Titre de l'histoire érotique : Ma belle-soeur me fait fantasmer
Récit érotique écrit par Marcusix [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Ma belle-soeur me fait fantasmer
Ma sœur n’est pas ma sœur, mais ma belle-sœur. En réalité, c’est tout comme car nos parents respectifs se sont mis ensemble alors que nous étions tous les deux très jeunes (elle avait 5 ans et moi 3 – aujourd’hui elle en a 20 et moi 18).
Elle est donc comme ma sœur. Mais j’insiste sur le côté belle famille car depuis quelques semaines, j’entretiens une relation toute autre avec elle.
Ca a commencé innocemment quand elle a quitté son copain et commencé à sortir en boite et à s’habiller comme une femme. Alors qu’elle avait toujours été ma grande sœur, je voyais ses formes et son corps au travers de ses vêtements moulants.
C’était ma grande sœur et j’étais son petit frère mais elle m’excitait un peu sans que je me l’avoue. Je l’observais discrètement le vendredi soir quand elle sortait, et j’attendais son retour dans la nuit pour faire de même. Parfois, j’avais même la chance de la regarder ôter sa robe et la voir en sous-vêtements dans le couloir, nous pensant tous endormis. Elle s’est déjà présentée à moi en sous-vêtements ; elle n’est pas pudique avec son petit frère. Mais être voyeur rendait la chose interdite.
Une fois, je l’ai vue ôter sa robe par le haut et c’est avec stupeur que je constatai qu’elle ne portait aucun sous-vêtement. Elle était nue sous sa robe et devant le miroir de la salle de bain, je l’ai vue se caresser les seins, porter sa main droite à son sexe et se masturber lentement.
J’étais énormément excité et je ne pouvais la quitter des yeux. Elle se regardait se masturber. Quand elle a arrêté, je me suis caché pour la laisser aller à sa chambre et j’ai continué à la mater par le trou de la serrure quand elle s’est allongée sur son lit et qu’elle s’y est masturbée jusqu’à la jouissance. Elle était magnifique, excitante et j’ai commencé à m’imaginer la toucher et la lécher dans mes songes.
J’ai éjaculé dans ma main. Mais ce faisant, j’ai bougé le pied et le parquet a grincé sous moi. Ma sœur a tourné la tête en direction de la porte. Je me suis retiré lentement jusqu’à ma chambre en espérant l’atteindre avant qu’elle ne sorte. Et ouf, ce fut le cas. J’étais dans ma chambre quand sa porte s’ouvrit. J’avais la main encore recouverte de mon sperme et le sexe encore tendu sous mon pyjama.
A partir de là, ce fut un grand changement, ma sœur m’excitait tant que je fantasmais sur elle. Elle était dans toutes mes histoires de branlette avec ses gros seins, ses rondeurs, ses larges cuisses écartées et je m’imaginais la prendre sur son lit ou pire, le lit de nos parents. Chaque soir, je prenais sa culotte dans le bac à linge sale, la sentais et passais la nuit avec.
Les jours qui ont suivi furent tendus, tant par l’excitation que par la crainte que ma sœur ait des soupçons sur mon activité. Je me demandais même si elle n’avait pas pu voir des traces de mon sperme sur le sol devant sa porte.
Tendu car si ses propos ne trahissaient rien, j’avais l’impression qu’elle essayait subtilement de m’aguicher. A moins que cette impression ne soit plus paranoïaque que réelle. Il me semblait qu’elle s’habillait plus sexy en ma présence, qu’elle me frôlait volontairement avec sa poitrine…
Un weekend où nos parents étaient absents, ma sœur m’a indiqué qu’elle inviterait un ami à la maison et que je ne devais pas les déranger. J’ai tout de suite espérer que je pourrais les espionner faisant l’amour.
Quand il est arrivé, j’étais dans ma chambre. Ils sont allés dans la chambre de ma sœur et ils discutaient. Peu après, j’ai entendu de légers gémissements. Je suis allé discrètement à la porte de ma sœur pour regarder par la serrure.
Elle était sur le lit, adossée contre le mur, les cuisses largement écartées et son ami la doigtait vigoureusement. Elle avait les yeux fermés et respirait lourdement. Sa grosse poitrine montait et descendait au fil de sa respiration et des tremblements de plaisir de son corps.
J’entendais distinctement les bruits que produisaient les doigts dans son sexe. Je la voyais malaxer ses seins lourds. Je la voyais regarder dans la direction de la porte comme pour voir si j’étais à la serrure. Je l’entendais crier mon nom. Ce n’était pas mon imagination, elle criait, de sorte que je ne pouvais que l’entendre ou que je sois, et c’était mon nom (même s’il s’avère que son ami et moi partagions le même nom. Coïncidence ?).
