Justine et son Papounet. 4
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Justine et son Papounet. 4
Justine et son papounet. 4
Papounet, sa maîtresse et sa fifille.
J’écris cette histoire avec une de mes fidèles lectrices, essayant de faire coïncider nos deux points de vue et de rester cohérents. Votre serviteur qui dans cette histoire est Papounet.
-Bordel de merde ! s’exclame Éric. Je sais enfin d'où tu tiens ta réputation. La nature t'a vraiment trop gâté, mon salaud ! Tu es un sacré éjaculateur en plus d'avoir une bite magnifique, je dois avouer que cela m'attire énormément et ouvre de nouvelles perspectives très chaudes. Laisse-moi embrasser ta petite salope de gamine et par la même déguster ton sperme.
Et cette petite peste de surenchérir.
-Tu as raison Éric. J’ai jamais vu ça, quand je dirai à mes copines que papa est monté comme un âne et qu’en plus c'est un sacré éjaculateur, elles vont crever de jalousie et vont me supplier de le leur présenter. Mais je le garderai pour moi toute seule.
Suite :
Qu’elle sacrée petite menteuse, mais ça a au moins l'avantage de sauvegarder ma réputation vis-à-vis de mon patron. Je joue le jeu et y vais de mon couplet :
-Ce n’est pas très bien ce que nous avons fait là, mais vous m'avez tellement excité tous les deux que je n'ai pas pu me retenir. Rassure-toi Éric, cette petite peste m’a eu par surprise mais elle ne m’y reprendra plus à céder à de tels bas instincts. Quand tu seras parti il faudra qu'on ait une conversation familiale pour mettre le holà à de telles pratiques.
Après cet intermède, nous finissons l'après-midi au bord de la piscine et Éric repart chez lui avec un bon souvenir.
- Malheureusement je dois vous laissez sinon ma femme va encore faire une crise la connasse ! Déclare Éric. D'ailleurs faudra que tu t'occupes de son cas avec ton braquemard pour lui apprendre le respect dû à ses ainés, et j’espère que ça la calmera, sinon tu m’appelleras et on s’occupera de son cas à deux.
Nous nous retrouvons donc seuls Justine et moi pour une discussion animée de ce qui est permis et de ce qui ne l'est pas.
-Alors comme ça, c’est la première fois ? Je crois qu’il va falloir que je te donne une leçon…
Justine :
-Euh papounet, t’es fâché mmmhhh ? Je te jure que je ne dirai rien à l'école, ça restera notre secret.
Je suis heureuse aujourd'hui de m’être ouverte à toi et j'espère que nous allons tout partager désormais. Je t'aime papa et tout ce que je veux c'est partager ta façon de vivre dans le plus simple appareil dans la maison.
-Tu sais, toutes les fois où tu as un plan cul, je ne suis pas jalouse mais admirative et émerveillée par ton bonheur et votre plaisir, mais je dois bien avouer que ma petite chatte est trempée quand je vous entends ou même vous épie. D'ailleurs passe ta main dessus et tu verras que rien que d'en parler, je suis toute dégoulinante mmmhhh…
Papounet :
-Maintenant c'est à mon tour de te faire plaisir et te donner une leçon. Ce n'est pas très moral mais je pense qu'on a dépassé les bornes depuis un bon moment déjà. Et comment dire non à ta jolie petite chatte.
Je m’agenouille devant elle, glisse ma langue sur sa vulve, profite de chaque instant pour l'insérer entre ses chairs bientôt remplacée par un puis deux doigts pendant que je suce son clitoris avec hésitation avant de me lâcher. Ma langue va et vient à l'intérieur d'elle délicatement et je la pousse le plus loin possible. Je tourne un doigt autour de son clitoris et toutes ces opérations semblent lui être très agréable car elle ne peut contenir un petit gémissement de plaisir. Je recommence alors à introduire un doigt tout au fond de sa grotte puis cherchant son point G.
Elle tremble sur ses jambes, crie et gesticule. Visiblement je lui fais connaître des choses qu'elle semble beaucoup apprécier.
