Ma dernière partouze...
Récit érotique écrit par Perruche77 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2023 dans la catégorie Plus on est
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Ma dernière partouze...
Un ami me prévient d’une partouze chez une connaissance. Comme à chaque fois, je me prépare en conséquence, c’est à dire que je commence un traitement à la PREP la veille. Il m’a seulement informé qu’il y aurait une dizaine de mecs.
Le jour dit, je me rends à l’adresse, un pavillon à la limite d’un petit bled en campagne. Il y a déjà plusieurs véhicules garés dans la cour. Le portail refermé, je sonne et mon copain vient m’ouvrir. Je rentre, plusieurs mecs sont dans l’entrée. Il m’indique une chambre où me déshabiller. Il y a des sacs poubelle sur le lit, j’en prends un et j’y rentre mes vêtements. Une fois nu, je sors et vers ce que suppose être, vu les bruits de conversations, le lieu de l’action.
En effet, une dizaine de types dont mon ami sont là, nus et surtout apparemment bien équipés côté sexe. Tant mieux. Les présentations faites, je constate avec joie que je suis la seule lope, mon ami connaît bien mes goûts. Je vais être l’objet de toutes les cochoncetés ce soir.
On rentre très vite d ns le vif du sujet, ils se mettent en rang et je m’agenouille devant le premier. Je commence à lui lêcher les couilles puis j’enfourne sa queue et la fais vite grandir entre mes lèvres. Je suis réputé très doué question pipe, il apprécie et très vite, trop vite, il lâche son jus dans ma bouche. Juste le temps de bien nettoyer sa queue et je passe au suivant. Que c’est bon ces bonnes odeurs de mâle, toutes différentes et en même temps si excitantes.
Queue après queue, couilles après couilles, je récolte entre mes lèvres une bonne quantité de sperme que j’avale soigneusement sous les encouragements. On me fait à présent mettre à quatre pattes, cul bien dressé tête contre le sol. Je sens une main me badigeonner le cul de ce que je pense être du Crisco, chic, ça promet, qui sait peut-être un bon fist.
Le premier me saisit fermement aux hanches et présente son membre à l’entrée de mes fesses. Sous la caresse et comme à mon habitude, je sens ma rosette se gonfler, prête à recevoir. Il ne se le fait pas dire deux fois et il me pénètre lentement mais sûrement, un expert de la sodomie. Une fois bien à fond, son ventre collé à mes fesses, il reste un instant immobile puis commence un mouvement de piston qui m’arrache des cris de bonheur.
Au bout de quelques minutes, il lâche la purée au fond de moi et se retire, laissant la place à un deuxième mec. Et c’est comme çà que je me fais enculer par toute la bande, tantôt doucement, tantôt brutalement, mais le bonheur est identique. je suis ouvert, le ventre rempli de sperme, et c’est bon, c’est bon.
Malgré ma position fesses en l’air, le sperme coule de mon trou, il faut dire qu’il reste ouvert entre chaque pénétration. Une fois la séance terminée, je me redresse sur les jambes et c’est la douche de sperme qui coule entre mes cuisses, ça les fait bien rigoler.
« Il perd les eaux » me lance l’un d’entre-eux.
« Vient nous nettoyer la queue » me dit un des mecs.
Ils se remettent en rang, je m’agenouille à nouveau devant eux et je commence le nettoyage. Je m’en doutais, eux aussi bien sûr, leurs membres sont souillés par mes sécrétions, et bien souillés..
Tant pis, en plus j’adore, je les suce l’un après l’autre, en faisant attention à bien nettoyer le moindre repli de peau. Je m’en lèche les babines, ce qui leur plaît beaucoup.
« Salope, cochonne, sale pute »……. Je suis aux anges.
Nettoyage terminé, je me relève mais on m’arrête et on me fait allonger ur le dos sur le canapé, jambes écartées. Le premier me couvre le trou du cul de Crisco, s’en met plein sur la main et le bras, puis entreprend de m’introduire la main en moi. Le meilleur arrive, le fist, qui plus est, je l’espère, un fist à plusieurs.
