Humilié
Récit érotique écrit par Lord of Sitges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Humilié
J'ai une histoire étrange à vous raconter. Je ne sais pas si c'est cela qui explique ma sexualité et mes phantasmes d’adulte, mais vous pouvez toujours me dire ce que vous en pensez.
Je suis un homme d'une vingtaine d'années, assez maigre et assez peu branché. Juste avant que le covid ne frappe, j'ai emménagé dans un complexe d'appartements bas de gamme. C'était honnêtement la seule chose que je pouvais me permettre. Il y a 32 bâtiments ce complexe et il appartient à un groupe familial dont l’une des filles s’appelle Criss. Elle doit avoir un peu plus que trente ans. Elle n'est pas vraiment grosse mais elle a un look de type « milf » assez bien roulé. Je l’ai rencontrée à l’occasion de ma première visite pour louer l'appartement, et j'ai tout de suite pensé que ce devait être une grosse garce. Pour autant, je ne m'attendais pas à devoir la fréquenter pour autant que je sois à jour de mon loyer chaque mois.
Quelques semaines plus tard, j'ai trouvé Criss en plein effort pour monter des cartons jusqu'à son appartement. Poliment, j'ai proposé de l'aider et elle a accepté. Elle m'a donné le carton le plus lourd et m'a indiqué son appartement qui était à l'extrémité du complexe. Quand nous sommes arrivés à sa porte, elle l'a ouverte et m'a proposé de poser mon chargement sur sa table basse.
Je me suis exécuté et elle m'a remercié pour mon aide. J’en ai profité pour jeter un regard circulaire et j’ai noté que son appartement était un pas mal en désordre. Il y avait des vêtements jetés partout, y compris ses sous-vêtements. Elle m'a surpris en train de regarder et m'a demandé si j'étais une sorte de gros pervers ou quelque chose du genre. Gêné j'ai répondu non et je me suis excusé pour mon indiscrétion. J'essayais de me frayer un chemin vers sa porte quand elle a commencé à expliquer qu'elle s'était récemment blessée au dos et qu'elle n'avait pas été en mesure de faire son ménage comme d’habitude.
Je lui ai dit que ce n'était pas un problème et j'ai juste essayé d'être poli en lui disant que je pouvais encore l'aider si jamais elle avait besoin de quoi que ce soit. Elle a sauté sur l’occasion et pris mon offre au pied levé pour me demander immédiatement si je pouvais l'aider à nettoyer un peu. Pris au piège, j'ai accepté en réalité contrecœur et lui ai demandé ce qu'elle attendait de moi. Elle s'est assise sur le canapé et m'a demandé de ramasser ses vêtements dans le salon et de les lui apporter pour qu'elle puisse les plier.
J'ai commencé par attraper ses chemises et ses jeans mais à un moment il ne restait plus que ses sous-vêtements. J'ai fait une courte pause mais Criss m'a dit de continuer. Je ramassais un grand soutien-gorge et le lui tendis. Elle n'a pas réagi du tout alors j'ai continué. S’en est suivi un petit tas de culottes et de strings en dentelle. Je les ai posés maladroitement devant elle, puis j'ai fini par attraper quelques soutien-gorge supplémentaires et un petit peignoir. Criss n'a pas réagi et a continué à plier ses vêtements comme si de rien n'était. J'ai commencé à m’orienter vers la porte à nouveau et j'ai timidement demandé à Criss si elle avait besoin d'autre chose. Elle a dit que c'était tout pour le moment et m'a remercié pour mon aide. Je suis rapidement sorti et me suis rentré directement vers mon appartement.
Une semaine plus tard, Criss est venu toquer à mon appartement pour récupérer le loyer. Je lui ai donné mon chèque et elle m'a encore remercié pour mon aide plus tôt. J'ai bêtement répondu que je pouvais aider quand elle en avait besoin et elle a encore une fois accepté mon offre sans hésiter. Criss s'est plaint qu'elle avait toujours mal au dos et qu'elle aurait besoin d'aide plus tard ce soir-là. Elle s’était procurée à la pharmacie une nouvelle crème pour soulager ses douleurs musculaires et avait besoin d'aide pour l’appliquer sur son dos. Elle a reconnu que c'était un peu délicat de me le demander en tant que locataire et a ajouté que je n'étais pas obligé d’accepter si je ne le voulais pas. Après y avoir réfléchi, j'ai dit à Criss que ce n'était pas un problème et j'ai accepté de la retrouver à son appartement plus tard. Je craignais à long terme de la contrarier en tant que propriétaire, si je me défilais, alors j'ai décidé de me pincer et d'aller jusqu'au bout.
Vers 20h, je me suis pointé à l'appartement de Criss comme convenu. Elle m'a accueilli vêtu d'un peignoir et m'a fait entrer. Elle m'a conduit dans sa salle de bain et m'a tendu son tube de crème. Je lui ai demandé ce que je devais en faire, et elle m'a répondu d’un air désolé de lui masser le dos avec. Pour ce faire elle a desserré son peignoir et elle ne portait qu'un soutien-gorge et une culotte en dessous. J'ai versé de la crème dans la paume de ma main et j'ai commencé à frotter le dos de Criss pendant qu'elle me regardait dans le miroir. Ayant traité la majeure partie du haut de son dos, vint le moment où son soutien-gorge me gênait. Elle a dit que je pouvais le défaire moi-même, expliquant que ça lui faisait mal quand elle devait le faire elle-même.
