Il me fallait un homme...

- Par l'auteur HDS Queuedusexe -
Auteur homme.
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Récit libertin : Il me fallait un homme... Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Il me fallait un homme...
Cette histoire prend son origine quand j’étais au lycée.

J’ai grandi dans une petite ville de province, avec un seul lycée public. Ce n’était pas particulièrement un petit lycée mais arrivés en terminale, on se connaissait tous plus ou moins.

Comme partout, il y avait des groupes qui se formaient, en fonction, des affinités, des pratiques sportives ou même des classes sociales parfois.

Il y avait les cas sociaux, les timides, les lourdauds, les beaux, les belles….

Moi, Julie, je faisais partie des filles populaires… Et belles…
Depuis toute petite, on me dit que je suis jolie et la puberté a été généreuse avec moi. Tous les mecs du lycée voulaient sortir avec moi. J’avais de longs cheveux blonds comme les blés, une peau naturellement bronzée dès les premiers rayons de soleils. Mon regard est particulier. J’ai les yeux vairons, un œil bleu, un œil vert.

Je suis sportive. J’ai très tôt fait de la plongée sous-marine. C’est une passion qui ne m’a jamais quittée. J’aime aussi courir régulièrement.

Je mesure 1.68m et mes seins font un gros bonnet C, fermes, avec des tétons assez gros. J’ai une taille fine, des hanches pas trop grosses et de belles fesses. Avec le sport que je pratique, mes jambes sont fines et musclées.

Je suis sortie avec quelques mecs au lycée mais je me suis vite rendu compte qu’ils n’étaient avec moi que pour être vus avec moi, pas pour moi. Ma mère était très jolie aussi et était passée par là. Elle m’a mise en garde très vite et avait raison. Il était difficile d’avoir de vrais amis chez les garçons, toujours intéressés à un autre niveau, comme chez les filles, souvent jalouses.

Pourtant, je peux vous assurer que je n’étais pas et ne suis toujours pas une garce. Mes parents m’ont éduqué en m’apprenant à respecter tout le monde, et à me faire respecter aussi.

Le seul mec avec qui je m’entendais vraiment bien était Samuel. Sam était associé à moi en physique et en biologie en terminale. Il était du genre timide, intelligent et marrant. Par contre, il n’était pas particulièrement beau. Pas moche non plus mais j’étais jeune et courtisée par les plus beaux mecs. Je ne le voyais pas comme un petit ami potentiel. Peut-être que j’étais un peu garce finalement…
J’ai vu les signes qu’il tombait amoureux de moi et j’ai cru à plusieurs reprises qu’il allait me demander de sortir avec lui. A chaque fois, je me suis débrouillée pour ne pas être seule avec lui, ne voulant pas gâcher notre amitié mais j’ai bien vu sa déception. Il a compris le message très vite.

Nous avons passé le bac et je suis entrée à l’université pour faire médecine. Je suis sortie avec plusieurs mecs pendant la fac. J’ai perdu ma virginité en 2ème année avec un mec bien, qui m’a appris à aimer le sexe. Pourtant, à chaque fois, il manquait quelque chose dans notre relation. C’était moi qui rompait, à chaque fois. Le sexe était bon, mais jamais transcendant, comme certaines de mes amies le vivaient avec leur petit ami.

Cela faisait 6 mois que j’étais célibataire quand j’ai revu Samuel un soir dans un bar. Il était avec un groupe de 3 filles et 2 garçons. Il ne m’a pas vu. J’ai passé toute la soirée à le regarder. J’étais subjuguée. Il n’avait pas beaucoup changé mais il dégageait une assurance très forte. Il n’était pas le plus beau mec du bar mais j’ai été surprise de voir plusieurs jolies filles flirter avec lui. Puis, vers 1 heure du matin, J’ai vu les trois filles se concerter discrètement et faire pierre feuille papier ciseaux. L’une des filles à visiblement gagné et les autres étaient clairement déçues. La gagnante s’est installée sur les genoux de Sam et l’a embrassé passionnément. Pourtant, j’aurais juré qu’ils n’étaient pas en couple.

