journe de travaux

- Par l'auteur HDS Omarrrr -
Récit érotique écrit par Omarrrr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : journe de travaux Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2023 dans la catégorie Plus on est
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journe de travaux
Je m’appelle Martine, mariée, sans enfant. Physiquement je me trouve encore très bien et apparemment je ne suis pas le seule, si j’en crois les regards appuyés de ces messieurs dans la rue, même si je ne fais pas grand-chose pour les provoquer. Trente-huit ans, un mètre soixante-neuf pour soixante-cinq kilos, des hanches pleines et surtout un généreux décolleté avec mon 95 D.


Moi et mon mari vivons dans un petit village de campagne, depuis peu, où nous sommes très bien intégrés. Mon mari travaillant beaucoup et gagnant très bien sa vie, je me consacre à notre maison inachevée. Notre vie de couple est somme toute assez monotone, du fait des longues absences de mon mari et de l’état de fatigue dans lequel il rentre généralement. N’étant pas très portée sur le sexe, la faible fréquence de nos ébats ne me dérange pas. Nous vivions donc comme cela suivant notre petit train-train jusqu’au jour où tout bascula.


Cela a commencé le jour où nous avons décidé de faire une piscine dans le jardin. Une équipe de deux ouvriers commença les travaux de maçonnerie. C’étaient un petit homme bedonnant du nom de Francesco et son collègue un peu plus mignon, de son surnom « Momo ». Fournis par une connaissance de mon mari, deux ouvriers qui, il faut l’avouer, n’étaient pas très qualifiés. Étant assez exigeante, je devais souvent leur faire recommencer les choses, si bien que je me les mettais un peu sur le dos. Les travaux eurent un peu de retard suite à quelques jours d’intempéries.


Une semaine se passa lorsqu’un jour, me levant comme à mon accoutumée, je me retrouvai avec sous les yeux une vision qui me figea sur place. Momo était dans les buissons et finissait de soulager sa vessie, en entamant un lent va-et-vient pour chasser les dernières gouttes. Cette vision en d’autre temps m’aurait fait détourner les yeux de gêne, mais ce sexe capta toute mon attention tellement il était beau.


Il lui remplissait allègrement la main en étant pourtant au repos. Moi qui suis habituée à celui de mon mari, nettement plus petit, je fus stupéfaite. Je n’en avais jamais vu de tel. Je ne sais combien de temps je suis restée là à contempler ce membre, mais je fus tirée de mes songes quand je me suis aperçue que le va-et-vient avait stoppé, et que Momo avait lâché son pénis et s’était tourné vers moi. Je relevai la tête et vis qu’il me fixait, ou plutôt me dévorait du regard, un grand sourire aux lèvres. Je me rendis compte de l’indécence de ma tenue plus que légère - se limitant à un petit peignoir éponge, un peu trop petit pour contenir mes formes - au sortir de la douche, comme je ne pensais pas les voir ce jour-là.


Je devins rouge comme une pivoine et me cachai hors de sa vue dans une pièce voisine, celle-ci étant composée uniquement de baies vitrées. J’attendis dix minutes, honteuse, lorsque j’entendis la porte arrière s’ouvrir. On cria « madame » plusieurs fois. Je reconnus la voix de Momo et décidai de rester là.


— Madame, j’aurais une question à vous poser.

Je le laissai parler, mais il n’avait pas l’air de vouloir partir. Je pris donc le taureau par les cornes et refermai mon peignoir du mieux que je pus, en le tenant avec mes mains, et me dirigeai vers la véranda.


— Que voulez-vous ? lui dis-je de la voix la plus ferme que je pus, mais néanmoins légèrement tremblante, trahissant mon émoi.
— Deux choses en fait. La première est qu’on a un problème électrique avec une machine, donc Francesco a dû partir au dépôt… La deuxième est que j’ai remarqué que j’avais quelque chose qui plaisait à madame.

Je tombai des nues. Qu’il me prenne en flagrant délit de voyeurisme, c’était une chose, mais qu’il m’en parle en était une autre. Je redevins la pivoine que j’étais, et détournai les yeux de ce malotru, sans rien dire, emplie d’une gêne que je ne contrôlais pas. Je restai là sans rien dire en espérant le voir partir mais, ne voyant pas beaucoup de réaction de ma part, ce dernier eut l’air de prendre les devants.


— Allez madame, faites pas la coincée, j’ai bien vu que j’ai quelque chose qui vous intéresse. On n’est pas obligés d’en parler à votre mari ou à mon chef. Y’sont même pas là.

Et sans que j’aie eu le temps de répondre la moindre chose, Momo ressortit son engin en baissant son petit short. Je ne pus rien faire d’autre que de focaliser à nouveau vers ce membre offert, et que malgré moi je convoitais.


— Allez, tu peux toucher, madame, t’as l’air d’en avoir envie.

