Titre de l'histoire érotique : Camping cocu
Récit érotique écrit par Marcusix [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Camping cocu
Caroline et moi nous sommes mariés il y a 3 ans, à l’âge de 20 ans. Nous nous somme connus à la fac, très vite tombés amoureux l’un de l’autre et mariés. La vie de couple se déroulait parfaitement et rien ne laissait présager ce qui s’est passé lors de nos dernières vacances d’été.
Nous sommes partis en vacances dans un camping en Provence. Nous participions au maximum d’activités sportives et sociales. Ce faisant, nous rencontrions beaucoup de monde, dont une personne en particulier, Gérard.
Gérard avait 52 ans et lui et moi nous sommes très rapidement entendus car nous avions le même humour. Au fil des jours, nous nous sommes rapprochés et avons appris à nous connaître : il était venu seul car célibataire, facteur… Physiquement, il était bedonnant, dégarni, mais l’air jovial et sympathique. On déjeunait régulièrement ensemble dans la caravane qu’il louait. Il devait être content d’avoir trouvé des amis pour passer l’été avec lui.
Les premières semaines sont passées très agréablement.
Puis est venu le soir du 14 juillet à l’occasion duquel était organisé un bal dansant avec un feu d’artifice visible depuis le camping. M’étant beaucoup dépensé physiquement durant l’après midi dans le cadre des activités, j’ai rapidement dû arrêter de danser avec ma femme et Gérard m’a remplacé pour accompagner Caroline qui adore, elle, danser.
Ils riaient beaucoup, dansaient et semblaient très proches. Même trop proches par instants. Il y avait du monde donc je ne les voyais pas toujours distinctement. Mais je distinguais des gestes équivoques de Gérard : des petits baisers, des mains sur ses fesses… Il arrivait à Caroline de se mettre dos à lui et de faire des mouvements de bassin suggestifs. Rien de bien affolant à notre époque, si l’homme en question avait été son mari.
Je sentais une boule dans mon ventre au fur et à mesure de leur complicité grandissante.
Après une dizaine de chansons, j’ai cru voir Gérard glisser un mot à l’oreille de ma femme, la voir sourire, et partir main dans la main de la piste de danse. Me situant à l’opposé de la piste, il m’a fallu deux minutes pour en faire le tour en marchant dans la foule. Une fois de l’autre côté, je suis resté en retrait pour les regarder. Ils discutaient gentiment
Puis soudain j’ai vu Caroline se coller à lui, passer ses bras autour de son cou et l’embrasser fougueusement. J’en suis presque tombé à terre tant le choc a été grand. Gérard n’est pas resté sans rien faire car il répondait à ce baiser et la saisissait par les fesses pour la coller à lui. Etant plus petite, elle était sur la pointe des pieds. De là où j’étais, je pouvais voir qu’ils mettaient la langue dans la bouche de l’autre.
Ils se sont plotés pendant 5 minutes avant de s’éloigner encore plus de la piste de danse. Je les suivais discrètement. Je ne comprenais pas comment cela avait pu arriver ; ma femme me trompant, et avec un homme âgé de plus du double de notre âge.
Ils s’éloignaient toujours, s’arrêtant pour s’embrasser encore plus et se frotter l’un à l’autre. Je suivais comme un zombie sans parvenir à réaliser ce que je voyais. Ils continuaient leur chemin en amoureux passionnés l’un de l’autre.
Aucun doute ne fut plus permis quand j’ai vu Gérard s'adosser à une caravane, baisser son pantalon et sortir un sexe imposant. Caroline a regardé autour d’elle et, d’elle-même, s’est agenouillée et a entamé une fellation. Même s’il n’y avait que peu de lumière, je pouvais constater qu’elle prenait du plaisir à le lécher et qu’il aimait ça. Il avait posé sa main sur sa tête et elle pompait son dard avec énergie. Elle ne ménageait pas ses efforts pour enfoncer cette queue dans sa gorge et la lécher à loisir.
Je voyais ainsi ma femme, celle avec qui nous parlions enfants, à genoux face à un ami en train de me tromper, sans aucun remord apparent. Ma boule au ventre s’est amplifiée et j’en avais physiquement mal.
Elle s’est relevée, a embrassé amoureusement Gérard puis ils sont repartis. Ils sont finalement arrivés à la caravane de Gérard. Une fois entrés, je me suis précipité à la fenêtre de la chambre. Les stores étaient tirés mais pas complètement et j’ai pu voir ce qu’il s’y passait.
