Safariii
Récit érotique écrit par Omarrrr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2022 dans la catégorie Plus on est
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Safariii
Notre chauffeur est concentré sur sa conduite, car en dehors de l’état déplorable de la piste, tout peut arriver. Un animal peut surgir de tout côté, des enfants qui traversent au milieu de nulle part, d’autres conducteurs essayant d’échapper aux ornières.
Mais que le paysage est magique ! Depuis notre descente de l’avion à Nairobi, nous sommes sous la magie du pays. Nairobi n’est sans doute pas la chose à retenir du pays, car il y a une pauvreté et un grouillement contact de population. Mais dès la sortie de la banlieue, les paysages traditionnels de l’Afrique apparaissent.
Une piste couverte de terre rouge nous emmène vers le parc. À son entrée, notre guide nous laisse sur un grand parking pour aller régler notre droit de passage. Sophie remarque quelques boutiques dans une pseudo galerie construite en bois et abritant plein de sculptures en bois et en pierre. Un monde fou est devant et dedans correspondant à la population de deux autobus allemands. Ma jeune épouse descend tranquillement pour aller voir cela de plus près. Je la vois traverser le parking, rejointe par une dizaine de gamins. Elle est avec une petite jupe de couleur kaki qui lui moule les fesses avec bonheur. Cette jupe lui arrive à mi-cuisse et s’ouvre en portefeuille à chaque pas. Elle a complété avec un débardeur beige et un joli chapeau style Ranger.
Elle a de petites bottines beiges également .Sa démarche est élastique, féline, érotique. Je saute du 4 x 4 pour la rejoindre. Nous déambulons dans la boutique, entre des étagères surchargées de sculpture en pierre et en bois, de masques, de tambours, de sièges. Une boutique entièrement en bois sombre et maintenant une température chaude, mais constante. Une odeur épicée imprègne chaque recoin. Un vendeur Massaï me guide à travers le magasin. Deux autres vendeurs avaient pris Sophie en charge et nous nous retrouvons d’un bout à l’autre de la boutique. Mon accompagnateur me montre une ribambelle d’objets sculptés de plus ou moins bon goût.
Nous nous dirigeons vers un angle un peu plus encombré du magasin et mon vendeur me désigne une magnifique statue en bois représentant un homme avec un pagne rouge Massaï autour des reins et des épaules. Le visage ressemble étrangement à celui du vendeur et je lui fais remarquer. Dans son anglais approximatif, il me fait comprendre qu’il s’agit bien de lui. Avec un sourire coquin, il soulève le pagne de la statue et me fait découvrir un sexe qui descend jusqu’aux genoux. Un vrai serpent ! Il éclate de rire devant mon étonnement et ma gêne. Mais notre guide revient avec les pass pour la réserve et nous remontons dans le véhicule 4x4. Jusqu’au véhicule, les trois marchands nous suivent. Le jeune massai qui m’avait fait l’honneur de sa boutique me dit que son père réalise des sculptures à la demande et qu’il serait fier de faire cela pour ma gazelle. Pour être tranquille, je lui dis « pourquoi pas ! » et nous lui souhaitons bonne journée.
La journée est dense en émotion avec la rencontre de nombreux éléphants, des hippopotames et des crocodiles en grand nombre. Les lions, les gazelles sont également là. C’est une journée magnifique où l’appareil photo est très sollicité. Cela nous a fait des souvenirs extraordinaires. Vers les 17 h 30, nous entrons dans le périmètre d’un lodge de toute beauté. Nous sommes accueillis avec des serviettes bien fraîches et un cocktail très désaltérant à l’hibiscus. Puis nous prenons possession de notre chambre.
