Sylvie ma femme

- Par l'auteur HDS Omarrrr -
Récit érotique écrit par Omarrrr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Sylvie ma femme Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2022 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Sylvie ma femme
Une vie conjugale avec, comme chez tous, des hauts et des bas mais un bilan globalement positif. Deux beaux enfants et un amour sans faille. Oh, bien sûr, nos étreintes ont perdu quelque peu de leur fougue et, lorsque nous faisons l’amour, la tendresse et les baisers l’emportent sur les chevauchées fantastiques.

Quelques regrets bien sûr. Au début de notre union, nous avons vécu une expérience sensationnelle avec un couple d’amis et j’aurais aimé revivre des moments identiques mais, malgré quelques tentatives pour l’y amener, Anne n’a jamais désiré recommencer. Je me suis donc rabattu sur les fantasmes et il m’arrive de me donner du plaisir seul en imaginant ce genre de situation.


Nous fêtons demain samedi notre anniversaire de mariage. Nous avons prévu de dîner au restaurant, il ne nous est pas arrivé depuis longtemps de faire un repas en amoureux, puis, après, je n’exclus pas une soirée en boîte, enfin si elle est d’accord.


La semaine de travail est finie et je rentre à la maison. À mon arrivée, ma chérie est sous la douche. Je me change, me sers un café que je vais boire sur la terrasse. Lorsqu’elle m’y rejoint, elle est en peignoir. Je lui chauffe un café. Nous sommes assis côte à côte et ma position me permet de voir un peu sa poitrine. Elle se rend compte que je la regarde et, avec un sourire, me rappelle à l’ordre :

— "Hé, vicelard ! Tu crois que je ne te vois pas en train de me mater ?
— Que veux-tu ? C’est plus fort que moi… tu sais comme j’aime te regarder…— Oh oui, je le sais ! Tiens ! Profites-en alors !"
Elle écarte les pans du peignoir, offrant son torse à mes yeux. Je la connais par cœur mais n’en suis jamais rassasié. J’admire ses seins, assez gros, un peu tombant, ses aréoles que j’aime voir foncer sous l’excitation, ses tétons, si sensibles aux caresses et aux baisers, qu’un rien fait se redresser.


— "Alors ? Tu aimes ?
— Hum… j’adore…— Allez ! Fini la récréation !"
À mon grand regret, elle referme la sortie de bain, me cachant le merveilleux spectacle. Nous finissons notre tasse et elle rentre se changer.

À son retour, elle est en tee-shirt et je devine qu’elle n’a pas remis de soutien-gorge. Bon, il n’est que 17 heures et il ne sert à rien de s’exciter ! Il faut que je pense à autre chose sinon je vais lui sauter dessus ! Je me force à me lever et vais ranger quelques affaires, la laissant profiter du soleil.


Vers 19h30, je lui propose, comme souvent le week-end, de prendre un apéritif.


— " Pourquoi pas ?
— On le prend ici ou à l’intérieur ?
— Oh, il fait beau, restons ici !"
J’amène les bouteilles de vin blanc et de crème de cassis et sert un kir. J’allume deux cigarettes, lui en tends une et nous trinquons.


— "Tu as réservé pour demain ?
— Oui, ne t’inquiète pas ! Et après le repas, on fait quoi ?
— Je ne sais pas… tu as une idée ?
— On pourrait aller en boîte ?
— Ouais… ça fait un bail ! D’accord !"
Après l’apéritif, nous dînons, toujours sur la terrasse. Un moment, Anne se lève pour aller chercher quelque chose à la cuisine et, la regardant, il me semble qu’elle ne porte pas de sous-vêtement. Mon cœur fait un bond ! D’ordinaire plutôt pudique, l’absence de soutien-gorge ne m’a pas parue bizarre car je sais qu’elle apprécie en fin de journée d’être à l’aise, par contre, elle ne reste jamais cul nu ! À son retour, en se rasseyant, je ne distingue en effet aucune trace de slip. Je ne dis rien et nous continuons notre repas.


Celui-ci terminé, je débarrasse la table et nous prenons un café. Anne a quitté son fauteuil et s’est installée sur le transat, à moitié allongée. Sa position dévoile un peu ses cuisses mais impossible d’avoir confirmation qu’elle est bien nue sous son vêtement.


— "Je te passe de la crème sur les jambes ?
— Si tu veux…"
Je file chercher le tube et m’installe par terre, sur un coussin. Déposant une noix de pommade sur son mollet, je la fais pénétrer par de lents massages. Anne a fermé les yeux et apprécie la caresse de mes doigts. J’en fais autant à l’autre jambe puis m’occupe des genoux. Ceux-ci terminés, je lui demande si je poursuis sur les cuisses. Sans me répondre elle remonte un peu son tee-shirt. Je masse alors une cuisse puis passe à l’autre. Ce faisant, j’ai confirmation que ma chérie a jugé inutile de mettre un slip. Dans ma poitrine, mon cœur bat la chamade en distinguant sa fente, d’ailleurs étrangement visible.


— "Mets-toi sur le ventre !"
Je masse l’arrière des jambes, remontant peu à peu vers ses fesses. Je saisis le bas du vêtement et le tire vers le haut, dévoilant son adorable fessier. Faisant l’innocent, je parais surpris de le découvrir nu :

— "Tiens, t’as pas remis de slip ?
— Ah oui. C’est vrai…"
Mes mains massent maintenant ses globes fessiers, les pétrissant parfois assez fermement comme je sais qu’elle aime. Je les écarte un peu, admirant comme à l’habitude son petit œillet sombre.


— "N’en profite pas trop !
— Oh ! Comment peux-tu croire…"
Elle ne fait pourtant rien pour m’arrêter et il me semble même que ses jambes s’écartent légèrement.


— "Retourne-toi !"
Comme tout à l’heure, je remonte son tee-shirt et découvre, très agréablement surpris, que ma chérie s’est épilée une partie de la toison. Son pubis est totalement glabre, seules ses lèvres ont gardé leurs poils, coupés très ras. Je la félicite et lui demande pourquoi elle n’a pas tout ôté.


— "Je n’arrivais pas à le faire…— Tu veux que je le fasse ?
— Tu veux toi ?
— À ton avis ?"
Abandonnant le tube de pommade, je file chercher la crème dépilatoire ainsi qu’une bassine d’eau.


À mon retour, Anne a ôté son tee-shirt et est donc totalement nue. Devant mon regard étonné, elle déclare :

— "Je ne voudrais pas que tu le tâches…"
Dans mon slip, mon sexe est de plus en plus à l’étroit et je ne peux empêcher mon cœur de battre à tout rompre. Allons Marc, ressaisis-toi !


