Je mouille donc je suis
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2022 dans la catégorie A dormir debout
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Couleur du fond :
Je mouille donc je suis
Le gars était déjà sous mes jupes à chahuter ma culotte de sa bouche ardente. Il était plutôt sympa ce gars-là. Enfin actif. Et sans timidité.
Moi, j’aimais assez.
D’autant que ma culotte, haute sur les hanches, était une culotte sage de coton blanc, sans dentelles ni fioritures. Je faisais assez jeune fille prude … ce qui, entre nous, n’est pas tout à fait mon tempérament. Mais personne ici ne le savait…
Le gars avait une haleine chaude qui baignait mes hauts de cuisses et mon pubis. Mon pubis velu. Le voyait-il, ce velu, à travers le fin coton de la culotte ? Le sentait-il ?
Mon velu toujours gonflait le devant de moi et j’en étais fière.
Mais lui, le voyait-il seulement ? Dans l’obscurité du dessous de mes jupes. Au toucher, peut être ? De nez proéminent chercheur tactile, truffe noire.
J’avais rabattu ma jupe légère dessus sa tête et on ne voyait plus sa tête ses cheveux. Mais seulement des agitations par en dessous.
Mes cuisses étaient ouvertes. Ouvertes largement à la visite laquelle était sympa, très sympa.
Moi je pensais, où cela s’arrêtera-t-il ? Et je ne voulais pas.
Je ne voulais pas que cela s’arrête. Non.
Pourtant il allait me falloir aller en salle de réunion, on m’y attendait, cadre dynamique pour des décisions importantes. Importantes pour l’avenir de l’Entreprise.
Et je marchais vague jupe large et esprit trouble culotte trempée.
Je marchais le long des couloirs en ascenseur puis dans l’antichambre. Mon ventre dégorgeait d’humeurs que je sentais doucement glisser sur mes hauts de cuisse.
En entrant en salle de réunion, tous me mataient comme princesse. Et, en vrai, j’étais bien et bel princesse, ruisselante et irradiante des odeurs dégorgeantes de mon être.
Et ma jupe couvrait largement mes turpitudes. Mais personne n’était dupe. Personne, non.
Le directeur des opérations ne m’a pas laissé prendre ma place à la grande table ovale. Il m’a prise par les épaules et a dit, mademoiselle vous allez faire exposé liminaire sur la marche de la société et le paper board là devant était déjà couvert des courbes et des chiffres requis.
Moi je ne comprenais pas bien quelle était la différence exacte entre liminaire et préliminaire mais j’étais ouverte à l’idée.
Ma jupe virevoltait lors que je présentais les valeurs d’expansion de notre entreprise. Et je me sentais en symbiose cuisses dégoulinantes. Et lieu de me concentrer sur l’avenir flamboyant du chiffre d’affaire, je me repaissais des bienfaits de langue chaude sur mes circonvolutions quelques minutes plus tôt et je pensais, comment y revenir … comment le retrouver ce gars-là ?
Et puis je voyais l’assemblée des cadres attentifs et puis je pensais, qui parmi tous ces mecs saura prendra le relais ?
Et je voyais que tous étaient en starting blocks.
Et j’en mouillais un max … là devant mon paper board ma jupette toute en corolle.
Je suis allée à la table, à ma place, m’asseoir sur ma chaise en relevant la jupe, exposé terminé. Je pensais au bois de la chaise que je marquais tamponnais des parenthèses de mes intimités.
Bois tamponné pour l’éternité.
Les hommes à la table me mataient avec tendresse. Et cela me plaisait bien. Je savais que la réunion aurait une fin et que j’aurai alors opportunités. Plein d’opportunités. Que la vie est belle, ici.
Le temps de vivre disait Moustaki, notre maître à tous.
Moi, j’aimais assez.
D’autant que ma culotte, haute sur les hanches, était une culotte sage de coton blanc, sans dentelles ni fioritures. Je faisais assez jeune fille prude … ce qui, entre nous, n’est pas tout à fait mon tempérament. Mais personne ici ne le savait…
Le gars avait une haleine chaude qui baignait mes hauts de cuisses et mon pubis. Mon pubis velu. Le voyait-il, ce velu, à travers le fin coton de la culotte ? Le sentait-il ?
Mon velu toujours gonflait le devant de moi et j’en étais fière.
Mais lui, le voyait-il seulement ? Dans l’obscurité du dessous de mes jupes. Au toucher, peut être ? De nez proéminent chercheur tactile, truffe noire.
J’avais rabattu ma jupe légère dessus sa tête et on ne voyait plus sa tête ses cheveux. Mais seulement des agitations par en dessous.
Mes cuisses étaient ouvertes. Ouvertes largement à la visite laquelle était sympa, très sympa.
Moi je pensais, où cela s’arrêtera-t-il ? Et je ne voulais pas.
Je ne voulais pas que cela s’arrête. Non.
Pourtant il allait me falloir aller en salle de réunion, on m’y attendait, cadre dynamique pour des décisions importantes. Importantes pour l’avenir de l’Entreprise.
Et je marchais vague jupe large et esprit trouble culotte trempée.
Je marchais le long des couloirs en ascenseur puis dans l’antichambre. Mon ventre dégorgeait d’humeurs que je sentais doucement glisser sur mes hauts de cuisse.
En entrant en salle de réunion, tous me mataient comme princesse. Et, en vrai, j’étais bien et bel princesse, ruisselante et irradiante des odeurs dégorgeantes de mon être.
Et ma jupe couvrait largement mes turpitudes. Mais personne n’était dupe. Personne, non.
Le directeur des opérations ne m’a pas laissé prendre ma place à la grande table ovale. Il m’a prise par les épaules et a dit, mademoiselle vous allez faire exposé liminaire sur la marche de la société et le paper board là devant était déjà couvert des courbes et des chiffres requis.
Moi je ne comprenais pas bien quelle était la différence exacte entre liminaire et préliminaire mais j’étais ouverte à l’idée.
Ma jupe virevoltait lors que je présentais les valeurs d’expansion de notre entreprise. Et je me sentais en symbiose cuisses dégoulinantes. Et lieu de me concentrer sur l’avenir flamboyant du chiffre d’affaire, je me repaissais des bienfaits de langue chaude sur mes circonvolutions quelques minutes plus tôt et je pensais, comment y revenir … comment le retrouver ce gars-là ?
Et puis je voyais l’assemblée des cadres attentifs et puis je pensais, qui parmi tous ces mecs saura prendra le relais ?
Et je voyais que tous étaient en starting blocks.
Et j’en mouillais un max … là devant mon paper board ma jupette toute en corolle.
Je suis allée à la table, à ma place, m’asseoir sur ma chaise en relevant la jupe, exposé terminé. Je pensais au bois de la chaise que je marquais tamponnais des parenthèses de mes intimités.
Bois tamponné pour l’éternité.
Les hommes à la table me mataient avec tendresse. Et cela me plaisait bien. Je savais que la réunion aurait une fin et que j’aurai alors opportunités. Plein d’opportunités. Que la vie est belle, ici.
Le temps de vivre disait Moustaki, notre maître à tous.
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