Pendant que je poursuis mon cunnilingus, de son côté elle essaie de caresser mon sexe qui a perdu de sa vigueur. Je me déplace pour lui faciliter son massage qui m’excite de nouveau. Mon chibre reprend de la vigueur et est maintenant à quelques centimètres de sa bouche. Justine ne peut y résister et pendant que je m’escrime sur sa fente, je sens la puissance montée en flèche dans ma verge. Elle lèche le gland paternel tout en me masturbant et tout en trouvant le temps de m’avouer.
- Oh oui que c'est bon papounet ! C'est trop bon ! Continue comme ça ! Ouuuiii !!!
Elle reprend ma bite entre ses lèvres et je donne de légers coups de bassin pour lui baiser la bouche tout en la léchant et je sens alors les muscles de son corps se tendre sous sa jouissance.
-Oh oui mon papounet, je jouis comme jamais auparavant.
Mais elle reprend vite ses esprits, me repousse et vient s'installer à cheval au-dessus de mon sexe en érection, le guide vers le sien et s’empale dessus. Un « ooohhh » s'échappe de ses lèvres au moment où mon double décimètre glisse en elle, en ressentant chaque centimètre qui la pénètre. Elle me tourne le dos, se cambre un peu plus et commence un lent mouvement de va-et-vient pendant que j’ai une vue imprenable sur ses fesses et mon gourdin glissant dans sa vulve et disparaissant dans sa chatte.
-C'est tellement bon ! J’aime sentir ton bélier en moi. Et toi tu aimes la chatte de ta fifille ?
-Oui ma chérie, j'adore ta petite moule, mais accélère un peu la cadence au lieu de papoter.
Instantanément elle répond à ma demande, lâchant quelques gémissements. Pour l’encourager, je caresse ses fesses et soudain d’une main paternelle je lui gifle son postérieur.
-Vilaine petite fille, tu mérites une bonne fessée. Mets-toi à genoux pour recevoir ta punition.
Justine :
Humm, je lèche la grosse bite de mon papa qui convulse encore sur ma petite langue habile.
Sans m'arrêter de juter, je lèche ses grosses boules couvertes de sueur salée. Soudain je descends encore et ma langue lèche son trou du cul qui se cambre dans un râle de plaisir. C'est tout chaud et délicieusement parfumée et ça l’excite encore plus.
-Papa, tu me promets que désormais toutes celles que tu ramèneras à la maison je pourrai rester avec vous, que vous ne me cacherez plus rien ?
Je crache sur mes petits doigts et en enfonce un dans son anus ce qui le fait râler de bonheur. Je fais des allers-retours tout en branlant comme je peux son gros chibre de ma petite main restante. Mais je ne peux plus résister et le repousse pour m’empaler sur son gourdin. Je me donne du plaisir quand je ressens une douleur violente sur ma fesse droite.
Papounet ;
Je la force à se mettre à quatre pattes, me place derrière elle et enfonce mon manche de pioche jusqu’à la garde dans son minou, la gratifiant régulièrement de gifles sur son popotin qui rougit, laissant l’empreinte de ma main sur son cul.
On dirait qu’elle savoure chaque seconde de cette pénétration et j’accélère encore plus la cadence.
Elle gémit de plus en plus fort quand mon téléphone sonne. Je décroche sans m’interrompre. C'est Murielle. J’avais oublié qu’elle devait venir aujourd’hui. Je vais pour me retirer de Justine mais elle s’y oppose :
-Non papa ! N'arrête pas, c'est trop excitant, réponds-lui mais surtout ne t’arrête-pas, je t’en supplie…
Je la fais taire par une nouvelle claque sur son cul, mets le téléphone en cam et sur haut-parleur et le pose de biais par rapport à nous tout en continuent de parler à Murielle.
-Excuse-moi Mumu, mais je suis en train de corriger Justine qui s’est mal comportée avec un invité. Rien de tel qu’une bonne fessée pour lui apprendre le respect des ainés.
J’entends la réponse de Murielle.
-Tu as une drôle de façon d’éduquer ta fille. Mais à ce que je voie, tu as trouvé une autre façon de la dresser. Tu as de la chance que je ne sois pas jalouse de ta fille mais si tu le veux, je peux venir pour te donner « un coup de main ».
-Pourquoi-pas Mumu ? On ne sera pas trop de deux pour remettre cette dévergondée dans le droit chemin.
Justine est si chaude qu’elle ne peut plus se taire et nous interrompt.