À genoux à côté d’elle, je lui demande d’écarter les jambes. Je reste un instant admirer son intimité puis dépose une bonne quantité de crème sur ses lèvres après les avoir humidifiées.


— "En attendant qu’elle fasse effet, donne-moi une cigarette, s’il te plait !"
Je regarde, ou plutôt admire, ce corps qui, depuis que je l’ai découvert, me rend toujours aussi fou.


— "Qu’est-ce que tu mates comme ça ?
— Toi ma chérie… tu es toujours aussi belle…— Avec quelques kilos en trop…— Je dirais plutôt avec quelques rondeurs … qui te donnent un charme fou !
— Flatteur !
— Amoureux, je préfère."
Ma main se pose sur son ventre et le caresse doucement, en appréciant la douceur de la peau. Lentement, je remonte vers ses seins dont, du bout du doigt, je dessine les contours. Anne me regarde, un sourire aux lèvres, immobile. J’atteins une aréole que je caresse puis m’attarde sur le téton qui la surmonte, espèce de petite fraise dans laquelle on aimerait croquer. Je le vois grossir, s’étirer, comme s’il s’éveillait. Anne ne bouge toujours pas mais sa respiration est plus courte. J’abandonne le délicat bourgeon et m’occupe de son voisin qui réagit de la même façon.


— "Les dix minutes sont passées…"
Je m’empare de la spatule et ôte la crème, entraînant les poils qui subsistaient. Je rince ensuite abondamment et découvre sa petite fente totalement imberbe, lisse, paraissant encore plus nue ainsi. J’ai pris soin d’amener un petit miroir que je place devant en demandant à ma chérie :

— "Alors, ça te plait?
— C’est bizarre… ça fait presque obscène…— En tout cas, c’est tout doux."
Elle y passe un doigt et en constate ainsi la douceur.


— "Hum… c’est vrai… on dirait une peau de bébé"
Elle rallume une cigarette et se rallonge. Mes doigts retrouvent sa poitrine et je reprends mes caresses là où je les avais abandonnées. Je saisis un téton entre le pouce et l’index et le fais rouler délicatement, le faisant encore prendre du volume. Cette fois, Anne ne retient pas de légers soupirs. Mon autre main redescend sur son ventre et atteint le léger renflement de son pubis. Je le masse un peu et poursuis mon exploration plus bas. Mes doigts effleurent les lèvres, poursuivent vers les aines et caressent les cuisses. Peu à peu, ma chérie écarte les jambes et je remonte sur ses lèvres. Elles sont un peu plus ouvertes, un peu plus gonflées. Je les sépare délicatement, admire les petites lèvres roses, si joliment ciselées. Une certaine moiteur trahit l’émoi de ma chérie. Je flatte cette délicieuse vallée, si douce et si chaude. Mon index remonte un peu et trouve le bouton, encore encapuchonné. Quelques effleurements et il sort la tête, se redresse fièrement, comme pour mieux s’offrir aux caresses. Les soupirs de ma petite femme se sont mus en gémissements. J’abandonne sa poitrine, m’installe entre ses jambes, le visage à hauteur de son trésor. Des pouces, j’écarte les lèvres et reste admiratif devant cette fente, maintenant bien humide, d’où monte une si délicieuse odeur. Je m’approche un peu plus et souffle en sa direction, faisant frémir ma belle. Puis, du bout de la langue, je goûte sa liqueur. Anne pose les mains sur ma tête, me plaque contre elle, m’empêche, mais en aurais-je l’envie, d’abandonner mes caresses. Alors, ma langue s’enfonce dans sa grotte, accueillie par un feulement et je bois directement à cette source la mouille de ma chérie.


— "Oh oui !"
Je lèche quelques instants sa chatte puis descend et lui embrasse les aines. Je relève ensuite ses jambes et ai ainsi une vue imprenable sur son œillet. Ma langue parcourt un peu la raie puis j’embrasse l’anneau plissé. C’est une caresse que d’ordinaire ma chérie n’aime pas trop et je suis un peu surpris qu’elle ne dise rien et, qu’au contraire, elle tienne ses jambes relevées le plus haut possible. J’appuie un peu contre cette porte secrète et parvient à franchir l’obstacle, goûtant sa saveur un peu poivrée. Je ne m’y attarde pas, peu désireux de brusquer les choses et revient lécher sa plaie intime.

Quelques minutes suffisent pour qu’Anne pousse une longue plainte et jouisse. Son jus ruisselle sur mon menton et elle me repousse presque brusquement lorsque je manifeste le désir de poursuivre mes baisers.


Je me relève, heureux de lui avoir offert cette jouissance. Les yeux fermés, elle savoure son orgasme. Je la laisse reprendre doucement ses esprits. Lorsqu’elle les rouvre, elle me regarde avec tendresse. Sans dire un mot, elle baisse mon short et ses doigts se referment sur mon sexe. Elle me caresse un peu puis, s’asseyant au bord du transat, m’attire contre elle et je sens son souffle sur mon bas-ventre. Elle lèche ma hampe, du haut en bas, embrasse mes bourses et descend un peu plus bas, remonte ensuite puis ses lèvres se referment sur mon gland. Elle l’embrasse longuement, l’aspirant puis le fait coulisser, les mains sur mes fesses qu’elle caresse, s’amusant parfois à les pincer. Elle m’avale entièrement, chose qu’elle fait rarement, me fait aller et venir en me serrant fortement entre ses lèvres. Une main abandonne mon postérieur pour caresser mes bourses, les faire rouler entre ses doigts.

Derrière, l’autre main a trouvé mon petit trou et un doigt appuie dessus. Je le sens me pénétrer puis aller et venir lentement, me procurant des sensations inédites mais ô combien agréables !

Les caresses et les baisers de ma petite femme viennent rapidement à bout de ma résistance. Sachant qu’elle n’aime pas particulièrement avaler mon sperme, je la préviens de l’imminence de mon plaisir. Je suis une nouvelle fois surpris car, loin de relâcher sa fellation, elle accélère ses va-et-vient et je finis par me déverser dans sa bouche, me vidant longuement. Elle me garde en elle et, les yeux baissés, je la vois déglutir, avalant ma semence.


Elle me libère, ôte délicatement son doigt de mes fesses, se relève et me tend la bouche. Je réponds à son baiser et constate qu’elle n’a pas tout avalé et me fait partager un peu de mon sperme.


Nous faisons une pause puis Anne me propose, vu l’heure, d’aller nous coucher.


