L'apprentissage du futur mâle dominant par sa soeur. 2

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : L'apprentissage du futur mâle dominant par sa soeur. 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2019 dans la catégorie Pour la première fois
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L'apprentissage du futur mâle dominant par sa soeur. 2
L’apprentissage du futur mâle dominant.
Mon poulain est monté comme un étalon. Première monte à cru.


-Ta bite est pleine de poils, je vais remédier à tout ça !
-Qu’entends-tu par là ? S’inquiète-t-il.
-Tu vas bientôt le savoir…
Je fais un détour par la salle de bain et ramène tout le nécessaire. Comme il est allongé sur le lit, les jambes maintenues écartées par les liens, il est à ma merci. Je mets de la mousse à raser sur sa bite et ses couilles et attaque le labeur. J’y vais très délicatement de peur de le couper avec le rasoir.
Je pars du pubis tout doucement en tenant fermement son pénis de l’autre main. Il bande toujours et ça me facilite le travail. Ma main gauche s’active tout au long de son gourdin que maitrise difficilement ma main droite.
Il ne bouge plus d’un poil, c’est le cas de le dire, quand je passe le fil du rasoir le long de ses couilles dodues. De minuscules gouttes de sang tachent la lame. Je m’applique craignant toujours un incident fatal mais tout ce passe bien. Raser ensuite les poils de son bas-ventre n’est plus qu’une rigolade.
Une fois totalement sans poil, je lave et essuie tout ça avant d’oindre d'huile parfumée son sexe et ses couilles.
Le résultat est admirable, son engin glabre et luisant parait encore plus énorme. L’ustensile idéal pour faire se pâmer les filles.
Il faut que je m’en occupe sur le champ,
Comme en transe, je saisis son sexe horriblement dressé, et passe à l’action en torturant le membre des deux mains, je coulisse la peau fine qui le couvre en partie et arrive à décalotter le gland.
Il se démène sous mon attaque, projette son bassin au devant de ma bouche en tirant sur ses liens. Mais comme je connais sa promptitude à atteindre l’orgasme, à la première alerte, au frémissement annonciateur de son plaisir, je cesse toute manipulation de son outil pour faire retomber la pression.
Je le regarde ensuite dans ses yeux implorant et approche ma bouche. Son gland enfle encore un peu mais ce n’est peut-être qu’une illusion dès que je le touche.
Je masturbe avec douceur ce sexe en rut sous ses gémissements de plus en plus forts. Il s’agite comme un beau diable quand je joue de mes doigts sur le sommet du chapeau de ce champignon inconnu qui suinte quelques gouttes, il fait de véritables bonds sur le lit.
J'essaie mais en vain de prendre d’une seule main cette prune violette mais elle est trop grosse pour que mes doigts l’encerclent.
Je me penche et gobe le gland énorme, les mâchoires distendues au maximum.
Il est si gros que je me venge en prenant ses boules douloureuses dans ma bouche, il gémit comme en souffrance. Délicatement je les caresse avec le bout de ma langue avant de les gober toutes les deux.

Je prends un mouchoir que je pose sur le gland violacé pour en frotter avec vivacité la partie la plus sensible de l’organe masculin. Il se cabre comme un animal, ruant criant, suppliant pour que j’arrête cette torture. Je dois arrêter souvent pour éviter l’éjaculation avant de reprendre vigoureusement à le tourmenter. Je donne des tapes sur le chapeau, sur les couilles si délicates.
Il halète, son membre saute et tressaille sous les attaques perfides, son corps s’arque tellement que j’en ai presque pitié.
J’arrive à dominer ce paquet érigé, prolongeant seconde après seconde le moment fatidique où va couler le flot de salive blanche en une symphonie de gestes très étudiés, triturant et astiquant encore et encore cette teub familiale. Pour augmenter encore son plaisir, je titille son anus de mon index et le sent s’ouvrir comme une fleur quand j’y enfonce mon doigt enduit de salive.
Il grogne de plus en plus fort et je suis obligée de le bâillonner sinon il va réveiller les parents.
Quand je sens l’instant fatidique poindre, je prends ce que je peux de son engin dans ma bouche ne voulant pas encore une fois avoir à nettoyer ses épanchements et continue mon petit tripatouillage anal. Il se tord de plaisir, ce cochon, et ouvre les vannes.

