Il vient d'Amérique Ep02

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Il vient d'Amérique Ep02 Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Il vient d'Amérique Ep02
Il vient d'Amérique Ep02


Le reste de la soirée se terminait bien. J'étais comblé, Dick aussi mais Cole avait par moment du mal à se montrer totalement détendu. Il avait été témoin de nos ébats mais n'avais pas vraiment été autorisé à participé. Je lui avais bien un peu tripoté les couilles, on s'était bien un peu câliné mais c'est tout, pour lui c'est tout.

– Mais ton pote Cole, il reste toujours …
– En fait, on a décide une abstinence totale pendant le voyage en France. Pour lui, bien sûr. Pas de bite dans le cul, ni dans la bouche. Pas de câlin, pas de … Rien quoi.
– Tout le voyage en France ?
– C'est à dire huit semaines. Mais ça c'est pour lui, pas pour moi !

C'était un jeu qui devait être aussi stimulant que frustrant. C'est toujours un peu la frustration qu'on recherche quand on porte une dispositif de ce genre.

– Et toi, reprenait Dick, pourquoi tu n'as pas acheté un dispositif du commerce ?
– Bein, c'est un problème de taille. La longueur de ma bite est tout a fait dans les norme mais la largeur … C'est pas le cas, je suis trapu de la bite.

Cette réponse le faisait rire.

On continuait à discuter, et là on parlait de taille, de centimètres, pourtant il était américain.

Il prenait un carnet dessinait rapidement uns cage à bite puis indiquait les tailles que je lui donnais.

– Là, la largeur de la cage est bien de quarante millimètres ?
– Bein oui, c'est de ça que je parlais.
– Bien, on devrait pouvoir réduire à trente huit.

Dick connaissait bien le problème de conception d'une cage de chasteté. Oui rigolez, rigolez mais je sais de quoi je parle et je vous garantis que c'est quelque chose de sérieux.

Il se laissait tomber en arrière en regardant les chiffres.

– Donc là ce sont les dimensions idéales d'une cage de chasteté pour toi.
– Sans doute, mais ça va je n'ai pas envie d'en fabriquer une autre pour le moment.
– En titane, ce serait bien !
– Comment tu y vas toi ! En PVC c'est déjà du boulot. La mienne est en PVC.
– C'est bien ça ne rouille pas. Mais le titane non plus !

Là c'est moi qui rigolait.

– La mienne est en titane ! Intervenait Cole.
– Et elle est indestructible ! Rajoutait Dick.
– Et il ne peut pas la retirer ? Demandais-je.
– Sans la clé, il n'y a aucune chance.
– C'est lui qui décide ! Concluait Cole.

Ce soir là, quand je suis rentré chez moi, j'avais un peu mal au cul. Enfin pas vraiment, mais j'avais l'impression de sentir encore sa queue. Ce n'était pas désagréable.

On avait prévu de se retrouver à la plage. Pas la petite plage en bas de leur maison, non, il y avait des plages naturistes, naturistes gay même. Ils avaient déjà repéré les lieux, et y étaient déjà allé.

J'étais du coin et donc je connaissais. On s'y retrouvait en début d'après midi. On a passé un très bel après midi, pour la première fois je me sentais détendu alors que je montrait ma cage. C'était la première fois que je faisais ça, jamais avant je n'aurais osé. Cole m'encourageait, lui était bien habitué à cette situation. Il portait son dispositif en permanence, c'est vrai qu'il était très discret, sous un maillot de bain on ne devinait rien. Mais là sur la plage, ce jour là, il ne portait rien, rien sinon un chapeau et sa cage à bite.

J'étais aussi habillé que lui. Ceux qui me reconnaissaient venaient me saluer. Ils étaient surpris, c'est vrai que ces derniers temps, ces dernières années je veux dire, je venais moins souvent.

On est venu tous les jours, ensuite on s'arrêtait prendre un grand rafraîchissement dans un bar sur la route du retour.

Ensuite …

On se retrouvait tous les trois chez eux, on prenait une douche puis tout naturellement Dick me baisait sous les yeux de Cole qui avait de plus en plus de mal à rester calme. Le pauvre était en manque.

Je suis bien placé pour savoir que ce n'est pas forcément facile, mais le plus dur est de voir un couple baiser tous les jours alors qu'on en est privé. J'avais connu de très longue période de chasteté mais moi, je n'avais pas à supporter ça. Lui si !

Vers la fin de la première semaine. Il me disait.

– J'ai une petite surprise pour toi.

Il m'avait demandé deux jours plus tôt de lui apporté les clés de mon dispositif. Je lui en avait emporté une sur les deux.

Il me la tendait et me demandait de retirer mon dispositif.

Je l'ai fait répéter, je ne comprenais pas ou il voulait en venir. Notre relation reposait sur le fait que j'étais totalement passif. Et j'aimais tellement me faire défoncer le cul. Il me faisait jouir.

Mais je m'exécutais, je retirais le dispositif. Il me faisait alors passer sous la douche. C'était une nouvelle sensation que je découvrais ou que je croyais découvrir. Là pour la première fois depuis bien longtemps mon corps était nu, entièrement nu.

Je me caressais le corps avec le savon, il me guidait, je faisais ce qu'il me demandait.