J'ai essayé de le détacher mais j'ai échoué plusieurs fois de suite. Criss en riant m'a demandé si j'avais déjà été avec des filles auparavant. Je me suis cru obligé de lui répondre oui mais j'ai ajouté que son soutien-gorge était plus délicat que ceux auxquels j’avais été confronté jusque-là. Je l'ai finalement enlevé et j'ai continué à la masser avec la crème pendant que Criss maintenait l’avant de son soutien-gorge sur ses seins avec ses deux mains. J'ai fait de mon mieux pour rester concentré sur ma tâche, mais je mentirais en disant que je n'étais pas un peu émoustillé en frottant le dos de cette fille à moitié nue. Je me suis peut-être attardé trop longtemps et Criss m'a réprimandé en lançant perfidement qu’elle espérait que je n’y prenne pas trop de plaisir. Je me suis excusé et j'ai coupé court en disant que je pensais avoir couvert tout son dos. Criss m'a remercié puis m'a dit que je pouvais partir. Alors que je prenais la tangente, j'étais gêné de réaliser que j'avais une légère érection et j'ai fait de mon mieux pour m'assurer que Criss ne la remarque pas.
Une semaine plus tard, j'ai recroisé Criss dans le couloir et elle m'a remercié de l'avoir à nouveau aidée l'autre jour. J’ai menti en lui répondant que c’était normal. Elle a expliqué qu'elle était allée chez le médecin, mais qu’il lui a confirmé que l’amélioration attendue n’était pas encore au rendez-vous. Il lui avait recommandé de se reposer et de se faire masser si elle le pouvait. Je tentais rapidement de tirer ma révérence quand Criss m'a sollicité pour lui administrer un nouveau massage. L’idée ne m’enchantait guerre, mais j'ai eu peur que ce soit pire en déclinant à ce stade de nos relations. Pour délayer j'ai répondu à Criss que j'essaierais, mais tout en précisant que je n’avais aucune compétence de « masseuse professionnelle ». Je ne sais pas encore pourquoi je n’ai pas dit masseur, mais Criss m'a dit que c’était très bien et qu’elle m’attendrait le soir.
Quand je suis arrivé à sa porte, elle portait le même peignoir que la fois précédente. Je lui ai demandé ses consignes et elle m’a dit que sur son lit ce serait plus simple. Elle m'a donc conduit à sa chambre où il y avait déjà quelques serviettes étalées. Elle m'a demandé de me retourner et a ôté son peignoir, puis s'est allongée sur le ventre et a mis une serviette sur ses fesses. Elle m'a alors autorisé à me retourner. Sur la table de chevet, il y avait de la lotion. Je l'ai ramassée et j’en ai versé une noix dans mes mains. J'ai commencé à l’appliquer sur le dos de Criss alors qu'elle me donnait ses consignes sur les différentes zones sur lesquelles je devais me concentrer. J'ai commencé haut sur ses épaules et je suis finalement descendu jusqu'au bas de son dos. J'ai senti venir une violente érection qui ne m’a plus quitté, mais fort heureusement Criss était sur le ventre et ne pouvait donc pas le remarquer.
Je pensais être libéré de mes engagements quand Criss m'a demandé de continuer et de traiter également. Je dû m’introduire sous la serviette et commençai à masser ses mollets avant de remonter jusqu'à ses cuisses. Je suis resté prudemment loin de ses fesses et de son entrejambe. Après avoir massé ses jambes pendant plusieurs minutes, Criss les écarta légèrement pour me donner un meilleur accès à l'intérieur de ses cuisses. Je ne savais plus quoi faire mais elle m'a dit de continuer tout en me gardant de mettre de la lotion sur sa culotte. J'ai donc continué à plus haut avec mes mains, les glissant légèrement sous la serviette. Je pouvais sentir la douce chaleur autour de son entrejambe ce qui faisait que j'étais incroyablement excité.
Quand j’ai pensé être allé suffisamment loin j'ai arrêté mon massage. Criss m'a remercié et m'a demandé d'aller chercher son peignoir. Après l’avoir ramassé le lui ai tendu, puis je me suis retourné à nouveau pour qu'elle puisse l’enfiler. Quand elle m'a dit qu'elle était décente, je me suis retrouvé face à elle et elle a remarqué le léger renflement dans mon pantalon. Elle a grogné que visiblement le spectacle m’avait plu et je me suis immédiatement excusé. J'ai essayé de lui expliquer que c'était la nature mais elle m'a dit de filer. Je suis retourné à mon appartement rouge de honte. Étrangement cependant, quand j'ai vu Criss quelques jours plus tard, j’ai été surpris qu’elle ne m'en reparle pas du tout. Une nouvelle fois, elle m'a remercié pour les massages et m'a avoué que cela commençait à faire effet. Je ne savais pas quoi répondre et j’ai juste dit que j’en était très heureux. Du coup, elle m'a surpris en me demandant de revenir à nouveau lui masser le dos car cela l’aidait beaucoup. Je lui ai demandé si elle était bien sûre et elle a dit oui. Une fois de plus, j'ai accepté de la retrouver ce soir-là et de lui faire un autre massage.
A mon arrivée, elle m'a conduit directement à son lit. Elle a enlevé son peignoir, s'est allongée face contre l’oreiller sur le lit et a posé la serviette sur ses fesses. J'ai attrapé la lotion et j’ai commencé à lui masser le dos. J'ai répété les mêmes mouvements en progressant de ses épaules vers le bas de ses reins, puis de ses mollets jusqu'à ses cuisses. Alors que je glissais ma main sous sa serviette sur ses hanches, j'ai soudain réalisé qu'elle ne portait pas de culotte et qu'elle était cette fois complètement nue. Cette seule révélation a suffi à m’exciter de façon incontrôlable, et je ne savais plus comment me comporter. J'ai continué à travailler de plus en plus haut sur ses cuisses et Criss a répondu en écartant davantage ses jambes pour me donner un meilleur accès.