Caroline s’est lascivement déshabillée tandis que Gérard se masturbait en l’admirant. Elle s’est allongée, en culotte, sur le lit et a commencé à frotter le tissu sur sa vulve. Elle semblait haleter de plaisir. Gérard n’en manquait pas un bout. Elle a retiré sa culotte et l’a lancée à son amant qui l’a pressée contre son nez pour sentir l’odeur intime de ma femme.
Ma femme avait les cuisses largement écartées et faisait un signe à Gérard pour qu’il vienne lui lécher la chatte. Il s’est exécuté et je voyais sa langue recouvrir entièrement son sexe et laper son jus. Le corps de Caroline était tendu ce qui trahissait un plaisir certain. Je sais que quand ses gestes se font erratiques elle est proche de l’orgasme.
Et elle a joui superbement. Malgré moi, je ne pouvais m’empêcher d’admirer cette scène magnifique. Je trouvais beau et excitant de voir ma femme me tromper ainsi. J’avais du mal à réaliser mon trouble face à la situation mais sans y réfléchir, j’ai saisi mon pénis et me suis masturbé en regardant ma femme. J’ai éjaculé rapidement contre la caravane.
Mais l’action continuait à l’intérieur et Caroline s’est mise à 4 pattes sur le lit. Gérard s’est placé derrière elle. Je ne croyais pas à ce que je voyais : ma femme avait porté sa main à son sexe puis à son anus comme pour le lubrifier. Alors que je ne l’ai jamais sodomisée, lui allait le faire. Et il l’a fait, sans plus de préparation. Il l’a embroché d’un coup. Et elle n’a même pas bronché. Au contraire, elle semblait avoir pris du plaisir à se faire sodomiser avec force.
Ses mouvements de bassin enfonçaient cette queue immense dans son cul et je la voyais ouvrir la bouche de plaisir à chaque pénétration. J’étais affligé et dévasté de la voir jouir avec un autre homme que moi, mais dans le même temps j’avais moi-même éjaculé très rapidement en la voyant se donner à un autre.
A quatre pattes sur le lit, ses seins lourds ballottaient dans tous les sens tant le rythme de la pénétration était intense. Chaque partie crispée de son corps montrait le plaisir ressenti.
Un instant je me suis éloigné de l’autre côté du chemin car des campeurs passaient. Ils ont vu la caravane remuer et ont ri de bon cœur en émettant des commentaires salaces. Ca m’a excité encore plus malgré moi.
Le visage de Gérard s’est tendu au maximum et les va-et-vient se sont interrompus. J’ai compris qu’il venait de jouir en elle. Et sans préservatif qui plus est… La tromperie était totale.
Gérard s’est écroulé sur son lit à côté de ma femme encore pantelante. Elle s’est allongée sur lui mettant ses cuisses de chaque côté de son corps. Elle embrassait son torse velu puis sa bouche. Il se dégageait une telle intimité entre eux que j’avais presque l’impression de ne pas être à ma place à les regarder. C’est comme si je brisais leur intimité.
Caroline s’est finalement replantée sur sa verge encore en érection. Elle en voulait encore. Ses mouvements de bassin sur celui de Gérard étaient langoureux et sa poitrine se tenait fièrement devant elle.
Le feu d’artifice fini, j’ai pu discerner des mots prononcés par ma femme à son amant : « chéri », « c’est bon »,…
« Mon amour »
Sa bouche et son visage radieux marqué par la plénitude sexuelle avaient mis le point final à la tromperie. Et pourtant, je suis resté là à les observer avec émerveillement. Je me suis maudit de ma passivité. Je lui en voulais de m’avoir trahi et je m’en voulais d’en tirer du plaisir. J’avais mal au ventre et au cœur et pourtant je bandais encore.
Le coït a finalement pris fin quand elle s’est effondrée sur son ventre et qu’ils se sont endormis dans cette position. Le visage de Caroline arborait un large sourire de satisfaction et de bien être.
Je suis retourné à notre caravane sans pouvoir dormir avant plusieurs heures. A mon réveil, Caroline était allongée à côté de moi, nue. Je me suis demandé si j’avais rêvé mais en me penchant sur sa chatte, j’ai clairement senti une odeur de sexe et de sperme (dont il restait des traces séchées). J’ai eu envie de la lécher et de fourrer ma tête entre ses cuisses comme pour couvrir ma honte.
