Je succombe à mon désir de soumission (2/2)
Récit érotique écrit par Marcusix [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Je succombe à mon désir de soumission (2/2)
Je suis rentrée chez moi toute excitée et troublée. Jamal était déjà un bel exemple de mâle et j’imaginais le sexe avec lui grandiose. Mais le plaisir et la satisfaction que Marie ressentait en se soumettant à lui semblait indépendants de tout plaisir sexuel, mais le complétaient pour l’amener à une certaine plénitude. Je l’enviais pour ça.
Une fois mon mari rentré, je me suis jeté sur lui et l’ai baisé comme jamais. Pourtant je n’étais pas satisfaite, et je ne faisais que penser à Jamal. Durant les jours suivants, j’ai pensé à lui en rédigeant mon article de blogue. Plus j’écrivais sur la soumission de Marie, plus j’avais envie de substituer mon nom au sien et de ressentir ce qu’elle ressentait.
A force d’y penser, j’ai décidé de contacter Jamal. Mon idée secrète était de vivre l’expérience une fois. Je me dédouanais envers moi-même en prétextant mon professionnalisme et l’article à écrire.
Quand je téléphonai à Jamal, je ne lui dis rien sur mes désirs et mon excitation, seulement que je souhaitais le revoir pour compléter mon article. Rendez-vous fut pris pour le surlendemain.
Cette fois, le rendez-vous avait lieu chez lui. Il m’ouvrit, il était seul. Nous nous assîmes. Il était vêtu d’un élégant costume. Nous avons discuté sur sa relation avec Marie et la soumission. Il m’expliquait que le plaisir sexuel de Marie était décuplé par la soumission et que si en qualité d’épouse et avant, elle avait des limites, en sa qualité de soumise, ses limites à lui devenaient les siennes à elle.
Il m’expliquait encore que la soumission et la domination n’étaient pas innées mais que chacun pouvait trouver ou non du plaisir à se soumettre ou à dominer. J’étais alors terriblement excitée et ses mots avaient pour effet de me mettre à l’aise.
Ce désir nouveau de me soumettre à lui n’était pas signe d’une déviance ou intrinsèque à mon âme mais n’était qu’un simple désir. Mais un désir qui me hantait plus à chaque instant passé aux côtés de cet homme.
Jamal a dû sentir mon excitation ou lire en moi. Il m’a demandé directement si tels étaient mes désirs. Confuse je lui ai répondu que non, mais à force de me justifier, j’ai finalement révélé que l’idée m’avait effleurée en suite de notre rencontre, puis je lui ai avoué que j’avais fantasmé brièvement sur le sujet.
Il n’avait posé qu’une question mais je m’étais sentie irrésistiblement poussée à m’ouvrir à lui. Pourtant il ne semblait pas étonné. Il me disait qu’être ainsi spontanée était un signe de mon désir de servir. C’était la 1ère fois qu’il verbalisait une éventuelle soumission de ma part envers lui. Et ça m’a fait chaud dans le corps.
Il m’a demandé de lui remettre mon sac à main. Instinctivement, le l’ai saisi pour lui tendre, mais au dernier moment je me suis arrêtée et lui ai demandé pourquoi. Il m’a répondu qu’il voulait fouiller dans ma vie. Sans savoir pourquoi, je me suis levée pour lui remettre mon sac.
Il a regardé dans mon portefeuille, sorti la photo de mon époux, m’a demandé s’il savait que j’étais là. Il l’ignorait. En disant cela, j’admettais que j’étais en situation de faute envers mon époux. Mais à cet instant, cela m’intéressait moins que Jamal.
Il a sorti les préservatifs, les tampons… Toute mon intimité lui était dévoilée. J’étais stressée comme à un examen mais je me disais que c’était le prélude à l’expérience de soumission ; c’était comme un examen et j’espérais vivement une bonne note.
En attendant, j’étais toujours debout ; presque comme si j’attendais sa permission pour m’asseoir. En fait à ce moment précis, je voulais qu’il me donne un ordre et que je sente cet ordre et sa volonté me pousser à lui obéir. Je voulais perdre le contrôle et le lui donner entièrement sur ma personne. Le fait est que je le voulais tellement que c’était devenue une réalité, je ne m’asseyais pas car il ne m’en avait pas donné l’autorisation.
