Il faut baiser pour tenir le stress dans la restauration

- Par l'auteur HDS Romainro -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Il faut baiser pour tenir le stress dans la restauration Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Il faut baiser pour tenir le stress dans la restauration
Quand j’étais étudiant, je profitais des vacances pour renflouer le plus possible mon compte en banque. C’est comme ça que, par un ami, je rencontre Martin et sa femme Josyane, un propriétaire de restaurant qui propose de m’embaucher. Comme les congés universitaire tombent toujours en période estival ça l’arrange car il cherche du personnel compétent. Il me propose de venir faire un essai chez lui dès mes prochaines disponibilités.

Comme je me débrouille aussi bien au service qu’à la plonge, je suis officiellement embauché. La plus part de mes disponibilités correspondent à ses besoins donc nous arrivons facilement à un accord. Pour un boulot d’étudiant c’est assez bien payé (au moins à l’époque) et c’est sans compter sur les pourboires. C’est vrai qu’il y en qui laisse rien mais certains clients sont très généreux.

Je m’entends très bien avec toute l’équipe mais plus particulièrement avec Gilles et Carole. Ils sont tous les deux plus âgés que moi, se sont des quadragénaires. Lui est très paternel avec moi, il me donne tous les petits filons du métier que l’ont découvre que grâce à l’expérience. Elle est survoltée, elle n’arrête pas de nous faire rire ce qui met une excellente ambiance. Elle fait aussi souvent réagir mon sexe avec ses tenues très sexy mais surtout par des petites caresses « accidentelles ».

Quand je fais des remplacement de quelques jours, tout se passe bien par contre quand j’enchaîne pendant au moins 2 semaines, je sens rapidement la fatigue prendre le dessus. Martin a aménagé une partie de la réserve de son restaurant en chambre de repos pour le personnel, à chaque fois que je suis allé, elle était occupée.

Je parle un peu avec Gilles et Carole de mes soucis à suivre le rythme et surtout assurer jusqu’à la fin du deuxième service. Il m’explique que beaucoup de personne dans la restauration prennent de la cocaïne pour tenir le rythme mais que lui ne touche pas à ça. Carole me dit qu’elle a déjà testé, elle en prend de temps en temps mais uniquement pour la fête, elle ne veut pas devenir accroc. C’est incroyable comme on voit le monde différemment quand on rentre dans la vraie vie.

Mais Carole commence à caresser le torse de notre ami par dessus sa chemise et me déclare:« Nous, on tient grâce à la baise, ça ne coute rien et aucun soucis à devenir accroc! »Je suis sur le cul, ça fait maintenant 6 mois que je les fréquente, certes épisodiquement, mais je n’avais pas compris qu’à chaque fois que Gilles me parle de sa femme, il voulait dire Carole.

Voyons mon étonnement, ils m’expliquent qu’ils ne sont pas en couple, qu’ils aiment juste baisé ensemble. Ils se retrouvent régulièrement dans la chambre aménagée et après avoir pris le plus de plaisir possible, l’adrénaline les aide à faire une bonne sieste. Je leur dis qu’à chaque fois que j’ai voulu y aller pour me reposer, la porte était fermée à clé.

Ils rigolent et Gilles m’explique, qu’il y a une sorte de planning non officiel. Il va parler avec celui qui le gère pour que je puisse aussi en profiter. Le problème c’est que maintenant je vais pouvoir y aller mais seul! Il y a que 4 femmes qui travaillent dans ce restaurant, 3 sont en cuisine et Carole en salle. 2 de celles qui sont en cuisine sont lesbiennes mais pas en couple.

Je parle souvent avec la troisième, Marie, quand je dois faire la plonge. Elle est un peu plus jeune que moi et d’abord très timide. Au fil des vaisselles j’ai appris qu’elle avait un fiancé et j’étais sur le cul quand elle m’a annoncé qu’ils ont décidé de ne rien faire avant leur mariage. A la place de son homme je n’aurai jamais pu prendre un tel engagement! Du coup pour ma dose d’endorphine, quand je peux profiter de la chambre, je dois me débrouiller seul!

Un jour, pendant les vacances de février, je suis dans la chambre, nu dans le lit. Je me caresse lentement la tige en repensant à mon dernier plan cul quand la porte s’ouvre. Quel con! J’ai oublié de fermer la porte à clef! Je me retourne et fais sembler de dormir, pour ne pas être pris sur le fait. Je reconnais la voix de Carole, qui murmure:« Romain? C’est bien toi? »
Je m’assois sur le lit, en faisant bien attention que le drap cache mon érection diminuante. Entre l’obscurité de la pièce et la luminosité venant de la porte, les formes de ma collègues sont encore plus m’y en valeur, ma queue se remet à durcir. Je lui confirme que c’est bien moi et elle ferme la porte derrière elle mais à clé cette fois. En s’approchant du lit, elle me dit qu’elle a vu sur le planning que c’était mon tour, alors elle se permet.

