L'Adagio de Méli-Mélo
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'Adagio de Méli-Mélo
C'était nuit noire et Méli-Mélo dormait. Dans son sommeil, elle s'est retournée me présentant son dos. Elle dormait toujours profondément, j'entendais sa respiration régulière.
Mais le mouvement m'avait réveillé. Juste un peu réveillé. J'étais immobile, les yeux clos mais ma peau sentait ce corps chaud contre le mien et surtout l'odeur de sa chevelure.
Sa tête était posée sur mon bras comme sur un oreiller et ma main reposait inerte contre sa poitrine. Elle a remonté ses genoux. Elle était contre moi, recroquevillée comme un bébé, dans l'abri de mes bras. Elle s'encafournait.
Moi, je profitais des sensations, toujours immobile les yeux fermés, comme en un rêve. L'odeur de sa peau remontait de dessous la couette et je cherchais à en reconnaître les différentes composantes et à jouir du plaisir que je ressentais.
Malgré la chaleur et la douceur de ses fesses contre mon ventre, je n'étais pas en bandaison. J'étais endormi.
Méli-Mélo, elle aussi dormait profondément et je comprenais que les mouvements qu'elle avait faits pour changer de position avaient été purement réflexes, incontrôlés. Son souffle était profond et régulier et je me gardais bien moi-même de bouger afin de ne pas troubler son sommeil. Et aussi pour poursuivre ma nuit personnelle.
Je savais qu'il aurait suffi que ma paume s'égare sur sa poitrine pour tout déclencher et faire sarabande.
Mais Méli-Mélo a encore fait un mouvement, cette fois-ci de son bras du dessus. Sa main est venue en arrière et a empaumé mon paquet. Était-elle vraiment endormie ? Je voulais le croire. En tous cas ne pas montrer, moi, que je ne l'étais plus tout à fait.
Surtout ne rien montrer. Je m'efforçais à rester inerte. J'essayais de penser à autre chose et à considérer cette main en coque sur moi comme seulement d'amitié, comme simple préhension de l'enfant sur sa peluche dans ses rêves.
La chaleur a quand même eu comme effet de lentement dérouler le machin au point qu'il voulut, velléité, échapper à la main.
Elle ne dormait pas tant ça...
Elle devait probablement faire un rêve érotique car j'ai senti ses fesses se cambrer et s'enfoncer dans mon ventre, lordose, instinct de l'espèce enfoui dans le subconscient.
La proximité a fait le reste.
Elle a présenté la tête encore presque encapuchonée devant son papillon. Les deux ailes étaient fluides et se sont doucement écartées pour qu'il y puisse se glisser.
A cet instant de la nuit nous étions censés, l'un et l'autre, gésir inconscients dans les bras de Morphée.
J'ai juste senti le creux d'elle s'ouvrir au lent gonflement de ma bite, comme pour la noyer en sables mouvants, aspiration de marais, presque statique, en tous cas inexorable.
Elle avait cessé tout mouvement et sa main n'était plus en préhension de mes couilles mais seulement abandonnée là entre nous.
Elle faisait confiance à la situation pour conduire les évènements.
Son sommeil était profond mais le mien l'était moins et je sentais sur moi non seulement l'aspiration puissante de son intimité mais encore les multiples villosités qui l'animaient de mouvements dansants. Comme si son enveloppe extérieure d'être humain était désolidarisée de son intérieur de femme.
Je pensais à EDF et au tarif heures creuses, toute la maisonnée est silencieuse sauf la machine à laver qui s'agite, tambour en rotations alternatives.
Mon nez s'est noyé dans sa chevelure, j'ai respiré une grande lampée de ses odeurs et me suis senti plonger dans l'inconscient et la sérénité, bassin cassé en avant pour n'en rien perdre.
Quand le réveil a sonné, elle a simplement écrasé le champignon de sa main surgie de dessous la couette mais n'a pas bougé. Elle a dit, tout doucement pour ne pas trop me réveiller, voilà un moment que je te sens en moi solidement bandé et que je te triture et te malaxe pour te faire venir et toi tu dors, tu ne penses pas à moi.
Moi, je l'ai serrée dans mes bras et vu que ça faisait une éternité que je me retenais, j'ai tout lâché au fond d'elle en pulsions lentes mais puissantes, badigeonnant son col pour mieux l'ensemencer.