Nous sommes partis en vacances dans un camping en Provence. Nous participions au maximum d’activités sportives et sociales. Ce faisant, nous rencontrions beaucoup de monde, dont une personne en particulier, Gérard.
Gérard avait 52 ans et lui et moi nous sommes très rapidement entendus car nous avions le même humour. Au fil des jours, nous nous sommes rapprochés et avons appris à nous connaître : il était venu seul car célibataire, facteur… Physiquement, il était bedonnant, dégarni, mais l’air jovial et sympathique. On déjeunait régulièrement ensemble dans la caravane qu’il louait. Il devait être content d’avoir trouvé des amis pour passer l’été avec lui.
Les premières semaines sont passées très agréablement.
Puis est venu le soir du 14 juillet à l’occasion duquel était organisé un bal dansant avec un feu d’artifice visible depuis le camping. M’étant beaucoup dépensé physiquement durant l’après midi dans le cadre des activités, j’ai rapidement dû arrêter de danser avec ma femme et Gérard m’a remplacé pour accompagner Caroline qui adore, elle, danser.
Ils riaient beaucoup, dansaient et semblaient très proches. Même trop proches par instants. Il y avait du monde donc je ne les voyais pas toujours distinctement. Mais je distinguais des gestes équivoques de Gérard : des petits baisers, des mains sur ses fesses… Il arrivait à Caroline de se mettre dos à lui et de faire des mouvements de bassin suggestifs. Rien de bien affolant à notre époque, si l’homme en question avait été son mari.
Je sentais une boule dans mon ventre au fur et à mesure de leur complicité grandissante.
Après une dizaine de chansons, j’ai cru voir Gérard glisser un mot à l’oreille de ma femme, la voir sourire, et partir main dans la main de la piste de danse. Me situant à l’opposé de la piste, il m’a fallu deux minutes pour en faire le tour en marchant dans la foule. Une fois de l’autre côté, je suis resté en retrait pour les regarder. Ils discutaient gentiment
Puis soudain j’ai vu Caroline se coller à lui, passer ses bras autour de son cou et l’embrasser fougueusement. J’en suis presque tombé à terre tant le choc a été grand. Gérard n’est pas resté sans rien faire car il répondait à ce baiser et la saisissait par les fesses pour la coller à lui. Etant plus petite, elle était sur la pointe des pieds. De là où j’étais, je pouvais voir qu’ils mettaient la langue dans la bouche de l’autre.
Ils se sont plotés pendant 5 minutes avant de s’éloigner encore plus de la piste de danse. Je les suivais discrètement. Je ne comprenais pas comment cela avait pu arriver ; ma femme me trompant, et avec un homme âgé de plus du double de notre âge.
Ils s’éloignaient toujours, s’arrêtant pour s’embrasser encore plus et se frotter l’un à l’autre. Je suivais comme un zombie sans parvenir à réaliser ce que je voyais. Ils continuaient leur chemin en amoureux passionnés l’un de l’autre.
Aucun doute ne fut plus permis quand j’ai vu Gérard s'adosser à une caravane, baisser son pantalon et sortir un sexe imposant. Caroline a regardé autour d’elle et, d’elle-même, s’est agenouillée et a entamé une fellation. Même s’il n’y avait que peu de lumière, je pouvais constater qu’elle prenait du plaisir à le lécher et qu’il aimait ça. Il avait posé sa main sur sa tête et elle pompait son dard avec énergie. Elle ne ménageait pas ses efforts pour enfoncer cette queue dans sa gorge et la lécher à loisir.
Je voyais ainsi ma femme, celle avec qui nous parlions enfants, à genoux face à un ami en train de me tromper, sans aucun remord apparent. Ma boule au ventre s’est amplifiée et j’en avais physiquement mal.
Elle s’est relevée, a embrassé amoureusement Gérard puis ils sont repartis. Ils sont finalement arrivés à la caravane de Gérard. Une fois entrés, je me suis précipité à la fenêtre de la chambre. Les stores étaient tirés mais pas complètement et j’ai pu voir ce qu’il s’y passait.
Caroline s’est lascivement déshabillée tandis que Gérard se masturbait en l’admirant. Elle s’est allongée, en culotte, sur le lit et a commencé à frotter le tissu sur sa vulve. Elle semblait haleter de plaisir. Gérard n’en manquait pas un bout. Elle a retiré sa culotte et l’a lancée à son amant qui l’a pressée contre son nez pour sentir l’odeur intime de ma femme.