Les 2 autres filles sont parties très vite dès que les autres mecs ont eu le dos tourné. A un moment, Sam a saisi toute une poignée de ses cheveux et a murmuré quelque chose à son oreille, glissant son autre main sous sa jupe. J’ai vu l’excitation sur le visage de la fille.

Ils se sont levés et sont partis très rapidement.

Revoir Sam, le voir agir de la sorte, était très bizarre pour moi. Une fois seuls et déçus d’avoir été délaissés, les 2 autres mecs du groupe ont cherché à draguer.

Ils ont tenté leur chance avec moi très rapidement mais une seule chose m’intéressait ce soir-là, Sam. Je voulais en savoir plus sur ce qu’il était devenu. J’ai fait la garce, je l’avoue. J’ai utilisé ces 2 mecs pour apprendre ce que je voulais savoir. Ils étaient là pour la soirée mais étaient venus voir Samuel qui s’était installé ici quelques mois avant pour son travail, dans l’informatique apparemment. Samuel les avait emmenés ici car il y venait tous les vendredi soir. Ils ont bien entendu été déçus quand j’ai refusé leurs avances.

Le revoir m’avait troublé. Je me suis surprise à penser à lui mais surtout, à penser à la façon d’agir des trois filles envers lui et à l’assurance qu’il dégageait. Ça ne collait pas avec ce que je connaissais de lui.

Je me suis arrangé le vendredi suivant pour retourner dans le même bar avec une amie. Il était déjà là. Je l’ai vu aborder une ou 2 filles, et en envoyer une ou deux balader gentiment.

Cette fois, il m’a vu et m’a reconnu. C’était clair. Pourtant il n’est pas venu vers moi. Il est vrai que cela faisait presque 6 ans qu’on ne s’était pas vus. Vers minuit cette fois, j’ai vu Sam partir avec une fille. Il avait la main sur sa fesse. Encore une fois, la fille paraissait excitée. Il me semblait clair qu’ils allaient coucher ensemble. Juste avant de sortir du bar, Sam s’est tourné vers moi avec un petit sourire au coin des lèvres. Ce sourire et son regard pénétrant m’a encore plus troublé.

On s’est parlé plusieurs fois les semaines suivantes. J’ai beaucoup appris sur lui. Il était toujours aussi intelligent et marrant. Il gagnait déjà bien sa vie en tant que développeur de logiciels. Il était gentil, respectueux. Chaque fois que je me faisais draguer, il laissait faire même si je voyais que ça ne lui plaisait pas beaucoup. Pourtant, je repoussais toujours les avances. J’essayais de lui faire comprendre que je voulais le voir en dehors de ce cadre mais il ne faisait pas le premier pas.

Par contre, lui, rentrait parfois avec quelqu’un, me laissant frustrée et jalouse. Je m’habillais pour le séduire, pour lui montrer mes formes. Il aimait ce qu’il voyait, c’était clair mais il ne me draguait toujours pas ouvertement.

Un samedi soir, le bar avait aménagé une piste de danse. J’étais habillée d’une petite robe me mettant particulièrement en valeur. On a dansé ensemble des danses latino de plus en plus chaudes et il dansait bien. Souvent, nos bassins étaient en contact et on se regardait avec intensité. Je sentais parfois son sexe dur contre ma hanche, mon ventre ou mes fesses.

Ses mains allaient et venaient sur mon corps. Je n’avais jamais eu autant envie de quelqu’un et il a lu dans mes yeux que j’étais à sa merci. Toute la piste de danse était occupée et on était collés l’un à l’autre, lui dans mon dos. D’une main, il a passé ses doigts dans mes cheveux, l’autre main sur ma taille. L’espace d’une seconde, il a tiré un peu mes cheveux en arrière tout en collant son sexe, que j’ai senti dur, contre mes fesses. Le message était clair et je n’ai laissé aucun doute sur mes intentions quand j’ai moi aussi pressé mes fesses contre lui en retour.

Il a saisi ma main et m’a entrainé hors de la piste. 10 minutes plus tard, on passait la porte de son appartement. J’avais du mal à supporter le désir qui me vrillait le ventre.