Je savais pertinemment maintenant que je devais être parvenu à quelques centimètres de sa chatte et j'ai arrêté ma progression craignant des représailles. Elle m'a encouragé à continuer. Je me suis excusé et j'ai dit à Criss que j’avais peur d’aller trop loin et la mettre mal à l'aise. Elle m'a réprimandé et m’a conseillé de simplement retirer la serviette puisque je ne savais pas où se trouvaient les parties intimes d'une femme. Du coup, j'ai lentement fait glisser la serviette de ses fesses et elle s’est retrouvée complètement nue, allongée devant moi. J'ai continué à lui masser les cuisses et j'ai travaillé le bas de ses fesses. Alors que je les lui massais, Criss a dit que ça faisait du bien et j'ai intensifié mon action à cet endroit. Alors que je passais mes mains, je voyais ses fesses s’écarter et je me suis retrouvé par intermittence avec une vue imprenable sur sa jolie chatte et son trou du cul. J'étais presque en train de gicler tout seul dans mon pantalon.
Je ne savais pas comment terminer le massage et j'ai remonté le dos de Criss jusqu'à ses épaules avant de m'arrêter. Elle m'a remercié et a réclamé sa robe que je lui ai tendue. Je me suis retourné quand elle l'a mise et j'ai tenté de sortir de la chambre pour qu'elle ne voit pas cette fois-ci mon érection. Criss m'a demandé de m'arrêter et de faire demi-tour alors que j’atteignais la porte de sa chambre. Je me suis exécuté et mon érection est tombée sous ses beaux yeux noirs. Criss a juste ri et a dit qu'elle ne pouvait pas y croire. Elle m'a demandé si moi aussi j'avais besoin de soulager mon stress, mais j'ai dit non. J'ai encore essayé de m'excuser mais je ne voulais pas l'écouter. Elle est allée à son panier à linge et a choisi une de ses culottes. Elle me l’a tendue et m'a demandé si c'était ce qu’il me fallait. Je ne savais pas quoi répondre. Elle m'a dit de me lâcher et j'ai lentement ouvert mon pantalon. Quand ma bite est devenue visible, Criss a ri et a dit « oh mon dieu c'est si petit ! »
J'étais tellement humilié. Criss devait penser que ma petite taille expliquait pourquoi je n’avais pas su comment retirer son soutien-gorge. Je suis planté là jusqu'à ce que Criss me presse de me soulager. J'ai commencé à me caresser la queue avec ma main droite tout en tenant sa culotte avec l’autre. En peu de temps, même si je me sentais extrêmement gêné, j'ai commencé à jouir et j'ai lâché toute ma purée sur sa petite culotte. Criss m’a regardé avec une tête atterrée et m'a dit que j'étais vraiment un gros porc. Elle a dit que j’étais bon maintenant pour la laver et la lui rapporter le lendemain. J'ai remonté mon pantalon et j'ai filé sans demander mon reste.
Quand je suis revenu le lendemain soir, j'avais la culotte lavée de Criss dans ma poche. Elle m'a fait entrer et portait toujours sa robe de chambre. J'ai tenté de lui rendre sa culotte mais elle a refusé de la prendre me répondant qu'elle n'en voulait plus maintenant que j'avais éjaculé dedans. Au lieu de cela, elle m'a conduit dans la chambre, a enlevé son peignoir et s'est allongée toujours sur ventre. Elle ne s'était même pas embêtée à mettre une serviette sur ses fesses cette fois. J'ai ramassé la lotion et j'ai commencé à la masser. Alors que je descendais vers ses jambes, elle les écarta et son trou du cul et sa chatte étaient à nouveau bien visibles. Mon érection tentait de déchirer mon pantalon. Je me suis concentré sur ses mollets et ses cuisses et finalement il a bien fallu que je m’occupe à nouveau de ses fesses. Comme elle ne montrait aucun signe de rébellion je me suis autorisé à repousser les limites. Je me suis rapproché de plus en plus de son anus, toujours sans aucune réaction de sa part. J'ai ensuite glissé vers ses cuisses et prêté une attention particulière à l'intérieur de ses cuisses pour, petit à petit, me rapprocher de sa belle chatte toute lisse.
J'ai fini par remonter jusqu'entre ses cuisses pour atteindre son entrejambe et elle ne réagissait toujours pas. En avalant ma salive, j'ai poussé ma chance plus loin et j'ai frôlé ses lèvres avec la tranche de ma main. Elle restait complètement imperturbable. Je l'ai frôlé à nouveau et elle a ajusté sa posture pour écarter encore plus ses jambes. J'ai pris cela comme une invitation et j'ai commencé à masser l'intérieur de ses cuisses et à caresser franchement sa chatte à chaque passage. J'ai continué ce mouvement pendant plusieurs minutes sans aucun mot de sa part. J'ai ensuite poussé plus loin et j'ai mis une phalange partiellement dans sa chatte. Elle était trempée et a relevé son cul en arrière pour que mon doigt aille encore plus loin. J'ai commencé à la doigter d'une main tout en massant sa cuisse et ses fesses avec l'autre. J'ai commencé avec un seul doigt, puis j'en ai enfoncé un deuxième. Après encore quelques minutes, j’ai senti qu'elle était à la limite de la jouissance. J'ai senti son vagin se contracter et elle a laissé échapper un doux gémissement.