La baise était violente. Ma sœur, vulgaire à souhait, enjoignait son ami de la baiser toujours plus fort. Elle jouissait à gorge déployée tandis qu’elle se faisait prendre dans toutes les positions, toujours sa tête tournée vers la porte derrière laquelle je l’épiais.
Plus je la voyais, plus je voulais être à la place de son ami et la baiser. J’étais tellement excité de la voir. Pour me dédouaner, je me rappelais que ce n’était que ma belle sœur, mais ce lien m’excitait encore plus.
Je me suis à peine masturbé que j’ai éjaculé dans ma main. Je suis retourné dans ma chambre ; ils ont continué pendant une heure et je me suis encore masturbé 4 fois.
Il est parti après. Le lendemain matin, je me suis levé, la tête encore pleine de désir. En passant devant la chambre de ma sœur, j’ai fait un peu de bruit et elle m’a appelé. Je suis entré, elle était allongée sur le lit, avec seulement le drap la recouvrant.
Elle m’a invité à m’asseoir sur le lit, m’a demandé si j’avais bien dormi. Elle se doutait que j’avais tout entendu. Elle s’est excusée pour le bruit mais elle a poursuivi en détaillant la nuit. Il lui arrivait d’être impudique avec moi mais pas à ce point. Elle poursuivait en disant qu’une femme avait besoin de ça, que le sexe est bon, qu’elle aime les grosses queues…
Je l’écoutais, effaré, gêné, mais aussi excité. Le drap du lit épousait son corps et en dessous je pouvais deviner ses cuisses qu’elle bougeait sous le drap. Je voulais lui sauter dessus mais me retenais car c’était ma sœur. Qu’allait-elle dire ? Que diraient nos parents ?
Elle m’a fixé du regard et ne pouvant le soutenir, je me suis retourné pour partir. Avant d’arriver à la porte, ma sœur m’a interpelé. En me retournant je l’ai vue dans la même position, allongée sur le lit mais sans le drap et totalement nue, les jambes écartées et la vulve exposée.
Je suis resté interdit, immobile mais mon érection se voyait clairement au travers de mon pyjama. Je ne pouvais pas détourner mon regard des cuisses et de la chatte de ma sœur.
- Approche-toi
Je me suis approché du lit.
- Mets-toi à quatre pattes s’il te plait
Je me suis exécuté. Elle s’est assise sur le bord du lit, les cuisses posées sur le matelas. Ma tête était à 30 centimètres de la vulve de ma belle-sœur.
- Mon amant a été très brutal avec moi et j’ai besoin de douceur.
Elle a saisi ma tête et m’a approché de sa vulve
- Lèche-moi délicatement
J’étais hypnotisé par elle et son sexe et sans réfléchir je me suis mis à lui lécher la chatte comme un petit chiot. Je l’entendais respirer puis gémir tout en me caressant les cheveux.
- Oui comme ça, tout doucement.
Elle mouillait de plus en plus quand elle m’a saisi la tête et m’a véritablement plaqué contre sa chate et serrant ses cuisses contre ma tête. Je ne pouvais plus bouger mais je ne voulais pas bouger ; j’étais trop bien entre ses cuisses à lui lécher la vulve. Ses désirs étaient des ordres.
Elle a joui une 1ère fois puis a relâché son étreinte. Toujours à quatre pattes entre ses jambes, je la voyais reprendre son souffle.
- Allonge-toi par terre et libère ta queue
Je me suis allongé et ai baissé mon pantalon aux genoux. Mons sexe était tendu à l’extrême. Elle s’est levée, a mis ses pieds de chaque côté de ma tête. Son sexe était au–dessus de mes yeux. Elle s’est baissée en écartant les cuisses pour poser son sexe sur mon visage.
Elle s’est assise sur mon visage et frottait son sexe dessus. Elle m’enjoignait de la lécher toujours plus.
- C’est bon ! Tu me fais du bien ! Tu es un adorable petit-frère.
J’avais du mal à respirer mais je m’en fichais, je voulais la lécher et la faire jouir.
Après quelques minutes, elle a joui et inondé mon visage. Elle était tremblante et s’est littéralement assise sur ma tête. J’étais extatique. Elle s’est penchée en avant et a délicatement caressé mon sexe du bout du doigt.
- Tu as été très gentil, maintenant je veux que tu éjacules pour moi.