Magnifique, avec un esprit tente, mais tout le confort d’un quatre étoiles. Sophie se précipite sous la douche et en ressort au bout de quarante-cinq minutes dans une magnifique petite robe blanche sans manche. On devine en dessous une absence de soutien-gorge et un joli string tout en dentelle. En passant devant un éclairage, je me rends compte que cette robe est très coquine et que les fesses de ma jeune épouse se dessinent tout fait sous le tissu tendu. Je file sous la douche également et j’entends peu après Sophie me dire que quelqu’un nous attend à la réception. Elle va voir et me tient au courant. J’en profite pour traîner sous l’eau tiède et relaxante et j’émerge de la salle de bain au bout de trois quarts d’heure. Sophie n’est toujours pas de retour.
Je me dirige tranquillement vers la réception et le bar, pensant la retrouver avec cette rencontre inattendue. Quelle ambiance douce, bercée par les parfums et les bruits des animaux proches. Rien ! Aussi, je demande au réceptionniste qui me dit que « Madame est partie visiter un atelier de sculpture sur bois avec un jeune Massaï ». Il n’explique comment m’y rendre. Je déambule entre les bungalows jusqu’au village des artisans. Il s’agit d’un ensemble de plusieurs bâtiments entièrement en bois agencés autour d’une cour circulaire. De la musique, des rires et le bruit des instruments s’élèvent de chaque échoppe. Je reconnais, avec surprise, le jeune homme de la boutique que nous avions visitée le matin même. Il me dit que ma gazelle a été tentée par une sculpture d’elle et que son père a commencé le travail. Je lui fais remarquer que nous repartons demain vers 10 heures pour Amboseli et nous commençons à discuter du prix. Bien sûr cela sera « moins cher que pas cher » et le travail sera prêt pour demain.
Je rentre alors dans l’atelier, un intérieur tout en bois avec une quinzaine d’ouvriers répartis sur des postes. Et là je me retourne vers le fond et je découvre ma femme entièrement nue sur une petite estrade drapée de tissu rouge. Je suis sidéré de la voir ainsi assise sur le bord de l’estrade, légèrement de profil, une main sur une cuisse et l’autre main derrière sa nuque. Sa poitrine darde insolemment vers la salle. Je vois tout de suite le père de notre Massaï, qui donne des grands coups d’un instrument à bois sur un billot qui me paraît bien grand. Je doute que cela puisse être terminé à temps. Sophie me fait un sourire complice devant mon air médusé. Je vois ma femme entièrement nue devant une ribambelle d’hommes noirs de tout âge et je vois bien à leur sourire qu’ils trouvent cela bien agréable. Le jeune massai, Awa, m’explique qu’il a trouvé ma gazelle très belle et que cela aurait été dommage de ne pas faire une sculpture pour l’honorer. Je remarque d’ailleurs que plusieurs artisans réalisent le même travail. Awa en riant me dit que Sophie servira de modèle et que sa sculpture ira dans le monde entier. Je trouve cela extraordinaire !
Mais l’heure avance et le buffet est déjà servi. Sophie se lève et se dirige toute nue vers le père d’Awa. Elle ne semble pas se rendre compte de l’émoi que cela crée dans la salle. Elle regarde l’ébauche du travail en tournant autour et va même jusqu’à s’accroupir devant l’artisan en caressant le bois encore rugueux. Je perçois le regard brillant du sculpteur qui se perd entre les cuisses de ma femme pour explorer la petite chatte toute lisse. Mais cela est fugitif et tout de suite Sophie se redresse et se saisit de sa robe qu’elle enfile en un tour de main. Je vois qu’elle abandonne son string sur le tabouret et nous partons dîner. Durant le repas, elle m’annonce qu’elle devra retourner poser encore quelque temps pour permettre aux sculpteurs de finir pour demain.
Le buffet est grandiose, avec un mélange de plats de tous les pays du monde. Nous discutons avec beaucoup de touristes et nous échangeons nos émotions du jour sur la faune et la flore de la réserve.
Je remarque que les déplacements de Sophie sont suivis avec intérêt, principalement quand elle passe devant les torches. Elle apparaît pratiquement nue de façon fugitive pour le plaisir des voyeurs à l’affût.