Ma femme avait les cuisses largement écartées et faisait un signe à Gérard pour qu’il vienne lui lécher la chatte. Il s’est exécuté et je voyais sa langue recouvrir entièrement son sexe et laper son jus. Le corps de Caroline était tendu ce qui trahissait un plaisir certain. Je sais que quand ses gestes se font erratiques elle est proche de l’orgasme.
Et elle a joui superbement. Malgré moi, je ne pouvais m’empêcher d’admirer cette scène magnifique. Je trouvais beau et excitant de voir ma femme me tromper ainsi. J’avais du mal à réaliser mon trouble face à la situation mais sans y réfléchir, j’ai saisi mon pénis et me suis masturbé en regardant ma femme. J’ai éjaculé rapidement contre la caravane.
Mais l’action continuait à l’intérieur et Caroline s’est mise à 4 pattes sur le lit. Gérard s’est placé derrière elle. Je ne croyais pas à ce que je voyais : ma femme avait porté sa main à son sexe puis à son anus comme pour le lubrifier. Alors que je ne l’ai jamais sodomisée, lui allait le faire. Et il l’a fait, sans plus de préparation. Il l’a embroché d’un coup. Et elle n’a même pas bronché. Au contraire, elle semblait avoir pris du plaisir à se faire sodomiser avec force.
Ses mouvements de bassin enfonçaient cette queue immense dans son cul et je la voyais ouvrir la bouche de plaisir à chaque pénétration. J’étais affligé et dévasté de la voir jouir avec un autre homme que moi, mais dans le même temps j’avais moi-même éjaculé très rapidement en la voyant se donner à un autre.
A quatre pattes sur le lit, ses seins lourds ballottaient dans tous les sens tant le rythme de la pénétration était intense. Chaque partie crispée de son corps montrait le plaisir ressenti.
Un instant je me suis éloigné de l’autre côté du chemin car des campeurs passaient. Ils ont vu la caravane remuer et ont ri de bon cœur en émettant des commentaires salaces. Ca m’a excité encore plus malgré moi.
Le visage de Gérard s’est tendu au maximum et les va-et-vient se sont interrompus. J’ai compris qu’il venait de jouir en elle. Et sans préservatif qui plus est… La tromperie était totale.
Gérard s’est écroulé sur son lit à côté de ma femme encore pantelante. Elle s’est allongée sur lui mettant ses cuisses de chaque côté de son corps. Elle embrassait son torse velu puis sa bouche. Il se dégageait une telle intimité entre eux que j’avais presque l’impression de ne pas être à ma place à les regarder. C’est comme si je brisais leur intimité.
Caroline s’est finalement replantée sur sa verge encore en érection. Elle en voulait encore. Ses mouvements de bassin sur celui de Gérard étaient langoureux et sa poitrine se tenait fièrement devant elle.
Le feu d’artifice fini, j’ai pu discerner des mots prononcés par ma femme à son amant : « chéri », « c’est bon »,…
« Mon amour »
Sa bouche et son visage radieux marqué par la plénitude sexuelle avaient mis le point final à la tromperie. Et pourtant, je suis resté là à les observer avec émerveillement. Je me suis maudit de ma passivité. Je lui en voulais de m’avoir trahi et je m’en voulais d’en tirer du plaisir. J’avais mal au ventre et au cœur et pourtant je bandais encore.
Le coït a finalement pris fin quand elle s’est effondrée sur son ventre et qu’ils se sont endormis dans cette position. Le visage de Caroline arborait un large sourire de satisfaction et de bien être.
Je suis retourné à notre caravane sans pouvoir dormir avant plusieurs heures. A mon réveil, Caroline était allongée à côté de moi, nue. Je me suis demandé si j’avais rêvé mais en me penchant sur sa chatte, j’ai clairement senti une odeur de sexe et de sperme (dont il restait des traces séchées). J’ai eu envie de la lécher et de fourrer ma tête entre ses cuisses comme pour couvrir ma honte.
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12 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire qui pourrait tout aussi être réelle vu la simplicité de la situation et les natures humaines...Beaucoup de personnes y trouveraient un fantasme qui se réaliserait...félicitations pour le fond et la forme
Ces dernières lectures nous ont excessivement excité, enfin surtout moi. Notre expérience avec les autres se résumait au naturisme, entre nous par contre sinon c'est très chaud. J'étais décider à partager l'antre de mon épouse à l’occasion de son 26ème anniversaire, en ce début de juillet. Mon épouse émettait quelques réserves sur l'hygiène, je suis resté ferme sinon c'était sûr, cela allait tout capoter.