Mes yeux se réhabitue au noir et je distingue bien Carole. Sans rien dire, elle retire sa robe, la pose par terre est rentre dans le lit à côté de moi. Elle pose directement ses mains sur mon torse nu et se met à me caresser à travers mes poils. Elle les fait descendre sur mon ventre puis mon pubis. Son visage s’approche du mien et quand ses doigts atteignent mon sexe elle me dit:« Dans cette pièce ça peut être risqué d’être nu! »Ses lèvres cherchent les miennes et nous nous embrassons tendrement.

Je tourne la tête pour encore mieux profiter de sa bouche et me mets aussi à la toucher. Je commence par sa jolie poitrine, ni trop grosse ni trop petite. Ses seins tiennent bien dans mes mains et c’est ce que je préfère. Alors que ma langue rentre dans sa bouche, elle me masturbe, pour finir de me faire durcir, tout en cajolant mes couilles.

J’aventure mes mains sur ses fesses, un peu trop plates à mon goût mais que j’apprécie quand même de caresser. Je rapproche son corps du mien pour que mes doigts atteignent plus facilement son petit trou. Je sens un objet dur au niveau de sa rondelle, je pense que c’est un rosebud. Je commence par le faire tournoyer dans ses entrailles.

Quand je l’attrape bien pour le faire aller et venir les mains de Carole s’excitent encore plus sur mon costume 3 pièces. J’ai très envie d’elle depuis un moment mais là j’ai enfin la sensation que c’est réciproque. Pourtant elle abandonne ma tige et mes lèvres puis se recule. Heureusement elle ne quitte pas le lit et commence à faire des bruits étranges.

Elle revient rapidement vers moi et déroule un préservatif sur ma queue dressée. Elle ne perd pas plus de temps et tout en empoignant ma bite elle vient s’assoir sur moi. J’étais déjà bien excité par ma branlette en solo, du coup j’aurai préfère d’abord lui lécher le corps et bouffer sa chatte pour faire durer le plaisir, on va faire avec.

Elle se met immédiatement à me chevaucher à un rythme effréné. J’attrape sa poitrine puis ses tétons que je commence à pincer. Je sens qu’elle se retient de gémir normalement, vu l’épaisseur des murs c’est pas plus mal! Elle ralenti un peu la cadence sur moi, ce qui me permet de mieux ressentir l’objet qu’elle a entre les fesses, frotter mon sexe à travers la membrane qui nous sépare.

Je profite de ce changement de rythme pour descendre une de mes mains le long de son corps. Alors que 4 doigts lui caresse le ventre nom pouce se pose sur son petit bouton. J’en profite pour remarquer que sa chatte est totalement lisse. Je commence à appuyer dessus avec mon doigt avant de lui faire faire des petits cercles très rapides.

Carole se redresse en prenant appuie sur mon torse. Je devine son corps qui ondule au rythme du plaisir. Vu ses petits cries étouffés je me permet d’imaginer qu’elle se mord les lèvres pour ne pas être entendue. Sa grotte, qui commence à perler sur moi, se contracte autour de mon membre.

Si elle se met à jouer comme ça, je ne vais plus faire long feu! Je la fais pivoter pour la retourner, prendre le dessus et mieux pouvoir me contrôler mais ses mains s’enfoncent dans mon corps m’interdisant de bouger. C’est alors que je repense à son rosebud et des possibilités qu’il nous offre. Mes mains quittent son corps pour se poser sur ses fesses en suivant leur mouvement.

Je nous fais remonter sur le lit jusqu’à ce que mon dos s’appuie contre le mur. Alors que mes mains continue de donner le rythme à nos ébats, je me penche sur elle pour lécher ses tétons, l’un après l’autre. Je sens et j’entends, au milieu du silence imposé, qu’elle mouille de plus en plus. Mes couilles commence à s’humidifier et je ne vous parle pas des bruits que font mes entrées et sorties en elle.

J’écarte à deux mains ses fesses alors que je mordille ses tétons. Mon index appuie sur le jouet qu’elle a dans le cul pour lui donner plus de sensation, j’en profite même pour mieux le diriger contre ma queue qui est dans l’autre orifice. Vu comme son balancement devient de plus en plus animal, j’ai bien l’impression qu’elle est dans le même état d’excitation que moi.