– Tu ne bandes pas ?
– Ça fait longtemps et il me faudra plusieurs jours, enfin un ou deux pour que je retrouve ce réflexe.
– Tu n'en auras peut être pas le temps !

Il me tendait une serviette au moment ou je sortais de la douche. Cole était toujours là, il se montrait discret mais il regardait la scène, il n'en loupait pas une miette.

Un moment il me tripotait la bite et les couilles. Il m'a fait bandé, mais pas bien longtemps.

– Si tu me laisse quelques jours. Lui disais-je. Tout redeviendra normal
– Tu en as déjà fait l'expérience ?
– Oui la dernière fois, j'avais porté le truc pendant plus d'un an, il ne m'avait fallu que deux jours.

Il remuait la tête de haut en bas d'un signe d'approbation. Puis il me tendait une petite boîte.

Je l'ouvrais.

Il y avait un dispositif de chasteté en métal, le même modèle que celui de Cole.

– Il est à ta taille tu sais, on avait fait les mesures tu te souviens. Il a été fait pour toi.

Je me disais que décidément, les américains sont très fort. Ça faisait une semaine, et déjà il avait un dispositif sur mesure. Je pensais qu'il fallait bien plus de temps pour en faire fabriquer un.

J'ai bien faille avoir une érection au moment ou j'ai voulu le passer. Mais comme je le disais, il m'aurait fallu plusieurs jours, au moins vingt quatre heures pour retrouver mes réflexes.

Mes couilles passaient par l'anneau sans aucune difficulté. Le contact du métal n'était pas désagréable, même pas froid comme on aurait pu le craindre, en plus le métal était terriblement lisse. Son touché était bien plus doux que le plastique.

Ensuite la cage. Ma bite y trouvait tout naturellement sa place. Elle était plus étroite mais ce n'était pas désagréable. Je découvrais le dispositif. Il me laissait tout le temps qu'il me fallait, il s'amusait de mes réactions.

– Alors tu en dis quoi ?
– C'est pas mal, j'aime bien.

Le dispositif était en place, il était refermé. Je jouait avec, je le découvrais. Je remarquer que pour la douche, je pouvais plus facilement décalotter et me laver que sur l'autre. Heureusement car avec ce nouveau modèle je ne pouvais pas ressortir ma queue comme je faisais avec l'autre.

Là je ne vous cacherai pas que j'ai ressenti un petit pincement au niveau de mon cœur. Une petite crainte peut être.

Je finissais par bander dans la cage. Ça, ce réflexe je ne l'avais pas perdu. Sans je ne bandais plus, il me fallait plusieurs jours, mais avec je bandais plusieurs fois par jours.

C'était des érections contrôlées, retenues.

Là, cette érection me semblait un peu plus retenue que d'habitude, la taille plus petite de la cage se ressentait bien. Mais ça restait le grand confort.

Il me tendait la clé. Je verrouillais.

Il me tendait la main …

– Je vais garder la clé jusqu'à notre départ me déclarait-il. Ensuite je te la rendrai.

Je lui rendais la clé. Je me sentais bien dans ce nouveau dispositif. Mais vous savez, il ne faut pas grand chose pour passer du grand confort à l'insupportable. Pour le moment c'était très confortable.

Ils restaient encore trois semaines.

On s'est vu tous les jours, et tous les jours, nous nous retrouvions chez eux. Là face à la mer je me faisais défoncer le cul par Dick pendant que son pote Cole nous surveillait.

Le pauvre semblait en manque de plus en plus. Il avait exactement le même modèle que moi. C'était le même fabriquant. Et Dick n'avait mis que cinq jours pour la faire fabriquer et se la faire faire livrer.

Ah je vous jure, ils sont fort les américains, ils sont fort.

Les jours passaient vite, nous approchions de la fin de leurs vacances. Je m'habituais à ce dispositif. Au bout d'un moi il était devenu une prolongation de moi. Je ne pouvais pas le retirer, mais je le supportais bien, je n'en avais pas envie non plus.

Puis il y a eu ce week-end. Je ne les avais pas vu le samedi soir aussi le dimanche matin je passais chez eux. Il y avait bien du monde mais ce n'était pas eux. C'étaient les nouveaux locataires, mes américains étaient partis la veille.

Les enfoirés …

Dans la journée Dick me téléphonait. Il s'excusait de ce départ précipité.

– Je te fais parvenir la clé, c'est promis ! Me disait-il.

L'enfoiré …

Je n'ai pas eu de nouvelles depuis. Heureusement pour moi le dispositif est confortable. Mais il est inviolable.

Je vous jure les américains … Ils sont fort …

Un jour bien plus tard j'examinais le dispositif comme je pouvais, avec une loupe, et je vous jure ils sont vraiment fort les américains.

Sur le sommet de la cage je parvenais à déchiffrer une petite inscription. Vous savez avec une de ces loupes qui a des petites lampes. Je parvenais à déchiffrer ' made in Switzerland ' ...

Je vous jure, ils sont forts les américains. Je sais pas ou ça se trouve moi la Switzerland aux USA. J'ai cherché sur la carte et j'ai pas trouvé.

Ils arrivent à fabriquer ces petits trucs dans un endroit paumé qu'on n'arrive pas à trouver sur la carte et à se faire livrer partout sur la planète en cinq jours … Ils sont forts les américains, je vous jure !


Fin



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