L'enfermement de Cendrillon
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2015 dans la catégorie Pour la première fois
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L'enfermement de Cendrillon
Devant la grande glace du salon, Cendrillon jugeait jaugeait son look.
Ses petits seins, tout petits, étaient à peine cachés par le fin débardeur Gap. Bretelles étroites longues et encolure basse.
Débardeur de coton strech fin presque transparent.
Le tout couvert d’un teeshirt encore plus fin, encore plus transparent, maille manches longues taille serrée échancrée droite et gauche bas sur les fesses et le pubis.
Swag, elle se sentait dans le ton et ça lui faisait chaud au ventre, entre les cuisses. Même elle pensait, je me sens fondre. Et c’était vrai.
Ses soeurs, les deux connasses, étaient sorties. Boite électro. Avec leurs mecs. Et la marâtre avait donné sa bénédiction. A chacune trois capotes, une XL et deux L. Lubrifiées avec réservoir. Important le réservoir ?
Cendrillon se matait dans la grande glace du salon et elle se trouvait belle, enfin swag, bimbette quoi…
Elle passait sa main dans sa touffe claire et pensait, comment l’emballer, celle-là ? Et la main repassait, passait repassait.
Sa touffe, drue épaisse luxuriante frisée, cachait le creux d’elle et elle en était satisfaite. Elle pensait, un jour mon prince viendra et ce petit con ne verra rien de mon abricot luisant de désir et d’attente.
C’est bête les filles, non ?
Le teeshirt blanc montrait le débardeur gris en dessous, empilement de transparences, et les petits pointus de ses aréoles roses claires. Blonde aux aréoles claires, jolie fille, Cendrillon, non ? Tous vous le diront. Surtout ses yeux turquoise, bleu de Lectoure, laitance d’huitre mois de juillet, Cap Ferret.
La belle-mère veillait et surveillait la gamine. Elle avait compris que cette bimbette délurée allait rafler la mise et voler la vedette aux deux grandes cruches brunes, ses filles, ses propres filles.
Elle était amère, la marâtre.
Cendrillon se voulait swag.
Elle avait trouvé un bonnet de laine, genre bonnet de ski, qui moulait sa tête laissant échapper de côté d’épaisses volutes de cheveux blond de blé, accroche-coeurs. Bonnet blanc de mailles larges sans boule par dessus mais au contraire un trou par lequel on apercevait sa tignasse épaisse..
Le teeshirt de blanc coton exprimait cette idée forte du Ying et du Yang. Cette idée que rien n’est acquis à l’homme…
Sur le devant était écrit OUI
Sur le derrière, NON
Ni sa force, ni sa faiblesse et quand il croit, ouvrir ses bras son ombre est celle d’une croix.
Le OUI masquait tant bien que mal les tétons dressés des petits seins de Cendrillon. Le NON ne pouvait cacher qu’il n’y avait sous le teeshirt ni bretelles ni agrafes de soutien-gorge ou de brassière. Rien.
Et Cendrillon se posait des questions. Devant le miroir, ce même miroir qui avait parlé à la Reine de Blanche Neige allait-il encore s’exprimer ? Allait-il lui dire comment habiller ce nid frisé luisant, image de Léo Ferret in Nights in white Satin, ruisselant dans son berceau.
Une fille qui tangue et qui se tait…
Swag, sacrée Cendrillon…
Cendrillon choisit de juste tirer bas les pans du teeshirt sous un jupon long en voile de coton gris perle, sans chausser ses escarpins de vair. Et elle file, vive, au bal, ses chaussures à la main, ballantes, à chaque main.
C’est en chemin que la Countach s’est arrêtée. La Lambo jaune était basse. La porte haut levée, le baquet de cuir blanc, le lourd ronronnement du V12 ont eu raison de ses réticences et elle a plongé fesses premières au creux de l’auto.
Au palais, les sentinelles ont écarté leurs hallebardes, la porte de la Lamborghini s’est levée, les huissiers ont formé haie d’honneur et tapis rouge face au grand escalier.
Cendrillon a eu l’élégance de ne pas exposer ses intimités aux paparazzi massés. Elle pensait, non, pas ressembler à Paris Hilton, surtout ne pas.
Pas facile de s’extirper d’une Lambo Countach sans indécence… Bravo Cendrillon. Surtout quand on ne porte rien sous son jupon ... que deux chaussures de vair.
Les black du service d’ordre, oreillette et costar noir, ont fait garer la voiture jaune sous les palétuviers devant l’entrée. Cendrillon pensait, quand il me faudra filer, j’aurai ainsi toute facilité.
Effectivement, aux douze coups de minuit, la belle a voulu s’enfuir, poursuivie par les mâles de la Principauté, princes, barons, vicomtes et autres roturiers. Cendrillon, jupon volant sans rien en dessous, courant dans les allées du parc, a perdu l’un de ses escarpins. Elle pensait, c’est de peu d’importance, je conduirai la Countash pieds nus, telle Sandie Shaw.