J'ai retiré mes doigts et elle s'est retournée sur le lit. Ses seins et sa fente m'étaient pleinement exposés. Elle m'a demandé de continuer à la masser et j'ai attrapé un peu plus de lotion. J'ai commencé par l'étaler sur sa poitrine et ses seins, en les massant ensemble et en pinçant légèrement les mamelons. J'ai ensuite travaillé le devant de ses cuisses qu'elle a de nouveau écartées pour moi. J'étais sur le point de la doigter à nouveau tant sa chatte me donnait envie. Au lieu de cela, je me suis penché en avant et j'ai embrassé le haut à l'intérieur de sa cuisse. Encore une fois, elle n'a eu aucune réaction alors j'ai continué à embrasser sa jambe jusqu'à ce que ma bouche soit directement sur sa vulve.
J'ai sorti ma langue et j'ai commencé à lécher son clitoris et elle a gémi. Je l'ai léchée pendant une minute avant qu'elle ne place ses mains sur l'arrière de ma tête et tire ma bouche avec force contre son sexe. Il faisait si chaud et j'ai continué à lécher du mieux que je pouvais. Finalement, Criss me frottait le visage plus que je ne le léchais mais j'adorais ça. Juste au moment où elle était sur le point de jouir, elle a serré ses cuisses autour de ma tête et a laissé échapper un gémissement bruyant. Après son orgasme, j'ai continué à la lécher pendant encore une minute avant qu'elle ne me repousse finalement.
Je m'assis sur le lit sur le côté. Ma bite était toujours aussi dure et Criss la regarda. Elle m'a demandé ce que je voulais et j'ai demandé si je pouvais me branler à nouveau. Elle a dit qu'elle ne voulait plus revoir une si petite bite et m'a dit de m’en aller. En revenant à mon appartement, j'ai réalisé que sa culotte était toujours dans ma poche. Quand je suis entré, j'ai enlevé mon pantalon et j'ai commencé à me branler rageusement avec sa culotte dans ma main. Le textile était doux et soyeux et j'étais tellement excitée. Je suis venu super rapidement et une fois de plus j'ai recouvert sa culotte de mon sperme.
Au cours des deux mois suivants, j'ai continué à me rendre à l'appartement de Criss deux ou trois fois par semaine. Finalement, son dos allait mieux et elle n'avait plus besoin de faire semblant d'être massée. Au lieu de cela, je plongeais généralement dans son entrejambe et la léchais jusqu'à ce qu'elle jouisse. Nous n'en avons jamais parlé franchement et c'est arrivé comme s'il s'agissait d'un rituel organisé tacitement entre nous. Parfois, elle s'asseyait sur mon visage et se branlait littéralement sur ma bouche. D'autres fois, elle s'asseyait sur son canapé et regardait la télévision pendant que je la léchais. Elle n'a jamais rendu la pareille et je suis toujours retourné à mon appartement après pour me masturber.
Un jour, j'ai vu un homme entrer dans l'appartement de Criss. J'ai espionné dehors depuis la cour et il est resté dans son appartement pendant près d'une heure. Quand il est parti, Criss l'a embrassé sur le pas de sa porte et il a quitté le l’immeuble. Il avait probablement à peu près le même âge que Criss mais beaucoup plus grand et musclé que moi. Je me suis dit qu'ils sortaient ensemble ou peut-être qu'ils baisaient ensemble. Quelques minutes plus tard, j'ai frappé à la porte de Criss et j'ai essayé de faire comme si de rien n'était. Elle m'a laissé entrer et m'a dit comme souvent de m'allonger sur le sol. Elle s'est alors accroupie au-dessus de moi et s'est assise sur mon visage. J'ai commencé à la lécher et rien ne semblait différent, … au début.
Finalement, j'ai commencé à remarquer un goût différent de celui auquel j'étais habitué. Il m'est rapidement paru évident que je léchais un mélange de jus de Criss et de sperme de ce mec. Il venait de la baiser et l’avait laissée remplie. J'ai arrêté mon cuni et Criss m'a demandé ce qui n'allait pas. J'ai mentionné que j'avais remarqué qu'un autre gars était sorti juste avant mon arrivée. Criss a ri et a dit qu'elle voyait ce type depuis plusieurs semaines déjà. J'ai osé demander s'ils avaient des relations sexuelles et elle a dit « ben oui ! ». Timidement, j'ai dit que j’avais eu l’impression de le goûter un peu en elle. Criss rit à nouveau et m'expliqua que ce n'était pas la première fois que je le goûtais.
J'étais horrifié et gêné mais Criss m'a ordonné de continuer. Elle attrapa mes cheveux et plaqua ma bouche contre son vagin tout en la poussant d'avant en arrière. J'ai recommencé à la lécher et le goût était maintenant indubitable. Je léchais son sperme tout droit sorti de sa chatte. Criss a eu un orgasme quelques instants plus tard et a cessé de me tenir la tête. Toujours assis sur ma poitrine, je la regardais totalement humilié. Criss s’est moqué, m'a traité de pédé et a dit qu'elle était certaine que j'aimais ça en fait. Je ne savais plus quoi répondre. Elle n'arrêtait pas de me taquiner et a fini par me demander si je voulais encore goûter quelque chose de nouveau.
J'ai opiné de la tête et elle s'est remise sur ses genoux et a de nouveau positionné sa chatte devant mon visage. Elle m'a dit de fermer les yeux et d’ouvrir la bouche en attrapant à nouveau mes cheveux. Puis, à ma plus grande surprise, elle a giclé un court jet de pisse dans ma bouche et sur mon visage. J'ai gueulé et elle est descendue du lit en riant une fois de plus. J'ai immédiatement quitté son appartement totalement en colère et dégouté, mais je suis redevenu excité au moment où je suis entré dans mon appartement et je me suis honteusement masturbé avec sa pisse couvrant encore mon visage.
Depuis, je rencontre Criss moins souvent mais elle est plus cruelle que jamais à chaque fois que je la vois. J'ai encore bouffé plusieurs fois des tartes à la crème provenant de différents hommes. Je me masturbe encore après à chaque fois malgré l'extrême humiliation que je ressens.