Dès le repas achevé, nous retournons dans l’atelier où l’entrée de mon épouse se fait sous les applaudissements des artisans. Sophie est charmée par cet accueil et avec grâce fait passer sa robe au-dessus de sa tête. Elle se réinstalle sur l’estrade et Rhodi, le père d’Awa, pose sans hésitation ses mains sur Sophie pour la guider dans sa pose. Le travail reprend avec acharnement et concentration. Après beaucoup d’hésitation, je retourne dans notre bungalow pour lire et je croise Awa qui se dirige vers l’atelier. Il me dit qu’il me préviendra quand la séance de pose sera achevée. Je m’allonge sur le lit king size avec un bon bouquin qui n’arrive pas à me maintenir éveillé. Morphée me plonge dans une douce torpeur où le temps n’a pas de prise.
Tout engourdi, je me réveille et regarde le réveil dans un brouillard : 1 h 30. Mon regard circulaire ne perçoit pas la présence de Sophie. Je me redresse et me dirige vers l’atelier en traversant le village endormi. Je croise un gardien qui déambule débonnairement. La cour devant l’atelier est dans le noir et je me dirige vers le seuil. Le bruit des tailleurs de bois est toujours énergique, mais un peu assourdi. J’entre dans l’atelier et je tombe en arrêt devant le spectacle. Je vois Sophie assise sur le bord de l’estrade avec un homme debout entre les jambes. Je le vois de dos qui donne des grands coups de reins déclenchant des soupirs de ma femme. Un autre homme est assis sur l’estrade, derrière Sophie, la maintenant tout en lui massant les seins et les épaules. Il lui embrasse le cou et les épaules.
L’homme qui baise Sophie pousse un feulement en restant planté dans le corps accueillant de ma jeune femme. Celle-ci l’entoure de ses bras et de ses cuisses et rejoint son cri. Je vois les fesses contractées de l’homme qui recule pour se libérer de l’emprise de Sophie. Je le vois, avec soulagement, jeter un préservatif, remettre son short et un vieux pull vert tout élimé et repartir avec un grand sourire sur son poste de travail. D’un geste souple l’homme derrière Sophie bondit entre ses cuisses, enfile un préservatif qu’il avait en main, soulève les deux jambes de ma jeune épouse et la perfore d’une seule poussée. Sophie ne m’a pas encore vu, mais je remarque à son visage un mélange d’extase et de fatigue. Ses traits sont détendus, apaisés, les mouvements de son corps sont souples et accompagnent ceux de son amant.
Je suis toujours en admiration devant la gourmandise de ma jeune épouse. Elle fait l’amour avec la vie et ses soupirs envahissent l’espace déclenchant plein de commentaires que je ne comprends pas, mais dont je devine la teneur. C’est merveilleux de voir ce corps noir s’active sur cette forme blanche. C’est une ambiance animale qui gagne l’ensemble de l’espace. L’homme n’en peut plus et dans un dernier élan plonge au fin fond de ma femme en grognant. Il recule en embrassant mon épouse à pleine bouche sans que celle-ci n’ait un mouvement de recul. Il retire sa protection et la jette dans une poubelle proche et remet son short en riant. Je distingue que la poubelle est déjà bien garnie et je soupçonne que le spectacle avait commencé bien avant ma venue. Ma femme s’allonge sur l’estrade en s’appuyant sur ces avant-bras, les jambes dans le vide et le pubis bien proéminent accessible à tous les regards.
Une main se pose sur mon épaule en me faisant sursauter. C’est Awa qui me dit « viens, tu vas voir comme ta gazelle est affamée ». Et il m’entraîne vers l’estrade en nous faufilant entre les postes de travail. Sophie me voit alors et me dit en riant qu’elle a aidé pour la réalisation de la statue. Elle est couverte de sueur et semble fatiguée. Je lui propose de rentrer nous reposer, mais Awa nous dit qu’il a quelque chose à nous montrer. Je vois dans ses yeux le désir et l’envie de surprendre. Un regard d’adolescent dans un corps d’adulte très musculeux.
