Justine et son papounet. 5
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Justine et son papounet. 5
Justine et son papounet. 5
L’amante regarde sur son téléphone Papounet sauter sa fille adoptive.
J’écris cette histoire avec une de mes fidèles lectrices, essayant de faire coïncider nos deux points de vue et de rester cohérents. Votre serviteur qui dans cette histoire est Papounet.
-Oui ! Je désire depuis si longtemps ce qui vient se passer, je ne suis plus une petite fille, j'ai des envies et des fantasmes et je sais que tu me désires aussi depuis que je t’ai vu m'espionner l'autre jour quand j'étais avec mon copain qui me baisait. Tu bandais comme un âne. Je sais que tu as envie de moi et moi j'ai envie de toi. Qu’est-ce qui nous empêche de faire ce qu'on veut au point où on en est ?
Songeur, je lui réponds :
- Ça sera notre petit secret, on pourra peut-être se faire plaisir mutuellement quand l'envie nous en prendra, qu'en dis-tu ?
Super, je t'aime papounet.
Nous continuons de discuter de notre petit arrangement. On fixe des règles et des limites de ce jeu incestueux mais j'ai hâte de recommencer une nouvelle partie.
Suite :
Justine :
Je suis super contente que papounet me dise tout ça, j'en rêve depuis si longtemps et même à l'époque où maman était encore là, il lui arrivait de m’espionner. Je le voyais me regarder quand je me douchais quand j’étais une pré-ado et j'adorais cela, humm…
-Je suis heureuse que tu me baises aujourd'hui mon papounet et je te promets que ce qui se passe à la maison seras toujours notre secret. J’espère que ça ne gênera pas Mumu de me voir gambader nue à longueur de journée humm. Et que je pourrai au moins regarder quand tu ramèneras des copines à la maison, hein ? Tu crois que sa gênera Mumu si je l'appelle Maman hiii?
En parlant à mon papounet, je me blottie nue dans ses bras en prenant son pieu encore mi-dur entre mes deux petites mains pour le caresser tendrement.
-Dis, comment vois-tu la suite ? Comment je dois m’y prendre avec Mumu maintenant qu’elle nous a vu en cam ? J'appréhende un peu, tu sais !
Papounet :
La journée du lendemain se passe calmement jusqu'au dîner auquel est convié Mumu. J’entre dans la cuisine alors que Justine est en train de découper les légumes. Je me poste juste derrière elle pour lui faire un baiser dans le cou, mes mains posées sur ses hanches. Le contact de nos peaux nues l’électrise et elle gémit. Je glisse une main entre ses cuisses et entre en contact avec sa fente, je constate qu’elle est déjà humide. Je ne suis pas en reste et comme mon sexe se redresse, je le glisse entre ses cuisses et entame un léger mouvement de va-et vient, ma verge frottant sur les lèvres de la vulve de Justine pendant que mes mains collent son corps contre le mien en lui pétrissant les seins et jouant avec ses tétons. Justine n’est pas en reste et glisse une main entre ses cuisses, ses doigts viennent branler les centimètres excédentaires qui jaillissent d’entre ses jambes.
-Oh oui paponet, baise-moi encore, c'est tellement bon de sentir ton chibre sur ma chatte, mais j’en veux plus…
Elle s’est penchée, une main s'agrippe au rebord de l’évier et l’autre guide ma tête chercheuse qui pénètre avec énergie son sexe offert et glisse en elle comme une lettre à la poste. Elle ne tarde pas à jouir sous mes assauts, son corps se crispe quand elle jouit encore une fois aussi intensément que ce matin, gémissant de plaisir. Lorsque la tension de son corps retombe, je me retire le sexe toujours bandé couvert de sa cyprine abondante. Justine se retourne et s'agenouille sans attendre, ouvre la bouche et glisse sa langue sur ma queue. En quelques mouvements de bassin, je lui donne le rythme et pousse presque l’intégralité de mon sexe dans sa bouche, mes mains dans ses cheveux pour lui indiquer la cadence.
Elle est à ma merci pendant que je lui baise littéralement la bouche et on dirait qu’elle adore ça. Elle a glissé une main dans sa chatte et se caresse en continuant sa pipe délicieuse. Je sens que je ne peux plus me retenir, les soubresauts de ma queue se rapprochent. Mon premier jet de sperme gicle dans sa gorge puis je me retire et termine d'éjaculer sur son visage.