— "Demain, il faut qu’on soit en forme si on veut faire la bringue !"
Nous nous couchons, nus. Ma main retrouve comme par enchantement la douceur de son ventre. Je me tourne vers ma chérie, me soulève un peu, et trouve à nouveau sa bouche pour un long et doux baiser. Je me retrouve sur elle, mon sexe à l’entrée de sa grotte.


— "Viens !"
Je pousse un peu et m’enfonce avec plaisir en elle, accueilli par un râle. Une fois tout en elle, je reste sans bouger, appréciant la chaleur de sa grotte. Nous nous embrassons à nouveau puis j’entame de très lents va-et-vient qui la font gémir.


— "C’est bon ma chérie… j’aime être dans toi…"
Anne relève les jambes, ses bras me tiennent le dos et je la fouille plus fougueusement. Mon éjaculation précédente me permet de me retenir et je l’amène à l’orgasme avant de me répandre en elle. Nous restons un long moment immobile, nos sexes toujours imbriqués, savourant le bonheur tout simple d’être amoureux.

Peu après, nous nous endormons, tendrement enlacés.


Le lendemain, au réveil, je constate qu’elle dort encore. Sans bruit, je descends et prépare le petit déjeuner. L’odeur du café la réveille et elle me rejoint, sans avoir pris la même d’enfiler quelque chose. Je suis pour ma part en caleçon et la vue de son corps nu me fait bander instantanément. Elle remarque la déformation de mon sous-vêtement et en rigole :

— "Tu as retrouvé tes vingt ans on dirait !
— Grâce à toi mon amour !"
Nous prenons le café sur la terrasse. Il est neuf heures mais le soleil chauffe déjà.


— "J’ai envie de m’acheter quelque chose à mettre pour ce soir. Tu m’accompagnes ?
— Avec plaisir."
Après une bonne douche rafraîchissante, nous prenons la route. Dans le magasin, je suis quelque peu étonné en voyant Anne s’intéresser au rayon des jupes. Elle préfère et de loin porter des pantalons, comme ce matin d’ailleurs, et m’a bien souvent engueulé quand j’insistais pour qu’elle se mette en robe ou jupe. Elle en choisit trois et se dirige vers les cabines, m’invitant à la suivre. Elle les essaye mais a bien du mal à se décider.


— "Prends les trois !
— Tu es sûr ?
— Mais oui. Allez ! En plus c’est notre anniversaire !
— Tu es un amour !"
Elle s’achète également un chemisier puis nous sortant.


Le soir est arrivé ! Il est vingt heures et nous nous apprêtons à partir. Anne descend, elle porte une des jupes qu’elle a achetées tout à l’heure. Assez courte, juste au-dessus du genou, et fendue sur le côté, ce qui laisse apparaître une partie de sa cuisse. Son chemisier, assez sage, offre cependant un décolleté que j’apprécie, apercevant un peu plus que la naissance de ses seins.


— "Ça n’est pas trop… enfin je n’ai pas l’air d’une pute ?
— Pas du tout mas chérie ! Sexy, juste ce qu’il faut pour rendre jalouse plus d’une femme.
— Tu es gentil. On y va ?
— On y va !"
Tout en conduisant, je lui caresse la cuisse d’une main. Je tente bien de remonter plus haut mais elle m’en empêche, ne rappelant que nous sommes en ville et qu’elle ne désire pas se retrouver en cellule pour attentat à la pudeur.


Le restaurant n’est pas bondé et nous avons une table un peu à l’écart, suffisamment pour ne pas être dérangé par la conversation de nos voisins. Le repas est délicieux. Lorsque nous quittons l’établissement, il n’est que 23 heures et je propose d’aller prendre un café dans un pub tout proche.


— "On va en boîte alors ?
— Tu ne veux plus ?
— Si.
— Le seul problème est de savoir où…— Qu’est ce que tu penses de l’Extasia ?"
Je reste muet ! Ma femme est en train de me parler d’un club non conformiste réputé dans la région ! Connaît-elle la véritable nature de cet endroit ?


— "Tu sais quel genre d’endroit c’est ?
— Euh… oui… enfin, j’en ai entendu parler…— Tu sais que c’est une boîte un peu… spéciale ?
— Mon chéri, ça fait des années que tu rêves de passer une soirée dans ce genre de boîte. Ce soir, c’est notre anniversaire et je t’en offre l’occasion…— Mais… tu… tu es prête à…— À faire l’amour à un autre homme ? Et toi ? Tu es certain de ne pas être jaloux ?
— J’en suis sûr ! Mais je ne veux pas que tu le fasses uniquement pour me faire plaisir. Tu en as envie toi aussi ?
— Oui. En fait, ça fait une semaine que j’y pense et, plus les jours passent, plus je trouve l’idée excitante.
— Ça alors ! Dans ce cas, va pour l’Extasia !"
Nous quittons le pub et prenons la route de la boîte en question. Je suis excité à un point que je ne peux décrire ! Posant la main sur ma braguette, ma chérie s’en rend d’ailleurs compte, ce qui la fait sourire :

— "Dis donc ! Tu as l’air en forme !
— Pas toi ?
— Ah ? L’avantage pour moi c’est qu’on ne le voit pas… tu ne peux pas en dire autant !"
Je remonte une main le long de sa cuisse mais elle m’arrête :

— "Pas touche ! Tu auras tout le temps plus tard !"
Si elle m’interdit de lui toucher le sexe, elle ne se gêne pas par contre pour faire aller et venir un doigt sur ma bosse.


— "Tu ne veux quand même pas me faire jouir dans mon slip comme un collégien ?"
Elle cesse ses caresses et je me concentre sur la conduite, repoussant certaines images qui trottent dans ma tête.


Nous voici arrivés. Le nombre de voitures sur le parking semble indiquer qu’il y a déjà pas mal de monde.

Tenant ma chérie par la main, nous nous dirigeons vers l’entrée où nous sommes accueillis par une jeune femme très sympa. Plus possible de reculer ! Nous découvrons l’endroit. Le cadre est sympa, la piste de danse est occupée par quelques couples enlacés qui évoluent sur une musique douce. Nous trouvons sans trop de difficultés une table libre et nous installons. Je laisse Anne quelques minutes et vais au bar chercher deux verres. À mon retour, elle discute avec un homme assis à côté d’elle. À peu près notre âge, brun, ma foi très bel homme. À mon arrivée, il me salue et me demande si sa présence ne nous dérange pas :

— "Pas du tout.
— Vous venez souvent ici…— C’est notre première visite.
— Nous fêtons ce soir nos vingt ans de mariage, renchérit Anne— Joyeux anniversaire alors !
— Merci. Et vous ? Vous êtes un habitué des lieux ?
— Disons que nous venons assez régulièrement, mon épouse et moi. Au fait, je m’appelle Karl.
— Enchanté, moi Marc et mon adorable femme Anne. La vôtre ne vous accompagne pas ce soir ?
— Si, bien sûr ! Elle est en train de danser. C’est la femme rousse, là-bas. Elle s’appelle Martine."
Nous regardons, Anne et moi, dans la direction indiquée et voyons effectivement une jolie rousse qui danse lascivement dans les bras d’une jeune femme.