Il retire son maillot de foot trois fois trop grand, puis son short long. Et là apparaît un membre qui descend presque jusqu’au genou devant les encouragements des artisans qui se regroupent autour de nous. Je suis sidéré devant la bête, le diamètre ne paraît effarant, mais la longueur est tout bonnement incroyable. Sophie regarde ce sexe avec les yeux remplis de surprise et d’interrogation. Le cercle des artisans se resserre autour de nous poussant Awa vers les cuisses de mon épouse. Le membre s’anime doucement en se redressant en une harmonieuse courbure. Son propriétaire le saisit d’une main qui entame un doux va-et-vient. Il accentue son mouvement et rentre en contact avec les cuisses de Sophie. Le serpent grossit en diamètre et surtout se tend, sa tête oblongue pointant obstinément vers la vulve offerte. Il tient son sexe et le frotte entre les lèvres accueillantes et humides.
Tout le monde semble hypnotisé par le spectacle. Sophie ne quitte plus des yeux cette lance vivante qui la menace. Avec la main, le jeune homme introduit délicatement son sexe dans les replis roses. Il pousse doucement pour s’enfoncer dans les trésors de Sophie. Celle-ci après avoir fait, du regard, un tour de l’assistance, ferme les yeux et soupire d’aise. Son visage est tendu sous le désir et sans doute sous cette massive pénétration. Tendrement, l’homme interrompt sa progression et lui caresse le bas-ventre de son autre main. Puis délicatement reprend son impitoyable progression et tout le monde voit les lèvres roses de Sophie se refermer et épouser le membre noir.
Elle se cambre davantage et passe une main pour toucher la poitrine du perforateur afin de le guider. Il commence de lents va-et-vient et progresse à chaque poussée de quelques centimètres. Son membre se couvre de sécrétion blanche marquant l’acceptation de cette petite chatte. Il pousse et travaille de plus en plus énergiquement les muqueuses de ma femme sous les commentaires des spectateurs. C’est irréel ! Bientôt des mains saisissent les mollets de Sophie pour lui écarter et relever les cuisses pour l’offrir davantage. D’autres mains investissent son corps pour des caresses sur les seins, le cou, les épaules, le ventre. C’est la bousculade pour poser ses mains sur cette femelle si coquine.
Awa, de son côté, continue son mouvement de piston avec de plus en plus d’amplitude et en maintenant toujours son sexe d’une main. La moitié du membre ne pénètre pas dans les moiteurs de Sophie. C’est extraordinaire ! Le souffle court de ma femme accompagne les mouvements. Ses cuisses tremblent, ses paupières papillonnent sur des yeux où seul le blanc est visible. Régulièrement la jouissance la submerge et elle tente de refermer les cuisses, mais des mains fermes la maintiennent et la jouissance remonte doucement lui faisant s’offrir encore et encore.
Les mouvements du jeune homme se font plus rudes, plus brusques, bousculant ma femme dont la tête part en arrière en tendant tout son corps. Elle est couverte de transpiration et même de sperme, car certains ont profité de l’aubaine pour éjaculer sur son corps. Soudain Awa crispe l’ensemble de ses muscles, s’enfonçant au plus profond de la foufoune tant aimée de ma jeune épouse. Il éructe et se vide dans les fins fonds de Sophie qui geint également avec de violents mouvements de tête de droite à gauche.
La foule applaudit. Il se retire et je constate qu’il n’y avait pas de préservatif. Il est bousculé par d’autres camarades qui veulent profiter des charmes de ma femme, mais je vois qu’elle est épuisée et très faible. Je m’interpose et la soulève dans mes bras pour sortir de l’atelier. Je suis accompagné par quelques résistants qui glissent leur main et leur doigt où cela est possible. Une fois dans la cour, le calme revient et nous nous retrouvons tout seuls. Nous retournons dans notre bungalow avec Sophie nue dans les bras et je la couche avec tendresse.