J’étais comme hypnotisée, je restais là à regarder ce membre offert et dans un état second. Après un moment d’hésitation, je ne pus m’empêcher de tendre la main vers lui. Ce contact m’électrisa tellement sa peau était douce. Je me stoppai dans mon élan quand il me dit :


— Vas-y, elle te mordra pas…

De ce fait, sans réfléchir je repris ma caresse qui devint rapidement une masturbation. J’étais en transe. Je sentis son sexe prendre des proportions encore plus grandes que ce à quoi je m’attendais. Mon compère, non content de ma main, entreprit de découvrir le reste de mon anatomie en m’ouvrant le peignoir, sans me demander mon avis. Je me retrouvai donc les seins à l’air - et le reste en passe de l’être - en train de branler un type qui travaillait pour nous depuis peu. Sa main se fit plus entreprenante lorsqu’il empoigna un de mes seins et sa langue partit à la conquête de la mienne.


— Vas-y, baise-moi.

J’avais du mal à croire ce que je venais de dire. D’accord je ne suis plus trop « entretenue » mais tout de même, j’ai ma dignité. Le lascar ne se fit pas prier et envoya mon peignoir à travers la pièce, me retourna contre la paroi vitrée et sans autre forme de procès, me défonça la chatte d’un coup. Ce qui heureusement se passa sans trop de douleur, du fait que je mouillais énormément. Il me fit presque jouir sur le coup, tellement sa bite avait pris des proportions inhabituelles en moi.


— Oh ouuuui !!!
— Putain, t’aimes ça, ma bourge, t’aimes la bite, hein salope.

J’étais là à me faire prendre comme la dernière des putes, appuyée contre la baie vitrée, et sous les coups de butoir mes seins balançaient dans tous les sens. Je restais les yeux fermés lorsqu’une nouvelle main s’empara de mon sein droit alors que mon étalon me tenait par les hanches de ses deux mains. Lorsque je compris la venue d’un nouveau protagoniste dans l’histoire, je rouvris les yeux pour me rendre compte que Francesco venait de revenir de sa promenade, et me voyant ainsi offerte à la fenêtre, aux yeux de tous ceux qui pouvaient passer dans le jardin, il n’avait pu s’empêcher de participer à la chose.


— C’est une putain de salope, j’te l’avais dit. En plus t’as vu les nibards. C’est une bombe et elle est pas farouche, la chienne. Si t’en veux y’en a pour tout le monde.

Je n’en crus pas mes oreilles. Non seulement il me baisait sans trop me demander mon avis, mais en plus il n’hésitait pas à me partager avec ses copains. Et le Francesco de sortir sa bite, bien moins longue mais très épaisse et sans autre discussion de tirer sur ma nuque pour approcher mes lèvres de sa pine. Et moi, toute excitée de la situation, sans réfléchir, j’enfourne cette nouvelle bite dans la bouche, alors que c’est un plaisir que je refuse même à mon mari depuis des années. Ce fut tout d’abord assez écœurant au début, car la nouvelle bite sentait assez fort la transpiration et le sexe renfermé, mais mon excitation prenant le dessus, je m’en accommodai et entrepris une fellation digne d’une pro (aux dires de l’ouvrier).


Les deux hommes me besognèrent comme cela pendant un moment, puis échangèrent leurs places, et enfin, après plusieurs changements de pose, je me retrouvai à genou, suçant comme je pouvais et recevant leur semence, que j’avalais. Le reste était trop abondant et finit sur mes seins, qu’ils malaxèrent sans délicatesse.


Il ne me fallut que quelques instants pour reprendre mes esprits et me rendre compte de ma folie. Je ne leur dis rien et traversai la pièce en toute hâte, pour ma seconde douche de la journée. Quand j’en sortis, je regardai discrètement pour me rendre compte qu’ils avaient repris leur travail comme si de rien n’était. Comme si rien ne s’était passé. Je restai là dans mon coin, attendant leur départ, et redoutant le retour de mon mari envers qui je me sentais coupable. Je ne lui dis rien de la soirée et comme à son habitude il partit se coucher ivre de sommeil.


Le lendemain je n’arrêtais pas de ruminer ma tromperie et évitais les ouvriers constamment. Je me sentais tellement coupable vis-à-vis de mon mari que je me résolus à tout lui avouer. Je ne pouvais plus le regarder plus longtemps sans mourir de honte à chaque regard. Prenant mon courage à deux mains, j’entrepris donc de me rendre à son bureau pour tout lui avouer. Autant le faire loin du lieu de mes méfaits, me dis-je. Je rentrai par la porte principale de l’immeuble, passai les divers secrétariats en me présentant, et finit par arriver devant sa porte.


