Titre de l'histoire érotique : Le fantasme qu'est ma belle-fille
Récit érotique écrit par Marcusix [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Le fantasme qu'est ma belle-fille
Ma belle-fille s’appelle Sonia. J’ai rencontré sa mère alors qu’elle n’avait qu’un an et je l’ai épousée un peu plus tard. Sonia a grandi sachant que je n’étais pas son père biologique mais ayant été présent pour elle depuis la rencontre avec sa mère, et son vrai père étant très peu présent, j’ai endossé le rôle du paternel à temps complet et elle m’a toujours appelé papa. J’ai toujours eu beaucoup d’amour pour elle.
En grandissant, elle est devenue une jeune femme très belle, élancée, fine, une chevelure blonde comme les blés et des yeux verts ; le portrait de sa mère quand elle était plus jeune. A 16 ans, elle faisait déjà tourner la tête des garçons. Il a donc été temps de lui parler sérieusement de sexe car elle avait atteint la majorité sexuelle et il était important qu’elle se protège des maladies mais également des gens.
Même si j’étais conscient de la beauté de ma belle-fille, je n’ai jamais fantasmé sur elle ; elle est comme ma propre fille. J’avoue tout de même que la grande ressemblance avec sa mère (jeune) me trouble de temps en temps et qu’il m’arrive de me dire qu’elle n’est pas biologiquement ma fille quand je la vois bronzer en bikini au bord de notre piscine. Je me déteste alors et je pense à ma femme.
Malgré ses pensées, je n’ai jamais eu de comportement équivoque envers elle. Cela serait impardonnable pour ma belle-fille, sa mère que j'aime et moi-même.
Mais la conversation sur le sexe a chamboulé ma tête : avec de la gêne et un peu d’assurance quand même, elle nous avait démontré qu’elle en savait pas mal sur le sujet et qu’elle n’était plus vierge depuis deux ans. Bien malgré moi, j’ai eu de plus en plus de mal à ne pas la sexualiser. Pour ne pas me dégoûter, je me rappelais que ce n’étais pas ma fille mais ça ne faisait qu’empirer les choses. Il n’empêche que je n’ai jamais rien fait ou dit.
Un samedi, la petite famille s’est rendue au pique-nique annuel de ma boite. Sonia portait une robe blanche courte mais pas trop et un serre-tête. Elle faisait petite fille sage pour ses 18 ans mais prête à être vilaine.
Tous les salariés étaient présents avec leur famille, y compris Simon que je n’aimais pas trop depuis qu’il avait fait des commentaires salaces sur ma fille. C’était plus une blague qu’autre chose mais comme elle avait 13 ans à l’époque, ça laisse une mauvaise image auprès du père.
Quand bien même c’eut été une blague, je me doutais depuis quelques temps qu’il fantasmait sur Sonia. Et les regards qu’il jetait sur ses jambes et sa taille étaient révélateurs de ses désirs.
J’étais échauffé par ma belle-fille qui déambulait entre les tables sans se douter du trouble qu’elle créait en moi. Je lui ai demandé d’aller dans nos locaux pour récupérer des bouteilles d’eau restées au froid.
Là, j’ai vu Simon la regarder s’éloigner et ai aperçu son désir d’aller la rejoindre mais dans l’impossibilité de le faire puisqu’il discutait avec sa femme. Sans que je sache vraiment pourquoi, je suis allé les rejoindre pour discuter avec sa femme, me doutant et espérant qu’il en profiterait pour s’excuser et rejoindre discrètement ma fille. Cela n’a pas manqué.
Après quelques minutes, j’ai quitté son épouse pour essayer de les retrouver. Après les avoir cherchés quelques minutes, je les ai retrouvés ensemble au 4ème étage près de la cuisine. Sonia était adossée au mur et Simon en face d’elle. Je les épiais depuis le côté et ils discutaient. Je n’entendais pas bien ce qu’ils se disaient mais Sonia semblait attirée par Simon : elle touchait ses cheveux, faisait glisser ses jambes l’une contre l’autre, portait ses doigts à sa bouche tout en riant… Il y avait clairement de l’excitation dans l’air.