Samuel m’a plaquée au mur, sa langue fouillait déjà ma bouche. J’ai presque arraché les boutons de sa chemise alors que ses mains agrippaient mes fesses. Tout était urgent.

Ma robe est tombée à mes pieds, mon string et mon soutient gorge ont suivi très vite et sa bouche a pris possession de mes seins.

Ses mains larges et chaudes, ont caressé mes côtes, pressant ma poitrine contre sa bouche. Sam me mangeait les tétons l’un après l’autre, tendus, gros, très sensibles.

Malgré son corps plutôt fin, il m’a soulevé comme une plume pour me déposer sur sa table, fesses juste au bord.

Il m’a embrassé fiévreusement puis, il m’a basculé en arrière, caressant tout mon corps de ses mains et de sa bouche. Autoritairement, il a saisi mes cuisses pour offrir complètement mon sexe à sa bouche. Il m’a dévoré, lapé. Il était doué, très doué, alternant sa langue, sa bouche entière ou ses doigts. Pour la première fois de ma vie, une langue a caressé mon anus, envoyant des ondes de désir et de plaisir à travers tout mon corps.

Jamais je n’avais été traité comme ça par un petit ami. Je me sentais sa chose… Et j’aimais ça. J’étais à sa merci et j’ai joui, fort sous sa langue.

J’ai même poussé un vrai cri lorsque son majeur est entré, lentement, et complètement dans mes fesses. Mon orgasme m’a paru interminable.

Il m’a laissé pantelante, tremblante, avant de me prendre dans ses bras pour m’emmener sur son lit.

Sans un mot, il s’est déshabillé, lentement. Sous ses vêtements, un peu amples, il avait un corps fin mais athlétique, des muscles bien dessinés.

Son sexe était en érection totale, gros et long, avec un gland impressionnant. Je me suis approchée de lui comme hypnotisée. J’ai saisi son braquemart à 2 mains, mes doigts peinaient à en faire le tour.

J’ai léché son gland, son sexe, goûtant le liquide qui sortait légèrement de son gland. Qu’il était doux, et gros sous ma langue, délicieux.

Son gland emplissait ma bouche mais je me suis appliquée à le prendre au maximum. Au début, ses mains caressaient mes cheveux, mais au fur et à mesure, il devenait plus directif, enfonçant plus son sexe, testant mon reflexe de déglutition. Plusieurs fois, j’ai eu un au le cœur mais j’étais excitée comme une folle dès que je sentais son gros sexe dans ma gorge. Mon sexe dégoulinait, réclamant la pénétration.

-          Viens en moi Sam.

Je me suis mise sur le dos mais Sam ne l’entendait pas comme ça.

-          Oh non, pas comme ça ! Au lycée, tu ne voulais pas de moi mais maintenant, ça fait plus d’un mois que tu m’allumes comme une malade alors cette nuit, je vais te baiser.

Un frisson de honte, de désir incroyable m’a traversé et fait perdre la tête. Je voulais ça plus que tout.

Il m’a mise à quatre pattes devant lui. J’ai regardé par-dessus mon épaule et j’ai vu Sam, son énorme sexe en main, près à m’embrocher.

-          Prends moi Sam ! Baises moi ! J’ai trop envie !

Une première fessée s’est abattue, me faisant crier de surprise mais je me suis rendue compte que j’ai encore plus tendu les fesses vers lui.

Son gland a écarté petit à petit les parois de ma chatte. Je l’ai senti coulisser en moi de plus en plus profond. Je gémissais sans cesse. Parfois il se retirait complètement, me laissant une sensation de vide, puis me pénétrait à nouveau.

Malgré son physique plus fin que n’importe lequel de mes précédents petits amis, Sam était puissant, viril. J’étais soumise à ses assauts et j’adorais.

Son gros sexe allait de plus en plus loin en moi, m’arrachant des cris de jouissance que je ne me connaissais pas. Sam a saisi mes hanches dans ses 2 mains et m’a empalée jusqu’à la garde lentement mais sans échappatoire possible pour moi. Son gland tout au fond de moi a déclenché un orgasme incroyable.