Je l'ai harcelée de sexe et dans les affres du plaisir je lui soumettais mon projet, j'ai fini par la convaincre qu'elle se donnerai sans capote. Une promesse que je lui fis répéter plusieurs fois pour éviter toutes échappatoires.
J'ai rapidement prospecté les lieux d'échanges près du camping où nous allions. La seul précaution a été de prendre plusieurs tube de gel intime et accessoire de bondage rapide (elle adore cela). Nous sommes arrivée dans l'après midi, j'ai laissé mon épouse se reposer jusqu'au soir. Je l'ai réveillé en lui appliquant du gel intime sur et dans son sexe, cela me donna un avant gout.
C'était en robe tube sans autres type de tissus et moi aussi short et tee-shirt que nous partîmes. Nous sommes arrivés sur l'air un peu tôt il n'y avait personne a part nous 2. Un peu déçus. Pour éviter l'échec, j'ai entrepris de remonter la robe tube et commencer un échauffement intime. Elle était un peu tendu mais son intimité était trempé le gel y était pour quelques choses. Mes taquineries la désinhiba, elle devint chaude au point que j'adore parce qu'elle n'a plus de limite. C'est là qu'elle demande d'être attachée, je lui proposais les menottes et les pinces. Elle me donna sa robe et se tourna pour lui mettre le menottes. A ce moment un mec se présenta, il semblait voyeur. Je jouais avec ses seins pour les préparer aux pinces. Son excitation grandissait, la pose de ces petits étaux la rend pratiquement folle de désir. Elle était fière, bondant le torse pour exhiber ses petits seins légèrement meurtries, cela avait sur elle un effet jouissif sur son intimité, elle pissait de plaisir.
Elle me demanda de serrer très fort. Elle commença par un petit oui, qui s'amplifia jusqu'au "Oui, sans capote" ...
Elle avança en direction du voyeur qui avait son sexe en main. Elle lui parla, "Tu me baises?" Il ne dit rien mais il se désapa et il s'apprêtait à mettre une capote. Elle intervient "Non pas de capote, je veux sentir ton sperme en moi, dans mon sexe, dans mon cul, dans ma bouche!". Elle se retourna pour qu'il la prenne par derrière, Elle se pencha en avant pour mettre mon sexe en bouche. J'ai vu le plaisir du mec d'empaler ma douce. Mes mains alternaient entre soutenir sa tête et tirer ses seins.
Le mec a pris son temps pour éjaculer, quand il commença j'ai senti le corps de mon épouse vibrer. J'étais moi aussi comblé, heureux parce qu'elle y prenait un immense plaisir. La nuit commençait, des mecs approchaient. Elle n'a jamais demandé de libérer ses mains menottées, par contre pour ses seins oh la la! C’était ce qui la maintenait en état d'excitation. Voilà, j'ai enfin quelques à conter
Je l'ai harcelée de sexe et dans les affres du plaisir je lui soumettais mon projet, j'ai fini par la convaincre qu'elle se donnerai sans capote. Une promesse que je lui fis répéter plusieurs fois pour éviter toutes échappatoires.
J'ai rapidement prospecté les lieux d'échanges près du camping où nous allions. La seul précaution a été de prendre plusieurs tube de gel intime et accessoire de bondage rapide (elle adore cela). Nous sommes arrivée dans l'après midi, j'ai laissé mon épouse se reposer jusqu'au soir. Je l'ai réveillé en lui appliquant du gel intime sur et dans son sexe, cela me donna un avant gout.
C'était en robe tube sans autres type de tissus et moi aussi short et tee-shirt que nous partîmes. Nous sommes arrivés sur l'air un peu tôt il n'y avait personne a part nous 2. Un peu déçus. Pour éviter l'échec, j'ai entrepris de remonter la robe tube et commencer un échauffement intime. Elle était un peu tendu mais son intimité était trempé le gel y était pour quelques choses. Mes taquineries la désinhiba, elle devint chaude au point que j'adore parce qu'elle n'a plus de limite. C'est là qu'elle demande d'être attachée, je lui proposais les menottes et les pinces. Elle me donna sa robe et se tourna pour lui mettre le menottes. A ce moment un mec se présenta, il semblait voyeur. Je jouais avec ses seins pour les préparer aux pinces. Son excitation grandissait, la pose de ces petits étaux la rend pratiquement folle de désir. Elle était fière, bondant le torse pour exhiber ses petits seins légèrement meurtries, cela avait sur elle un effet jouissif sur son intimité, elle pissait de plaisir.