Je continue mes caresses et essaie d'avaler toute sa liqueur mais en vain. La dose est trop abondante mais au moins j’ai sauvé les draps. Quand enfin la source se tarit, je reprends mes caresses buccales pour nettoyer tout son pieu et son corps souillés de sa liqueur si abondante.
Il ne bouge plus, reprenant ses esprits après avoir connu l’orgasme. Son vit débande un peu mais reste en semi-érection.
J’ai ma chatte trempée, je ne vous parle pas de ma petite culotte à tordre…Je me caresse avec sa grosse queue. L’envie de m'empaler dessus me tord les tripes mais ça me fait peur.
Je me dénude et me mets sur lui. Avec mes mains J'entrouvre ma chatte et attrape sa teub pour frotter son gland sans appuyer.
Tout doucement je me redresse et descends au devant de ce monstre. Je l'enfonce en moi, je n’en reviens pas qu’un tel morceau puisse disparaître au centre de ma chair ! Un afflux de sang gonfle mes muqueuses, je gémis tout bas quand une secousse tellurique m’avertit que je ne peux aller plus loin. Il me possède jusqu'à la garde mais je peux encore mettre une main entière autour de la racine de ce nœud. Quelle queue…
Après quelques allers-retours, ma chatte se détend peu à peu, je coulisse sur son membre en douceur. Je suis pleine de sa queue qui appuie au fond de moi.
Je n’y tiens plus, ma chatte explose et se liquéfie, je me vide mais l'emboîtement est si ajusté que ma cyprine brûlante est piégée. Pas une goutte ne sort de mon fourreau contribuant à huiler encore plus le piston. Je sens la chaude liqueur se répandre sur toutes mes parois intimes.
Je change de position, le chevauchant en lui tournant le dos pour lui offrir une perspective de mon cul qu’il n’a encore jamais admiré et m’empale à fond sur son membre.
Il essaie de participer en donnant de bons coups de reins mais est gêné par les liens.

-J’espère que tu aimes mater mon cul pendant que je te baise, hein, frérot ?
Je détache sa main droite et la guide vers mon cul. Il comprend mon attente et le caresse avant de glisser un doigt dans mon anus qui accompagne en rythme l’énorme mandrin qui me pourfend à chaque fois que je me laisse retomber sur lui.
Moi aussi je sens venir l’orgasme et quand il me dit qu’il va encore gicler, ce mot magique ouvre mes vannes.

-Donne-moi ton sperme ! Rempli- moi la chatte !
Nous jouissons ensemble dans une communion familiale.
Il m’emplit de sperme chaud, ses jets viennent butter au fond de mon ventre, m’emplissant comme le vin remplit une bouteille, je ne sais plus où j’en suis. Quand enfin je reprends pied et me retire de son chibre, un bruit de ventouse emplit la chambre. Une bave blanche s’écoule de ma vulve.
Encore heureux que je prenne la pilule !!!
Je sers les cuisses et me déplace sur son corps pour lui donner ma chatte à lécher en embrassant sa peau en remontant. Il a compris ce que j’attends de lui et me dévore le minou avec sa longue langue inexperte. Je contacte ma matrice pour en expulser les restes de ma mouille et de son sperme qu’il est obligé de recueillir dans sa bouche.

-Tu dois tout avaler, comme moi tout à l’heure !
Il ne rechigne pas et absorbe avec application ce que ma chatte expulse en abondance.
Je saisis à nouveau sa queue, la nettoie des miasmes de notre copulation. Je la sens battre en cadence à chaque contraction de ses muscles. Il rebande à nouveau…Je suis surprise de sa vigueur mais reprends vite mes esprits et le branle des deux mains pendant qu’il me dévore la chatte.
Je suis comme une affamée devant un buffet de roi. Je varie les positions pour profiter le plus longtemps possible de ce gode de chair infatigable.
Plus il me pénètre, plus je jouis. Sa source m'a gratifiée de copieuses giclées mais baisse de débit comme un ruisseau en été. Je n’ai jamais connu un amant aussi prolixe de son foutre. On dirait qu’il se vide d’un trop-plein de plusieurs années.

Je suis épuisée, complètement fourbue car c’est moi qui ai œuvré une grande partie de la nuit. Je sanglote de bonheur mais suis complètement harassée du plaisir qu’il m’a donné.
Je le détache enfin, l’embrasse et me sauve comme une voleuse (de sexe).
Vivement demain soir…
(À suivre)

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