Une fois habituée à sa taille, Sam m’a baisée. Des pénétration amples et rapides, me faisant hurler de plaisir.

-          T’es trop bonne Julie ! Tu aimes ma grosse queue hein ?

-          OOHHHH OUIIII ! TROP BON !!! J’aime ! OOOOOHHHH OUIII !!!

Je me suis effondrée sur le lit et il m’a mise sur le dos, me pénétrant une nouvelle fois immédiatement. Cette fois, on se regardait dans les yeux. Il était lent en moi, gros, me remplissant totalement. Je sentais à nouveau le plaisir grandir en moi.

Sam commençait à sentir la jouissance venir aussi. Je le savais. J’ai enserré sa taille de mes jambes, lançant mon bassin à la rencontre de son sexe qui fouillait si loin en moi.

-          Tu aimes me baiser Sam ?

-          Oui.

-          Tu aimes mon corps ?

-          T’es la plus belle Julie ! Ton corps me rend fou !

-          Et moi j’aime que tu me baises Sam ! J’aime ta grosse queue !

Je voulais encore lui parler, l’exciter, mais le plaisir était trop fort et j’ai joui une nouvelle fois. Quand mon plaisir s’est calmé, j’ai repris.

-          Tout mon corps est à toi… Je te ferais tout ce que tu veux…
Sa respiration s’est accélérée. Son sexe était dur comme la pierre en moi. Je voulais qu’il ait envie de moi encore plus, je voulais l’exciter à mort.

-           Je te sucerai jusqu’au bout… Tu pourras me baiser ou me faire l’amour…
-          Ohh ! Oui ! Ça me plaît ça !

-          … Même mes… OOOHH ! Mes fesses… Tu pourras…. OOOOHHHH ! M’enculer si tu veux ! Mon petit trou… … Tout
-          Tu me laisseras t’enculer ma puce… MMHH ! J’adore l’idée ! Ton cul est splendide !

-          Mais si une autre fille touche ton sexe à partir de maintenant… Si tu ne me promets pas que je suis la seule à en profiter…. Je t’arrache les yeux.

Sam a joui en moi, au plus profond de moi alors que je le regardais dans les yeux, satisfaite d’y lire tout le plaisir que je lui donnais. On a roulé sur le lit, face à face. Sam m’a regardé.

-          C’est promis mais c’est un deal dans les 2 sens !

-          Sam, sois franc ! Les soirs où tu es parti avec des filles, c’était pour me rendre jalouse ?

-          La première fois, c’était plus pour te montrer que j’avais passé le cap de ma déception avec toi et que j’étais tout à fait capable d’avoir du succès auprès des filles.

-          Et après ?

-          Après, on a passé beaucoup de temps tous les 2 mais je ne voulais pas faire le premier pas avant toi. C’est toi qui m’as rejeté au lycée. Je ne voyais pas pourquoi je devrais faire des efforts. Donc, oui, les autres fois, je voulais que tu sois jalouse.

-          C’était réussi !

-          La dernière fille avec laquelle je suis parti était très belle !

-          Je n’ai pas besoin d’entendre ça !

-          Mais je n’ai pas couché avec elle. A ce moment-là, C’est toi que je voulais ! Personne d’autre.

Il m’a embrassé avec passion. Son sexe redevenait déjà dur, je n’en revenais pas !

-          Je voulais déjà sentir ta peau douce, tes gros seins si fermes sous mes doigts…
-          MMMMHHHH !

-          Ta taille fine, tes tétons dans ma bouche…
Il associait les gestes à toutes ses paroles. Il léchait ma peau en sueur, me doigtait légèrement. Suçait les tétons de mes seins si sensible cette nuit. J’étais en chaleur, c’était extrêmement érotique. Ses doigts couraient sur mes côtes, ma taille, mes cuisses.

-          Viens en moi Sam !

-          Non, pas tout de suite !

Sam m’a à nouveau léché le clitoris, doucement, tendrement. Son doigt est entré en moi, puis il est ressorti, trempé du mélange de ma mouille et de son sperme et a pénétré mon cul. Mon corps entier a été couvert de frissons.