Je suis un homme d'une vingtaine d'années, assez maigre et assez peu branché. Juste avant que le covid ne frappe, j'ai emménagé dans un complexe d'appartements bas de gamme. C'était honnêtement la seule chose que je pouvais me permettre. Il y a 32 bâtiments ce complexe et il appartient à un groupe familial dont l’une des filles s’appelle Criss. Elle doit avoir un peu plus que trente ans. Elle n'est pas vraiment grosse mais elle a un look de type « milf » assez bien roulé. Je l’ai rencontrée à l’occasion de ma première visite pour louer l'appartement, et j'ai tout de suite pensé que ce devait être une grosse garce. Pour autant, je ne m'attendais pas à devoir la fréquenter pour autant que je sois à jour de mon loyer chaque mois.
Quelques semaines plus tard, j'ai trouvé Criss en plein effort pour monter des cartons jusqu'à son appartement. Poliment, j'ai proposé de l'aider et elle a accepté. Elle m'a donné le carton le plus lourd et m'a indiqué son appartement qui était à l'extrémité du complexe. Quand nous sommes arrivés à sa porte, elle l'a ouverte et m'a proposé de poser mon chargement sur sa table basse.
Je me suis exécuté et elle m'a remercié pour mon aide. J’en ai profité pour jeter un regard circulaire et j’ai noté que son appartement était un pas mal en désordre. Il y avait des vêtements jetés partout, y compris ses sous-vêtements. Elle m'a surpris en train de regarder et m'a demandé si j'étais une sorte de gros pervers ou quelque chose du genre. Gêné j'ai répondu non et je me suis excusé pour mon indiscrétion. J'essayais de me frayer un chemin vers sa porte quand elle a commencé à expliquer qu'elle s'était récemment blessée au dos et qu'elle n'avait pas été en mesure de faire son ménage comme d’habitude.
Je lui ai dit que ce n'était pas un problème et j'ai juste essayé d'être poli en lui disant que je pouvais encore l'aider si jamais elle avait besoin de quoi que ce soit. Elle a sauté sur l’occasion et pris mon offre au pied levé pour me demander immédiatement si je pouvais l'aider à nettoyer un peu. Pris au piège, j'ai accepté en réalité contrecœur et lui ai demandé ce qu'elle attendait de moi. Elle s'est assise sur le canapé et m'a demandé de ramasser ses vêtements dans le salon et de les lui apporter pour qu'elle puisse les plier.
J'ai commencé par attraper ses chemises et ses jeans mais à un moment il ne restait plus que ses sous-vêtements. J'ai fait une courte pause mais Criss m'a dit de continuer. Je ramassais un grand soutien-gorge et le lui tendis. Elle n'a pas réagi du tout alors j'ai continué. S’en est suivi un petit tas de culottes et de strings en dentelle. Je les ai posés maladroitement devant elle, puis j'ai fini par attraper quelques soutien-gorge supplémentaires et un petit peignoir. Criss n'a pas réagi et a continué à plier ses vêtements comme si de rien n'était. J'ai commencé à m’orienter vers la porte à nouveau et j'ai timidement demandé à Criss si elle avait besoin d'autre chose. Elle a dit que c'était tout pour le moment et m'a remercié pour mon aide. Je suis rapidement sorti et me suis rentré directement vers mon appartement.
Une semaine plus tard, Criss est venu toquer à mon appartement pour récupérer le loyer. Je lui ai donné mon chèque et elle m'a encore remercié pour mon aide plus tôt. J'ai bêtement répondu que je pouvais aider quand elle en avait besoin et elle a encore une fois accepté mon offre sans hésiter. Criss s'est plaint qu'elle avait toujours mal au dos et qu'elle aurait besoin d'aide plus tard ce soir-là. Elle s’était procurée à la pharmacie une nouvelle crème pour soulager ses douleurs musculaires et avait besoin d'aide pour l’appliquer sur son dos. Elle a reconnu que c'était un peu délicat de me le demander en tant que locataire et a ajouté que je n'étais pas obligé d’accepter si je ne le voulais pas. Après y avoir réfléchi, j'ai dit à Criss que ce n'était pas un problème et j'ai accepté de la retrouver à son appartement plus tard. Je craignais à long terme de la contrarier en tant que propriétaire, si je me défilais, alors j'ai décidé de me pincer et d'aller jusqu'au bout.
Vers 20h, je me suis pointé à l'appartement de Criss comme convenu. Elle m'a accueilli vêtu d'un peignoir et m'a fait entrer. Elle m'a conduit dans sa salle de bain et m'a tendu son tube de crème. Je lui ai demandé ce que je devais en faire, et elle m'a répondu d’un air désolé de lui masser le dos avec. Pour ce faire elle a desserré son peignoir et elle ne portait qu'un soutien-gorge et une culotte en dessous. J'ai versé de la crème dans la paume de ma main et j'ai commencé à frotter le dos de Criss pendant qu'elle me regardait dans le miroir. Ayant traité la majeure partie du haut de son dos, vint le moment où son soutien-gorge me gênait. Elle a dit que je pouvais le défaire moi-même, expliquant que ça lui faisait mal quand elle devait le faire elle-même.