Mais que le paysage est magique ! Depuis notre descente de l’avion à Nairobi, nous sommes sous la magie du pays. Nairobi n’est sans doute pas la chose à retenir du pays, car il y a une pauvreté et un grouillement contact de population. Mais dès la sortie de la banlieue, les paysages traditionnels de l’Afrique apparaissent.
Une piste couverte de terre rouge nous emmène vers le parc. À son entrée, notre guide nous laisse sur un grand parking pour aller régler notre droit de passage. Sophie remarque quelques boutiques dans une pseudo galerie construite en bois et abritant plein de sculptures en bois et en pierre. Un monde fou est devant et dedans correspondant à la population de deux autobus allemands. Ma jeune épouse descend tranquillement pour aller voir cela de plus près. Je la vois traverser le parking, rejointe par une dizaine de gamins. Elle est avec une petite jupe de couleur kaki qui lui moule les fesses avec bonheur. Cette jupe lui arrive à mi-cuisse et s’ouvre en portefeuille à chaque pas. Elle a complété avec un débardeur beige et un joli chapeau style Ranger.
Elle a de petites bottines beiges également .Sa démarche est élastique, féline, érotique. Je saute du 4 x 4 pour la rejoindre. Nous déambulons dans la boutique, entre des étagères surchargées de sculpture en pierre et en bois, de masques, de tambours, de sièges. Une boutique entièrement en bois sombre et maintenant une température chaude, mais constante. Une odeur épicée imprègne chaque recoin. Un vendeur Massaï me guide à travers le magasin. Deux autres vendeurs avaient pris Sophie en charge et nous nous retrouvons d’un bout à l’autre de la boutique. Mon accompagnateur me montre une ribambelle d’objets sculptés de plus ou moins bon goût.
Nous nous dirigeons vers un angle un peu plus encombré du magasin et mon vendeur me désigne une magnifique statue en bois représentant un homme avec un pagne rouge Massaï autour des reins et des épaules. Le visage ressemble étrangement à celui du vendeur et je lui fais remarquer. Dans son anglais approximatif, il me fait comprendre qu’il s’agit bien de lui. Avec un sourire coquin, il soulève le pagne de la statue et me fait découvrir un sexe qui descend jusqu’aux genoux. Un vrai serpent ! Il éclate de rire devant mon étonnement et ma gêne. Mais notre guide revient avec les pass pour la réserve et nous remontons dans le véhicule 4x4. Jusqu’au véhicule, les trois marchands nous suivent. Le jeune massai qui m’avait fait l’honneur de sa boutique me dit que son père réalise des sculptures à la demande et qu’il serait fier de faire cela pour ma gazelle. Pour être tranquille, je lui dis « pourquoi pas ! » et nous lui souhaitons bonne journée.
La journée est dense en émotion avec la rencontre de nombreux éléphants, des hippopotames et des crocodiles en grand nombre. Les lions, les gazelles sont également là. C’est une journée magnifique où l’appareil photo est très sollicité. Cela nous a fait des souvenirs extraordinaires. Vers les 17 h 30, nous entrons dans le périmètre d’un lodge de toute beauté. Nous sommes accueillis avec des serviettes bien fraîches et un cocktail très désaltérant à l’hibiscus. Puis nous prenons possession de notre chambre.
Magnifique, avec un esprit tente, mais tout le confort d’un quatre étoiles. Sophie se précipite sous la douche et en ressort au bout de quarante-cinq minutes dans une magnifique petite robe blanche sans manche. On devine en dessous une absence de soutien-gorge et un joli string tout en dentelle. En passant devant un éclairage, je me rends compte que cette robe est très coquine et que les fesses de ma jeune épouse se dessinent tout fait sous le tissu tendu. Je file sous la douche également et j’entends peu après Sophie me dire que quelqu’un nous attend à la réception. Elle va voir et me tient au courant. J’en profite pour traîner sous l’eau tiède et relaxante et j’émerge de la salle de bain au bout de trois quarts d’heure. Sophie n’est toujours pas de retour.