-Oh ouuuiii ! Je suis une méchante fille qui n’arrête pas de couler sur le manche de martinet de mon papounet chéri !
Cette petite salope m’a tellement chauffé que je ne vais plus tarder à exploser. Je ne vais pas tarder à gicler devant Mumu. J'accélère encore mes coups de reins et fais hurler Justine de plaisir. Je la retourne d'un coup, la tire par les cheveux pour la mettre bien face du téléphone et gicle des cascades de sperme sur le visage de ma fille adptive et sur ses petits seins. Repu et épuisé, je présente les petites fesses rougies de jeune fille à Murielle.
-T’as vu Murielle comme ma princesse est magnifique, que dirais tu de la punir toi aussi quand tu viendras ? Hummm… on va bien profiter de son petit corps qui a encore des choses à apprendre.
Je raccroche et demande à Justine :
-J'espère que tu ne regrettes pas ce qu'on vient de faire. Moi j'ai vraiment aimé et j'ai le sentiment que toi aussi. C’était vraiment très agréable mais tu sais très bien que ce qu'on a fait n'est pas bien.
Est-ce que tu souhaites qu’on continue ?
Elle me répond illico :
-Oui ! Je désire depuis si longtemps ce qui vient se passer, je ne suis plus une petite fille, j'ai des envies et des fantasmes et je sais que tu me désires aussi depuis que je t’ai vu m'espionner l'autre jour quand j'étais avec mon copain qui me baisait. Tu bandais comme un âne. Je sais que tu as envie de moi et moi j'ai envie de toi. Qu’est-ce qui nous empêche de faire ce qu'on veut au point où on en est ?
Songeur, je lui réponds :
- Ça sera notre petit secret, on pourra peut-être se faire plaisir mutuellement quand l'envie nous en prendra, qu'en dis-tu ?
Super, je t'aime papounet.
Nous continuons de discuter de notre petit arrangement. On fixe des règles et des limites de ce jeu incestueux mais j'ai hâte de recommencer une nouvelle partie.
A suivre…
Papounet, sa maîtresse et sa fifille.
J’écris cette histoire avec une de mes fidèles lectrices, essayant de faire coïncider nos deux points de vue et de rester cohérents. Votre serviteur qui dans cette histoire est Papounet.
-Bordel de merde ! s’exclame Éric. Je sais enfin d'où tu tiens ta réputation. La nature t'a vraiment trop gâté, mon salaud ! Tu es un sacré éjaculateur en plus d'avoir une bite magnifique, je dois avouer que cela m'attire énormément et ouvre de nouvelles perspectives très chaudes. Laisse-moi embrasser ta petite salope de gamine et par la même déguster ton sperme.
Et cette petite peste de surenchérir.
-Tu as raison Éric. J’ai jamais vu ça, quand je dirai à mes copines que papa est monté comme un âne et qu’en plus c'est un sacré éjaculateur, elles vont crever de jalousie et vont me supplier de le leur présenter. Mais je le garderai pour moi toute seule.
Suite :
Qu’elle sacrée petite menteuse, mais ça a au moins l'avantage de sauvegarder ma réputation vis-à-vis de mon patron. Je joue le jeu et y vais de mon couplet :
-Ce n’est pas très bien ce que nous avons fait là, mais vous m'avez tellement excité tous les deux que je n'ai pas pu me retenir. Rassure-toi Éric, cette petite peste m’a eu par surprise mais elle ne m’y reprendra plus à céder à de tels bas instincts. Quand tu seras parti il faudra qu'on ait une conversation familiale pour mettre le holà à de telles pratiques.
Après cet intermède, nous finissons l'après-midi au bord de la piscine et Éric repart chez lui avec un bon souvenir.
- Malheureusement je dois vous laissez sinon ma femme va encore faire une crise la connasse ! Déclare Éric. D'ailleurs faudra que tu t'occupes de son cas avec ton braquemard pour lui apprendre le respect dû à ses ainés, et j’espère que ça la calmera, sinon tu m’appelleras et on s’occupera de son cas à deux.
Nous nous retrouvons donc seuls Justine et moi pour une discussion animée de ce qui est permis et de ce qui ne l'est pas.