Sur la route de la Corniche elle regardait la mer et la lune, pleine, posée sur la Méditerranée sombre.
Elle pensait Grace Kelly accident Monaco Hitchkock Cary Grant.
Son ventre se tordait se crispait.
Cendrillon se sentait swag et se sentait humide de désir...
Elle était assise dans le baquet de cuir et menait la belle Italienne, de virage en virage, dans les odeurs de ricin et les hurlements du V12, sa main allant du levier de vitesse, en folle sarabande, à la braguette du Vicomte.
Braguette tendue.
Elle ne savait pas, Cendrillon, qu’au matin, le Prince la retrouverait, escarpin de vair aidant, pour la prendre et l’épouser.
Charlène triste.
Ses petits seins, tout petits, étaient à peine cachés par le fin débardeur Gap. Bretelles étroites longues et encolure basse.
Débardeur de coton strech fin presque transparent.
Le tout couvert d’un teeshirt encore plus fin, encore plus transparent, maille manches longues taille serrée échancrée droite et gauche bas sur les fesses et le pubis.
Swag, elle se sentait dans le ton et ça lui faisait chaud au ventre, entre les cuisses. Même elle pensait, je me sens fondre. Et c’était vrai.
Ses soeurs, les deux connasses, étaient sorties. Boite électro. Avec leurs mecs. Et la marâtre avait donné sa bénédiction. A chacune trois capotes, une XL et deux L. Lubrifiées avec réservoir. Important le réservoir ?
Cendrillon se matait dans la grande glace du salon et elle se trouvait belle, enfin swag, bimbette quoi…
Elle passait sa main dans sa touffe claire et pensait, comment l’emballer, celle-là ? Et la main repassait, passait repassait.
Sa touffe, drue épaisse luxuriante frisée, cachait le creux d’elle et elle en était satisfaite. Elle pensait, un jour mon prince viendra et ce petit con ne verra rien de mon abricot luisant de désir et d’attente.
C’est bête les filles, non ?
Le teeshirt blanc montrait le débardeur gris en dessous, empilement de transparences, et les petits pointus de ses aréoles roses claires. Blonde aux aréoles claires, jolie fille, Cendrillon, non ? Tous vous le diront. Surtout ses yeux turquoise, bleu de Lectoure, laitance d’huitre mois de juillet, Cap Ferret.
La belle-mère veillait et surveillait la gamine. Elle avait compris que cette bimbette délurée allait rafler la mise et voler la vedette aux deux grandes cruches brunes, ses filles, ses propres filles.
Elle était amère, la marâtre.
Cendrillon se voulait swag.
Elle avait trouvé un bonnet de laine, genre bonnet de ski, qui moulait sa tête laissant échapper de côté d’épaisses volutes de cheveux blond de blé, accroche-coeurs. Bonnet blanc de mailles larges sans boule par dessus mais au contraire un trou par lequel on apercevait sa tignasse épaisse..
Le teeshirt de blanc coton exprimait cette idée forte du Ying et du Yang. Cette idée que rien n’est acquis à l’homme…
Sur le devant était écrit OUI
Sur le derrière, NON
Ni sa force, ni sa faiblesse et quand il croit, ouvrir ses bras son ombre est celle d’une croix.
Le OUI masquait tant bien que mal les tétons dressés des petits seins de Cendrillon. Le NON ne pouvait cacher qu’il n’y avait sous le teeshirt ni bretelles ni agrafes de soutien-gorge ou de brassière. Rien.
Et Cendrillon se posait des questions. Devant le miroir, ce même miroir qui avait parlé à la Reine de Blanche Neige allait-il encore s’exprimer ? Allait-il lui dire comment habiller ce nid frisé luisant, image de Léo Ferret in Nights in white Satin, ruisselant dans son berceau.
Une fille qui tangue et qui se tait…
Swag, sacrée Cendrillon…
Cendrillon choisit de juste tirer bas les pans du teeshirt sous un jupon long en voile de coton gris perle, sans chausser ses escarpins de vair. Et elle file, vive, au bal, ses chaussures à la main, ballantes, à chaque main.
C’est en chemin que la Countach s’est arrêtée. La Lambo jaune était basse. La porte haut levée, le baquet de cuir blanc, le lourd ronronnement du V12 ont eu raison de ses réticences et elle a plongé fesses premières au creux de l’auto.
Au palais, les sentinelles ont écarté leurs hallebardes, la porte de la Lamborghini s’est levée, les huissiers ont formé haie d’honneur et tapis rouge face au grand escalier.
Cendrillon a eu l’élégance de ne pas exposer ses intimités aux paparazzi massés. Elle pensait, non, pas ressembler à Paris Hilton, surtout ne pas.