Ensuite, j’ai vu Simon défaire sa braguette et sortir son pénis. Comme si c’était normal. Il semblait de bonne taille et il se caressait en face d’elle jusqu’à l’érection . Sonia a continué de rigoler puis a glissé sa main sous sa robe et a descendu sa culotte jusqu’au bas des cuisses. Elle s’est trémoussée pour faire tomber la culotte par terre.
Lentement, elle s’est retournée comme pour l’aguicher jusqu’à faire face au mur, elle s’est penchée en avant et a soulevé sa robe pour lui offrir son sexe. Il s’est approché d’elle, s’est agenouillé pour fourrer son visage contre sa vulve et la lécher. Sonia gémissait et riait en même temps.
Son comportement semblait indiquer qu’elle avait vraiment de l’expérience. L’homme et le sexe ne l’intimidaient pas du tout. Au contraire, elle trémoussait ses fesses contre le visage de Simon.
Simon s’est ensuite relevé et a appuyé sur le dos de ma fille pour qu’elle se penche encore en avant et sans aucune délicatesse l’a pénétrée. Il soupirait de satisfaction tandis qu’elle criait de plaisir sous les coups de reins de Simon. Elle se tenait au mur tant le mouvement était énergique mais cela semblait la ravir car elle en voulait toujours plus :
- Oui vas-y baise moi plus fort !
- T’aimes ça petite pute !
- Oui c’est bon, continue !
- Si jeune et si salope !
Visiblement, le plaisir de Simon était aussi physique que mental car il s'enorgueillissait de baiser une jeune femme, et ma fille qui plus est :
- Si tu pouvais voir comment je baise ta putain de fille ! Je vais la baiser à fond ta fille et elle va en redemander encore.
- Oui ! Baise sa fille ! Baise-moi chez lui ! Baise-moi dans son lit ! J’suis une salope de fille !
J’entendais Sonia crier qu’elle était une pute, qu’elle voulait sa bite et son foutre. Ses hurlements de chienne, ses gémissements intenses et ses propos orduriers laissaient transparaître le plaisir sauvage qu’elle ressentait. En tant que père j’étais dévasté, mais je ne pouvais m’empêcher d’être excité par cette salope qui était pourtant comme ma fille.
Simon prenait grand plaisir à l’insulter et à indiquer qu’elle mouillait énormément. A ce moment, je ne pouvais voir ma belle-fille que comme un objet sexuel. J’entendais les insultes, les gémissements de plaisir, les bruits de coïts… Ma fille baisait, littéralement, et avec un homme bien plus âgé qu’elle. Elle se tenait au mur mais son corps ballottait d’avant en arrière à un rythme effréné tandis qu’il la montait en la saisissant par les cheveux.
Alors que j’avais sorti mon pénis pour me masturber, je reproduisais inconsciemment le mouvement de bassin comme si je pénétrais moi-même Sonia. Dans ma tête j’enjoignais Simon de bien baiser cette grosse salope. Je m’imaginais coucher avec Sonia dans le lit que je partage avec sa mère, la prendre à 4 pattes dans la cuisine tandis que sa mère serait dans le salon… Je me voyais la faire hurler de plaisir jusqu’à ce que je jouisse finalement dans ma main.
Finalement, Simon a accéléré encore ses pénétrations et a hurlé qu’il allait jouir. Ma fille s’est alors agenouillée a pris sa queue en bouche l’a brièvement sucée. Puis il a saisi sa tête pour éjaculer sur son visage. Je l’entendais, essoufflée et riante, tandis qu’il étalait son sperme avec son sexe sur le visage de ma fille. Pas de doute, ma fille aimait le sexe et ne devait pas avoir beaucoup de limites.
Elle a pris son sexe en main et l’a sucé et léché de nouveau tout en passant ses mains sur ses testicules. A ce moment là, je me voyais presque sucer moi-même ce sexe pour goûter le jus de ma belle-fille.
Elle s’est relevée, ils se sont embrassés goulûment et sont allés à un évier pour se nettoyer. Ma fille s’est rincée le visage et a passé un tissu sur son sexe sans aucune pudeur. Simon était derrière elle à frotter son sexe contre ses fesses. Elle a enfilé sa culotte et ils sont repartis.