Je me dirige tranquillement vers la réception et le bar, pensant la retrouver avec cette rencontre inattendue. Quelle ambiance douce, bercée par les parfums et les bruits des animaux proches. Rien ! Aussi, je demande au réceptionniste qui me dit que « Madame est partie visiter un atelier de sculpture sur bois avec un jeune Massaï ». Il n’explique comment m’y rendre. Je déambule entre les bungalows jusqu’au village des artisans. Il s’agit d’un ensemble de plusieurs bâtiments entièrement en bois agencés autour d’une cour circulaire. De la musique, des rires et le bruit des instruments s’élèvent de chaque échoppe. Je reconnais, avec surprise, le jeune homme de la boutique que nous avions visitée le matin même. Il me dit que ma gazelle a été tentée par une sculpture d’elle et que son père a commencé le travail. Je lui fais remarquer que nous repartons demain vers 10 heures pour Amboseli et nous commençons à discuter du prix. Bien sûr cela sera « moins cher que pas cher » et le travail sera prêt pour demain.
Je rentre alors dans l’atelier, un intérieur tout en bois avec une quinzaine d’ouvriers répartis sur des postes. Et là je me retourne vers le fond et je découvre ma femme entièrement nue sur une petite estrade drapée de tissu rouge. Je suis sidéré de la voir ainsi assise sur le bord de l’estrade, légèrement de profil, une main sur une cuisse et l’autre main derrière sa nuque. Sa poitrine darde insolemment vers la salle. Je vois tout de suite le père de notre Massaï, qui donne des grands coups d’un instrument à bois sur un billot qui me paraît bien grand. Je doute que cela puisse être terminé à temps. Sophie me fait un sourire complice devant mon air médusé. Je vois ma femme entièrement nue devant une ribambelle d’hommes noirs de tout âge et je vois bien à leur sourire qu’ils trouvent cela bien agréable. Le jeune massai, Awa, m’explique qu’il a trouvé ma gazelle très belle et que cela aurait été dommage de ne pas faire une sculpture pour l’honorer. Je remarque d’ailleurs que plusieurs artisans réalisent le même travail. Awa en riant me dit que Sophie servira de modèle et que sa sculpture ira dans le monde entier. Je trouve cela extraordinaire !
Mais l’heure avance et le buffet est déjà servi. Sophie se lève et se dirige toute nue vers le père d’Awa. Elle ne semble pas se rendre compte de l’émoi que cela crée dans la salle. Elle regarde l’ébauche du travail en tournant autour et va même jusqu’à s’accroupir devant l’artisan en caressant le bois encore rugueux. Je perçois le regard brillant du sculpteur qui se perd entre les cuisses de ma femme pour explorer la petite chatte toute lisse. Mais cela est fugitif et tout de suite Sophie se redresse et se saisit de sa robe qu’elle enfile en un tour de main. Je vois qu’elle abandonne son string sur le tabouret et nous partons dîner. Durant le repas, elle m’annonce qu’elle devra retourner poser encore quelque temps pour permettre aux sculpteurs de finir pour demain.
Le buffet est grandiose, avec un mélange de plats de tous les pays du monde. Nous discutons avec beaucoup de touristes et nous échangeons nos émotions du jour sur la faune et la flore de la réserve.
Je remarque que les déplacements de Sophie sont suivis avec intérêt, principalement quand elle passe devant les torches. Elle apparaît pratiquement nue de façon fugitive pour le plaisir des voyeurs à l’affût.