Arrive une série de slows. Notre voisin me demande la permission d’inviter Anne. Je lui donne mon accord et, se levant, il tend la main à ma chérie. Celle-ci me jette un coup d’œil et, devant mon sourire, accepte l’invitation.

Ils dansent, enlacés, les mains de l’homme dans le bas du dos d’Anne qui, elle, a les bras passés autour du cou de son cavalier. Je le vois dire quelques mots à son épouse en indiquant ma direction puis à nouveau parler à ma chérie.

C’est sans surprise que je vois leurs bouches se joindre, en même temps que l’homme lui caresse plus franchement les fesses.


Après quelques danses, ils me rejoignent, bientôt suivis par Martine. De près, elle est encore plus jolie, son chemisier est tendu par une poitrine avantageuse et sa jupe, ultra courte, dévoile de longues cuisses fuselées. Nous faisons connaissance puis ils nous demandent si nous sommes d’accord pour gagner un endroit plus intime.


Nous les suivons donc et arrivons dans un petit salon rond, une banquette en meuble le tour et une table basse permet de poser nos verres. Les femmes sont assises entre nous, Martine à côté de moi et Anne de Karl. Très vite, ce dernier enlace ma femme et lui roule une nouvelle pelle. Je me tourne vers ma voisine, pose une main sur son épaule et, tout naturellement, nos bouches se joignent. Elle déboutonne ma chemisette, ses doigts jouent avec mes poils puis titillent agréablement mes tétons. À mon tour, j’ôte son chemisier et libère sa poitrine. Je la pelote doucement, pinçant légèrement les tétons qui réagissent immédiatement. Nos bouches se séparent. Elle s’agenouille devant moi, ouvre ma braguette et caresse mon sexe par dessus mon caleçon. Elle le baisse ensuite, ses doigts se referment sur ma hampe et elle me masturbe lentement, me décalottant au maximum.

Je tourne la tête : Anne est torse nu, Karl embrasse ses seins, aspirant ses tétons. Nous échangeons, ma chérie et moi, un sourire et elle passe la langue sur ses lèvres avec une moue des plus coquines.

Martine embrasse mon sexe, lui donne des coups de langue comme elle le ferait à une glace puis, enfin, le fait coulisser entre ses lèvres. Que sa bouche est chaude et humide ! Ses mains se promènent sur mon ventre, sur mes couilles, les griffant légèrement. Je soulève les fesses et me débarrasse de mes pantalon et caleçon. De même j’ôte ma chemisette. Je me penche un peu et mets Martine elle aussi torse nu.

À côté, Karl a franchi une nouvelle étape et s’emploie maintenant à lécher la chatte de ma chérie, la faisant longuement gémir.

Je fais relever Martine et me retrouve le visage à hauteur de son bas ventre. M’emparant du bas de sa jupe, je la fais lentement remonter et ai rapidement sous les yeux sa fente, épilée elle aussi, que ne parvient pas à cacher un string en dentelle. Mes mains passent sur ses fesses qu’elles caressent puis je baisse le sous-vêtement et embrasse son Mont de Vénus. La jupe rejoint très vite le string aux pieds de ma partenaire qui écarte les jambes, m’invitant à poursuivre mes caresses. Ma langue explore son abricot lisse, s’insinue entre les lèvres et je déguste sa mouille abondante.

Je me lève ensuite, l’enlace et nous échangeons un nouveau baiser.


— "J’ai envie de regarder Karl et ta femme. Ça ne te dérange pas ?
— Pas du tout ! J’adore jouer au voyeur."
Nous nous rasseyons et admirons ma chérie et son amant. Eux aussi totalement nus, Anne suce le membre de Karl avec gourmandise. Les bruits de succion témoignent de son ardeur. Sans les quitter des yeux, Martine a repris mon sexe et me caresse doucement, comme pour entretenir mon excitation, qui n’a d’ailleurs pas besoin de cela pour rester à son paroxysme !


Karl demande à Anne de s’allonger, les fesses au bord de la banquette. Il lui prend les jambes, les relève et caresse sa chatte du bout de son gland pendant quelques secondes. Puis il pousse et s’enfonce en elle dans un grognement. Ses va-et-vient, d’abord lents, s’accélèrent et il la lime vigoureusement, leurs deux corps claquant l’un contre l’autre. Les doigts de Martine serrent un peu plus mon membre, comme si elle subissait elle aussi les coups de boutoir de son mari.

Je lui caresse le ventre, descends parfois jusqu’à sa fente en prenant bien garde d’éviter les zones trop sensibles.


Les deux amants ne sont plus très loin de l’orgasme. Les cris de ma chérie résonnent dans la pièce avec, en écho, les "han" de son partenaire. Je la vois soudain ouvrir grand la bouche sans qu’aucun son n’en sorte. Son corps se tend et je devine qu’elle jouit. Son orgasme déclenche celui de Karl qui sort de son vagin et lui arrose le ventre. Martine se précipite sur ma femme et lèche le sperme de son mari, effaçant à grands coups de langue les traces de son éjaculation.

Je regarde ma femme qui, les yeux fermés, savoure sa jouissance. Son amant se penche sur elle et dépose un léger baiser sur ses lèvres entrouvertes. Martine, qui a terminé son nettoyage, revient alors vers moi, me fait asseoir et, sans autre forme de procès, s’empale sur mon sexe dressé, me tournant le dos. En appui sur mes cuisses, elle monte et descend à un rythme effréné. Je m’empare de ses seins qui ballottent et les caresse. Son mari s’approche et lui titille le bouton, la faisant gémir plus fortement. J’ai le plus grand mal à me retenir mais, heureusement, elle parvient très rapidement au nirvana. Je sens sa cyprine couler sur mon membre, ses muscles intimes masser ma verge et je n’ai que le temps de quitter le doux refuge avant de lui maculer le bas-ventre de mon jus.


Nous reprenons tous les quatre nos esprits puis retournons dans la salle principale. J’invite à mon tour Anne à danser et, amoureusement enlacés, nous nous laissons bercer par la musique.