Elle me demanda de serrer très fort. Elle commença par un petit oui, qui s'amplifia jusqu'au "Oui, sans capote" ...
Elle avança en direction du voyeur qui avait son sexe en main. Elle lui parla, "Tu me baises?" Il ne dit rien mais il se désapa et il s'apprêtait à mettre une capote. Elle intervient "Non pas de capote, je veux sentir ton sperme en moi, dans mon sexe, dans mon cul, dans ma bouche!". Elle se retourna pour qu'il la prenne par derrière, Elle se pencha en avant pour mettre mon sexe en bouche. J'ai vu le plaisir du mec d'empaler ma douce. Mes mains alternaient entre soutenir sa tête et tirer ses seins.
Le mec a pris son temps pour éjaculer, quand il commença j'ai senti le corps de mon épouse vibrer. J'étais moi aussi comblé, heureux parce qu'elle y prenait un immense plaisir. La nuit commençait, des mecs approchaient. Elle n'a jamais demandé de libérer ses mains menottées, par contre pour ses seins oh la la! C’était ce qui la maintenait en état d'excitation. Voilà, j'ai enfin quelques à conter
J'ai eu la surprise de ma vie, ce soir là au camping, c'était mon tour de faire la vaisselle dans le lavoir du camping à coté des sanitaires. J'entendais des bruits suspects même si c'était très étouffé. Par curiosité malsaine je me suis approché de la porte de la cabine de douche mal fermée. Je reconnu la petite voix de ma femme en pleine jouissance. J'ouvris la porte, l'apothéose venait de finir. Ils se retournaient, elle était bien là.
Je n’eus d'yeux que sur son sexe dégorgeant de sperme. Le mec rompit le silence, "Elle est trop bonne, tu peux te la faire".
Elle n'osait bouger. J'ai pris la place pour la baiser dans cette chatte encombrée de foutre. Je lui triturais les seins sans ménagement, elle finit par miauler de plaisir. Au finale, je me suis accroupie pour passer ma langue entre ses petites lèvres gorgées de sperme.
La porte était ouverte depuis un petit moment, 2 spectateurs nous regardaient. en sortant je leur dis "Elle est trop bonne, vous pouvez vous la faire". Je me suis écarté en emportant ses vêtements, je la condamnais à une réclusion de débauche sexuelle.
Durant ce temps, il eut une jeune femme venant en toute innocence faire sa vaisselle. Intriguée, je lui expliquais que les lavabos étaient momentanément privatisés. Sans vouloir comprendre elle força le passage, elle comprit l'ambiance lorsqu'elle fut proche, elle n'osa pas partir, au lavabo, je commencé à la peloter, elle ne me repoussa pas. Elle fit la vaisselle tandis que je lui retirais sa culotte pour la prendre en levrette. Elle s'arrêtait un instant lorsque je me suis agrippé à ses seins. Un instant de bonheur!. Elle repartit en me remerciant, j’eus juste le réflexe de la retenir un peu le temps pour sucer son clito et mordiller ses petites lèvres.
Peu de temps après mon épouse fut libérée, plus de prétendant. Je lui interdis de prendre une douche, j'ai joué toute la nuit dans la tente avec mon "sac à foutres" tandis qu'elle dormait...
J'ai retrouvé la belle inconnue, elle était revenue au lavabo, elle se mettait nue pour faire la vaisselle offrant sa croupe de façon si provocante que nul ne puisse résister, bien sur accompagnée de ma femme...
Je n’eus d'yeux que sur son sexe dégorgeant de sperme. Le mec rompit le silence, "Elle est trop bonne, tu peux te la faire".
Elle n'osait bouger. J'ai pris la place pour la baiser dans cette chatte encombrée de foutre. Je lui triturais les seins sans ménagement, elle finit par miauler de plaisir. Au finale, je me suis accroupie pour passer ma langue entre ses petites lèvres gorgées de sperme.