J’ai éjaculé immédiatement sans débander ensuite. Elle m’a embrassé sur la bouche avec langue et est partie se doucher. Je suis retourné dans ma chambre toujours couvert de sa cyprine et de mon propre sperme tout en rêvant de recommencer.
Elle est donc comme ma sœur. Mais j’insiste sur le côté belle famille car depuis quelques semaines, j’entretiens une relation toute autre avec elle.
Ca a commencé innocemment quand elle a quitté son copain et commencé à sortir en boite et à s’habiller comme une femme. Alors qu’elle avait toujours été ma grande sœur, je voyais ses formes et son corps au travers de ses vêtements moulants.
C’était ma grande sœur et j’étais son petit frère mais elle m’excitait un peu sans que je me l’avoue. Je l’observais discrètement le vendredi soir quand elle sortait, et j’attendais son retour dans la nuit pour faire de même. Parfois, j’avais même la chance de la regarder ôter sa robe et la voir en sous-vêtements dans le couloir, nous pensant tous endormis. Elle s’est déjà présentée à moi en sous-vêtements ; elle n’est pas pudique avec son petit frère. Mais être voyeur rendait la chose interdite.
Une fois, je l’ai vue ôter sa robe par le haut et c’est avec stupeur que je constatai qu’elle ne portait aucun sous-vêtement. Elle était nue sous sa robe et devant le miroir de la salle de bain, je l’ai vue se caresser les seins, porter sa main droite à son sexe et se masturber lentement.
J’étais énormément excité et je ne pouvais la quitter des yeux. Elle se regardait se masturber. Quand elle a arrêté, je me suis caché pour la laisser aller à sa chambre et j’ai continué à la mater par le trou de la serrure quand elle s’est allongée sur son lit et qu’elle s’y est masturbée jusqu’à la jouissance. Elle était magnifique, excitante et j’ai commencé à m’imaginer la toucher et la lécher dans mes songes.
J’ai éjaculé dans ma main. Mais ce faisant, j’ai bougé le pied et le parquet a grincé sous moi. Ma sœur a tourné la tête en direction de la porte. Je me suis retiré lentement jusqu’à ma chambre en espérant l’atteindre avant qu’elle ne sorte. Et ouf, ce fut le cas. J’étais dans ma chambre quand sa porte s’ouvrit. J’avais la main encore recouverte de mon sperme et le sexe encore tendu sous mon pyjama.
A partir de là, ce fut un grand changement, ma sœur m’excitait tant que je fantasmais sur elle. Elle était dans toutes mes histoires de branlette avec ses gros seins, ses rondeurs, ses larges cuisses écartées et je m’imaginais la prendre sur son lit ou pire, le lit de nos parents. Chaque soir, je prenais sa culotte dans le bac à linge sale, la sentais et passais la nuit avec.
Les jours qui ont suivi furent tendus, tant par l’excitation que par la crainte que ma sœur ait des soupçons sur mon activité. Je me demandais même si elle n’avait pas pu voir des traces de mon sperme sur le sol devant sa porte.
Tendu car si ses propos ne trahissaient rien, j’avais l’impression qu’elle essayait subtilement de m’aguicher. A moins que cette impression ne soit plus paranoïaque que réelle. Il me semblait qu’elle s’habillait plus sexy en ma présence, qu’elle me frôlait volontairement avec sa poitrine…
Un weekend où nos parents étaient absents, ma sœur m’a indiqué qu’elle inviterait un ami à la maison et que je ne devais pas les déranger. J’ai tout de suite espérer que je pourrais les espionner faisant l’amour.
Quand il est arrivé, j’étais dans ma chambre. Ils sont allés dans la chambre de ma sœur et ils discutaient. Peu après, j’ai entendu de légers gémissements. Je suis allé discrètement à la porte de ma sœur pour regarder par la serrure.
Elle était sur le lit, adossée contre le mur, les cuisses largement écartées et son ami la doigtait vigoureusement. Elle avait les yeux fermés et respirait lourdement. Sa grosse poitrine montait et descendait au fil de sa respiration et des tremblements de plaisir de son corps.
J’entendais distinctement les bruits que produisaient les doigts dans son sexe. Je la voyais malaxer ses seins lourds. Je la voyais regarder dans la direction de la porte comme pour voir si j’étais à la serrure. Je l’entendais crier mon nom. Ce n’était pas mon imagination, elle criait, de sorte que je ne pouvais que l’entendre ou que je sois, et c’était mon nom (même s’il s’avère que son ami et moi partagions le même nom. Coïncidence ?).