— "C’était bon ?
— Hum… oui… et toi ?
— Super ! Tu n’es pas jaloux ?
— Absolument pas mon amour. J’ai adoré te regarder avec Karl.
— On peut recommencer alors ?
— Coquine ! Bien sûr !"
Karl et Martine nous rejoignent sur la piste et nous changeons de partenaire.


— "Anne a déjà fait l’amour à une femme ?
— Oui. Une fois, il y a longtemps…— J’ai très envie d’elle. tu crois qu’elle voudra…— À mon avis, ça ne posera aucune problème."
La série terminée, nous abandonnons une nouvelle fois la piste et retrouvons notre alcôve. Martine s’approche d’Anne, lui prend la main et l’attire contre elle. Sa bouche parcourt le visage de ma chérie, lui embrasse le front, les joues, le nez, sans essuyer aucun refus. Elle se pose alors sur les lèvres et, après une fraction de seconde, les deux femmes échangent un baiser passionné. Très rapidement, elles sont nues toutes les deux. Martine fait allonger Anne et sa bouche explore son corps, n’oubliant aucun centimètre carré.


— "Elles sont belles, n’est-ce pas ?
— Hum… oui… je suis heureux de voir Anne se laisser ainsi aller…"
Martine embrasse les seins, serre les tétons entre ses lèvres, tète tel un bébé affamé. Ses baisers, sur sa poitrine sensible, font gémir Anne qui se tord de plaisir. Sa maîtresse descend sur son ventre et atteint son intimité. Ma chérie écarte les jambes au maximum, s’offrant sans retenue à cette bouche qui lui dévore la chatte, s’enfonce dans sa grotte, agace son bouton.

Les deux femmes changent ensuite de position et se mettent en 69. Anne caresse un peu la fente de son amie puis s’enhardit et, à son tour, embrasse son sexe. Sa langue explore la fente, s’enfonce dans la grotte humide, donnant des frissons de plaisir à Martine. Écartant les fesses, Anne ose même quelques baisers sur l’œillet sombre. Baisers qui, à entendre les gémissements de sa compagne, sont particulièrement appréciés.


— "Hum… c’est bon… mets un doigt !"
Anne, après avoir sucé son index, le pose contre l’anneau et pousse.


— "Ah oui ! Comme ça ! Encule-moi !"
Ma chérie fait aller et venir son doigt rapidement dans le derrière de Martine, la faisant presque crier. Devinant qu’elle n’est pas novice, loin de là, elle en ajoute un second qui entre aussi facilement. Incapable de se concentrer sur son cunnilingus, Martine a délaissé le minou d’Anne et ne vit plus que pour le plaisir qu’elle reçoit. Tout en la sodomisant de ses doigts, ma puce poursuit ses baisers sur la chatte offerte. Il ne lui faut que quelques minutes pour que Martine, dans un long feulement, parvienne à l’apogée du plaisir. Après avoir savouré cet orgasme comme il se doit, elle remercie Anne :

— "Quel pied ! Allez ! À ton tour !"
Sa bouche retrouve le chaton de ma chérie. Elle s’emploie à son tour à lui offrir le maximum de plaisir, deux doigts allant et venant dans la grotte pendant que, de la langue, elle titille le bouton. Anne gémit sans discontinuer, savourant le savoir-faire de sa partenaire. Elle relève les jambes, invitant Martine à ne pas oublier son côté pile. Comme si elle n’attendait que cette autorisation, notre amie plante deux doigts dans le cul de ma femme et les fait aller et venir au même rythme que ceux qui fouillent le vagin. C’en est trop pour Anne qui succombe à son tour dans un cri rauque, régalant Martine de son jus.


Les deux coquines reprennent lentement leurs esprits, assises l’une contre l’autre, en nage, les cheveux collés au front par la transpiration.


Le spectacle qu’elles nous ont offert a bien sûr ranimé notre excitation et nous sommes tous les deux au garde à vous. Karl s’approche de sa femme, ses mains caressant ses cuisses mais elle le repousse en lui disant :

— "Vous avez aimé nous regarder ?
— Oui, beaucoup…— Alors, à votre tour ! Pas vrai Anne ?"
Ma chérie me regarde avec un étrange sourire. Pour ma part, je ne sais quoi faire. Que Karl me fasse une pipe, après tout pourquoi pas ? Mais que je le suce… Je n’ai guère le temps d’y réfléchir car il me fait m’allonger et, s’installant entre mes cuisses, embrasse rapidement mon gland puis, avant que je puisse réagir, mais en ai-je envie, m’avale entièrement. Je tourne la tête ; les femmes nous regardent en souriant, appréciant visiblement la scène.


— "Tu n’as pas envie de le goûter ? Me demande Martine. Allez ! Laisse-toi aller ! Suce-le !"
Karl, en l’entendant, s’est mis au-dessus de moi, en 69. Patient, il ne me force pas et n’appuie pas son sexe contre mon visage, me laissant le choix. Ma main se pose sur son membre et je le caresse doucement, le faisant grossir un peu plus. Je me décide alors et, levant un peu la tête, embrasse sa hampe, puis son gland. Je me surprends à en aimer le goût et j’ouvre enfin la bouche pour l’accueillir. Il s’installe plus franchement sur moi et je fais aller et venir son sexe dans ma bouche, appréciant un peu plus au fil des minutes sa présence.

Tout en me pompant, Karl caresse mon petit trou et, assez vite, un doigt me force et va-et-vient en moi. Je savoure sa caresse, à la fois douce et puissante et décide de lui rendre la pareille. Mon index s’enfonce sans difficulté, ce qui me fait penser que, comme sa femme, il apprécie les plaisirs de Sodome.

Nous nous suçons ainsi de longues minutes, nous branlant en même temps le cul, puis je sens que je ne vais pas tarder à venir. Lâchant sa queue, je le préviens. Il me fait sortir de sa bouche et ses doigts finissent de me faire succomber. Dans un râle, je gicle sur mon ventre et sa main.


Karl se relève. Il na pas joui et je suis surpris qu’il ne désire pas continuer à se faire sucer. Je comprends quand il me saisit les jambes et les relève ses intentions. Partagé entre le désir et la crainte de la douleur, je ne fais pas un geste.


— "Sois tranquille, je serais très doux…"
Il déchire l’emballage d’un sachet de lubrifiant dont il répand le contenu sur mon petit trou. Son doigt me prépare puis il s’en met une bonne couche sur le sexe. Face à moi, il pose son gland contre mon anneau et pousse légèrement.