-Alors comme ça, c’est la première fois ? Je crois qu’il va falloir que je te donne une leçon…
Justine :
-Euh papounet, t’es fâché mmmhhh ? Je te jure que je ne dirai rien à l'école, ça restera notre secret.
Je suis heureuse aujourd'hui de m’être ouverte à toi et j'espère que nous allons tout partager désormais. Je t'aime papa et tout ce que je veux c'est partager ta façon de vivre dans le plus simple appareil dans la maison.
-Tu sais, toutes les fois où tu as un plan cul, je ne suis pas jalouse mais admirative et émerveillée par ton bonheur et votre plaisir, mais je dois bien avouer que ma petite chatte est trempée quand je vous entends ou même vous épie. D'ailleurs passe ta main dessus et tu verras que rien que d'en parler, je suis toute dégoulinante mmmhhh…
Papounet :
-Maintenant c'est à mon tour de te faire plaisir et te donner une leçon. Ce n'est pas très moral mais je pense qu'on a dépassé les bornes depuis un bon moment déjà. Et comment dire non à ta jolie petite chatte.
Je m’agenouille devant elle, glisse ma langue sur sa vulve, profite de chaque instant pour l'insérer entre ses chairs bientôt remplacée par un puis deux doigts pendant que je suce son clitoris avec hésitation avant de me lâcher. Ma langue va et vient à l'intérieur d'elle délicatement et je la pousse le plus loin possible. Je tourne un doigt autour de son clitoris et toutes ces opérations semblent lui être très agréable car elle ne peut contenir un petit gémissement de plaisir. Je recommence alors à introduire un doigt tout au fond de sa grotte puis cherchant son point G.
Elle tremble sur ses jambes, crie et gesticule. Visiblement je lui fais connaître des choses qu'elle semble beaucoup apprécier.
Pendant que je poursuis mon cunnilingus, de son côté elle essaie de caresser mon sexe qui a perdu de sa vigueur. Je me déplace pour lui faciliter son massage qui m’excite de nouveau. Mon chibre reprend de la vigueur et est maintenant à quelques centimètres de sa bouche. Justine ne peut y résister et pendant que je m’escrime sur sa fente, je sens la puissance montée en flèche dans ma verge. Elle lèche le gland paternel tout en me masturbant et tout en trouvant le temps de m’avouer.
- Oh oui que c'est bon papounet ! C'est trop bon ! Continue comme ça ! Ouuuiii !!!
Elle reprend ma bite entre ses lèvres et je donne de légers coups de bassin pour lui baiser la bouche tout en la léchant et je sens alors les muscles de son corps se tendre sous sa jouissance.
-Oh oui mon papounet, je jouis comme jamais auparavant.
Mais elle reprend vite ses esprits, me repousse et vient s'installer à cheval au-dessus de mon sexe en érection, le guide vers le sien et s’empale dessus. Un « ooohhh » s'échappe de ses lèvres au moment où mon double décimètre glisse en elle, en ressentant chaque centimètre qui la pénètre. Elle me tourne le dos, se cambre un peu plus et commence un lent mouvement de va-et-vient pendant que j’ai une vue imprenable sur ses fesses et mon gourdin glissant dans sa vulve et disparaissant dans sa chatte.
-C'est tellement bon ! J’aime sentir ton bélier en moi. Et toi tu aimes la chatte de ta fifille ?
-Oui ma chérie, j'adore ta petite moule, mais accélère un peu la cadence au lieu de papoter.
Instantanément elle répond à ma demande, lâchant quelques gémissements. Pour l’encourager, je caresse ses fesses et soudain d’une main paternelle je lui gifle son postérieur.
-Vilaine petite fille, tu mérites une bonne fessée. Mets-toi à genoux pour recevoir ta punition.
Justine :
Humm, je lèche la grosse bite de mon papa qui convulse encore sur ma petite langue habile.
Sans m'arrêter de juter, je lèche ses grosses boules couvertes de sueur salée. Soudain je descends encore et ma langue lèche son trou du cul qui se cambre dans un râle de plaisir. C'est tout chaud et délicieusement parfumée et ça l’excite encore plus.
-Papa, tu me promets que désormais toutes celles que tu ramèneras à la maison je pourrai rester avec vous, que vous ne me cacherez plus rien ?
