Humiliations

- Par l'auteur HDS Perruche77 -
Récit érotique écrit par Perruche77 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Humiliations Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Humiliations
Je suis un homme de 59 ans, passif et soumis. Je dois tout d'abord convenir que je suis un vrai enculé, pas sur un plan humain mais sur le plan sexuel. J'ai commencé à m'introduire des objets divers dans l'anus dès l'adolescence. J'ai connu mon premier orgasme en me branlant avec une règle dans les fesses, puis, dès mes dix-huit ans, j'ai pris l'habitude de rencontrer des prostituées qui me branlaient avec des légumes, leurs doigts, puis plus tard avec des godes et godes ceinture. J'ai reçu ma première vraie queue vers la trentaine et j'en garde un souvenir ébloui. Je suis resté puceau jusqu'à mon mariage et c'est ma femme qui m'a déniaisé. Je ne lui avais bien sûr pas dit que j'étais puceau mais que je souffrais d'un phymosis de plus en plus gênant, ce qui était vrai et m'avais probablement empêché de faire l'amour avant de la rencontrer. J'oubliais, j'ai découvert le fist pour mes quarante ans et j'en suis vite devenu passionné.

Dès la guérison de mon phymosis, j'ai entrepris de rattraper le temps perdu mais uniquement avec ma femme, réservant mes turpitudes aux étrangers à mon couple, hommes comme femmes.

J'aime être dominé par des femmes et des hommes et servir d'objet sexuel à des mecs de préférence directifs. En général je rencontre les mecs via des sites d'annonces ou dans des saunas et j'ai une ou deux maitresses attitrées qui ponctuent toujours nos rencontres par une séances de fist, pratique qui me ravit et me fait hurler. Une précision, depuis une opération, je n'ai plus de prostate et donc ni éjaculation ni bandaison significative à part lorsque je suis bien dilaté, et encore, la jouissance vient souvent sans érection.

J'ai l'habitude quand je suis seul de me goder avec si possible des gros diamètres, jusqu'à 9cm que j'avale sans problème sans trop de préparation et avec juste un peu de lubrifiant. En général je m'injecte avant du lubrifiant dans l'anus, ce qui aide l'introduction.

Depuis quelques mois, j'ai remarqué une ancienne usine désaffectée à une dizaine de kilomètres de chez moi et j'ai pris l'habitude de m'y rendre pour mes distractions. En général, je monte à l'étage, je me déshabille, je me gode couché sur le dos ou à genoux, le gode ventousé par terre. Au bout de quelques minutes je jouis, souvent bruyamment. Quelques fois je lèche le gode après usage ou je me doigte et je nettoie mes doigts avec la bouche. J'adore.

Lorsque je me caresse couché sur le dos, il est fréquent que j'urine par jets violents au gré des mouvements du gode et la chaleur de l'urine sur mes couilles et mon ventre m'excite beaucoup et participe à mon plaisir.

La dernière fois que je me suis rendu à cet endroit, ce dimanche, il faisait chaud, un beau soleil, et cela contribuait au plaisir d'être nu.
Je me déshabille donc, je m'injecte une bonne quantité de gel dans les fesses puis j'enduis copieusement la tête de mon gode avec du Crico avant de le ventouser sur un petit muret afin que je puisse me pénétrer sans trop plier les jambes. La sensation de me faire sodomiser debout me plait particulièrement, alors qu'en général je me fais prendre en levrette.

Je me place donc au-dessus du gode et m'accroupis doucement afin qu'il affleure ma chatte de mec puis je descends peu à peu jusqu'à sentir les couilles du gode toucher mes fesses. C'est divin, je gémis et je commence à me caresser mon clito. Peu à peu, j'accélère le mouvement et bientôt je fais des va-et-vient en cadence sur le sexe. Des jets d'urine m'échappent à chaque fois que le gode ressort et j'imagine que je suis devant une bande de spectateurs qui me regardent me faire prendre. Je me caresse de plus en plus vite, je crie presque de plaisir lorsqu'une voix s'élève à quelques mètres de moi :
"Alors salope, tu te fais niquer ? Tu préfèrerais pas une vraie queue ?"
Je me redresse paniqué et regarde vers la porte. Trois mecs, l'allure racaille de banlieue, me regardent en se marrant. C'est vrai que j'ai l'air plutôt ridicule, nu, la queue à la main, un gode dans le cul et une mare d'urine à mes pieds.

Ils s'avancent vers moi et je suis tellement effrayé que je reste immobile comme pétrifié. D'ailleurs que pourrais-je faire d'autre ? Je suis nu, mes vêtements sont à plusieurs mètres de moi, je suis de nature craintive et pas du tout sportif. En fait je suis terrifié, j'ai peur qu'ils me prennent argent, carte bleue et clé de voiture, pire même qu'ils me tabassent.

Ils m'entourent en rigolant toujours mais leur expression me fait peur.

"A genoux salope !"
Comme je ne bouge pas, le gode toujours à demi dans les fesses, je me prends une bonne claque.

"A genoux on t'a dit, connard !"
Et je reçois une deuxième baffe. Sous la douleur, j'éclate en sanglots et les supplie de ne pas me faire de mal.

