Ingrid, petite Allemande
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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Ingrid, petite Allemande
Que Roland me pardonne, je vais écrire ici l’histoire de sa cousine. En sus germaine la dite cousine... un comble, non ?
Roland, c’est mon correspondant allemand. Il habitait à Konstanz, am Bodensee. L’été, début juillet, je prenais le Drapeau, Bordeaux/Paris puis, après changement de gare à Paris en taxi, l’express vapeur de nuit, direct jusqu’à Constance.
Normal qu’il y ait eu en ce temps de mon adolescence une liaison directe de Paris jusqu’au Bodensee car nous avions alors, Français, des troupes d’occupation dans ce coin-là.
Un mois plus tard, je reprenais le chemin à l’inverse, avec mon copain allemand, douze ans guère plus lui aussi et pas encore de poil au menton, pour nous retrouver en ma famille sur le Bassin d’Arcachon.
La cousine Ingrid qui fait le titre de cette histoire était une grande. Je veux dire par là qu’elle était largement notre aînée. On était des gamins, quoi...
Elle était de Meersburg, de l’autre côté du lac. Meersburg, Stadt am Bodensee.
Néanmoins elle venait par le gros ferry à vapeur et roues à aubes au lycée de Konstanz, quotidiennement.
Un jour par semaine elle était à table chez nous, cousine, dans la famille de Roland.
Elle était belle avec chevelure claire et yeux bleus et svelte morphologie de Walkyrie. Elle me plaisait.
Le Français n’a pas failli et a embarqué la petite Allemande pour une promenade de mercredi après-midi sur les hauteurs du Lac de Constance.
Sur un banc public, genre Brassens, devant les cygnes barbotant dans l’eau noire, j’ai tripoté ses petits seins. Les premiers seins jamais venus dans mes mains. O qu’ils étaient vivants ces petits seins-là...
Et puis les lèvres d’Ingrid, baveuses indécentes qui parlaient français lors que les miennes langue violeuse entre ses dents aiguës parlaient allemand.
On s’est aimé de jeunesse adolescente à fond et sans retenue.
Ensuite, on s’est écrit, chaque semaine depuis nos pays lointains. L’un en allemand, l’autre en français. Mots d’amour de gamin et de gamine sans sexe ni rien de bien grave. Mais quand même deux trois pages à chaque fois. Pensez qu’on en avait la tête pleine et le cœur aussi. A douze treize ans le cœur gamberge vaillamment...
Rien ne s’est fait en vrai. On ne s’est jamais revus.
Mais dans les fantasmes de mes rêveries, cette Ingrid a probablement sûrement été ma première.
Et je ne vous dis pas tout ce que, année après année, je lui ai fait découvrir. Tout ce que nous avons ensemble vécu, partagé.
Ma main sur elle, juste posée, chaude sur le moite sur le mouillé.
Sa main à elle aussi, crispée sur la dure saillie.
Sa bouche pour recueillir mes épanchements trop précoces hoquetants entre ses lèvres.
La mienne pour manger le bitmini au creux de sa touffe de blonde et boire ses coulettes de fille aimante.
Et tutti quanti
Mais rien ne s’est fait en vrai. Ingrid et moi, on ne s’est jamais revus.
Roland, c’est mon correspondant allemand. Il habitait à Konstanz, am Bodensee. L’été, début juillet, je prenais le Drapeau, Bordeaux/Paris puis, après changement de gare à Paris en taxi, l’express vapeur de nuit, direct jusqu’à Constance.
Normal qu’il y ait eu en ce temps de mon adolescence une liaison directe de Paris jusqu’au Bodensee car nous avions alors, Français, des troupes d’occupation dans ce coin-là.
Un mois plus tard, je reprenais le chemin à l’inverse, avec mon copain allemand, douze ans guère plus lui aussi et pas encore de poil au menton, pour nous retrouver en ma famille sur le Bassin d’Arcachon.
La cousine Ingrid qui fait le titre de cette histoire était une grande. Je veux dire par là qu’elle était largement notre aînée. On était des gamins, quoi...
Elle était de Meersburg, de l’autre côté du lac. Meersburg, Stadt am Bodensee.
Néanmoins elle venait par le gros ferry à vapeur et roues à aubes au lycée de Konstanz, quotidiennement.
Un jour par semaine elle était à table chez nous, cousine, dans la famille de Roland.
Elle était belle avec chevelure claire et yeux bleus et svelte morphologie de Walkyrie. Elle me plaisait.
Le Français n’a pas failli et a embarqué la petite Allemande pour une promenade de mercredi après-midi sur les hauteurs du Lac de Constance.
Sur un banc public, genre Brassens, devant les cygnes barbotant dans l’eau noire, j’ai tripoté ses petits seins. Les premiers seins jamais venus dans mes mains. O qu’ils étaient vivants ces petits seins-là...
Et puis les lèvres d’Ingrid, baveuses indécentes qui parlaient français lors que les miennes langue violeuse entre ses dents aiguës parlaient allemand.
On s’est aimé de jeunesse adolescente à fond et sans retenue.
Ensuite, on s’est écrit, chaque semaine depuis nos pays lointains. L’un en allemand, l’autre en français. Mots d’amour de gamin et de gamine sans sexe ni rien de bien grave. Mais quand même deux trois pages à chaque fois. Pensez qu’on en avait la tête pleine et le cœur aussi. A douze treize ans le cœur gamberge vaillamment...
Rien ne s’est fait en vrai. On ne s’est jamais revus.
Mais dans les fantasmes de mes rêveries, cette Ingrid a probablement sûrement été ma première.
Et je ne vous dis pas tout ce que, année après année, je lui ai fait découvrir. Tout ce que nous avons ensemble vécu, partagé.
Ma main sur elle, juste posée, chaude sur le moite sur le mouillé.
Sa main à elle aussi, crispée sur la dure saillie.
Sa bouche pour recueillir mes épanchements trop précoces hoquetants entre ses lèvres.
La mienne pour manger le bitmini au creux de sa touffe de blonde et boire ses coulettes de fille aimante.
Et tutti quanti
Mais rien ne s’est fait en vrai. Ingrid et moi, on ne s’est jamais revus.
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