Et en effet, une fois complètement en moi, il se met à me fouiller le ventre, je hurle tellement c’est bon, je l’encourage à accélérer les mouvements, il sort de mes fesses, rentre à nouveau, plusieurs minutes, je hurle de plus en plus, et finalement il se retire. Je sens mon cul grand ouvert et en effet je me vide devant eux, sans pouvoir me contrôler.
Et la séance reprend, chacun à son tour ils me fistent, certains avec douceur, d’autres, la plupart, comme des brutes. Je ne peux même plus hurler, je n’ai plus de voix, je suis pratiquement sans réaction, dans un demi coma.
Quand ils ont terminé, je reste immobile un moment jusqu’à ce que mon trou se referme et je les regarde. Ils me contemplent d’un air de mépris total, comme on regarde un simple objet, pas un homme mais un simple instrument de plaisir. C’est particulièrement humiliant mais très bon à la fois.
L’un d’eux s’approche de moi et commence à se branler au dessus de mon ventre. Peu à peu il bande puis éjacule sur moi. Les autres lui succèdent et je suis bientôt couvert de sperme. Je me frotte pour le répandre sur moi, ils restent un instant immobiles puis on m’ordonne de me lever.
« Dehors salope ! »
Comme je ne bronche pas, je reçois une bonne claque sur les fesses, ils ouvrent la porte d’entrée et me poussent devant le perron. Heureusement que la maison est isolée, je suis tout nu, dehors.
L’un d’eux prend un tuyau d’arrosage, un autre ouvre le robinet et je reçois une douche d’eau glacée sur tout le corps. Ils me lavent soigneusement, je crie tellement c’est glacé mais rien n’y fait, je suis douché et douché et douché… Une fois le nettoyage terminé, on me fait accroupir sur le gravier et ….
« Fais tes besoins la chienne ! »
J’obéis, je pisse et à force de pousser, je lâche un pet sonore suivi de matière. Ils rigolent., j’ai vraiment honte, aucune jouissance à présent.
On me fait rentrer puis je dois me rhabiller sans même pouvoir me sécher. Et c’est ainsi que je me mets au volant et rentre chez moi, heureux mais surtout bien humilié. Jamais je n’avais ressenti cela au cours d’un partouze, et pourtant ce n’était pas la première.
Le jour dit, je me rends à l’adresse, un pavillon à la limite d’un petit bled en campagne. Il y a déjà plusieurs véhicules garés dans la cour. Le portail refermé, je sonne et mon copain vient m’ouvrir. Je rentre, plusieurs mecs sont dans l’entrée. Il m’indique une chambre où me déshabiller. Il y a des sacs poubelle sur le lit, j’en prends un et j’y rentre mes vêtements. Une fois nu, je sors et vers ce que suppose être, vu les bruits de conversations, le lieu de l’action.
En effet, une dizaine de types dont mon ami sont là, nus et surtout apparemment bien équipés côté sexe. Tant mieux. Les présentations faites, je constate avec joie que je suis la seule lope, mon ami connaît bien mes goûts. Je vais être l’objet de toutes les cochoncetés ce soir.
On rentre très vite d ns le vif du sujet, ils se mettent en rang et je m’agenouille devant le premier. Je commence à lui lêcher les couilles puis j’enfourne sa queue et la fais vite grandir entre mes lèvres. Je suis réputé très doué question pipe, il apprécie et très vite, trop vite, il lâche son jus dans ma bouche. Juste le temps de bien nettoyer sa queue et je passe au suivant. Que c’est bon ces bonnes odeurs de mâle, toutes différentes et en même temps si excitantes.
Queue après queue, couilles après couilles, je récolte entre mes lèvres une bonne quantité de sperme que j’avale soigneusement sous les encouragements. On me fait à présent mettre à quatre pattes, cul bien dressé tête contre le sol. Je sens une main me badigeonner le cul de ce que je pense être du Crisco, chic, ça promet, qui sait peut-être un bon fist.