Pas facile de s’extirper d’une Lambo Countach sans indécence… Bravo Cendrillon. Surtout quand on ne porte rien sous son jupon ... que deux chaussures de vair.
Les black du service d’ordre, oreillette et costar noir, ont fait garer la voiture jaune sous les palétuviers devant l’entrée. Cendrillon pensait, quand il me faudra filer, j’aurai ainsi toute facilité.
Effectivement, aux douze coups de minuit, la belle a voulu s’enfuir, poursuivie par les mâles de la Principauté, princes, barons, vicomtes et autres roturiers. Cendrillon, jupon volant sans rien en dessous, courant dans les allées du parc, a perdu l’un de ses escarpins. Elle pensait, c’est de peu d’importance, je conduirai la Countash pieds nus, telle Sandie Shaw.
Sur la route de la Corniche elle regardait la mer et la lune, pleine, posée sur la Méditerranée sombre.
Elle pensait Grace Kelly accident Monaco Hitchkock Cary Grant.
Son ventre se tordait se crispait.
Cendrillon se sentait swag et se sentait humide de désir...
Elle était assise dans le baquet de cuir et menait la belle Italienne, de virage en virage, dans les odeurs de ricin et les hurlements du V12, sa main allant du levier de vitesse, en folle sarabande, à la braguette du Vicomte.
Braguette tendue.
Elle ne savait pas, Cendrillon, qu’au matin, le Prince la retrouverait, escarpin de vair aidant, pour la prendre et l’épouser.
Charlène triste.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pour ma part, même si quelquefois j'ai du mal à comprendre où Jpj veut nous emmener, la plupart du temps j'aime beaucoup sa prose débridée, ayant souvent de la jalousie à ne pas savoir écrire ainsi.
Je ne peux dire que bravo à cette poésie décalée où l'amour se mélange à l'humour, dont nous avons bien besoin, toujours…………….
Je ne peux dire que bravo à cette poésie décalée où l'amour se mélange à l'humour, dont nous avons bien besoin, toujours…………….
JPJ. Je vois que je ne suis pas le seul à avoir du mal avec ton style bien à toi.
Je me garderais bien d'en dire plus, je t'ai dis ce que j'en pensais par E-mail.
Mais si le lecteur et qui donne les notes HDS ta la encore noté cinq étoiles tant mieux pour toi...
CHRIST71
Je me garderais bien d'en dire plus, je t'ai dis ce que j'en pensais par E-mail.
Mais si le lecteur et qui donne les notes HDS ta la encore noté cinq étoiles tant mieux pour toi...
CHRIST71
Sûr que le Prince du Rocher à autres choses à branler que de lire sur HDS nos petites bêtises sans prétention.
C'est l'auteur qui parle au lecteur :
- Merci d'avoir pris la peine de commenter, c'est bon de bon de lire des commentaires
- Style chaotique, volonté de se singulariser, absence de retenue ? Mauvais procés, j'écris ici ce qui me passe par la tête, sans discipline, convaincu que ces bribes de fantasmes habités de ma Muse sont riches d'images et qu'un travail ultérieur saura les mettre en valeur.
- Cela agace mais cela plaît aussi. Comme tu l'écris, lecteur, par moments c'est bien, par moments, non. C'est comme la vie, c'est comme l'Amour.
'Normal, non, que ce soit ici, sur HDS, que l'on vive cette alternance ?
C'est l'auteur qui parle au lecteur :
- Merci d'avoir pris la peine de commenter, c'est bon de bon de lire des commentaires
- Style chaotique, volonté de se singulariser, absence de retenue ? Mauvais procés, j'écris ici ce qui me passe par la tête, sans discipline, convaincu que ces bribes de fantasmes habités de ma Muse sont riches d'images et qu'un travail ultérieur saura les mettre en valeur.
- Cela agace mais cela plaît aussi. Comme tu l'écris, lecteur, par moments c'est bien, par moments, non. C'est comme la vie, c'est comme l'Amour.
'Normal, non, que ce soit ici, sur HDS, que l'on vive cette alternance ?
J’aime et par moments j’aime pas.
Un peu trop de ce style « cahotique » particulier à l’auteur qui semble vouloir réinventer une manière d’écrire, se singulariser sans une certaine retenue qui serait de mise.
Peut-être suis-je trop classique ou pas assez ouvert, pas assez « swag ». Pas assez jeune ou trop vieux?. Quand-même une appréciation positive.
Par contre je me demande ce que le Prince du « Rocher » va en penser s’il lit? On ne sait jamais?
Un peu trop de ce style « cahotique » particulier à l’auteur qui semble vouloir réinventer une manière d’écrire, se singulariser sans une certaine retenue qui serait de mise.
Peut-être suis-je trop classique ou pas assez ouvert, pas assez « swag ». Pas assez jeune ou trop vieux?. Quand-même une appréciation positive.
Par contre je me demande ce que le Prince du « Rocher » va en penser s’il lit? On ne sait jamais?