Une partouze qui fera date
Récit érotique écrit par Perruche77 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 31 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Perruche77 ont reçu un total de 128 794 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 082 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Une partouze qui fera date
UNE PARTOUZE QUI FERA DATE
Cette histoire s'est passée il y a quelques années, bien avant la pandémie. Depuis quelques mois je visitais assez souvent un site spécialisé dans l'organisation de partouzes, en fait un site sur lequel des mecs proposaient des partouzes à une date précise, avec critères d'admission, thèmes de la partouze, etc. Le plus généralement ces rencontres se passaient à Paris. J'avais remarqué un type qui en organisait une fois par mois.
Après des semaines d'hésitation, je décidai de tenter le coup et je m'inscrivis. Deux ou trois jours passent et je reçois un mail avec les détails à connaître (adresse, etc). Je confirme et attends la date fatidique avec impatience mais aussi avec une certaine angoisse. Passif, ce n'est pas la même chose de baiser avec un mec seul qu'avec une petite troupe d'actifs.
Le jour J, je me récure à fond, c'est le cas de le dire, lavement profond, j'enfile un jogging et un haut sans aucun dessous ni chaussettes, plus pratique pour me mettre "en tenue" aussi bien que pour me sauver si problème. J'arrive à l'adresse, Paris centre, un immeuble quelconque, 7ème étage sans ascenseur, je me retrouve devant la porte le souffle coupé par l'ascension et le trac. Je sonne, un mec vient m'ouvrir, on se présente, c'est l'organisateur. Il m'indique une pièce pour me déshabiller.
"Tu mets tes affaires dans un sac poubelle et tu viens nous rejoindre au salon"Une fois nu, je rentre au salon, plusieurs mecs sont déjà là. A voir les queues dressées, les gabarits plus que virils, et surtout après les présentations, je réalise que nous sommes deux passifs, le proprio et moi, pour six mâles. Chic, pour une première, je vais être servi. Et en effet on rentre tout de suite dans le vif du sujet. Les six se mettent côte à côte et Michel, le proprio, et moi nous agenouillons devant eux.
Et la séance de pipes commence. D'abord hésitant, je prends vite goût à la chose et enfourne ma première queue. Au fur et à meure, je suis de plus en plus excité. Je lèche les couilles de mon mec, je lèche sa queue comme je le ferais d'un esquimau, il a l'air d'apprécier. Puis je le prends en bouche et commence un lent mouvement de va-et-vient. Il adore, et moi j'adore aussi, sucer a toujours été un régal pour moi.
A côté Michel suce aussi mais plus méthodiquement, avec moins d'amour si je peux m'exprimer ainsi. Une fois que je sens le mec prêt à éclater, je passe au suivant et ainsi de suite. Je suis excité comme une femelle, même aujourd'hui j'ai du mal à faire de cette lope et de moi un seul et unique personnage. Je gémis, je suce, je supplie le mec de m'enculer, c'est de la folie. A côté de moi, les pires salopes dans les films ont l'air de débutantes.....
Dès que j'ai terminé mon tour d'horizon, je veux dire mon tour de queues, je m'agenouille au milieu de la pièce, les fesses dressées et je les encourage à me baiser. Ils se décident très vite et l'un deux se place derrière moi, crache sur mon trou, pose son sexe contre mon anus et d'un coup me pénétre. C'est brutal, j'ai un peu mal mais c'est tellement bon en même temps que je l'encourage à me bourrer.
"Vas-y, baise moi, remplis moi à fond....."
Il se déchaîne en me crochant bien les hanches. Au bout de quelques minutes, trop courtes à mon goût, je le sens se crisper puis il jouit en moi. Lorsqu'il se retire, un second prend sa place, puis un troisième, et ainsi de suite. Michel nous regarde, apparemment il prend son pied à me voir jouer les salopes. Tant mieux, j'aurais encore plus de sperme.