La baise était violente. Ma sœur, vulgaire à souhait, enjoignait son ami de la baiser toujours plus fort. Elle jouissait à gorge déployée tandis qu’elle se faisait prendre dans toutes les positions, toujours sa tête tournée vers la porte derrière laquelle je l’épiais.
Plus je la voyais, plus je voulais être à la place de son ami et la baiser. J’étais tellement excité de la voir. Pour me dédouaner, je me rappelais que ce n’était que ma belle sœur, mais ce lien m’excitait encore plus.
Je me suis à peine masturbé que j’ai éjaculé dans ma main. Je suis retourné dans ma chambre ; ils ont continué pendant une heure et je me suis encore masturbé 4 fois.
Il est parti après. Le lendemain matin, je me suis levé, la tête encore pleine de désir. En passant devant la chambre de ma sœur, j’ai fait un peu de bruit et elle m’a appelé. Je suis entré, elle était allongée sur le lit, avec seulement le drap la recouvrant.
Elle m’a invité à m’asseoir sur le lit, m’a demandé si j’avais bien dormi. Elle se doutait que j’avais tout entendu. Elle s’est excusée pour le bruit mais elle a poursuivi en détaillant la nuit. Il lui arrivait d’être impudique avec moi mais pas à ce point. Elle poursuivait en disant qu’une femme avait besoin de ça, que le sexe est bon, qu’elle aime les grosses queues…
Je l’écoutais, effaré, gêné, mais aussi excité. Le drap du lit épousait son corps et en dessous je pouvais deviner ses cuisses qu’elle bougeait sous le drap. Je voulais lui sauter dessus mais me retenais car c’était ma sœur. Qu’allait-elle dire ? Que diraient nos parents ?
Elle m’a fixé du regard et ne pouvant le soutenir, je me suis retourné pour partir. Avant d’arriver à la porte, ma sœur m’a interpelé. En me retournant je l’ai vue dans la même position, allongée sur le lit mais sans le drap et totalement nue, les jambes écartées et la vulve exposée.
Je suis resté interdit, immobile mais mon érection se voyait clairement au travers de mon pyjama. Je ne pouvais pas détourner mon regard des cuisses et de la chatte de ma sœur.
- Approche-toi
Je me suis approché du lit.
- Mets-toi à quatre pattes s’il te plait
Je me suis exécuté. Elle s’est assise sur le bord du lit, les cuisses posées sur le matelas. Ma tête était à 30 centimètres de la vulve de ma belle-sœur.
- Mon amant a été très brutal avec moi et j’ai besoin de douceur.
Elle a saisi ma tête et m’a approché de sa vulve
- Lèche-moi délicatement
J’étais hypnotisé par elle et son sexe et sans réfléchir je me suis mis à lui lécher la chatte comme un petit chiot. Je l’entendais respirer puis gémir tout en me caressant les cheveux.
- Oui comme ça, tout doucement.
Elle mouillait de plus en plus quand elle m’a saisi la tête et m’a véritablement plaqué contre sa chate et serrant ses cuisses contre ma tête. Je ne pouvais plus bouger mais je ne voulais pas bouger ; j’étais trop bien entre ses cuisses à lui lécher la vulve. Ses désirs étaient des ordres.
Elle a joui une 1ère fois puis a relâché son étreinte. Toujours à quatre pattes entre ses jambes, je la voyais reprendre son souffle.
- Allonge-toi par terre et libère ta queue
Je me suis allongé et ai baissé mon pantalon aux genoux. Mons sexe était tendu à l’extrême. Elle s’est levée, a mis ses pieds de chaque côté de ma tête. Son sexe était au–dessus de mes yeux. Elle s’est baissée en écartant les cuisses pour poser son sexe sur mon visage.
Elle s’est assise sur mon visage et frottait son sexe dessus. Elle m’enjoignait de la lécher toujours plus.
- C’est bon ! Tu me fais du bien ! Tu es un adorable petit-frère.
J’avais du mal à respirer mais je m’en fichais, je voulais la lécher et la faire jouir.
Après quelques minutes, elle a joui et inondé mon visage. Elle était tremblante et s’est littéralement assise sur ma tête. J’étais extatique. Elle s’est penchée en avant et a délicatement caressé mon sexe du bout du doigt.
- Tu as été très gentil, maintenant je veux que tu éjacules pour moi.
J’ai éjaculé immédiatement sans débander ensuite. Elle m’a embrassé sur la bouche avec langue et est partie se doucher. Je suis retourné dans ma chambre toujours couvert de sa cyprine et de mon propre sperme tout en rêvant de recommencer.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bien amené, bien écrit
très bon!!