Je stoppai net en prenant ma respiration et avant même de frapper j’entendis des cris qui me figèrent sur place. Des cris de voix familières. Mon mari et sa putain d’associée. Je faillis tomber à la renverse. J’étais là comme la dernière des cruches, voulant lui avouer ma tromperie, et monsieur se tapait sa salope depuis Dieu sait combien de temps. Et apparemment ce n’était pas la première fois, au jugé des mots crus qu’ils pouvaient utiliser. Je fus choquée, médusée, puis énervée, et enfin en rage. Je me mortifiais pour un accès de folie et MONSIEUR avait le toupet de faire ça à tour de bras. Je ne sais pas ce qui me prit mais je voulus lui faire payer, et cela à son insu. Il me faisait des cachotteries, eh bien j’allais lui en faire.


Sur le retour je rentrai discrètement chez moi, fis un tout droit jusqu’à la chambre, et me changeai tout de suite. Je me retrouvai rapidement nue et inspectai ma garde robe avec une idée précise, exciter mes ouvriers et me faire baiser jusqu’au bout, comme une salope, comme la salope que j’étais devenue.


Dix minutes plus tard, me voilà dans le jardin pour une inspection des travaux, vêtue d’une blouse blanche retenue par deux fines bretelles, qui avait du mal à contenir ma poitrine du fait de sa trop petite taille - retrouvée dans mes affaires de jeune fille - et une mini-jupe noire fendue sur le côté. J’avançai d’un pas décidé, bien que je passais mon temps à remettre mes seins en place à chaque enjambée tellement ils débordaient, pour me retrouver à côté de mes victimes, ou plutôt moi je voulais être leur victime.


À peine arrivée, je déchantai vite en me rendant compte qu’en lieu et place du manœuvre de Francesco, il y avait deux nouveaux visages. Un jeune Polonais et un plus âgé qui avaient des têtes bourrues et un regard qui me glaça le sang, tellement ils me regardaient comme un morceau de viande.


— Alors, où en est-on ? leur lançai-je de la façon la plus directe que je pus.
— Tout va bien, me répondit Francesco sans savoir où me regarder.

Leurs yeux allaient de la pointe de mes seins prêts à jaillir du décolleté qui compressait ma trop volumineuse poitrine à mes cuisses ainsi dévoilées. Mon excitation était à son comble de me voir ainsi désirée et convoitée. Des gouttes de sueur perlaient à leur front et aucun ne rajouta un mot. Je repris les devants, ainsi réconfortée dans mon sentiment de supériorité.


— Êtes-vous sûrs du niveau des pavés du trottoir de la piscine ? Il me semble qu’il y en a qui sont mal posés.
— Et lesquels ? me lança un Francesco plus qu’énervé par l’emmerdeuse de cliente que j’étais, malgré mon sex-appeal.

Et sans attendre je m’accroupis pour pointer les faux pavés, les jambes très écartées, dévoilant ma chatte totalement épilée et ne faisant aucun geste pour contenir mes seins, du fait de mon geste brusque. La main de l’Italien empoigna un de mes seins en le sortant complètement de son trop petit écrin.


— Ce ne serait pas un de ceux-là qui aurait besoin de mes services ?

Les trois compères se regardèrent un bref instant, ce qui me fit prendre conscience des indiscrétions de Momo et Francesco, et sans crier gare une première bite se trouva à hauteur de ma bouche, puis une deuxième, puis une troisième.


Je suçai goulûment ces trois dards ainsi offerts. Puis je me retrouvai rapidement dépourvue de tout vêtement et mes trois comparses s’organisèrent rapidement. Un premier se retrouva couché sur le sol sur lequel on me fit installer à califourchon. Son membre força l’entrée de mon anus, ce qui me fit sursauter de douleur, mais sans attendre un autre força l’entrée de ma chatte. Le troisième se retrouva rapidement dans ma bouche. Ils me prirent comme des damnés en échangeant régulièrement de place. Je ne sais pas combien de temps cela dura, mais je suçai même un livreur de matériau arrivé à l’improviste. Le gars en fut tellement surpris qu’il ne déchargea rien d’autre que ses couilles. À mon avis il espérait bien revenir.


Les orgasmes se multiplièrent et c’est couverte de sperme que je me relevai et retraversai le jardin sans prendre la peine de me rhabiller, sous le regard appuyé de mes bons ouvriers.


Le cœur tranquille de cette douce vengeance - enfin pas si douce que ça - je pris une douche et préparai le souper pour mon petit mari. J’étais tellement dans un état de soulagement que je lui fis même son repas préféré.


Les jours se passèrent sans envie de recommencer mes méfaits. J’étais vengée de façon beaucoup plus forte que les malheureuses histoires de mon mari. De toute façon, étant d’origine modeste, si un jour je devais le quitter, j’aurais beaucoup de mal à garder le train de vie auquel je m’étais habituée.


Ce n’est que deux semaines plus tard que je reçus un courrier qui me fit l’effet d’un coup de poing. Deux photos de moi en train de me faire sauter dans la véranda par Momo et Francesco, et une autre sur les pavés par les ouvriers…

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