Quand je me sens bien à l’aise dans cette position, je la plante sur moi le plus profondément possible. Je maintiens ses globes fessiers écartés avec une main alors que deux doigts de l’autre vont attrapé la boule extérieur du rosebud qui lui ouvre les entrailles. Je tire légèrement dessus pour le faire ressortir mais rien ne se passe. Carole se penche vers moi et après avoir lécher mon oreille, elle me murmure:« Vas y plus fort, c’est un plug. »Elle est encore plus salope que je ne m’étais permis de l’imaginer.

Je continue de mordiller ses tétons, alors que j’attrape son jouet avec 3 doigts. Je tire dessus encore gentiment, alors que mes dents le sont de moins en moins sur sa poitrine. J’augment progressivement la pression jusqu’à ce que je sens moins de résistance et qu’il commence à sortir. Carole attrape un des coussin et le plaque contre son visage pour bien diminuer ses cris de jouissance.

Plus je le fais ressortir plus je sens sa chatte se contracter autour de ma bite. Une fois que je l’ai sorti de quelques centimètres, trop curieux, je touche la base pour évaluer sa largeur. Il fait au moins 5 centimètres de large si ce n’est plus. Je le repousse tout doucement vers l’intérieur, il reprend sa place initiale sans aucun problème.

Mes 3 doigts continuent de l’entourer, je joue avec en le faisant tournoyer dans ses entrailles mais aussi contre moi. Puis, sans prévenir, je tire fortement dessus et le retire enterrement. J’attends quelques secondes et je place la pointe du plug contre son oeillet. Comme quand il était en elle je joue avec le sex toy pour maintenir la tension sexuelle à son maximum.

J’appuies doucement dessus et même si la première partie est bien moins large que n’importe quelle bite, je prends mon temps. Par contre quand le diamètre augmente je continue de l’enfoncer au même rythme. Plus son cul se rempli, plus son sexe se referme autour du mien et quand je sens la pointe du jouet contre ma tige des frissons me parcourent le corps.

Je recommence à déculer férocement le plug et la sodomiser délicatement avec alors que je suis toujours enfoncé dans sa grotte qui coule de plus en plus. Son con se met à palpiter, mes couilles se remplissent. Malgré le coussin, toujours coincé contre son visage, je l’entends nettement couiner. C’est parfait car moi aussi je vais jouir.

Alors que ma bouche s’occupe de sa poitrine, que ma main joue avec le sex toy dans son cul et que ma bite lui remplie la moule, je sens mes couilles se raidir. Mes veines se mettent à palpiter en elle et je sens ma queue expulser le premier du bonne séries de giclées au fond de ma capote.

Bien que mon corps emprisonne le sien, en me sentant éjaculer, Carole fait onduler son bassin. Même si je commence à ramollir en elle, je continue de faire bouger le plug dans ses entrailles jusqu’à ce qu’elle abandonne son coussin. Elle plaque son corps contre le mien et je nous fais glisser sur le matelas pour reprendre une position allongée. Je m’endors rapidement alors que ma tige flasque est toujours dans son con humide.

Quand l’alarme de la radio me réveille à l’heure que j’avais programmé, je suis seul dans mon lit. Est ce que je viens vraiment de baiser avec Carole ou c’était juste un magnifique rêve. Je caresse mon entrejambe et en sentant les poils de mon pubis recouvert de plaques dures qui agglomère mes poils ensemble je suis sur que j’ai joui. Vu l’odeur qui règne dans la chambre il n’y a pas de doute je n’étais pas seul.

J’allume la lumière et ferme la porte à clé. Je vais au lavabo me rincer puis je me rhabille. En sortant de la chambre, je tombe nez à nez avec Gilles. Dans un grand sourire, il me dit:« Elle est sacrement douée Carole, non? »Donc je n’ai pas rêver et heureusement car j’ai régulièrement baisé avec elle après ça. Carole Gilles et moi avant même fait des plans à 3.

Par contre contrairement au couple que forme mes deux autres collègues, Carole et moi baisons ensemble même en dehors de la chambre de repos du restaurant. Ce qui me permet de découvrir que c’est une sacrée coquine et c’est tant mieux pour moi car nous seulement je fais de meilleur sieste mais en plus je prends régulièrement mon pied.

Ca me rappelle une journée très spéciale que j’ai passé avec elle mais ça c’est une autre histoire….

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