Maintenant je bande quand je vois ma belle-fille et je pense beaucoup à elle et à cette aventure quand je couche avec sa mère.
En grandissant, elle est devenue une jeune femme très belle, élancée, fine, une chevelure blonde comme les blés et des yeux verts ; le portrait de sa mère quand elle était plus jeune. A 16 ans, elle faisait déjà tourner la tête des garçons. Il a donc été temps de lui parler sérieusement de sexe car elle avait atteint la majorité sexuelle et il était important qu’elle se protège des maladies mais également des gens.
Même si j’étais conscient de la beauté de ma belle-fille, je n’ai jamais fantasmé sur elle ; elle est comme ma propre fille. J’avoue tout de même que la grande ressemblance avec sa mère (jeune) me trouble de temps en temps et qu’il m’arrive de me dire qu’elle n’est pas biologiquement ma fille quand je la vois bronzer en bikini au bord de notre piscine. Je me déteste alors et je pense à ma femme.
Malgré ses pensées, je n’ai jamais eu de comportement équivoque envers elle. Cela serait impardonnable pour ma belle-fille, sa mère que j'aime et moi-même.
Mais la conversation sur le sexe a chamboulé ma tête : avec de la gêne et un peu d’assurance quand même, elle nous avait démontré qu’elle en savait pas mal sur le sujet et qu’elle n’était plus vierge depuis deux ans. Bien malgré moi, j’ai eu de plus en plus de mal à ne pas la sexualiser. Pour ne pas me dégoûter, je me rappelais que ce n’étais pas ma fille mais ça ne faisait qu’empirer les choses. Il n’empêche que je n’ai jamais rien fait ou dit.
Un samedi, la petite famille s’est rendue au pique-nique annuel de ma boite. Sonia portait une robe blanche courte mais pas trop et un serre-tête. Elle faisait petite fille sage pour ses 18 ans mais prête à être vilaine.
Tous les salariés étaient présents avec leur famille, y compris Simon que je n’aimais pas trop depuis qu’il avait fait des commentaires salaces sur ma fille. C’était plus une blague qu’autre chose mais comme elle avait 13 ans à l’époque, ça laisse une mauvaise image auprès du père.
Quand bien même c’eut été une blague, je me doutais depuis quelques temps qu’il fantasmait sur Sonia. Et les regards qu’il jetait sur ses jambes et sa taille étaient révélateurs de ses désirs.
J’étais échauffé par ma belle-fille qui déambulait entre les tables sans se douter du trouble qu’elle créait en moi. Je lui ai demandé d’aller dans nos locaux pour récupérer des bouteilles d’eau restées au froid.
Là, j’ai vu Simon la regarder s’éloigner et ai aperçu son désir d’aller la rejoindre mais dans l’impossibilité de le faire puisqu’il discutait avec sa femme. Sans que je sache vraiment pourquoi, je suis allé les rejoindre pour discuter avec sa femme, me doutant et espérant qu’il en profiterait pour s’excuser et rejoindre discrètement ma fille. Cela n’a pas manqué.
Après quelques minutes, j’ai quitté son épouse pour essayer de les retrouver. Après les avoir cherchés quelques minutes, je les ai retrouvés ensemble au 4ème étage près de la cuisine. Sonia était adossée au mur et Simon en face d’elle. Je les épiais depuis le côté et ils discutaient. Je n’entendais pas bien ce qu’ils se disaient mais Sonia semblait attirée par Simon : elle touchait ses cheveux, faisait glisser ses jambes l’une contre l’autre, portait ses doigts à sa bouche tout en riant… Il y avait clairement de l’excitation dans l’air.
Ensuite, j’ai vu Simon défaire sa braguette et sortir son pénis. Comme si c’était normal. Il semblait de bonne taille et il se caressait en face d’elle jusqu’à l’érection . Sonia a continué de rigoler puis a glissé sa main sous sa robe et a descendu sa culotte jusqu’au bas des cuisses. Elle s’est trémoussée pour faire tomber la culotte par terre.
Lentement, elle s’est retournée comme pour l’aguicher jusqu’à faire face au mur, elle s’est penchée en avant et a soulevé sa robe pour lui offrir son sexe. Il s’est approché d’elle, s’est agenouillé pour fourrer son visage contre sa vulve et la lécher. Sonia gémissait et riait en même temps.