-Tu aimes ma sauce blanche, ma chérie ?
-J'ai adoré et c'est délicieux, mais il faut en garder un peu pour le dessert avec Mumu.
Je récolte un peu de sperme sur sa joue avec mon doigt en lui faisant un clin d'œil.
-Tu as raison, va te débarbouiller et reviens préparer le repas. Je garderai une surprise pour le dessert.
Justine
Je suis la plus heureuse du monde, mon visage couvert du sperme de papounet m'électrise et je ne peux m'empêcher de l'essuyer avec mes petits doigts devant la glace de la salle de bain pour déguster ce délicieux nectar de vie, humm… Je me dis que je donnerai un jour un bébé à mon papa.
Et c'est à là que mon regard se pose sur la corbeille de linge sale où est posé un string que je suppose être à Mumu
Je décide de le prendre entre mes doigts et découvre un superbe string transparent et très sexy, j'ose à ce moment-là le porter à mes narines. Je sens une délicieuse odeur âcre et salée qui m'excite énormément, je décide de passer ce string sur moi. Bien que trop grand, l'endroit où est normalement la chatte de Mumu est posé sur ma petite fente humide.
Je ferme les yeux en imaginant papounet et Mumu baiser sur mes petites lingeries de fille en fleur en me frottant ma petite chatte par-dessus le délicieux tissu de se string magnifique.
« Aaaahhh mon papa, Mumu, je vous désire tellement »
Un bruit de porte me fait sortir de mon moment de plaisir et je constate que le string est trempé de mon jeune jus. Je décide de le retirer et le pose sur le rebord de la baignoire espérant que papa et Mumu le remarquent.
Après une toilette sommaire je rejoins la cuisine bien sûr toujours complètement nue pour m'occuper du repas.
Papounet :
Je viens de faire entrer Murielle. Elle porte une petite robe légère qui met en valeur ses formes. Contrairement à Justine, elle a une abondante poitrine. Moi je porte un pantalon de toile légère et un polo. Je la fais entrer au salon et s’asseoir dans le divan. J’appelle Justine pour qu'elle amène les amuse-gueules et elle me fait le même coup qu'avec Éric. Elle entre dans la pièce avec un plateau complètement nue.
-Justine, tu exagères, tu aurais quand même pu te vêtir pour faire la connaissance de Murielle. Va passer quelque chose !
Mumu rit sous cap puis prend la parole :
- Tu sais, après ce que j'ai vu sur mon téléphone, elle n'a plus grand chose à me cacher.
En bougonnant, Justine quitte la pièce et revient ensuite vêtue d’un mini short ultra court et d’une brassière minimaliste. Le repas se passe en discussions variées, permettant aux deux filles de faire plus ample connaissance. Elles s'entraident pour desservir la table en papotant. Je les entends dans la cuisine en train de laver la vaisselle. Je m'approche de la pièce et surprends leur conversation dont je suis le sujet principal.
-Tu aimes mon papounet ? Demande Justine. C’est un sacré coup, pas vrai ? C'est quoi qui t'attire le plus chez lui ? Je suis sûre que sa bite de cheval y est pour quelque chose.
-Tu es plutôt directe, Justine, et j'aime ça. Je ne peux pas dire qu'il est l'homme de ma vie. Je sais très bien que je ne suis pas la première et que je ne serai pas la dernière. Mais je n'aurais jamais cru qu'il oserait baiser avec toi, sa fille, même s’il n’est pas ton géniteur. Il doit bien te changer des jeunes de ton âge.
-Ça tu peux le dire, reprend Justine. Il n'y a pas photo. Avec mes copains, ils tiennent à peine 100 mètres avant de jeter leur gourme. Papa est un coureur de fond infatigable, et au lancer du javelot, il les écrase tous… Enfin, tu comprends la métaphore. Comment tu vois la suite ?
-Et bien, déclare Murielle, puisque on est dans le sport, je nous verrais bien faire de la gymnastique acrobatique par équipe avec comme instrument ni un cerceau, ni des massues ou des rubans, mais en nous servant de sa poutre qui elle n’est pas de bois. Et pour l’allusion, nous boirons directement à la source…
Eh bien ça promet ! il va falloir que j'assure car avec ses deux furies, je sens qu'elles ne vont pas arrêter avant de m’avoir essoré les burnes.