— "Détends-toi !"
Je mets quelques instants pour me décontracter, instants pendant lesquels il reste immobile, attendant que je sois prêt. Une deuxième poussée et son gland franchit l’étroit passage. Je suis surpris de ne pas ressentir une douleur plus importante.


— "Ça va ?
— Oui… doucement…"
Il poursuit lentement sa progression et, peu à peu, je me mets à aimer cette présence au plus profond de mon intimité.


— "Voilà… je t’ai tout mis…"
Je jette un œil vers Anne qui me paraît bien excitée de me voir ainsi embroché ! Sa main va-et-vient sur sa fente tandis qu’elle se fait peloter par Martine.

Doucement, Karl ressort, presque complètement, puis me réinvestit. Je ne peux étouffer un râle de plaisir en le sentant à nouveau s’enfoncer et, rassuré, il se met à aller et venir un peu plus vite.

Karl ne met guère de temps à jouir. Sortant de mon cul ses giclées m’arrosent le ventre, atteignant même mon menton.


Anne vient vers moi, m’embrasse très tendrement et me demande :

— "C’était bon ? Tu as aimé ?
— Oui… ça fait bizarre, surtout au début, mais c’est plus qu’agréable…— Je vois, dit-elle en baissant les yeux vers mon sexe à nouveau en érection."
Martine et elle éclatent de rire, vite suivies par Karl et moi. Nous nous rhabillons et quittons ce charmant endroit. Au lieu de prendre la direction de la salle, Martine file vers la gauche. Nous la suivons et découvrons une pièce beaucoup plus grande, où le sol n’est qu’un immense matelas. Plusieurs couples s’y ébattent, à deux, trois ou quatre. Notre amie ôte ses vêtements et, sans hésiter, rejoint le trio le plus proche de nous : deux hommes, plutôt jeunes, et une femme assez forte, paraissant au moins cinquante ans, et qui subit les assauts de l’un en suçant l’autre. Karl regarde sa femme s’emparer des seins de la femme et les peloter assez rudement.


— "C’est une amie. Elle adore se faire un peu maltraiter… surtout par Martine pour qui elle a un petit faible."
Il se met nu puis entreprend de dévêtir Anne. Celle-ci se laisse faire et, lorsqu’il lui prend la main, le suit sans l’ombre d’une hésitation. Je me mets à mon tour dans le plus simple appareil et, sur un signe de Karl, les rejoins. Anne, allongée sur le dos, jambes écartées, yeux fermés, reçoit l’hommage de nos mains et de nos lèvres. Pas une partie de son corps qui ne soit embrassée ou caressée ! Ses gémissements nous prouvent, s’il en était besoin, le plaisir que nous lui donnons. Son corps est parfois comme parcouru par des décharges électriques.

Un autre homme se joint à nous après être resté spectateur. Nous amenons ma femme à l’orgasme rapidement ; elle jouit bruyamment, deux doigts lui fouillant le vagin, deux son derrière, une bouche sur chaque sein et un doigt titillant son bouton. Karl, décidément en forme, ne lui laisse pas le temps de redescendre de son orgasme et s’enfonce en elle d’un puissant coup de rein. Quelques va-et-vient lui suffisent pour la faire à nouveau grimper aux rideaux. L’homme qui nous a rejoint en profite et pose son sexe sur sa bouche. Tout naturellement, elle le gobe et le suce tandis qu’il lui caresse les seins. Je la regarde subir les assauts de ses deux amants puis, tournant la tête, je vois non loin de nous un couple qui regarde, un peu éberlué, ce qui se passe dans la pièce. Visiblement, ils sont néophytes et n’osent guère entrer dans la danse. Je les rejoins et pose une main sur la cuisse de madame. Elle se retourne et me sourit timidement mais ne fait aucun geste de recul. J’en profite donc et mes doigts caressent sa jambe, remontant lentement mais sûrement mais cet endroit magique où elles se joignent. Son mari regarde ma main progresser et je constate que plus elle remonte plus son sexe se redresse. J’atteins l’intimité, déjà mouillée.


— "Allongez-vous !"
Elle m’obéit et écarte les jambes, offerte. Je plonge alors vers sa fourche et embrasse sa fente, lui donnant des frissons. Mes mains remontent vers sa poitrine que je masse lentement, sentant sous mes doigts les bourgeons grossir et s’allonger.

Son compagnon l’embrasse tendrement, comme pour la rassurer par sa présence. Je la vois qui le caresse lentement. Sous mes baisers et mes caresses, elle ne tarde pas à se tordre de plaisir et j’ai le plus grand mal à poursuivre mon cunnilingus. Je la saisis par les fesses et la maintiens plaquée contre moi. Soudain, son ventre se tend, ses mains agrippent mes cheveux et je reçois une véritable éjaculation sur le visage. Une femme fontaine ! Moi qui croyais que cette appellation était exagérée ! J’ai l’impression qu’elle me pisse littéralement dessus ! Enfin, la source se tarit. Gentiment, mais fermement, elle me repousse. Son mari, sitôt que je suis relevé, s’installe sur elle et la pénètre. Elle me sourit et sa main, un peu hésitante, prend ma verge et me caresse.


— "Merci… c’était très bon… vous désirez… enfin… je veux dire… vous voulez que je vous suce ?
— Uniquement si vous en avez envie…— Approchez !"
Je me mets contre elle et, d’abord du bout de la langue puis plus franchement, elle m’embrasse le gland. Je lui caresse la poitrine, doucement. Elle ouvre alors la bouche et me fait coulisser entre ses lèvres. Tout près, après quelques va-et-vient, son ami jouit, lui maculant le ventre. Elle semble ne même pas s’en apercevoir, concentrée sur sa fellation. Timide peut-être mais extrêmement douée ! Plus les minutes passent, plus elle s’enhardit, me prenant totalement, massant mes couilles, ressortant parfois en ne gardant que mon gland entre ses lèvres pour le lécher en abondance. Heureusement que j’ai déjà joui plusieurs fois, ce qui permet de tenir ! Elle me lâche soudain et, d’une petite voix, me demande :

— "J’ai envie de te sentir en moi… tu veux bien me prendre ?"
Comment refuser une telle offre ? Elle s’installe à quatre pattes, les reins cambrés. Je me mets derrière elle et, d’un coup de rein, investis sa grotte, accueilli par un ’ah’ de plaisir. Je prends mon temps, la limant profondément. Mes mains écartent ses fesses, dévoilant son petit trou. J’ose y aventurer un doigt curieux mais la sens se raidir. Je n’insiste pas et poursuis dans sa chatte. Très vite, elle crie une nouvelle fois. Je ne m’arrête pas et retente une incursion vers sa petite entrée. Pas de réaction cette fois. Je mouille mon index et pèse sur l’œillet. Doucement, il franchit l’étroit passage sans que ma partenaire ne m’arrête. Je le fais aller et venir au même rythme que ma queue dans son vagin et par moments, c’est elle-même qui tend son cul, m’invitant à entrer plus loin. Je tente un second doigt et un gémissement un peu plus fort me rassure.