Son comportement semblait indiquer qu’elle avait vraiment de l’expérience. L’homme et le sexe ne l’intimidaient pas du tout. Au contraire, elle trémoussait ses fesses contre le visage de Simon.
Simon s’est ensuite relevé et a appuyé sur le dos de ma fille pour qu’elle se penche encore en avant et sans aucune délicatesse l’a pénétrée. Il soupirait de satisfaction tandis qu’elle criait de plaisir sous les coups de reins de Simon. Elle se tenait au mur tant le mouvement était énergique mais cela semblait la ravir car elle en voulait toujours plus :
- Oui vas-y baise moi plus fort !
- T’aimes ça petite pute !
- Oui c’est bon, continue !
- Si jeune et si salope !
Visiblement, le plaisir de Simon était aussi physique que mental car il s'enorgueillissait de baiser une jeune femme, et ma fille qui plus est :
- Si tu pouvais voir comment je baise ta putain de fille ! Je vais la baiser à fond ta fille et elle va en redemander encore.
- Oui ! Baise sa fille ! Baise-moi chez lui ! Baise-moi dans son lit ! J’suis une salope de fille !
J’entendais Sonia crier qu’elle était une pute, qu’elle voulait sa bite et son foutre. Ses hurlements de chienne, ses gémissements intenses et ses propos orduriers laissaient transparaître le plaisir sauvage qu’elle ressentait. En tant que père j’étais dévasté, mais je ne pouvais m’empêcher d’être excité par cette salope qui était pourtant comme ma fille.
Simon prenait grand plaisir à l’insulter et à indiquer qu’elle mouillait énormément. A ce moment, je ne pouvais voir ma belle-fille que comme un objet sexuel. J’entendais les insultes, les gémissements de plaisir, les bruits de coïts… Ma fille baisait, littéralement, et avec un homme bien plus âgé qu’elle. Elle se tenait au mur mais son corps ballottait d’avant en arrière à un rythme effréné tandis qu’il la montait en la saisissant par les cheveux.
Alors que j’avais sorti mon pénis pour me masturber, je reproduisais inconsciemment le mouvement de bassin comme si je pénétrais moi-même Sonia. Dans ma tête j’enjoignais Simon de bien baiser cette grosse salope. Je m’imaginais coucher avec Sonia dans le lit que je partage avec sa mère, la prendre à 4 pattes dans la cuisine tandis que sa mère serait dans le salon… Je me voyais la faire hurler de plaisir jusqu’à ce que je jouisse finalement dans ma main.
Finalement, Simon a accéléré encore ses pénétrations et a hurlé qu’il allait jouir. Ma fille s’est alors agenouillée a pris sa queue en bouche l’a brièvement sucée. Puis il a saisi sa tête pour éjaculer sur son visage. Je l’entendais, essoufflée et riante, tandis qu’il étalait son sperme avec son sexe sur le visage de ma fille. Pas de doute, ma fille aimait le sexe et ne devait pas avoir beaucoup de limites.
Elle a pris son sexe en main et l’a sucé et léché de nouveau tout en passant ses mains sur ses testicules. A ce moment là, je me voyais presque sucer moi-même ce sexe pour goûter le jus de ma belle-fille.
Elle s’est relevée, ils se sont embrassés goulûment et sont allés à un évier pour se nettoyer. Ma fille s’est rincée le visage et a passé un tissu sur son sexe sans aucune pudeur. Simon était derrière elle à frotter son sexe contre ses fesses. Elle a enfilé sa culotte et ils sont repartis.
Maintenant je bande quand je vois ma belle-fille et je pense beaucoup à elle et à cette aventure quand je couche avec sa mère.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'ai beaucoup aimé. Dans les mêmes circonstances, je me comporte comme Sonia, c'est-à-dire comme une salope intégrale. Il y aura une suite à ce récit?
Fantasme assez fréquent que celui de faire l'amour à sa belle-fille, mais il est rare d'assister à ses ébats avec une homme bien plus âgé.
C'est bien écrit et ça se laisse lire aisément.
C'est bien écrit et ça se laisse lire aisément.