Mais je voulais plus. Je voulais qu’il verbalise sa domination sur moi. Il se leva derrière moi, plaqua sa main contre ma bouche, et mon dos contre son torse et dit :
- Je te sens désireuse de te soumettre.
- …- Tu réalises que la soumission n’est pas que sexuelle mais totale. Tu ne vivras pas que pour ton maître, mais tu te sentiras dépendante de moi et cette dépendance sera en elle-même source de satisfaction et de plénitude pour toi.
- …- Tu réalises que dans ta tête, ton mari deviendra secondaire ; il ne sera plus qu’un ami que tu aimes.
En l’écoutant, je pleurais. Non pas de tristesse, pas d’excitation mais de plénitude à l’idée d’avoir ma place. J’ai donc acquiescé de la tête à tout ce qu’il disait. Et j’étais sincère.
Jamal, mon maître, a commencé à me déshabiller, lentement, vêtement par vêtement, jusqu’à ce que je me retrouve nue. Il m’a revêtu d’un ras-le-cou identique à celui de Marie. Ensuite, il s’est déshabillé ; je lui tournais toujours le dos.
Il s’est à nouveau collé à moi par derrière et tout son corps touchait le mien tandis qu’il me caressait avec ses mains. Il prenait possession de moi, de mon cou, de mes seins, de mes fesses, de mon sexe. Il m’a retourné face à lui, m’a embrassée pour prendre possession de ma bouche.
- Agenouille-toiJe me suis agenouillée, et ce faisant son gland noir et gros glissait contre mon corps.
- Maintenant suce-moi. Mais pas comme tu suces l’homme que tu aimes. Suce mon sexe comme une femme qui adore son maître
J’ai saisi son sexe noir comme si je tenais un trésor. J’étais éprise de Jamal et j’adorais déjà tout de lui, jusqu’à son sexe que j’avais vu sucé par Marie, que j’avais enviée alors. Je l’ai sucé avec passion et amour, encore plus qu’avec mon époux. Je faisais glisser son sexe baveux et ses bourses sur mon visage pour m’imprégner de son odeur et de sa semence. Je me marquais moi-même avec son sexe.
Ses yeux me transperçaient et je m’y reflétais agenouillée devant lui, grand et debout. Il m’a saisi par le menton, m’a relevé, m’a saisi par la main. Au lieu de me contraindre, il m’a demandé ce que je voulais :
- Et maintenant ?
- …Je souhaite sentir mon appartenance au plus profond de moi
J’étais très émue en disant ça. Il m’a fait me mettre à 4 pattes sur la table basse, s’est installé derrière moi, et sans préservatif m’a pénétré le vagin. En sentant son sexe s’enfoncer en moi lentement, j’ai senti certes un plaisir immense, mais une libération. Contradictoirement, sa pénétration marquait sa prise de contrôle sur moi, au dessus de mon mari, mais je me sentais enfin libre d’être moi.
Sa queue me limait de manière délicieuse et le plaisir me chavirait la tête. Je gémissais de plaisir au début puis hurlait de joie intense ensuite. Mais je ne voulais pas perdre la raison pour profiter du moment.
Sans qu’il me le demande, je criais qu’il était mon maître, que j’étais à lui, corps et âme. Sous le coup du plaisir tant physique que mental, j’ai relégué mon mari à la seconde place dans mon cœur.
Son sexe me faisait dire tout ce qu’il voulait entendre car je me sentais aussi femme que soumise avec lui ; jamais un homme ne m’avait comblée ainsi. Je jouissais presqu’en continu quand j’ai enfin senti la jouissance de Jamal m’envahir. Sa semence m’avait envahie et à ce moment là, j’ai perdu la tête et étais heureuse.
Je me suis écroulée sur la table, anéantie par le plaisir. Mon maître s’est assis sur le canapé. De moi-même je me suis trainée jusqu’à lui pour nettoyer son sexe. Je voulais le servir et nettoyer son sexe que j’adorais déjà me semblait évident, alors je l’ai sucé de nouveau et le goût de son sexe avait fusionné avec le goût du mien.
Une fois propre, je n’ai pas pu me décoller de lui. J’étais à genoux, lui assis. Je réalisais ce que j’avais fait et dit. J’étais encore embrouillée par le plaisir, mais suffisamment alerte pour constater que mon désir de soumission était bien réel. J’ai de nouveau pleuré en me demandant comment mon époux allait réagir et comment j’allais lui annoncer que sa femme appartenait désormais à un autre homme.