— "Viens mais doucement, parvient-elle à murmurer."
Je quitte son chaton et pose mon gland contre son petit trou. Je pousse un peu et force le passage.


— "Détends-toi !"
J’écarte franchement ses fesses et regarde mon pieu écarteler son trou, vision ô combien excitante !

Peu à peu, je m’enfonce dans le fourreau serré, encouragé par ma partenaire qui, tout en me demandant d’aller doucement, tend les fesses au-devant de ma queue. Enfin, je suis entièrement en elle.


— "Ça y est ! Ça va ?
— Hum… oui… ça fait bizarre… reste un peu comme ça… sans bouger…"
Immobile, j’attends qu’elle s’habitue à ma présence. J’en profite pour jeter un œil vers ma chérie. Elle chevauche Karl tout en suçant son nouveau partenaire. Visiblement, mon absence ne la trouble guère.

Je ressors lentement, ne laissant que le gland puis la réinvestit. Cette fois, elle apprécie et écarte elle-même ses fesses, comme pour mieux me sentir.


— "Oh… oui… vas-y… c’est bon…"
Mes coups de reins se font plus puissants, plus rapides et ses gémissements vont crescendo. Je sens une de ses mains me caresser les bourses et lui dit de se masturber. Ma sodomie semble maintenant la combler et elle ne cesse de gémir, criant même parfois. Son compagnon nous regarde, souriant, visiblement heureux de voir sa femme prendre ainsi son pied. Subitement, elle pousse un long cri et je sens ses muscles serrer un peu plus fort ma queue.


— "Ah… oui… je jouis… c’est… ahhhhhhhh."
Son orgasme déclenche mon éjaculation et, sortant de son cul, je lui arrose le dos. Épuisée, elle s’affale sur le ventre, cherchant à reprendre son souffle. Après quelques minutes, elle se retourne et me sourit :

— "C’était la première fois…— J’avais deviné… tu as aimé…— Oui… tu as été très doux… merci. Je ne voulais pas trop venir ici mais je ne le regrette pas du tout…— Je suis très heureux de t’avoir rencontrée… Je m’appelle Marc— Moi Véro. C’est ta femme ?
— Oui.
— J’aimerais bien …— Vas-y ! Je suis certain que tu vas lui plaire."
Elle se lève, rejoint le trio et reste un peu immobile, regardant le trio. Puis, un peu timidement, elle avance une main vers la poitrine et empaume un sein. Anne la regarde et, sans hésiter, lâche le membre qu’elle suce et l’attire contre elle pour lui rouler une pelle. Ma chérie semble prendre goût aux plaisirs de Lesbos !

Celui qu’elle vient d’abandonner caresse alors le dos de la nouvelle venue, descend lui flatter les fesses et je devine qu’il lui enfonce un doigt dans le cul. Cette fois, elle ne se crispe pas et se cambre, s’offrant au doigt inquisiteur. C’est le moment que choisit Karl pour jouir. Il soulève un peu Anne et ses jets s’écrasent sur son ventre. Ma chérie en profite alors pour s’allonger et attirer sa nouvelle amie sur elle en 69.

Le troisième larron ne désarme pas, bien au contraire, et, profitant de sa position, enfile son mandrin dans le cul de Véro qui subit, en moins de dix minutes sa seconde sodomie, se faisant vigoureusement ramonée.

Karl me rejoint dans mon rôle de voyeur pendant quelques instants puis jette un œil sur la salle pour y trouver la trace de sa femme.

Martine est joyeusement en train de se faire prendre par deux hommes, chevauchant l’un, se faisant enculer par le second.

Tout près, ma récente partenaire, sous les baisers d’Anne et les coups de reins de l’homme, crie à nouveau. À mon avis, elle ne regrette absolument plus sa venue !

L’homme sort de ses reins et lui fourre sa queue dans la bouche. Sans hésitation, elle l’avale et, rapidement, il lui jouit sur le visage et les cheveux. Elle peut alors se concentrer sur la chatte de ma chérie qu’elle lèche avec un plaisir non dissimulé. Anne apprécie ses baisers et, les jambes totalement écartées, s’offre sans retenue. Leur partenaire les abandonne et quitte la pièce, nous adressant un grand sourire en passant près de nous, satisfait du plaisir obtenu.

Véro ne tarde guère à emmener Anne au septième ciel. Dans un cri rauque, ma chérie jouit et l’abreuve de son jus qu’elle déguste à grands coups de langue.


Après une petite récupération, elle se relève et vient m’embrasser.


— "Je n’en peux plus !
— On redescend boire un coup ?
— Ah oui ! Avec plaisir !"
Nous prévenons Karl et rejoignons la salle. Bizarrement, il y a ici de moins en moins de monde ! Nous retrouvons note table et je vais chercher deux verres que nous dégustons tranquillement. Il est près de trois heures du matin, cela fait donc un peu plus de trois heures que nous nous envoyons en l’air ! Je regarde ma chérie, les cernes sous ses yeux et la transpiration trahissent les moments qu’elle vient vivre.


— "Alors ? Heureuse ?
— Très oui, répond t-elle en riant. Et toi ?
— Hum… plus que ça…— Il faudra qu’on revienne !
— Ben dis donc ! Tu y prends vite goût !
— Pas toi ?
— Si. Je te promets d’y revenir… quand tu en auras envie.
— T’es un chou !"
Les verres vides, je demande à ma puce ce qu’elle veut faire :

— "Je ne sais pas… tu veux rentrer ?
— Pas spécialement. Tu as encore des forces ?
— Hum… je crois oui…— Dans ce cas, poursuivons la visite !"
Anne, décidément en forme, se débarrasse de ses habits qu’elle donne à garder au vestiaire, sous le sourire de la jeune femme.


— "Tu devrais en faire autant !"
Soit ! Je me mets nu moi aussi et nous partons, nous tenant par la main.


Nous voici à nouveau dans le couloir. En passant devant la pièce où nous avons baisé avec Karl et Martine, nous jetons un œil curieux. Véro, ayant visiblement perdu toute timidité, subit les assauts d’un tout jeune homme, toujours sous le regard de son ami qui se caresse distraitement en les matant.