Dès le repas achevé, nous retournons dans l’atelier où l’entrée de mon épouse se fait sous les applaudissements des artisans. Sophie est charmée par cet accueil et avec grâce fait passer sa robe au-dessus de sa tête. Elle se réinstalle sur l’estrade et Rhodi, le père d’Awa, pose sans hésitation ses mains sur Sophie pour la guider dans sa pose. Le travail reprend avec acharnement et concentration. Après beaucoup d’hésitation, je retourne dans notre bungalow pour lire et je croise Awa qui se dirige vers l’atelier. Il me dit qu’il me préviendra quand la séance de pose sera achevée. Je m’allonge sur le lit king size avec un bon bouquin qui n’arrive pas à me maintenir éveillé. Morphée me plonge dans une douce torpeur où le temps n’a pas de prise.
Tout engourdi, je me réveille et regarde le réveil dans un brouillard : 1 h 30. Mon regard circulaire ne perçoit pas la présence de Sophie. Je me redresse et me dirige vers l’atelier en traversant le village endormi. Je croise un gardien qui déambule débonnairement. La cour devant l’atelier est dans le noir et je me dirige vers le seuil. Le bruit des tailleurs de bois est toujours énergique, mais un peu assourdi. J’entre dans l’atelier et je tombe en arrêt devant le spectacle. Je vois Sophie assise sur le bord de l’estrade avec un homme debout entre les jambes. Je le vois de dos qui donne des grands coups de reins déclenchant des soupirs de ma femme. Un autre homme est assis sur l’estrade, derrière Sophie, la maintenant tout en lui massant les seins et les épaules. Il lui embrasse le cou et les épaules.
L’homme qui baise Sophie pousse un feulement en restant planté dans le corps accueillant de ma jeune femme. Celle-ci l’entoure de ses bras et de ses cuisses et rejoint son cri. Je vois les fesses contractées de l’homme qui recule pour se libérer de l’emprise de Sophie. Je le vois, avec soulagement, jeter un préservatif, remettre son short et un vieux pull vert tout élimé et repartir avec un grand sourire sur son poste de travail. D’un geste souple l’homme derrière Sophie bondit entre ses cuisses, enfile un préservatif qu’il avait en main, soulève les deux jambes de ma jeune épouse et la perfore d’une seule poussée. Sophie ne m’a pas encore vu, mais je remarque à son visage un mélange d’extase et de fatigue. Ses traits sont détendus, apaisés, les mouvements de son corps sont souples et accompagnent ceux de son amant.
Je suis toujours en admiration devant la gourmandise de ma jeune épouse. Elle fait l’amour avec la vie et ses soupirs envahissent l’espace déclenchant plein de commentaires que je ne comprends pas, mais dont je devine la teneur. C’est merveilleux de voir ce corps noir s’active sur cette forme blanche. C’est une ambiance animale qui gagne l’ensemble de l’espace. L’homme n’en peut plus et dans un dernier élan plonge au fin fond de ma femme en grognant. Il recule en embrassant mon épouse à pleine bouche sans que celle-ci n’ait un mouvement de recul. Il retire sa protection et la jette dans une poubelle proche et remet son short en riant. Je distingue que la poubelle est déjà bien garnie et je soupçonne que le spectacle avait commencé bien avant ma venue. Ma femme s’allonge sur l’estrade en s’appuyant sur ces avant-bras, les jambes dans le vide et le pubis bien proéminent accessible à tous les regards.
Une main se pose sur mon épaule en me faisant sursauter. C’est Awa qui me dit « viens, tu vas voir comme ta gazelle est affamée ». Et il m’entraîne vers l’estrade en nous faufilant entre les postes de travail. Sophie me voit alors et me dit en riant qu’elle a aidé pour la réalisation de la statue. Elle est couverte de sueur et semble fatiguée. Je lui propose de rentrer nous reposer, mais Awa nous dit qu’il a quelque chose à nous montrer. Je vois dans ses yeux le désir et l’envie de surprendre. Un regard d’adolescent dans un corps d’adulte très musculeux.