J'ai essayé de le détacher mais j'ai échoué plusieurs fois de suite. Criss en riant m'a demandé si j'avais déjà été avec des filles auparavant. Je me suis cru obligé de lui répondre oui mais j'ai ajouté que son soutien-gorge était plus délicat que ceux auxquels j’avais été confronté jusque-là. Je l'ai finalement enlevé et j'ai continué à la masser avec la crème pendant que Criss maintenait l’avant de son soutien-gorge sur ses seins avec ses deux mains. J'ai fait de mon mieux pour rester concentré sur ma tâche, mais je mentirais en disant que je n'étais pas un peu émoustillé en frottant le dos de cette fille à moitié nue. Je me suis peut-être attardé trop longtemps et Criss m'a réprimandé en lançant perfidement qu’elle espérait que je n’y prenne pas trop de plaisir. Je me suis excusé et j'ai coupé court en disant que je pensais avoir couvert tout son dos. Criss m'a remercié puis m'a dit que je pouvais partir. Alors que je prenais la tangente, j'étais gêné de réaliser que j'avais une légère érection et j'ai fait de mon mieux pour m'assurer que Criss ne la remarque pas.
Une semaine plus tard, j'ai recroisé Criss dans le couloir et elle m'a remercié de l'avoir à nouveau aidée l'autre jour. J’ai menti en lui répondant que c’était normal. Elle a expliqué qu'elle était allée chez le médecin, mais qu’il lui a confirmé que l’amélioration attendue n’était pas encore au rendez-vous. Il lui avait recommandé de se reposer et de se faire masser si elle le pouvait. Je tentais rapidement de tirer ma révérence quand Criss m'a sollicité pour lui administrer un nouveau massage. L’idée ne m’enchantait guerre, mais j'ai eu peur que ce soit pire en déclinant à ce stade de nos relations. Pour délayer j'ai répondu à Criss que j'essaierais, mais tout en précisant que je n’avais aucune compétence de « masseuse professionnelle ». Je ne sais pas encore pourquoi je n’ai pas dit masseur, mais Criss m'a dit que c’était très bien et qu’elle m’attendrait le soir.
Quand je suis arrivé à sa porte, elle portait le même peignoir que la fois précédente. Je lui ai demandé ses consignes et elle m’a dit que sur son lit ce serait plus simple. Elle m'a donc conduit à sa chambre où il y avait déjà quelques serviettes étalées. Elle m'a demandé de me retourner et a ôté son peignoir, puis s'est allongée sur le ventre et a mis une serviette sur ses fesses. Elle m'a alors autorisé à me retourner. Sur la table de chevet, il y avait de la lotion. Je l'ai ramassée et j’en ai versé une noix dans mes mains. J'ai commencé à l’appliquer sur le dos de Criss alors qu'elle me donnait ses consignes sur les différentes zones sur lesquelles je devais me concentrer. J'ai commencé haut sur ses épaules et je suis finalement descendu jusqu'au bas de son dos. J'ai senti venir une violente érection qui ne m’a plus quitté, mais fort heureusement Criss était sur le ventre et ne pouvait donc pas le remarquer.
Je pensais être libéré de mes engagements quand Criss m'a demandé de continuer et de traiter également. Je dû m’introduire sous la serviette et commençai à masser ses mollets avant de remonter jusqu'à ses cuisses. Je suis resté prudemment loin de ses fesses et de son entrejambe. Après avoir massé ses jambes pendant plusieurs minutes, Criss les écarta légèrement pour me donner un meilleur accès à l'intérieur de ses cuisses. Je ne savais plus quoi faire mais elle m'a dit de continuer tout en me gardant de mettre de la lotion sur sa culotte. J'ai donc continué à plus haut avec mes mains, les glissant légèrement sous la serviette. Je pouvais sentir la douce chaleur autour de son entrejambe ce qui faisait que j'étais incroyablement excité.
Quand j’ai pensé être allé suffisamment loin j'ai arrêté mon massage. Criss m'a remercié et m'a demandé d'aller chercher son peignoir. Après l’avoir ramassé le lui ai tendu, puis je me suis retourné à nouveau pour qu'elle puisse l’enfiler. Quand elle m'a dit qu'elle était décente, je me suis retrouvé face à elle et elle a remarqué le léger renflement dans mon pantalon. Elle a grogné que visiblement le spectacle m’avait plu et je me suis immédiatement excusé. J'ai essayé de lui expliquer que c'était la nature mais elle m'a dit de filer. Je suis retourné à mon appartement rouge de honte. Étrangement cependant, quand j'ai vu Criss quelques jours plus tard, j’ai été surpris qu’elle ne m'en reparle pas du tout. Une nouvelle fois, elle m'a remercié pour les massages et m'a avoué que cela commençait à faire effet. Je ne savais pas quoi répondre et j’ai juste dit que j’en était très heureux. Du coup, elle m'a surpris en me demandant de revenir à nouveau lui masser le dos car cela l’aidait beaucoup. Je lui ai demandé si elle était bien sûre et elle a dit oui. Une fois de plus, j'ai accepté de la retrouver ce soir-là et de lui faire un autre massage.
A mon arrivée, elle m'a conduit directement à son lit. Elle a enlevé son peignoir, s'est allongée face contre l’oreiller sur le lit et a posé la serviette sur ses fesses. J'ai attrapé la lotion et j’ai commencé à lui masser le dos. J'ai répété les mêmes mouvements en progressant de ses épaules vers le bas de ses reins, puis de ses mollets jusqu'à ses cuisses. Alors que je glissais ma main sous sa serviette sur ses hanches, j'ai soudain réalisé qu'elle ne portait pas de culotte et qu'elle était cette fois complètement nue. Cette seule révélation a suffi à m’exciter de façon incontrôlable, et je ne savais plus comment me comporter. J'ai continué à travailler de plus en plus haut sur ses cuisses et Criss a répondu en écartant davantage ses jambes pour me donner un meilleur accès.