Nous poursuivons notre promenade et trouvons une nouvelle pièce dont un des murs est percé par une espèce de fenêtre. L’ouverture permet de regarder ce qui se passe dans la pièce d’à côté et nous jouons donc les mateurs. Une femme se fait lécher la chatte par une autre qui, en levrette, se fait vigoureusement ramonée par un homme assez imposant. La scène est très émoustillante et je sens renaître mon érection. D’autant plus facilement qu’Anne a saisi mon membre et le caresse doucement. Je sens une présence derrière nous, me retourne et vois un jeune homme noir, les mains posées sur le cul de ma chérie, pelotant ses deux globes. Je lui souris et, rassuré, une main abandonne le derrière pour flatter la fente. Anne se tourne vers moi, visiblement sensible à ces attentions, et nos bouches se trouvent pour un tendre baiser. Elle écarte les jambes, s’offrant un peu plus aux doigts qui vont et viennent maintenant en elle, et serre un peu plus mon sexe.

Je regarde à nouveau l’homme et plus particulièrement son sexe. La réputation des hommes de couleur n’est pas usurpée ! Il est doté d’une verge d’une longueur peu commune et d’un diamètre tout aussi imposant. Et pourtant, il n’est pas encore tout à fait raide !

La main d’Anne abandonne mon chibre et se referme sur celui de l’inconnu.


— "Waouh ! Quel morceau !"
Je m’écarte un peu, désireux de les regarder. L’homme a fait se retourner Anne face à lui et lui roule une pelle. Son érection est maintenant au maximum et son sexe est impressionnant. Ma chérie n’attend pas et, s’agenouillant, lèche le bâton, du gland aux couilles elles aussi très grosses. Il gémit, les mains dans les cheveux de ma puce, appréciant ses baisers. À l’entrée de la pièce, le jeune qui, tout à l’heure s’occupait de Véro, admire lui aussi le spectacle qui, à voir son érection, ne le laisse pas insensible. Il s’approche et caresse le dos d’Anne, descendant rapidement sur les fesses. Ma chérie ne refuse pas ses caresses, bien au contraire, et tend le cul au-devant de sa main. Il s’allonge alors sur le dos et, sans autre forme de procès, attire Anne qui se retrouve ainsi empalée, sans lâcher le sexe d’ébène. Il tente de la limer mais la position n’est pas des plus confortables, ne bougeant bouger comme il le voudrait. C’est l’autre homme qui, s’allongeant à son tour et attirant le visage de ma chérie contre lui, permet à celle-ci de se mettre en levrette et de recevoir le sexe de jeune qui ainsi la ramone plus vigoureusement. Devant cette scène, mon excitation est au summum et mon érection me fait presque mal. Le noir, tournant le visage vers moi me fait signe d’approcher. Sa main saisit ma verge et il me masturbe très doucement. Puis, me faisant le chevaucher, il referme les lèvres sur ma queue et entreprend une superbe fellation. Se faire sucer par l’homme que ma femme suce en même temps, voilà une situation que je n’avais jamais osé imaginer ! Sous les coups de boutoir de son jeune amant, Anne ne tarde guère à atteindre le paradis et, lâchant le sexe, elle laisse libre court à son plaisir, criant longuement. Il poursuit un peu ses va-et-vient et décide de changer d’orifice. Il pointe son gland contre l’anneau et s’enfonce dans les entrailles d’Anne sans hésiter, encouragé par un long "hum". Le noir me lâche alors et se glisse sous elle. Le jeune a cessé ses mouvements et attend qu’il prenne possession de la chatte d’Anne. Il y va lentement, je vois sur le visage de ma chérie les efforts qu’elle fait pour l’accueillir mais également le plaisir qu’elle prend à se sentir ainsi emplie. Ça y est, il est au fond d’elle et, doucement, entame de lents va-et-vient. Le jeune n’attendait que cela et les deux hommes ne tardent pas à trouver la bonne cadence, faisant très vite grimper Anne aux sommets du plaisir. J’ai l’impression qu’elle jouit sans arrêt tant ses cris résonnent dans la pièce. Enfin, le jeune homme, après de longues minutes, sort de ses fesses et lui zèbre le dos de puissants jets. Il se relève et le noir, faisant se redresser Anne, la fait monter et descendre sur son pieu à un rythme infernal. Ce ne sont plus des cris mais de véritables hurlements que pousse désormais ma chérie. Après un long moment, son amant se retire et éjacule longuement sur leurs deux ventres. Anne s’affale contre son tors et ils restent un bon bout de temps ainsi enlacés, savourant le plaisir intense qu’ils viennent de connaître.


— "Je viens de passer un super moment !
— Et moi de jouir comme jamais… tu as une queue superbe et… tu t’en sers très bien…— Merci… au fait je m’appelle Jean.
— Moi Anne et moi mari Marc.
— Enchanté. Approche-toi ! Je me dois de finir ce que j’ai commencé…"
Il me fait m’allonger et reprend mon sexe en bouche. Ses caresses et baisers sont toujours aussi savoureux et il me procure de très agréables sensations. Anne nous regarde, caressant le dos et les fesses de mon suceur qui, par sa position, m’offre une vue sur son sexe que je vois lentement regrossir. Soudain, il se raidit et je devine que ma petite coquine de femme vient de lui enfoncer un doigt dans le cul. Sa queue tressaute en prenant un peu plus d’ampleur.


— "Tu veux que mon mari me remplace ?"
Il ne répond rien mais lâche mon membre et me chevauche. C’est Anne qui, tenant mon sexe, le guide à l’entrée de son anus. Il descend, lentement, s’empalant sur moi. Son cul est délicieusement serré même si je me doute qu’il n’est pas vierge. Bientôt je suis entièrement en lui et, prenant appui sur mon torse, il imprime le rythme de cette sodomie, allant et venant parfois lentement, parfois très rapidement.

Anne nous embrasse à tour de rôle, tout en nous caressant la poitrine. Jean décide de changer de position et se met à quatre pattes. Je le réinvestit et, à sa demande, l’encule vigoureusement, ahanant à chaque coup de reins. Sentant mon plaisir imminent, je sors de ses fesses et me répands sur son dos. Anne se précipite et lèche mon sperme, le nettoyant consciencieusement.

Une pause est la bienvenue. Jean nous propose de découvrir le jacuzzi et nous le suivons.


C’est un vrai bonheur que ce bain ô combien bienfaisant. Nous restons longtemps, les bras sur le bord du bassin, savourant la caresse des bulles, la fraîcheur de l’eau, laissant nos corps se détendre.

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