La sarabande continue et une fois qu'ils ont tous joui en moi, sauf un qui me jute sur le dos, ils me présentent leurs queues pour les nettoyer, chose que je n'avais jamais encore faite. Certaines sont maculées de mes secrétions, je m'en fous, je les nettoie sans hésiter sous les remarques admiratives :"Quelle salope, tu l'as trouvé où celui-là ?"Puis mon premier se tourne et me présente ses fesses. "Lèche moi le cul salope !"Je m'exécute sans discuter et le lèche consciencieusement. Comme j'adore qu'on me lèche le cul, je sais bien y faire et le type apprécie mes caresses. Tantôt je le lèche, tantôt je rentre ma langue dans son anus, comme une petite queue.
Devant l'air satisfait du mec, les autres demandent la même chose. Pas de problème même si la propreté n'est pas toujours parfaite, l'un des mecs étant même pas propre du tout, mais j'y vais quand même. Et les remarques fusent à nouveau :"Quelle salope, un vrai lèche-cul, une roulure de première, quelle pute !"Une fois qu'ils sont rassasiés, je me relève et, me tournant vers l'un d'entre eux, je lui demande:"Mets moi ta main dans le cul s'il te plaît, fouille moi le ventre !"Il me regarde d'un air surpris, l'air pas trop enthousiasmé, et se tourne vers les autres : "Quelqu'un est intéressé ?"Ils se regardent et l'un se jette à l'eau :"Tu l'as déjà fait ?""Oui et j'adore"Je me remets à genoux, les fesses bien écartées, et j'attends. Il prend un pot de lubrifiant, y plonge la main et ensuite me tartine le cul. Je ne peux m'empêcher de grogner de plaisir quand il touche ma rosette. Ça l'excite et il me rentre un doigt puis deux et les tourne dans mon cul. Quand il juge que je me relâche, il y ajoute un troisième puis le quatrième. Je suis aux anges et il ne peut s'empêcher une remarque admirative :"Quel cul ! On dirait une vraie chatte de nana".
Il enfonce ses doigts, tourne sa main, puis quand il sent que je m'ouvre, il commence à rentrer son pouce. C'est trop bon et je décide de l'aider en reculant sur sa main, qui rentre presque sans effort en moi.. Apparemment il a déjà pratiqué le fist car une fois rentré complètement, il marque un temps d'arrêt là où un novice continuerait à pousser. Je l'encourage à continuer.
"Vas-y, fouille moi, tourne ta main, défonce moi le cul !"D'abord surpris, il se prend au jeu et se met à me défoncer littéralement le cul, faisant le piston, dehors, dedans, faisant tourner sa main, je deviens fou, je hurle de plaisir, Michel bondit et me place un baillon sur la bouche... Quand il commence à fatiguer, il se retire lentement et, horreur, je sens que je me vide car mon anus reste béant, comme si j'avais accouché.
Il me balance une bonne claque sur les fesses, plus une bourrade qu'une fessée d'ailleurs, mais j'apprécie et le dis à la cantonade une fois le baillon retiré.
"Oh oui, claque moi le cul, frappe moi, je suis une salope, j'aime ça"Quelle erreur, un des mecs me fesse alors et pas des caresses, et devant l'absence de protestation de ma part, il sort de la pièce et revient avec un ceinturon en cuir.
"Ah tu aimes les coups ma salope ? Eh ben tu vas en avoir !"Et il ponctue ces mots d'une rafale de coups de ceinturon sur me fesses, sur mes cuisses, sur mon dos. Je hurle de plaisir mais aussi de douleur car il n'y va pas de main morte. Et effet de meute aidant, ils se mettent tous à me fesser, le mec au ceinturon continue aussi, je hurle, on me remet le baillon et la fête continue. Je suis loin d'être un athlète, ils sont six, la lutte est inégale surtout qu'en fait je suis aux anges, je les encourage :"Ouiii, plus fort, allez-y, je suis une salope, plus fort !"Ils finissent par se calmer, je dois avoir les fesses et le reste rouge vif. Je ne saigne pas mais mon corps me cuit, je vais avoir des traces pendant plusieurs jours, mais cette pensée est loin de me désoler. Lorsque je vais aller au sauna, je ne vais pas passer inaperçu !