"Fais ce qu'on te dit et tout va aller bien".

Un des mecs me tire par le bras, ils regardent la taille du gode d'un air admiratif :
"Ma mère, c'est pas un cul que t'as, c'est une vraie chatte. On pourrait te prendre à deux sans problème"
Je me mets à genoux, tête baissée, attendant la suite. Et la suite arrive. D'un mouvement synchronisé, ils sortent leurs bites et me pissent dessus, partout, tête, corps, partout. L'urine d'abord chaude refroidit vite et je grelotte. Je suis trempé de pisse.

Puis l'un des mecs prend le gode, crache dessus et entreprend de me l'introduire dans l'anus. Sa salive plus la graisse que j'ai dans les fesses aidant, le gode rentre sans trop de problèmes, ce qui me vaut des commentaires admiratifs, si l'on peut dire.

Une fois bien à fond, le mec commence des va-et-vient rapides dans mes fesses, sortant puis rentrant le gode. Je gémis de manière continue, et j'ai honte de constater que ce sont plus des gémissements de plaisir que de douleur. A chaque sortie du gode, je pète, ce qui les fait bien rire. Je sens ue mon trou est tout ouvert, comme une invite, j'ai honte.

Une foi qu'ils se sont bien amusés avec le gode, ils se regardent entre eux puis le premier baisse son froc, se place devant ma figure et me dit :
"Suce moi bien salope, fais-moi bien durcir que je t'enfile comme une pute"
Je n'hésite pas et je gobe sa queue bien à fond, je lui administre une pipe d'enfer, chose que j'adore faire aux mecs que je rencontre.
Une fois bien dur, il se place derrière moi et me pénètre d'un coup en me tenant par les hanches. Je crie, apparemment ça lui plaît car il commence à me bourrer en m'insultant. Il me baise avec force, je dois dire que j'apprécie à ma grande honte mais c'est comme ça. Ses copains retirent aussi leur pantalon et me présentent leur queue devant la bouche. Je n'ai pas vraiment le choix, je les suce à tour de rôle, sans me poser trop de question.

Tout d'un coup je réalise que je me fais enculer à nu, ce salaud n'a pas mis de capote. Je tente de me dégager, je gueule, tout ce que j'obtiens en retour c'est une série de claques sur les fesses, claques vite remplacées par des coups de ceinturon qui me font hurler.
Là plus de plaisir mis une douleur atroce. Je crie, je pleure mais rien n'y fait, je prends une volée de coups de ceinturon sur les fesses, sur le dos, je dois être totalement balafré. Ca va être difficile de m'expliquer devant ma femme en rentrant à la maison.

Une fois calmés, le mec qui m'enculait reprend sa gymnastique dans mon cul, les deux autres la leur dans ma bouche, jusqu'à ce que je sente les mains qui me tiennent les hanches se crisper d'un coup, le mec hurler et surtout plusieurs jets de sperme remplir mon cul.
Cette fois je pleure à chaudes larmes, j'ai peur de m'être fait contaminer, je le leur dis ce qui les fait bien rigoler.

"T'en fais pas connard, on est sain, on t'as juste engrossé"
Et le manège reprend, ils changent de place, un deuxième m'encule puis le troisième, les deux autre se faisant sucer à tour de rôle.
J'ai le cul tellement rempli que du sperme coule de mon anus qui reste grand ouvert. D'ailleurs ce cul grand ouvert les inspire. L'un deux fait couler du lubrifiant sur ses mains et entreprend de me fister. Je ne bouge pas, totalement anéantit, et il doit prendre mon immobilité pour une approbation car il rentre un, deux, trois, quatre doigts, puis sa main entière. Je hurle de douleur, il a une grosse main, mon cul est complètement distendu. Mais quand il commence à me fouiller le ventre en tournant sa main en moi, la douleur se transforme en plaisir et je me mets à lui crier des encouragements.

"Vas-y, fouille-moi, défonce moi le cul, pistonne moi".

Et c'est ce qu'il fait. Il sort puis rentre en moi, mon cul est grand ouvert, je ne sens plus aucune douleur quand il me rentre sa main, rien que du bonheur.

Une fois bien satisfait, sans doute aussi qu'il fatigue, il se retire d'un coup et je sens que je vide sur le sol sous leurs insultes. Mon fisteur s'essuie la main sur mon ventre puis j'ai droit à nouveau à une bonne douche de pisse. L'un des trois a alors la brillante idée de tremper sa main dans le magma que j'ai expulsé de mes fesses et de l'essuyer sur ma figure en rigolant.

Ils se rhabillent, m'insultent à nouveau et s'en vont en me plantant là, nu, souillé de merde et de pisse, le cul toujours bien ouvert.

Je reste immobile, en pleurs, mais en même temps je suis tout excité. Je commence à me caresser tout en me godant et je jouis au bout de quelques minutes. Puis je me nettoie comme je peux avec des feuilles d'arbustes, je rentre chez moi et je dois dire que lorsque je repense à cette séance, l'excitation me reprend. Pourvu qu'on se rencontre à nouveau dans l'usine dans laquelle je compte bien me rendre rapidement.

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Texte coquin : Humiliations
Histoire sexe : Une rose rouge
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