Le premier me saisit fermement aux hanches et présente son membre à l’entrée de mes fesses. Sous la caresse et comme à mon habitude, je sens ma rosette se gonfler, prête à recevoir. Il ne se le fait pas dire deux fois et il me pénètre lentement mais sûrement, un expert de la sodomie. Une fois bien à fond, son ventre collé à mes fesses, il reste un instant immobile puis commence un mouvement de piston qui m’arrache des cris de bonheur.
Au bout de quelques minutes, il lâche la purée au fond de moi et se retire, laissant la place à un deuxième mec. Et c’est comme çà que je me fais enculer par toute la bande, tantôt doucement, tantôt brutalement, mais le bonheur est identique. je suis ouvert, le ventre rempli de sperme, et c’est bon, c’est bon.
Malgré ma position fesses en l’air, le sperme coule de mon trou, il faut dire qu’il reste ouvert entre chaque pénétration. Une fois la séance terminée, je me redresse sur les jambes et c’est la douche de sperme qui coule entre mes cuisses, ça les fait bien rigoler.
« Il perd les eaux » me lance l’un d’entre-eux.
« Vient nous nettoyer la queue » me dit un des mecs.
Ils se remettent en rang, je m’agenouille à nouveau devant eux et je commence le nettoyage. Je m’en doutais, eux aussi bien sûr, leurs membres sont souillés par mes sécrétions, et bien souillés..
Tant pis, en plus j’adore, je les suce l’un après l’autre, en faisant attention à bien nettoyer le moindre repli de peau. Je m’en lèche les babines, ce qui leur plaît beaucoup.
« Salope, cochonne, sale pute »……. Je suis aux anges.
Nettoyage terminé, je me relève mais on m’arrête et on me fait allonger ur le dos sur le canapé, jambes écartées. Le premier me couvre le trou du cul de Crisco, s’en met plein sur la main et le bras, puis entreprend de m’introduire la main en moi. Le meilleur arrive, le fist, qui plus est, je l’espère, un fist à plusieurs.
Et en effet, une fois complètement en moi, il se met à me fouiller le ventre, je hurle tellement c’est bon, je l’encourage à accélérer les mouvements, il sort de mes fesses, rentre à nouveau, plusieurs minutes, je hurle de plus en plus, et finalement il se retire. Je sens mon cul grand ouvert et en effet je me vide devant eux, sans pouvoir me contrôler.
Et la séance reprend, chacun à son tour ils me fistent, certains avec douceur, d’autres, la plupart, comme des brutes. Je ne peux même plus hurler, je n’ai plus de voix, je suis pratiquement sans réaction, dans un demi coma.
Quand ils ont terminé, je reste immobile un moment jusqu’à ce que mon trou se referme et je les regarde. Ils me contemplent d’un air de mépris total, comme on regarde un simple objet, pas un homme mais un simple instrument de plaisir. C’est particulièrement humiliant mais très bon à la fois.
L’un d’eux s’approche de moi et commence à se branler au dessus de mon ventre. Peu à peu il bande puis éjacule sur moi. Les autres lui succèdent et je suis bientôt couvert de sperme. Je me frotte pour le répandre sur moi, ils restent un instant immobiles puis on m’ordonne de me lever.
« Dehors salope ! »
Comme je ne bronche pas, je reçois une bonne claque sur les fesses, ils ouvrent la porte d’entrée et me poussent devant le perron. Heureusement que la maison est isolée, je suis tout nu, dehors.
L’un d’eux prend un tuyau d’arrosage, un autre ouvre le robinet et je reçois une douche d’eau glacée sur tout le corps. Ils me lavent soigneusement, je crie tellement c’est glacé mais rien n’y fait, je suis douché et douché et douché… Une fois le nettoyage terminé, on me fait accroupir sur le gravier et ….
« Fais tes besoins la chienne ! »
J’obéis, je pisse et à force de pousser, je lâche un pet sonore suivi de matière. Ils rigolent., j’ai vraiment honte, aucune jouissance à présent.
On me fait rentrer puis je dois me rhabiller sans même pouvoir me sécher. Et c’est ainsi que je me mets au volant et rentre chez moi, heureux mais surtout bien humilié. Jamais je n’avais ressenti cela au cours d’un partouze, et pourtant ce n’était pas la première.
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