Un quart d'heure de calme puis l'un des mecs a soudain une idée géniale : "J'ai envie de pisser les mecs, et si on lui donnait une bonne douche ?"L'idée leur plaît car il me saisissent par les bras et direction la salle de bain. Grande baignoire dans laquelle il me font monter.
"Tu t'assieds et tu ne bouge pas, sinon......"J'obéis, ils se mettent au bord de la baignoire, instants d'attente, puis l'un deux commence à me pisser dessus. Visiblement il avait grand besoin de se soulager car le jet est dru, fort, et dirigé sur ma figure. Les autres, du moins ceux qui ont la place de se mettre contre le bord, ne se font pas prier et je reçois une vraie douche d'urine, partout, sur la figure, sur les cheveux, sur tout le corps en fait. Au bout de plusieurs minute, ils se sont tous soulagé sur moi, ils me regardent avec je dois dire pas mal de mépris, un peu comme on regarderait un urinoir. Et enfait, je ne suis qu'un urinoir à leurs yeux après avoir été un trou pour leur sperme. Et j'avoue que ce sentiment de mépris ne me déplaît pas vraiment. Ils m'ont humilié, traité comme la dernière des salopes, frappé comme le dernier des derniers, et ça me, ça m'a plu !
Ils retournent dans la chambre, je mes entend se rhabiller puis quitter l'appartement après les adieux de circonstances et je reste seul, nu, trempé de pisse, un peu grelottant asis dans la baignoire.
Michel me regarde d'un air méprisant :"Allez, lève toi et tire-toi pauvre lope !"Je vais dans la chambre, en passant devant une glace je vois les stries rouges sur mon corps, et surtout je sens mon trou du cul encore grand ouvert. Pourvu que je n'ai pas "d'accident" dans le RER.....
Lorsque je repense à la séance le soir chez moi, la première pensée qui me vient à l'esprit, c'est "A quand la prochaine fois ?".
Cette histoire s'est passée il y a quelques années, bien avant la pandémie. Depuis quelques mois je visitais assez souvent un site spécialisé dans l'organisation de partouzes, en fait un site sur lequel des mecs proposaient des partouzes à une date précise, avec critères d'admission, thèmes de la partouze, etc. Le plus généralement ces rencontres se passaient à Paris. J'avais remarqué un type qui en organisait une fois par mois.
Après des semaines d'hésitation, je décidai de tenter le coup et je m'inscrivis. Deux ou trois jours passent et je reçois un mail avec les détails à connaître (adresse, etc). Je confirme et attends la date fatidique avec impatience mais aussi avec une certaine angoisse. Passif, ce n'est pas la même chose de baiser avec un mec seul qu'avec une petite troupe d'actifs.
Le jour J, je me récure à fond, c'est le cas de le dire, lavement profond, j'enfile un jogging et un haut sans aucun dessous ni chaussettes, plus pratique pour me mettre "en tenue" aussi bien que pour me sauver si problème. J'arrive à l'adresse, Paris centre, un immeuble quelconque, 7ème étage sans ascenseur, je me retrouve devant la porte le souffle coupé par l'ascension et le trac. Je sonne, un mec vient m'ouvrir, on se présente, c'est l'organisateur. Il m'indique une pièce pour me déshabiller.
"Tu mets tes affaires dans un sac poubelle et tu viens nous rejoindre au salon"Une fois nu, je rentre au salon, plusieurs mecs sont déjà là. A voir les queues dressées, les gabarits plus que virils, et surtout après les présentations, je réalise que nous sommes deux passifs, le proprio et moi, pour six mâles. Chic, pour une première, je vais être servi. Et en effet on rentre tout de suite dans le vif du sujet. Les six se mettent côte à côte et Michel, le proprio, et moi nous agenouillons devant eux.