La porte était ouverte depuis un petit moment, 2 spectateurs nous regardaient. en sortant je leur dis "Elle est trop bonne, vous pouvez vous la faire". Je me suis écarté en emportant ses vêtements, je la condamnais à une réclusion de débauche sexuelle.
Durant ce temps, il eut une jeune femme venant en toute innocence faire sa vaisselle. Intriguée, je lui expliquais que les lavabos étaient momentanément privatisés. Sans vouloir comprendre elle força le passage, elle comprit l'ambiance lorsqu'elle fut proche, elle n'osa pas partir, au lavabo, je commencé à la peloter, elle ne me repoussa pas. Elle fit la vaisselle tandis que je lui retirais sa culotte pour la prendre en levrette. Elle s'arrêtait un instant lorsque je me suis agrippé à ses seins. Un instant de bonheur!. Elle repartit en me remerciant, j’eus juste le réflexe de la retenir un peu le temps pour sucer son clito et mordiller ses petites lèvres.
Peu de temps après mon épouse fut libérée, plus de prétendant. Je lui interdis de prendre une douche, j'ai joué toute la nuit dans la tente avec mon "sac à foutres" tandis qu'elle dormait...
J'ai retrouvé la belle inconnue, elle était revenue au lavabo, elle se mettait nue pour faire la vaisselle offrant sa croupe de façon si provocante que nul ne puisse résister, bien sur accompagnée de ma femme...
J'ai toujours eu des maillots bains très provoquant, j'adore allumer les hommes à rendre jaloux mon mec. Bien sûr je reçois nombre de mots salaces, je reste hautaine enfin juste un geste ultra rapide sur mon mini maillot pour qu'ils voient fugacement mes fesses. La plupart du temps je ne prête pas attention aux invitations de jambes en l'air!
Mais cette fois-là, j'ai senti une pulsion, à l'invitation à les rejoindre aux douches à la nuit tombant, je me suis retournée. Je leur ai fais un clin d’œil en abaissant ma petite culotte, mon sexe bien visible avec mon clito arborant d'un brillant.
J'en parle à mon homme qui je suis "harcelée par des mecs" avec mon air aguicheuse, très vite il boit mon sexe. Il me traite de salope, je lui avoue que j'ai trop envie! Il est d'accord à condition que se soit irrémédiable, il m'explique que je devienne une salope publique!
L'après-midi, j'ai suivi mon époux chez un tatoueur. Je fus marquée sur le pubis "Entrée libre" avec une flèche sans équivoque vers mon sexe. Le tatoueur fut le 1er bénéficiaire.
Le soir très tard, mon époux m'ordonne de me mettre totalement nue pour allez aux douches, a cet effet il m'arrache mon slip de bain. il me laisse enlever mon haut. Il m'accompagne, le petit groupe est là. Il me pousse vers en clamant "faites-en une salope accomplie, baisez-là, elle m'a assez énervée".
Depuis, j'ai un micro maillot qui permet la lecture de mon tatouage et ça marche!
Mais cette fois-là, j'ai senti une pulsion, à l'invitation à les rejoindre aux douches à la nuit tombant, je me suis retournée. Je leur ai fais un clin d’œil en abaissant ma petite culotte, mon sexe bien visible avec mon clito arborant d'un brillant.
J'en parle à mon homme qui je suis "harcelée par des mecs" avec mon air aguicheuse, très vite il boit mon sexe. Il me traite de salope, je lui avoue que j'ai trop envie! Il est d'accord à condition que se soit irrémédiable, il m'explique que je devienne une salope publique!
L'après-midi, j'ai suivi mon époux chez un tatoueur. Je fus marquée sur le pubis "Entrée libre" avec une flèche sans équivoque vers mon sexe. Le tatoueur fut le 1er bénéficiaire.
Le soir très tard, mon époux m'ordonne de me mettre totalement nue pour allez aux douches, a cet effet il m'arrache mon slip de bain. il me laisse enlever mon haut. Il m'accompagne, le petit groupe est là. Il me pousse vers en clamant "faites-en une salope accomplie, baisez-là, elle m'a assez énervée".
Depuis, j'ai un micro maillot qui permet la lecture de mon tatouage et ça marche!
En camping, il y a des bruits suspects qui s'entendent très bien au travers des tentes.
Cela nous beaucoup excité. Nous avons fini par faire nous aussi l'amour avec l'intention de faire plus de bruit que nos voisins et par provocation mon époux a allumé la lumière pour que l'on nous voit en silhouette.