Et elle a chanté...
Mais le mouvement m'avait réveillé. Juste un peu réveillé. J'étais immobile, les yeux clos mais ma peau sentait ce corps chaud contre le mien et surtout l'odeur de sa chevelure.
Sa tête était posée sur mon bras comme sur un oreiller et ma main reposait inerte contre sa poitrine. Elle a remonté ses genoux. Elle était contre moi, recroquevillée comme un bébé, dans l'abri de mes bras. Elle s'encafournait.
Moi, je profitais des sensations, toujours immobile les yeux fermés, comme en un rêve. L'odeur de sa peau remontait de dessous la couette et je cherchais à en reconnaître les différentes composantes et à jouir du plaisir que je ressentais.
Malgré la chaleur et la douceur de ses fesses contre mon ventre, je n'étais pas en bandaison. J'étais endormi.
Méli-Mélo, elle aussi dormait profondément et je comprenais que les mouvements qu'elle avait faits pour changer de position avaient été purement réflexes, incontrôlés. Son souffle était profond et régulier et je me gardais bien moi-même de bouger afin de ne pas troubler son sommeil. Et aussi pour poursuivre ma nuit personnelle.
Je savais qu'il aurait suffi que ma paume s'égare sur sa poitrine pour tout déclencher et faire sarabande.
Mais Méli-Mélo a encore fait un mouvement, cette fois-ci de son bras du dessus. Sa main est venue en arrière et a empaumé mon paquet. Était-elle vraiment endormie ? Je voulais le croire. En tous cas ne pas montrer, moi, que je ne l'étais plus tout à fait.
Surtout ne rien montrer. Je m'efforçais à rester inerte. J'essayais de penser à autre chose et à considérer cette main en coque sur moi comme seulement d'amitié, comme simple préhension de l'enfant sur sa peluche dans ses rêves.
La chaleur a quand même eu comme effet de lentement dérouler le machin au point qu'il voulut, velléité, échapper à la main.
Elle ne dormait pas tant ça...
Elle devait probablement faire un rêve érotique car j'ai senti ses fesses se cambrer et s'enfoncer dans mon ventre, lordose, instinct de l'espèce enfoui dans le subconscient.
La proximité a fait le reste.
Elle a présenté la tête encore presque encapuchonée devant son papillon. Les deux ailes étaient fluides et se sont doucement écartées pour qu'il y puisse se glisser.
A cet instant de la nuit nous étions censés, l'un et l'autre, gésir inconscients dans les bras de Morphée.
J'ai juste senti le creux d'elle s'ouvrir au lent gonflement de ma bite, comme pour la noyer en sables mouvants, aspiration de marais, presque statique, en tous cas inexorable.
Elle avait cessé tout mouvement et sa main n'était plus en préhension de mes couilles mais seulement abandonnée là entre nous.
Elle faisait confiance à la situation pour conduire les évènements.
Son sommeil était profond mais le mien l'était moins et je sentais sur moi non seulement l'aspiration puissante de son intimité mais encore les multiples villosités qui l'animaient de mouvements dansants. Comme si son enveloppe extérieure d'être humain était désolidarisée de son intérieur de femme.
Je pensais à EDF et au tarif heures creuses, toute la maisonnée est silencieuse sauf la machine à laver qui s'agite, tambour en rotations alternatives.
Mon nez s'est noyé dans sa chevelure, j'ai respiré une grande lampée de ses odeurs et me suis senti plonger dans l'inconscient et la sérénité, bassin cassé en avant pour n'en rien perdre.
Quand le réveil a sonné, elle a simplement écrasé le champignon de sa main surgie de dessous la couette mais n'a pas bougé. Elle a dit, tout doucement pour ne pas trop me réveiller, voilà un moment que je te sens en moi solidement bandé et que je te triture et te malaxe pour te faire venir et toi tu dors, tu ne penses pas à moi.
Moi, je l'ai serrée dans mes bras et vu que ça faisait une éternité que je me retenais, j'ai tout lâché au fond d'elle en pulsions lentes mais puissantes, badigeonnant son col pour mieux l'ensemencer.
Et elle a chanté...
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Magnifique