Et la séance de pipes commence. D'abord hésitant, je prends vite goût à la chose et enfourne ma première queue. Au fur et à meure, je suis de plus en plus excité. Je lèche les couilles de mon mec, je lèche sa queue comme je le ferais d'un esquimau, il a l'air d'apprécier. Puis je le prends en bouche et commence un lent mouvement de va-et-vient. Il adore, et moi j'adore aussi, sucer a toujours été un régal pour moi.
A côté Michel suce aussi mais plus méthodiquement, avec moins d'amour si je peux m'exprimer ainsi. Une fois que je sens le mec prêt à éclater, je passe au suivant et ainsi de suite. Je suis excité comme une femelle, même aujourd'hui j'ai du mal à faire de cette lope et de moi un seul et unique personnage. Je gémis, je suce, je supplie le mec de m'enculer, c'est de la folie. A côté de moi, les pires salopes dans les films ont l'air de débutantes.....
Dès que j'ai terminé mon tour d'horizon, je veux dire mon tour de queues, je m'agenouille au milieu de la pièce, les fesses dressées et je les encourage à me baiser. Ils se décident très vite et l'un deux se place derrière moi, crache sur mon trou, pose son sexe contre mon anus et d'un coup me pénétre. C'est brutal, j'ai un peu mal mais c'est tellement bon en même temps que je l'encourage à me bourrer.
"Vas-y, baise moi, remplis moi à fond....."
Il se déchaîne en me crochant bien les hanches. Au bout de quelques minutes, trop courtes à mon goût, je le sens se crisper puis il jouit en moi. Lorsqu'il se retire, un second prend sa place, puis un troisième, et ainsi de suite. Michel nous regarde, apparemment il prend son pied à me voir jouer les salopes. Tant mieux, j'aurais encore plus de sperme.
La sarabande continue et une fois qu'ils ont tous joui en moi, sauf un qui me jute sur le dos, ils me présentent leurs queues pour les nettoyer, chose que je n'avais jamais encore faite. Certaines sont maculées de mes secrétions, je m'en fous, je les nettoie sans hésiter sous les remarques admiratives :"Quelle salope, tu l'as trouvé où celui-là ?"Puis mon premier se tourne et me présente ses fesses. "Lèche moi le cul salope !"Je m'exécute sans discuter et le lèche consciencieusement. Comme j'adore qu'on me lèche le cul, je sais bien y faire et le type apprécie mes caresses. Tantôt je le lèche, tantôt je rentre ma langue dans son anus, comme une petite queue.
Devant l'air satisfait du mec, les autres demandent la même chose. Pas de problème même si la propreté n'est pas toujours parfaite, l'un des mecs étant même pas propre du tout, mais j'y vais quand même. Et les remarques fusent à nouveau :"Quelle salope, un vrai lèche-cul, une roulure de première, quelle pute !"Une fois qu'ils sont rassasiés, je me relève et, me tournant vers l'un d'entre eux, je lui demande:"Mets moi ta main dans le cul s'il te plaît, fouille moi le ventre !"Il me regarde d'un air surpris, l'air pas trop enthousiasmé, et se tourne vers les autres : "Quelqu'un est intéressé ?"Ils se regardent et l'un se jette à l'eau :"Tu l'as déjà fait ?""Oui et j'adore"Je me remets à genoux, les fesses bien écartées, et j'attends. Il prend un pot de lubrifiant, y plonge la main et ensuite me tartine le cul. Je ne peux m'empêcher de grogner de plaisir quand il touche ma rosette. Ça l'excite et il me rentre un doigt puis deux et les tourne dans mon cul. Quand il juge que je me relâche, il y ajoute un troisième puis le quatrième. Je suis aux anges et il ne peut s'empêcher une remarque admirative :"Quel cul ! On dirait une vraie chatte de nana".
