Impromptue

- Par l'auteur HDS Jpj -
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Impromptue Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Impromptue
Moi, ce que j'aime, c'est surprendre.
Je suis une fille qui n'aime rien tant que voir l'étonnement dans les yeux des gens que je prends en main.

Tiens, ce matin encore, dans l'ascenseur, le vieux monsieur dont j'ai empaumé le paquet à travers le pantalon alpaga noir tailleur sur mesure en était sur le cul. La cabine Roux-Courbalusier s'est immobilisée au cinquième en ding convivial et il n'en n'était pas remis.

Il m'a matée sortant par la porte coulissante hanches larges jupe courte tant et tant que je sentais sur mes fesses la brûlure de son regard concupiscent.

Et moi j'aime ça.

Moi je me régale d'allumer les gens. Les mecs, les filles, les vieux, les jeunes. Tous. En plus c'est facile, ça marche à tous les coups. Je vous dis pas.
Moi dans ma tête, je pense, je vais faire un impromptu. Et je le fais.

Hier, je monte dans le métro. Un grand black se trémousse pendu à la poignée les écouteurs dans ses oreilles. Je me colle à lui accrochée au poteau d'acier chromé, pubis en avant, écrasée de multitude en rame bondée. Lui aussitôt bande et je sens son émoi contre moi. Le mec, genre Mc Solar, me décoche un sourire africain de 32 dents blanches sur le devant et je vois bien que j'ai gagné.

Mes intérieurs s'animent, s'inondent, et partent en cavalcade.

Lui croit qu'il a une touche, qu'il lui suffit maintenant de ferrer et qu'il va ramener sa proie à la maison pour la baiser. Mais non, moi, j'ai eu mon comptant, mon content, le mec j'en ai plus rien à branler, je descend à ma station, apaisée, indifférente.

Sauf que j'ai encore mon désir en moi de recommencer. C'est ça qu'est bien, je ne suis jamais rassasiée. Quand tu baises, tu prends ton pied, c'est fini pour un moment t'es off. Là non, tu t'éclates comme une grande, convulsions compulsives, mais aprés, t'en veux encore ! C'est super. C'est la vraie vie, ce truc-là.

Alors moi, j'en profite un max, vrai.

À mon boulot, y a une fille que ça démange les histoires de filles avec les filles. En quelque sorte, elle est gouine... Moi ça m'amuse. Elle me bade, elle a des retenues, elle effleure. On s'y croirait presque. Je joue connivence, elle s'y croit... Elle me prend par la taille, elle me prend par le cou. Je roucoule. Je mouille et c'est bon. Tout à trac mes villosités s'emballent et déferlent de bonheur. Puis ça passe et je me casse, indifférente.

Au resto à midi on rigolait entre copines. Le mec avec nous était le fiancé de la blonde à gros nibars, vous savez la fille de chez Dupuis, les éditions Spirou. C'était le seul mec à la table, faisait le cake ce con. J'ai remonté son mollet, sa jambe, sa cuisse de mon pied déchaussé. Sous la table. Arrivé à ses couilles mon pied étonné n'a pu que constater la bandaison. J'ai parlé à la blonde, assise à ses côtés. En riant. J'ai dit, tu sais ton mec bande dur sous mes métatarses, enfin sous les phalanges de mes orteils. La blonde me regardait de ses yeux bovins, vacca à l'étable en fin de cycle ruminant, dépassée par le vocabulaire.

Moi j'aime ces situations de cul quotidien sans conséquence autre qu'anecdote sans lendemain.
Mon pied s'est contracté sur la tige tendue. Le mec me matait comme hypnotisé. Je sentais sous mes orteils les sauts de carpe de son orgasme. Pétard quel pied ! Et moi de l'accompagner d'un sourire complice et de longue décontraction périnéenne.

J'aime assez les garçons jeunes. Frais, gourds, innocents. J'ai un truc infaillible pour les tournebouler. Et le résultat, sans coup férir, c'est épanchement dans le slip. Les jeunes ont toujours les couilles qui tournent à haut régime et leur faut décharger les stocks pas même encore péremptés.
La nuit, petit rêve érotique et voilà la carte de France sur le drap. À faire pâlir la maman, fière, le lendemain, c'est si grand que ça la France ?
Souvent, très souvent, le jeune gars se libère lui-même d'un poignet énergique, giclant sans vergogne longuement n'importe où.
Moi je trouve bien plus sympa d'être celle par qui la délivrance arrive... En quelque sorte, d'en être l'artisan. Je reste persuadée que le souvenir de ce premier pompier restera à toujours gravé dans la mémoire du gamin.
Vous voudriez savoir comment je procède ?
Allez, c'est facile. Suffit de coincer le petit mâle dans un coin discret, guider sa main à votre culotte, jupe vaguement relevée et d'empaumer sa tige déjà raide à travers les étoffes. Deux trois pompes et la tige hoquette sous votre main, c'est gagné.
Sûr que c'est pas avec un homme un vrai que vous pourriez obtenir ce résultat !