Je savais pertinemment maintenant que je devais être parvenu à quelques centimètres de sa chatte et j'ai arrêté ma progression craignant des représailles. Elle m'a encouragé à continuer. Je me suis excusé et j'ai dit à Criss que j’avais peur d’aller trop loin et la mettre mal à l'aise. Elle m'a réprimandé et m’a conseillé de simplement retirer la serviette puisque je ne savais pas où se trouvaient les parties intimes d'une femme. Du coup, j'ai lentement fait glisser la serviette de ses fesses et elle s’est retrouvée complètement nue, allongée devant moi. J'ai continué à lui masser les cuisses et j'ai travaillé le bas de ses fesses. Alors que je les lui massais, Criss a dit que ça faisait du bien et j'ai intensifié mon action à cet endroit. Alors que je passais mes mains, je voyais ses fesses s’écarter et je me suis retrouvé par intermittence avec une vue imprenable sur sa jolie chatte et son trou du cul. J'étais presque en train de gicler tout seul dans mon pantalon.
Je ne savais pas comment terminer le massage et j'ai remonté le dos de Criss jusqu'à ses épaules avant de m'arrêter. Elle m'a remercié et a réclamé sa robe que je lui ai tendue. Je me suis retourné quand elle l'a mise et j'ai tenté de sortir de la chambre pour qu'elle ne voit pas cette fois-ci mon érection. Criss m'a demandé de m'arrêter et de faire demi-tour alors que j’atteignais la porte de sa chambre. Je me suis exécuté et mon érection est tombée sous ses beaux yeux noirs. Criss a juste ri et a dit qu'elle ne pouvait pas y croire. Elle m'a demandé si moi aussi j'avais besoin de soulager mon stress, mais j'ai dit non. J'ai encore essayé de m'excuser mais je ne voulais pas l'écouter. Elle est allée à son panier à linge et a choisi une de ses culottes. Elle me l’a tendue et m'a demandé si c'était ce qu’il me fallait. Je ne savais pas quoi répondre. Elle m'a dit de me lâcher et j'ai lentement ouvert mon pantalon. Quand ma bite est devenue visible, Criss a ri et a dit « oh mon dieu c'est si petit ! »
J'étais tellement humilié. Criss devait penser que ma petite taille expliquait pourquoi je n’avais pas su comment retirer son soutien-gorge. Je suis planté là jusqu'à ce que Criss me presse de me soulager. J'ai commencé à me caresser la queue avec ma main droite tout en tenant sa culotte avec l’autre. En peu de temps, même si je me sentais extrêmement gêné, j'ai commencé à jouir et j'ai lâché toute ma purée sur sa petite culotte. Criss m’a regardé avec une tête atterrée et m'a dit que j'étais vraiment un gros porc. Elle a dit que j’étais bon maintenant pour la laver et la lui rapporter le lendemain. J'ai remonté mon pantalon et j'ai filé sans demander mon reste.
Quand je suis revenu le lendemain soir, j'avais la culotte lavée de Criss dans ma poche. Elle m'a fait entrer et portait toujours sa robe de chambre. J'ai tenté de lui rendre sa culotte mais elle a refusé de la prendre me répondant qu'elle n'en voulait plus maintenant que j'avais éjaculé dedans. Au lieu de cela, elle m'a conduit dans la chambre, a enlevé son peignoir et s'est allongée toujours sur ventre. Elle ne s'était même pas embêtée à mettre une serviette sur ses fesses cette fois. J'ai ramassé la lotion et j'ai commencé à la masser. Alors que je descendais vers ses jambes, elle les écarta et son trou du cul et sa chatte étaient à nouveau bien visibles. Mon érection tentait de déchirer mon pantalon. Je me suis concentré sur ses mollets et ses cuisses et finalement il a bien fallu que je m’occupe à nouveau de ses fesses. Comme elle ne montrait aucun signe de rébellion je me suis autorisé à repousser les limites. Je me suis rapproché de plus en plus de son anus, toujours sans aucune réaction de sa part. J'ai ensuite glissé vers ses cuisses et prêté une attention particulière à l'intérieur de ses cuisses pour, petit à petit, me rapprocher de sa belle chatte toute lisse.
J'ai fini par remonter jusqu'entre ses cuisses pour atteindre son entrejambe et elle ne réagissait toujours pas. En avalant ma salive, j'ai poussé ma chance plus loin et j'ai frôlé ses lèvres avec la tranche de ma main. Elle restait complètement imperturbable. Je l'ai frôlé à nouveau et elle a ajusté sa posture pour écarter encore plus ses jambes. J'ai pris cela comme une invitation et j'ai commencé à masser l'intérieur de ses cuisses et à caresser franchement sa chatte à chaque passage. J'ai continué ce mouvement pendant plusieurs minutes sans aucun mot de sa part. J'ai ensuite poussé plus loin et j'ai mis une phalange partiellement dans sa chatte. Elle était trempée et a relevé son cul en arrière pour que mon doigt aille encore plus loin. J'ai commencé à la doigter d'une main tout en massant sa cuisse et ses fesses avec l'autre. J'ai commencé avec un seul doigt, puis j'en ai enfoncé un deuxième. Après encore quelques minutes, j’ai senti qu'elle était à la limite de la jouissance. J'ai senti son vagin se contracter et elle a laissé échapper un doux gémissement.
J'ai retiré mes doigts et elle s'est retournée sur le lit. Ses seins et sa fente m'étaient pleinement exposés. Elle m'a demandé de continuer à la masser et j'ai attrapé un peu plus de lotion. J'ai commencé par l'étaler sur sa poitrine et ses seins, en les massant ensemble et en pinçant légèrement les mamelons. J'ai ensuite travaillé le devant de ses cuisses qu'elle a de nouveau écartées pour moi. J'étais sur le point de la doigter à nouveau tant sa chatte me donnait envie. Au lieu de cela, je me suis penché en avant et j'ai embrassé le haut à l'intérieur de sa cuisse. Encore une fois, elle n'a eu aucune réaction alors j'ai continué à embrasser sa jambe jusqu'à ce que ma bouche soit directement sur sa vulve.