A suivre…
L’amante regarde sur son téléphone Papounet sauter sa fille adoptive.
J’écris cette histoire avec une de mes fidèles lectrices, essayant de faire coïncider nos deux points de vue et de rester cohérents. Votre serviteur qui dans cette histoire est Papounet.
-Oui ! Je désire depuis si longtemps ce qui vient se passer, je ne suis plus une petite fille, j'ai des envies et des fantasmes et je sais que tu me désires aussi depuis que je t’ai vu m'espionner l'autre jour quand j'étais avec mon copain qui me baisait. Tu bandais comme un âne. Je sais que tu as envie de moi et moi j'ai envie de toi. Qu’est-ce qui nous empêche de faire ce qu'on veut au point où on en est ?
Songeur, je lui réponds :
- Ça sera notre petit secret, on pourra peut-être se faire plaisir mutuellement quand l'envie nous en prendra, qu'en dis-tu ?
Super, je t'aime papounet.
Nous continuons de discuter de notre petit arrangement. On fixe des règles et des limites de ce jeu incestueux mais j'ai hâte de recommencer une nouvelle partie.
Suite :
Justine :
Je suis super contente que papounet me dise tout ça, j'en rêve depuis si longtemps et même à l'époque où maman était encore là, il lui arrivait de m’espionner. Je le voyais me regarder quand je me douchais quand j’étais une pré-ado et j'adorais cela, humm…
-Je suis heureuse que tu me baises aujourd'hui mon papounet et je te promets que ce qui se passe à la maison seras toujours notre secret. J’espère que ça ne gênera pas Mumu de me voir gambader nue à longueur de journée humm. Et que je pourrai au moins regarder quand tu ramèneras des copines à la maison, hein ? Tu crois que sa gênera Mumu si je l'appelle Maman hiii?
En parlant à mon papounet, je me blottie nue dans ses bras en prenant son pieu encore mi-dur entre mes deux petites mains pour le caresser tendrement.
-Dis, comment vois-tu la suite ? Comment je dois m’y prendre avec Mumu maintenant qu’elle nous a vu en cam ? J'appréhende un peu, tu sais !
Papounet :
La journée du lendemain se passe calmement jusqu'au dîner auquel est convié Mumu. J’entre dans la cuisine alors que Justine est en train de découper les légumes. Je me poste juste derrière elle pour lui faire un baiser dans le cou, mes mains posées sur ses hanches. Le contact de nos peaux nues l’électrise et elle gémit. Je glisse une main entre ses cuisses et entre en contact avec sa fente, je constate qu’elle est déjà humide. Je ne suis pas en reste et comme mon sexe se redresse, je le glisse entre ses cuisses et entame un léger mouvement de va-et vient, ma verge frottant sur les lèvres de la vulve de Justine pendant que mes mains collent son corps contre le mien en lui pétrissant les seins et jouant avec ses tétons. Justine n’est pas en reste et glisse une main entre ses cuisses, ses doigts viennent branler les centimètres excédentaires qui jaillissent d’entre ses jambes.
-Oh oui paponet, baise-moi encore, c'est tellement bon de sentir ton chibre sur ma chatte, mais j’en veux plus…
Elle s’est penchée, une main s'agrippe au rebord de l’évier et l’autre guide ma tête chercheuse qui pénètre avec énergie son sexe offert et glisse en elle comme une lettre à la poste. Elle ne tarde pas à jouir sous mes assauts, son corps se crispe quand elle jouit encore une fois aussi intensément que ce matin, gémissant de plaisir. Lorsque la tension de son corps retombe, je me retire le sexe toujours bandé couvert de sa cyprine abondante. Justine se retourne et s'agenouille sans attendre, ouvre la bouche et glisse sa langue sur ma queue. En quelques mouvements de bassin, je lui donne le rythme et pousse presque l’intégralité de mon sexe dans sa bouche, mes mains dans ses cheveux pour lui indiquer la cadence.
Elle est à ma merci pendant que je lui baise littéralement la bouche et on dirait qu’elle adore ça. Elle a glissé une main dans sa chatte et se caresse en continuant sa pipe délicieuse. Je sens que je ne peux plus me retenir, les soubresauts de ma queue se rapprochent. Mon premier jet de sperme gicle dans sa gorge puis je me retire et termine d'éjaculer sur son visage.
-Tu aimes ma sauce blanche, ma chérie ?
