à présent mal. Enfin, j’entends des voix, plusieurs, derrière la porte, puis celle-ci s’ouvre, le Maître rentre suivi de plusieurs personnes, hommes, femmes, tous inconnus, heureusement !

Il les encourage à s’asseoir et se tournant vers eux :

« Vous allez voir une belle salope ce soir, une salope incapable de se contrôler, une chienne pire qu’un cochon ».

Il me claque le ventre avec à présent un martinet, visiblement çà lui plaît de me frapper, et le public aussi apprécie. On l’encourage :

« Plus fort, vas-y, fais le hurler ! »

Enfin il saisit les deux tuyaux reliés aux ballons et ouvre leur vannes, et je sens les ballons diminuer de diamètre et sortir de mes fesses. Dans le même mouvement, mes sphincters lâchent et c’est le tsunami. Je me vide, d’abord du liquide, beaucoup de liquide, puis la matière, beaucoup de matière. Le flot est continu, je ne résiste même pas, et je pisse en même temps, c’est un soulagement total des deux côtés.

Le public apprécie, ce ne sont que des « Oh ! », des « Quel cochon !», le tout ponctué de coups sur mes fesses, sur mon dos, sur mes jambes. Je suis en feu, je me vide sans réagir, je pleure de manière continue, de douleur et de honte, et il continue de me frapper et moi de pisser et chier. En fait, je ne ressens que soulagement de vider mon ventre et ma vessie et

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Nul et totalement irréel...



Texte coquin : Honte et douleur
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