Je crache sur mes petits doigts et en enfonce un dans son anus ce qui le fait râler de bonheur. Je fais des allers-retours tout en branlant comme je peux son gros chibre de ma petite main restante. Mais je ne peux plus résister et le repousse pour m’empaler sur son gourdin. Je me donne du plaisir quand je ressens une douleur violente sur ma fesse droite.
Papounet ;
Je la force à se mettre à quatre pattes, me place derrière elle et enfonce mon manche de pioche jusqu’à la garde dans son minou, la gratifiant régulièrement de gifles sur son popotin qui rougit, laissant l’empreinte de ma main sur son cul.
On dirait qu’elle savoure chaque seconde de cette pénétration et j’accélère encore plus la cadence.
Elle gémit de plus en plus fort quand mon téléphone sonne. Je décroche sans m’interrompre. C'est Murielle. J’avais oublié qu’elle devait venir aujourd’hui. Je vais pour me retirer de Justine mais elle s’y oppose :
-Non papa ! N'arrête pas, c'est trop excitant, réponds-lui mais surtout ne t’arrête-pas, je t’en supplie…
Je la fais taire par une nouvelle claque sur son cul, mets le téléphone en cam et sur haut-parleur et le pose de biais par rapport à nous tout en continuent de parler à Murielle.
-Excuse-moi Mumu, mais je suis en train de corriger Justine qui s’est mal comportée avec un invité. Rien de tel qu’une bonne fessée pour lui apprendre le respect des ainés.
J’entends la réponse de Murielle.
-Tu as une drôle de façon d’éduquer ta fille. Mais à ce que je voie, tu as trouvé une autre façon de la dresser. Tu as de la chance que je ne sois pas jalouse de ta fille mais si tu le veux, je peux venir pour te donner « un coup de main ».
-Pourquoi-pas Mumu ? On ne sera pas trop de deux pour remettre cette dévergondée dans le droit chemin.
Justine est si chaude qu’elle ne peut plus se taire et nous interrompt.
-Oh ouuuiii ! Je suis une méchante fille qui n’arrête pas de couler sur le manche de martinet de mon papounet chéri !
Cette petite salope m’a tellement chauffé que je ne vais plus tarder à exploser. Je ne vais pas tarder à gicler devant Mumu. J'accélère encore mes coups de reins et fais hurler Justine de plaisir. Je la retourne d'un coup, la tire par les cheveux pour la mettre bien face du téléphone et gicle des cascades de sperme sur le visage de ma fille adptive et sur ses petits seins. Repu et épuisé, je présente les petites fesses rougies de jeune fille à Murielle.
-T’as vu Murielle comme ma princesse est magnifique, que dirais tu de la punir toi aussi quand tu viendras ? Hummm… on va bien profiter de son petit corps qui a encore des choses à apprendre.
Je raccroche et demande à Justine :
-J'espère que tu ne regrettes pas ce qu'on vient de faire. Moi j'ai vraiment aimé et j'ai le sentiment que toi aussi. C’était vraiment très agréable mais tu sais très bien que ce qu'on a fait n'est pas bien.
Est-ce que tu souhaites qu’on continue ?
Elle me répond illico :
-Oui ! Je désire depuis si longtemps ce qui vient se passer, je ne suis plus une petite fille, j'ai des envies et des fantasmes et je sais que tu me désires aussi depuis que je t’ai vu m'espionner l'autre jour quand j'étais avec mon copain qui me baisait. Tu bandais comme un âne. Je sais que tu as envie de moi et moi j'ai envie de toi. Qu’est-ce qui nous empêche de faire ce qu'on veut au point où on en est ?
Songeur, je lui réponds :
- Ça sera notre petit secret, on pourra peut-être se faire plaisir mutuellement quand l'envie nous en prendra, qu'en dis-tu ?
Super, je t'aime papounet.
Nous continuons de discuter de notre petit arrangement. On fixe des règles et des limites de ce jeu incestueux mais j'ai hâte de recommencer une nouvelle partie.
A suivre…
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Elle a les yeux plus gros que la chatte.
Pas frileuse la petite...
Quelle depravee!
Bientôt à 3?
Il faut être bonne cavalière pour chevaucher un tel gourdin.
Mon papounet aussi est monté comme un âne, mais je n'ai pas le droit de toucher à son engin.