-J'ai adoré et c'est délicieux, mais il faut en garder un peu pour le dessert avec Mumu.
Je récolte un peu de sperme sur sa joue avec mon doigt en lui faisant un clin d'œil.
-Tu as raison, va te débarbouiller et reviens préparer le repas. Je garderai une surprise pour le dessert.
Justine
Je suis la plus heureuse du monde, mon visage couvert du sperme de papounet m'électrise et je ne peux m'empêcher de l'essuyer avec mes petits doigts devant la glace de la salle de bain pour déguster ce délicieux nectar de vie, humm… Je me dis que je donnerai un jour un bébé à mon papa.
Et c'est à là que mon regard se pose sur la corbeille de linge sale où est posé un string que je suppose être à Mumu
Je décide de le prendre entre mes doigts et découvre un superbe string transparent et très sexy, j'ose à ce moment-là le porter à mes narines. Je sens une délicieuse odeur âcre et salée qui m'excite énormément, je décide de passer ce string sur moi. Bien que trop grand, l'endroit où est normalement la chatte de Mumu est posé sur ma petite fente humide.
Je ferme les yeux en imaginant papounet et Mumu baiser sur mes petites lingeries de fille en fleur en me frottant ma petite chatte par-dessus le délicieux tissu de se string magnifique.
« Aaaahhh mon papa, Mumu, je vous désire tellement »
Un bruit de porte me fait sortir de mon moment de plaisir et je constate que le string est trempé de mon jeune jus. Je décide de le retirer et le pose sur le rebord de la baignoire espérant que papa et Mumu le remarquent.
Après une toilette sommaire je rejoins la cuisine bien sûr toujours complètement nue pour m'occuper du repas.
Papounet :
Je viens de faire entrer Murielle. Elle porte une petite robe légère qui met en valeur ses formes. Contrairement à Justine, elle a une abondante poitrine. Moi je porte un pantalon de toile légère et un polo. Je la fais entrer au salon et s’asseoir dans le divan. J’appelle Justine pour qu'elle amène les amuse-gueules et elle me fait le même coup qu'avec Éric. Elle entre dans la pièce avec un plateau complètement nue.
-Justine, tu exagères, tu aurais quand même pu te vêtir pour faire la connaissance de Murielle. Va passer quelque chose !
Mumu rit sous cap puis prend la parole :
- Tu sais, après ce que j'ai vu sur mon téléphone, elle n'a plus grand chose à me cacher.
En bougonnant, Justine quitte la pièce et revient ensuite vêtue d’un mini short ultra court et d’une brassière minimaliste. Le repas se passe en discussions variées, permettant aux deux filles de faire plus ample connaissance. Elles s'entraident pour desservir la table en papotant. Je les entends dans la cuisine en train de laver la vaisselle. Je m'approche de la pièce et surprends leur conversation dont je suis le sujet principal.
-Tu aimes mon papounet ? Demande Justine. C’est un sacré coup, pas vrai ? C'est quoi qui t'attire le plus chez lui ? Je suis sûre que sa bite de cheval y est pour quelque chose.
-Tu es plutôt directe, Justine, et j'aime ça. Je ne peux pas dire qu'il est l'homme de ma vie. Je sais très bien que je ne suis pas la première et que je ne serai pas la dernière. Mais je n'aurais jamais cru qu'il oserait baiser avec toi, sa fille, même s’il n’est pas ton géniteur. Il doit bien te changer des jeunes de ton âge.
-Ça tu peux le dire, reprend Justine. Il n'y a pas photo. Avec mes copains, ils tiennent à peine 100 mètres avant de jeter leur gourme. Papa est un coureur de fond infatigable, et au lancer du javelot, il les écrase tous… Enfin, tu comprends la métaphore. Comment tu vois la suite ?
-Et bien, déclare Murielle, puisque on est dans le sport, je nous verrais bien faire de la gymnastique acrobatique par équipe avec comme instrument ni un cerceau, ni des massues ou des rubans, mais en nous servant de sa poutre qui elle n’est pas de bois. Et pour l’allusion, nous boirons directement à la source…
Eh bien ça promet ! il va falloir que j'assure car avec ses deux furies, je sens qu'elles ne vont pas arrêter avant de m’avoir essoré les burnes.
A suivre…
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Les avis des lecteurs
Ça promet
La petite vicieuse.
Il faut être sportif dans cette famille