Une fois mon mari rentré, je me suis jeté sur lui et l’ai baisé comme jamais. Pourtant je n’étais pas satisfaite, et je ne faisais que penser à Jamal. Durant les jours suivants, j’ai pensé à lui en rédigeant mon article de blogue. Plus j’écrivais sur la soumission de Marie, plus j’avais envie de substituer mon nom au sien et de ressentir ce qu’elle ressentait.
A force d’y penser, j’ai décidé de contacter Jamal. Mon idée secrète était de vivre l’expérience une fois. Je me dédouanais envers moi-même en prétextant mon professionnalisme et l’article à écrire.
Quand je téléphonai à Jamal, je ne lui dis rien sur mes désirs et mon excitation, seulement que je souhaitais le revoir pour compléter mon article. Rendez-vous fut pris pour le surlendemain.
Cette fois, le rendez-vous avait lieu chez lui. Il m’ouvrit, il était seul. Nous nous assîmes. Il était vêtu d’un élégant costume. Nous avons discuté sur sa relation avec Marie et la soumission. Il m’expliquait que le plaisir sexuel de Marie était décuplé par la soumission et que si en qualité d’épouse et avant, elle avait des limites, en sa qualité de soumise, ses limites à lui devenaient les siennes à elle.
Il m’expliquait encore que la soumission et la domination n’étaient pas innées mais que chacun pouvait trouver ou non du plaisir à se soumettre ou à dominer. J’étais alors terriblement excitée et ses mots avaient pour effet de me mettre à l’aise.
Ce désir nouveau de me soumettre à lui n’était pas signe d’une déviance ou intrinsèque à mon âme mais n’était qu’un simple désir. Mais un désir qui me hantait plus à chaque instant passé aux côtés de cet homme.
Jamal a dû sentir mon excitation ou lire en moi. Il m’a demandé directement si tels étaient mes désirs. Confuse je lui ai répondu que non, mais à force de me justifier, j’ai finalement révélé que l’idée m’avait effleurée en suite de notre rencontre, puis je lui ai avoué que j’avais fantasmé brièvement sur le sujet.
Il n’avait posé qu’une question mais je m’étais sentie irrésistiblement poussée à m’ouvrir à lui. Pourtant il ne semblait pas étonné. Il me disait qu’être ainsi spontanée était un signe de mon désir de servir. C’était la 1ère fois qu’il verbalisait une éventuelle soumission de ma part envers lui. Et ça m’a fait chaud dans le corps.
Il m’a demandé de lui remettre mon sac à main. Instinctivement, le l’ai saisi pour lui tendre, mais au dernier moment je me suis arrêtée et lui ai demandé pourquoi. Il m’a répondu qu’il voulait fouiller dans ma vie. Sans savoir pourquoi, je me suis levée pour lui remettre mon sac.
Il a regardé dans mon portefeuille, sorti la photo de mon époux, m’a demandé s’il savait que j’étais là. Il l’ignorait. En disant cela, j’admettais que j’étais en situation de faute envers mon époux. Mais à cet instant, cela m’intéressait moins que Jamal.
Il a sorti les préservatifs, les tampons… Toute mon intimité lui était dévoilée. J’étais stressée comme à un examen mais je me disais que c’était le prélude à l’expérience de soumission ; c’était comme un examen et j’espérais vivement une bonne note.
En attendant, j’étais toujours debout ; presque comme si j’attendais sa permission pour m’asseoir. En fait à ce moment précis, je voulais qu’il me donne un ordre et que je sente cet ordre et sa volonté me pousser à lui obéir. Je voulais perdre le contrôle et le lui donner entièrement sur ma personne. Le fait est que je le voulais tellement que c’était devenue une réalité, je ne m’asseyais pas car il ne m’en avait pas donné l’autorisation.
Mais je voulais plus. Je voulais qu’il verbalise sa domination sur moi. Il se leva derrière moi, plaqua sa main contre ma bouche, et mon dos contre son torse et dit :
- Je te sens désireuse de te soumettre.
- …- Tu réalises que la soumission n’est pas que sexuelle mais totale. Tu ne vivras pas que pour ton maître, mais tu te sentiras dépendante de moi et cette dépendance sera en elle-même source de satisfaction et de plénitude pour toi.