Le lendemain soir, il eut des discussions ultra chaude avec nos voisins, il s'ensuivit pour nous les filles un échange de tente pour appartenir au nouveau géniteur. Au petit matin, nous nous retrouvés entre fille pour bouffer nos chattes en buvant le foutre de nos mecs.
Le groupe s'est étendu à 3 tentes, nous avons tous eu quelques jours de total folie de sexe. C'était avec fierté que nous arborions les sécrétions de ces mâles s'écouler de nos entrailles.
Nous avons fini par nous rendre dans une boîte à partouze, avec les yeux bandés nous avons été des poupées en libre service.
Cela nous beaucoup excité. Nous avons fini par faire nous aussi l'amour avec l'intention de faire plus de bruit que nos voisins et par provocation mon époux a allumé la lumière pour que l'on nous voit en silhouette.
Le lendemain soir, il eut des discussions ultra chaude avec nos voisins, il s'ensuivit pour nous les filles un échange de tente pour appartenir au nouveau géniteur. Au petit matin, nous nous retrouvés entre fille pour bouffer nos chattes en buvant le foutre de nos mecs.
Le groupe s'est étendu à 3 tentes, nous avons tous eu quelques jours de total folie de sexe. C'était avec fierté que nous arborions les sécrétions de ces mâles s'écouler de nos entrailles.
Nous avons fini par nous rendre dans une boîte à partouze, avec les yeux bandés nous avons été des poupées en libre service.
J'ai osé faire un concours de teeshirt mouillé un soir dans un camping, si les autres avaient gardé un semblant de sous-vêtement moi je n'avais rien en dessous. Je me suis sentie plus que nue avec ma minijupe et teeshirt trempés qui me collaient à la peau. L'intégralité de mon corps fut visible en transparence. En tentant de retrouvant mon mari j'étais entourée de mecs en maillot bain avec leurs sexes en partie sorti. J'ai vu ses yeux hagards d’excitation, il était comme les autres. Il a invité la bande sur la plage à la lueur des étoiles. J'ai ainsi découvert ce coté pervers de mon époux, nous qui faisions l'amour classique, sur cette plage les sexes m'ont pénétrés de partout, il était encore excité que moi à me voir souillée. Les autres soirs avant de revenir à notre tente j'ai du faire des haltes pour offrir à mon mari mes ouvertures engluées.
Très belle histoire candauliste.
surprenant! mais un soir au camping mon mari invite une femme de 55 a 60 ans alors qu'il n'a que 30 ans moi je m'occupais de ma fille agée de 7 ans ils avaient l'aire de pas mal frotter,puis je ne les vois plus,,je confie ma fille a une amie et je cherche et derrière une caravane j'aperçois Julien short baissé et la vieille qui lui taille une pipe au lieu de me mettre en colère je me cache et je m'excite,puis je me retourne et un homme observait la scène et me dit a la salope elle aime les jeunes
c'était le mari , qui lui aussi s'excitait il se branlait en voyant sa femme
se faire baisée,il frottait sa queue contre ma cuisse,il était aussi gros que sa femme mais sa bite bien plus longue que celle de Julien ,j'ai relevée ma robe j'avais un mini slip bien humide et bien Papy baise moi
je voyais mon mari qui enculait la vieille et moi qui me faisait baiser par un vieux!
c'était le mari , qui lui aussi s'excitait il se branlait en voyant sa femme
se faire baisée,il frottait sa queue contre ma cuisse,il était aussi gros que sa femme mais sa bite bien plus longue que celle de Julien ,j'ai relevée ma robe j'avais un mini slip bien humide et bien Papy baise moi
je voyais mon mari qui enculait la vieille et moi qui me faisait baiser par un vieux!
bonne histoire très excitante.
Merci de ce bon moment.
Une suite????
Merci de ce bon moment.
Une suite????
A la première fois on ne sait pas si notre couple allait tenir surtout elle n'avait pas pris la peine de se laver après. Nous avons pu longuement en parler et j'ai pu lui avouer d'avoir été extrême excité de cela. Elle se donne maintenant plus facilement, et moi pour la "punir" je lui choisir de temps en temps un mec pas beau voire peu reluisant pour mon plaisir.
Très belle histoire, très excitante. Vite une suite..
je pense a mon avis que c'est une tred belle histoire mais tu aurais du entre dans cette caravane et participer a la fete vue que tu etais bande .