J'ai sorti ma langue et j'ai commencé à lécher son clitoris et elle a gémi. Je l'ai léchée pendant une minute avant qu'elle ne place ses mains sur l'arrière de ma tête et tire ma bouche avec force contre son sexe. Il faisait si chaud et j'ai continué à lécher du mieux que je pouvais. Finalement, Criss me frottait le visage plus que je ne le léchais mais j'adorais ça. Juste au moment où elle était sur le point de jouir, elle a serré ses cuisses autour de ma tête et a laissé échapper un gémissement bruyant. Après son orgasme, j'ai continué à la lécher pendant encore une minute avant qu'elle ne me repousse finalement.
Je m'assis sur le lit sur le côté. Ma bite était toujours aussi dure et Criss la regarda. Elle m'a demandé ce que je voulais et j'ai demandé si je pouvais me branler à nouveau. Elle a dit qu'elle ne voulait plus revoir une si petite bite et m'a dit de m’en aller. En revenant à mon appartement, j'ai réalisé que sa culotte était toujours dans ma poche. Quand je suis entré, j'ai enlevé mon pantalon et j'ai commencé à me branler rageusement avec sa culotte dans ma main. Le textile était doux et soyeux et j'étais tellement excitée. Je suis venu super rapidement et une fois de plus j'ai recouvert sa culotte de mon sperme.
Au cours des deux mois suivants, j'ai continué à me rendre à l'appartement de Criss deux ou trois fois par semaine. Finalement, son dos allait mieux et elle n'avait plus besoin de faire semblant d'être massée. Au lieu de cela, je plongeais généralement dans son entrejambe et la léchais jusqu'à ce qu'elle jouisse. Nous n'en avons jamais parlé franchement et c'est arrivé comme s'il s'agissait d'un rituel organisé tacitement entre nous. Parfois, elle s'asseyait sur mon visage et se branlait littéralement sur ma bouche. D'autres fois, elle s'asseyait sur son canapé et regardait la télévision pendant que je la léchais. Elle n'a jamais rendu la pareille et je suis toujours retourné à mon appartement après pour me masturber.
Un jour, j'ai vu un homme entrer dans l'appartement de Criss. J'ai espionné dehors depuis la cour et il est resté dans son appartement pendant près d'une heure. Quand il est parti, Criss l'a embrassé sur le pas de sa porte et il a quitté le l’immeuble. Il avait probablement à peu près le même âge que Criss mais beaucoup plus grand et musclé que moi. Je me suis dit qu'ils sortaient ensemble ou peut-être qu'ils baisaient ensemble. Quelques minutes plus tard, j'ai frappé à la porte de Criss et j'ai essayé de faire comme si de rien n'était. Elle m'a laissé entrer et m'a dit comme souvent de m'allonger sur le sol. Elle s'est alors accroupie au-dessus de moi et s'est assise sur mon visage. J'ai commencé à la lécher et rien ne semblait différent, … au début.
Finalement, j'ai commencé à remarquer un goût différent de celui auquel j'étais habitué. Il m'est rapidement paru évident que je léchais un mélange de jus de Criss et de sperme de ce mec. Il venait de la baiser et l’avait laissée remplie. J'ai arrêté mon cuni et Criss m'a demandé ce qui n'allait pas. J'ai mentionné que j'avais remarqué qu'un autre gars était sorti juste avant mon arrivée. Criss a ri et a dit qu'elle voyait ce type depuis plusieurs semaines déjà. J'ai osé demander s'ils avaient des relations sexuelles et elle a dit « ben oui ! ». Timidement, j'ai dit que j’avais eu l’impression de le goûter un peu en elle. Criss rit à nouveau et m'expliqua que ce n'était pas la première fois que je le goûtais.
J'étais horrifié et gêné mais Criss m'a ordonné de continuer. Elle attrapa mes cheveux et plaqua ma bouche contre son vagin tout en la poussant d'avant en arrière. J'ai recommencé à la lécher et le goût était maintenant indubitable. Je léchais son sperme tout droit sorti de sa chatte. Criss a eu un orgasme quelques instants plus tard et a cessé de me tenir la tête. Toujours assis sur ma poitrine, je la regardais totalement humilié. Criss s’est moqué, m'a traité de pédé et a dit qu'elle était certaine que j'aimais ça en fait. Je ne savais plus quoi répondre. Elle n'arrêtait pas de me taquiner et a fini par me demander si je voulais encore goûter quelque chose de nouveau.
J'ai opiné de la tête et elle s'est remise sur ses genoux et a de nouveau positionné sa chatte devant mon visage. Elle m'a dit de fermer les yeux et d’ouvrir la bouche en attrapant à nouveau mes cheveux. Puis, à ma plus grande surprise, elle a giclé un court jet de pisse dans ma bouche et sur mon visage. J'ai gueulé et elle est descendue du lit en riant une fois de plus. J'ai immédiatement quitté son appartement totalement en colère et dégouté, mais je suis redevenu excité au moment où je suis entré dans mon appartement et je me suis honteusement masturbé avec sa pisse couvrant encore mon visage.
Depuis, je rencontre Criss moins souvent mais elle est plus cruelle que jamais à chaque fois que je la vois. J'ai encore bouffé plusieurs fois des tartes à la crème provenant de différents hommes. Je me masturbe encore après à chaque fois malgré l'extrême humiliation que je ressens.
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Les avis des lecteurs
J'ai beaucoup apprécié votre récit et cette domination cérébrale. %erci