- …- Tu réalises que dans ta tête, ton mari deviendra secondaire ; il ne sera plus qu’un ami que tu aimes.
En l’écoutant, je pleurais. Non pas de tristesse, pas d’excitation mais de plénitude à l’idée d’avoir ma place. J’ai donc acquiescé de la tête à tout ce qu’il disait. Et j’étais sincère.
Jamal, mon maître, a commencé à me déshabiller, lentement, vêtement par vêtement, jusqu’à ce que je me retrouve nue. Il m’a revêtu d’un ras-le-cou identique à celui de Marie. Ensuite, il s’est déshabillé ; je lui tournais toujours le dos.
Il s’est à nouveau collé à moi par derrière et tout son corps touchait le mien tandis qu’il me caressait avec ses mains. Il prenait possession de moi, de mon cou, de mes seins, de mes fesses, de mon sexe. Il m’a retourné face à lui, m’a embrassée pour prendre possession de ma bouche.
- Agenouille-toiJe me suis agenouillée, et ce faisant son gland noir et gros glissait contre mon corps.
- Maintenant suce-moi. Mais pas comme tu suces l’homme que tu aimes. Suce mon sexe comme une femme qui adore son maître
J’ai saisi son sexe noir comme si je tenais un trésor. J’étais éprise de Jamal et j’adorais déjà tout de lui, jusqu’à son sexe que j’avais vu sucé par Marie, que j’avais enviée alors. Je l’ai sucé avec passion et amour, encore plus qu’avec mon époux. Je faisais glisser son sexe baveux et ses bourses sur mon visage pour m’imprégner de son odeur et de sa semence. Je me marquais moi-même avec son sexe.
Ses yeux me transperçaient et je m’y reflétais agenouillée devant lui, grand et debout. Il m’a saisi par le menton, m’a relevé, m’a saisi par la main. Au lieu de me contraindre, il m’a demandé ce que je voulais :
- Et maintenant ?
- …Je souhaite sentir mon appartenance au plus profond de moi
J’étais très émue en disant ça. Il m’a fait me mettre à 4 pattes sur la table basse, s’est installé derrière moi, et sans préservatif m’a pénétré le vagin. En sentant son sexe s’enfoncer en moi lentement, j’ai senti certes un plaisir immense, mais une libération. Contradictoirement, sa pénétration marquait sa prise de contrôle sur moi, au dessus de mon mari, mais je me sentais enfin libre d’être moi.
Sa queue me limait de manière délicieuse et le plaisir me chavirait la tête. Je gémissais de plaisir au début puis hurlait de joie intense ensuite. Mais je ne voulais pas perdre la raison pour profiter du moment.
Sans qu’il me le demande, je criais qu’il était mon maître, que j’étais à lui, corps et âme. Sous le coup du plaisir tant physique que mental, j’ai relégué mon mari à la seconde place dans mon cœur.
Son sexe me faisait dire tout ce qu’il voulait entendre car je me sentais aussi femme que soumise avec lui ; jamais un homme ne m’avait comblée ainsi. Je jouissais presqu’en continu quand j’ai enfin senti la jouissance de Jamal m’envahir. Sa semence m’avait envahie et à ce moment là, j’ai perdu la tête et étais heureuse.
Je me suis écroulée sur la table, anéantie par le plaisir. Mon maître s’est assis sur le canapé. De moi-même je me suis trainée jusqu’à lui pour nettoyer son sexe. Je voulais le servir et nettoyer son sexe que j’adorais déjà me semblait évident, alors je l’ai sucé de nouveau et le goût de son sexe avait fusionné avec le goût du mien.
Une fois propre, je n’ai pas pu me décoller de lui. J’étais à genoux, lui assis. Je réalisais ce que j’avais fait et dit. J’étais encore embrouillée par le plaisir, mais suffisamment alerte pour constater que mon désir de soumission était bien réel. J’ai de nouveau pleuré en me demandant comment mon époux allait réagir et comment j’allais lui annoncer que sa femme appartenait désormais à un autre homme.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
En tant que QOS je me retrouve complètement dans cette histoire...♠️
J'ai adoré 😊
Très belle histoire, envoûtante,passionnante et surtout très excitante...Y a t'il une suite de prévue ? Bravo à l'auteur (e).