Il retire son maillot de foot trois fois trop grand, puis son short long. Et là apparaît un membre qui descend presque jusqu’au genou devant les encouragements des artisans qui se regroupent autour de nous. Je suis sidéré devant la bête, le diamètre ne paraît effarant, mais la longueur est tout bonnement incroyable. Sophie regarde ce sexe avec les yeux remplis de surprise et d’interrogation. Le cercle des artisans se resserre autour de nous poussant Awa vers les cuisses de mon épouse. Le membre s’anime doucement en se redressant en une harmonieuse courbure. Son propriétaire le saisit d’une main qui entame un doux va-et-vient. Il accentue son mouvement et rentre en contact avec les cuisses de Sophie. Le serpent grossit en diamètre et surtout se tend, sa tête oblongue pointant obstinément vers la vulve offerte. Il tient son sexe et le frotte entre les lèvres accueillantes et humides.
Tout le monde semble hypnotisé par le spectacle. Sophie ne quitte plus des yeux cette lance vivante qui la menace. Avec la main, le jeune homme introduit délicatement son sexe dans les replis roses. Il pousse doucement pour s’enfoncer dans les trésors de Sophie. Celle-ci après avoir fait, du regard, un tour de l’assistance, ferme les yeux et soupire d’aise. Son visage est tendu sous le désir et sans doute sous cette massive pénétration. Tendrement, l’homme interrompt sa progression et lui caresse le bas-ventre de son autre main. Puis délicatement reprend son impitoyable progression et tout le monde voit les lèvres roses de Sophie se refermer et épouser le membre noir.
Elle se cambre davantage et passe une main pour toucher la poitrine du perforateur afin de le guider. Il commence de lents va-et-vient et progresse à chaque poussée de quelques centimètres. Son membre se couvre de sécrétion blanche marquant l’acceptation de cette petite chatte. Il pousse et travaille de plus en plus énergiquement les muqueuses de ma femme sous les commentaires des spectateurs. C’est irréel ! Bientôt des mains saisissent les mollets de Sophie pour lui écarter et relever les cuisses pour l’offrir davantage. D’autres mains investissent son corps pour des caresses sur les seins, le cou, les épaules, le ventre. C’est la bousculade pour poser ses mains sur cette femelle si coquine.
Awa, de son côté, continue son mouvement de piston avec de plus en plus d’amplitude et en maintenant toujours son sexe d’une main. La moitié du membre ne pénètre pas dans les moiteurs de Sophie. C’est extraordinaire ! Le souffle court de ma femme accompagne les mouvements. Ses cuisses tremblent, ses paupières papillonnent sur des yeux où seul le blanc est visible. Régulièrement la jouissance la submerge et elle tente de refermer les cuisses, mais des mains fermes la maintiennent et la jouissance remonte doucement lui faisant s’offrir encore et encore.
Les mouvements du jeune homme se font plus rudes, plus brusques, bousculant ma femme dont la tête part en arrière en tendant tout son corps. Elle est couverte de transpiration et même de sperme, car certains ont profité de l’aubaine pour éjaculer sur son corps. Soudain Awa crispe l’ensemble de ses muscles, s’enfonçant au plus profond de la foufoune tant aimée de ma jeune épouse. Il éructe et se vide dans les fins fonds de Sophie qui geint également avec de violents mouvements de tête de droite à gauche.
La foule applaudit. Il se retire et je constate qu’il n’y avait pas de préservatif. Il est bousculé par d’autres camarades qui veulent profiter des charmes de ma femme, mais je vois qu’elle est épuisée et très faible. Je m’interpose et la soulève dans mes bras pour sortir de l’atelier. Je suis accompagné par quelques résistants qui glissent leur main et leur doigt où cela est possible. Une fois dans la cour, le calme revient et nous nous retrouvons tout seuls. Nous retournons dans notre bungalow avec Sophie nue dans les bras et je la couche avec tendresse.
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