Quand je pense aux histoires qu'on fait aux mecs qui "harcèlent une gonzesse"... Le jour où les filles comme moi seront poursuivies par la justice, ce jour-là, la femme sera enfin réellement l'égale de l'homme.

Seulement, c'est pas demain la veille, alors, les copines, profitons-en un max. On a une fenêtre, sachons en profiter.

L'autre jour, on va, avec mon amie faire des achats en ville. J'aperçois un beau mec vendeur d'automobiles chez Citroën. Aucun besoin d'auto, ma Twingo grand luxe n'a pas six mois d'ancienneté. On entre quand même dans la concession, ma copine et moi, se tenant par la taille.
Les gars, z'ont des antennes qui leur font repérer instantanément les filles qui mouillent pour eux, sûr. C'est trés exactement ce qui s'est passé et le mec a fondu sur nous, enfin sur moi, toutes dents, blanches genre Sabatier, dehors.
Il a dit, je suis sûr du modèle qui vous intéresse vitres fumées sièges basculants, voulez-vous l'essayer ?
Ma copine s'est éclipsée vers le fond du magasin-expo showroom et moi je suis montée dans l'auto côté volant lors que le vendeur volubile s'asseyait en passager. J'ai rapidement trouvé les manettes électriques basculant les dossiers pour former un kingsize ... Citroën, c'est top question transformer.
Le vendeur était confirmé, sortait d'HEC ou même de l'ESSEC. Enfin il savait comment parler à la clientelle, avec les mains, puis la langue et, quand il a sorti sa bite, j'ai compris que si je me le faisais, l'allait probablement me falloir conséquemment signer la proposition de vente de cette DS noire et jaune.

Me faire un mec, oui, me sentir obligée, non.

Alors vous m'auriez vue, planche inerte me faire limer avec ardeur longuement dans tous les sens du terme et m'éclater en toute discrétion pour pas que le gars y s'y croit.

Je lui ai dit, j'ai rien senti. L'auto est sûrement une bonne voiture, puissante, qui tient bien la route, confortable, suréquipée, je vous crois, mais question cul c'est fadasse. Moi je préfère les bikes. Sur le tansad je prends mon pied vous n'imaginez pas.
Vous vendez pas des meules aussi ?

Le vendeur de chez Citroën avait la queue basse, marri que sa prestation n'ait pas enchanté la chalande. L'avait raté sa vente. Comme dit son patron, le difficile c'est de transformer...
Transformer le devis en bon de commande dûment signé.

Allait-il se faire virer ? Pour insuffisance.

Ma copine arrivait, elle m'a attrapée par le cou et tout enlacées on est sorties de la concession Citroën sans avoir, ni l'une ni l'autre acheté une auto. A-t-on le droit de ne rien acheter lors qu'on a consommé du vendeur first qualité ? À fond.

Voyez comment je profite des opportunités...

On est allées ensuite dans une boutique de culottes et de soutifs. La vendeuse était accorte. Une brune avec des nibars de compète haut en avant. Moi, j'ai dit, ils sont magnifiques, on peut toucher ? Ma copine était derrière et s'est collée aux fesses de la fille, mains sur ses hanches et moi, sans honte bue aucune, je passais mes mains câlines sur son chemisier.
Chemisier de soie grège bien gonflé.
La fille riait, moitié plaisir de fille à se faire tripoter, moitié intérêt mercantile de vendeuse à la com.

Je l'ai poussée en cabine d'essayage et hors la vue des gens du magasin, ma copine et moi on l'a violée à fond. Moi j'avais pris ses lèvres et la bisais à bouche que veux-tu avec les lèvres, la langue jusqu'au fond de la glotte. Ma copine avait entrepris de bouffer sa moule, culotte aux genoux et tête bloquée entre ses cuisses, langue ardente.

La vendeuse était du genre qui s'extériorise, gémissant sourdement d'abord puis se lâchant en hurlements de chatte sur un toit brûlant sans le moindre blanc, sans la moindre pause. On se régalait à passer l'archet sur ses cordes pour lui faire tenir la note.

On s'est regardées, ma copine et moi et puis on a éclaté de rire en sortant de la cabine, de la boutique, vers d'autres aventures.

Qu'on vous narrera next time sur HDS ... surveillez Impromptue 2.

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Texte coquin : Impromptue
Histoire sexe : Une rose rouge
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