Il enfonce ses doigts, tourne sa main, puis quand il sent que je m'ouvre, il commence à rentrer son pouce. C'est trop bon et je décide de l'aider en reculant sur sa main, qui rentre presque sans effort en moi.. Apparemment il a déjà pratiqué le fist car une fois rentré complètement, il marque un temps d'arrêt là où un novice continuerait à pousser. Je l'encourage à continuer.
"Vas-y, fouille moi, tourne ta main, défonce moi le cul !"D'abord surpris, il se prend au jeu et se met à me défoncer littéralement le cul, faisant le piston, dehors, dedans, faisant tourner sa main, je deviens fou, je hurle de plaisir, Michel bondit et me place un baillon sur la bouche... Quand il commence à fatiguer, il se retire lentement et, horreur, je sens que je me vide car mon anus reste béant, comme si j'avais accouché.
Il me balance une bonne claque sur les fesses, plus une bourrade qu'une fessée d'ailleurs, mais j'apprécie et le dis à la cantonade une fois le baillon retiré.
"Oh oui, claque moi le cul, frappe moi, je suis une salope, j'aime ça"Quelle erreur, un des mecs me fesse alors et pas des caresses, et devant l'absence de protestation de ma part, il sort de la pièce et revient avec un ceinturon en cuir.
"Ah tu aimes les coups ma salope ? Eh ben tu vas en avoir !"Et il ponctue ces mots d'une rafale de coups de ceinturon sur me fesses, sur mes cuisses, sur mon dos. Je hurle de plaisir mais aussi de douleur car il n'y va pas de main morte. Et effet de meute aidant, ils se mettent tous à me fesser, le mec au ceinturon continue aussi, je hurle, on me remet le baillon et la fête continue. Je suis loin d'être un athlète, ils sont six, la lutte est inégale surtout qu'en fait je suis aux anges, je les encourage :"Ouiii, plus fort, allez-y, je suis une salope, plus fort !"Ils finissent par se calmer, je dois avoir les fesses et le reste rouge vif. Je ne saigne pas mais mon corps me cuit, je vais avoir des traces pendant plusieurs jours, mais cette pensée est loin de me désoler. Lorsque je vais aller au sauna, je ne vais pas passer inaperçu !
Un quart d'heure de calme puis l'un des mecs a soudain une idée géniale : "J'ai envie de pisser les mecs, et si on lui donnait une bonne douche ?"L'idée leur plaît car il me saisissent par les bras et direction la salle de bain. Grande baignoire dans laquelle il me font monter.
"Tu t'assieds et tu ne bouge pas, sinon......"J'obéis, ils se mettent au bord de la baignoire, instants d'attente, puis l'un deux commence à me pisser dessus. Visiblement il avait grand besoin de se soulager car le jet est dru, fort, et dirigé sur ma figure. Les autres, du moins ceux qui ont la place de se mettre contre le bord, ne se font pas prier et je reçois une vraie douche d'urine, partout, sur la figure, sur les cheveux, sur tout le corps en fait. Au bout de plusieurs minute, ils se sont tous soulagé sur moi, ils me regardent avec je dois dire pas mal de mépris, un peu comme on regarderait un urinoir. Et enfait, je ne suis qu'un urinoir à leurs yeux après avoir été un trou pour leur sperme. Et j'avoue que ce sentiment de mépris ne me déplaît pas vraiment. Ils m'ont humilié, traité comme la dernière des salopes, frappé comme le dernier des derniers, et ça me, ça m'a plu !
Ils retournent dans la chambre, je mes entend se rhabiller puis quitter l'appartement après les adieux de circonstances et je reste seul, nu, trempé de pisse, un peu grelottant asis dans la baignoire.
Michel me regarde d'un air méprisant :"Allez, lève toi et tire-toi pauvre lope !"Je vais dans la chambre, en passant devant une glace je vois les stries rouges sur mon corps, et surtout je sens mon trou du cul encore grand ouvert. Pourvu que je n'ai pas "d'accident" dans le RER.....
Lorsque je repense à la séance le soir chez moi, la première pensée qui me vient à l'esprit, c'est "A quand la prochaine fois ?".
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Perruche77
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...