Pendant un long moment, Sam a bougé son doigt en moi, puis un autre. J’aimais. C’était dingue, j’aimais vraiment les sensations.

Sam s’est redressé et a pris un flacon dans sa table de nuit qu’il m’a tendu.

Il était à genoux sur le lit, tout près de moi. J’aimais la vision de son corps musclé et fin. J’aimais voir son sexe dur pour moi, gros, si beau.

L’invitation était claire, si je mettais du lubrifiant sur son sexe, ça voulait dire que je lui offrais le dépucelage de mon petit cul.

J’ai commencé par branler doucement son sexe, puis par le sucer le plus sensuellement possible. J’étais à genoux, penchée en avant. Sam caressait mes fesses, les écartait, insérant se temps en temps le bout d’un doigt.

Je lui ai pris le lubrifiant des mains et j’en ai fait couler un peu entre mes fesses, son doigt entrait et sortait plus facilement. Son gland entrait par moment dans ma gorge. Je me suis redressée.

-          Sois doux s’il te plaît !

J’ai versé du liquide sur son sexe tout en le branlant. Mon dieu qu’il m’a semblé gros dans ma main.

Je me suis mise en levrette mais il m’a remise sur le dos, les fesses au bord du lit.

Pendant un bon moment, il m’a embrassé, caressé. Son gland passait entre les lèvres de mon sexe, puis, sur mon petit trou. Chaque fois, la pression était plus forte. Son regard était plein d’amour, de désir.

Il a forcé un peu plus et moi, je me suis détendue. Il m’a dit « je t’aime » au moment où son gland entrait en moi. J’ai poussé un petit cri, autant dû à la surprise de l’entendre dire qu’il m’aimait qu’à la sensation de son gland passant mon sphincter.

Je l’ai embrassée avec le plus de passion possible alors qu’il commençait à bouger en moi. Rapidement, la sensation était trop forte pour moi. J’ai senti monter un orgasme. J’allais jouir alors qu’il était dans mes fesses.

A un moment, il s’est stoppé, debout au bord du lit. J’ai sais le bord du matelas et j’ai ramené mon cul vers lui en le bougeant légèrement dans tous les sens. Je ne me suis arrêtée qu’une fois mes cuisses en contact avec son ventre. Il était loin en moi. Je le sentais vraiment bien.

Sam m’a laissé m’habituer un peu puis est ressorti, il a remis du lubrifiant et m’a empalée à nouveau, accompagné d’un grand cri de satisfaction de ma part.

Il a pris ça comme un encouragement et a commencé ses mouvements de pistons. J’ai joui comme une folle immédiatement. Un orgasme incroyable m’a complètement tétanisée. Je ne savais pas ce qui m’arrivait mais c’était trop bon. Pour la première fois de ma vie, des jets de cyprine sont sortis de ma chatte et j’ai crié, le corps tremblant.

C’en était trop pour Sam qui s’est vidé dans mes fesses en criant lui aussi.

Il est resté un petit moment en moi. Mon corps était pris de spasmes qui s’espaçaient un peu. Il est sorti de moi doucement. On s’est câliné longtemps ensuite, le temps de reprendre notre souffle.

Il m’a emmené à la douche. J’avais les jambes en coton. On a parlé des heures avant de s’endormir dans les bras l’un de l’autre.

J’ai su très rapidement que j’avais trouvé l’homme de ma vie.

Vous allez trouver ça horrible mais j’ai su ce qu’il me manquait avec mes anciens petits amis.

Je suis belle, je le sais, et je crois que j’avais la sensation qu’ils ne me méritaient pas, en tant que mâle.

Sam est tendre, affectionné, intelligent et marrant. Il me fait très bien l’amour. Mais surtout, il sait me baiser. Parfois, juste au coin de la table, ou sur le capot de la voiture en quelques minutes. Parfois, toute la nuit, dans ma bouche, mon sexe ou mes fesses. Il sait me faire jouir comme aucun autre et il sait surtout créer mon désir.

Aujourd’hui, nous sommes mariés et notre libido est encore plus forte qu’avant. Un bébé est prévu pour bientôt.

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