L'hôtel du désert EP 06 : Le trafic routier reprend
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'hôtel du désert EP 06 : Le trafic routier reprend
L'hôtel du désertEP 06 : Le trafic routier reprend
Il fallait encore attendre, et les grèves n'étaient toujours pas terminées donc les livraisons se faisaient au compte goûte. Johnny passait le reste de la journée au téléphone. Quand il en revenait enfin, il retrouvait à table Brice et Alice …
– Alors ? Lui demandait Alice.
– Ce sont vraiment des abrutis dans cette casse, je leur donne tous les détails sur la voiture et ils sont incapable de me trouver la bonne pièce.
– Casse ? Rajoutait Brice.
– Bein oui, je ne vais pas commander une pièce neuve, ta voiture à l'âge, ce serait une dépense excessives.
– Et si tu ne trouves pas la pièce …– Je vais trouver la pièce !
– Jure moi que tu ne le fais pas exprès ! Lui demandait Alice.
– Allons Alice, tu plaisante ou quoi !
– Dommage, j'aurais su te remercier !
– Ça complote pour m'empêcher de repartir ? Rajoutait Brice.
– Mais c'est une idée ça, il va falloir que je m'en mêle ! Concluait Alice.
Le lendemain Brice était réveillé par un bruit de camion. Il sautait du lit en pensant que sa voiture serait bientôt réparée. Sur le parking il y avait quatre gros semis remorque. Ça lui faisait tout drôle, il avait toujours vu ce parking totalement vide. Un groupe d'homme était dans la salle du bar, et prenait tranquillement le petit déjeuner.
Brice s'installait au bar après avoir salué tout le monde.
– Mais il y a un monde fou ce matin. S'étonnait Brice.
– Ils m'ont dit que la circulation ne devrait pas tarder à reprendre. Lui expliquait Cathy.
– Les affaires reprennent !
– On a soixante dix couverts de prévus pour ce midi. Lui répondait Cathy.
Plusieurs nouvelles tête apparaissaient. Une voisine que Brice n'avait jamais vu, une dame du même âge que Cathy, son mari était là aussi. Ils travaillaient au restaurant et depuis quelques semaines étaient en chaumage technique. Un bus plein de voyageurs qui auraient faim allait arriver, ils étaient partis très tôt dans la nuit et quand ils arriveraient il ne faudrait pas perdre de temps. Le trajet est long et il ne faut surtout pas retarder le bus.
– Johnny m'avait dit que c'était le soir que les voyageurs s'arrêtaient. Faisait remarquer Brice.
– En temps normal oui, c'est le soir mais en ce moment c'est un peu la panique. On vient de me téléphoner, il y en aura autant ce soir. Pendant quelques jours il y aura plus de passage, après tout va rentrer dans l'ordre. Expliquait Cathy.
– Et au niveau main d’œuvre, vous vous en sortez ? Demandait Brice.
– On est organisé, il y deux personnes en cuisine, on prépare tout à l'avance, et quand tout le monde arrive, ça va très vite ! Lui racontait Cathy.
– Il y a aussi les routiers qui arrivent j'ai l'impression. Faisait remarquer Brice.
– Pour le moment il y a encore des grèves, mais tout devrait entrer dans l'ordre assez vite maintenant ! Concluait Cathy.
Les jours qui suivaient, l'hôtel devenait soudainement moins calme, surtout à l'heure des repas. Brice préférait prendre ses repas avant l'arrivée de la foule.
Ce jour là il avait laissé tout le monde, Alice donnait un coup de main à Cathy en salle. Tranquillement Brice faisait un petit tour pour digérer, il s'avançait dans le désert en prenant bien son temps. Quand il se retournait il avait parcouru plusieurs kilomètres, plusieurs autres camions étaient arrivés entre temps, on voyait toujours l'enseigne qui clignotait dans un décor qui plongeait lentement dans la pénombre. Plus loin, plus haut, le ciel à l'horizon devenait bleu marine et encore plus haut c'est dans un ciel désormais noir que les premières étoiles apparaissaient.
Ce décor lui devenait familier et il le trouvait très beau finalement. Il pensait un moment à l'endroit d'où il venait, se demandait pourquoi il était parti. Il ne s'en souvenait plus. Il regardait vers le soleil couchant, la seule partie du ciel qui n'avait pas encore plongés dans l'obscurité totale. Il ne savait plus ni ou il allait ni pourquoi. Un cour instant il se voyait passer le reste de sa vie ici. Et, finalement ça ne lui déplaisait pas.
Quand il se décidait à revenir vers l'hôtel, seule l'enseigne lui en indiquait clairement la direction, ce n'était pas la première fois que cette lumière chancelante l'appelait. Il passait devant l'atelier, en poussait la porte. Sa voiture était là, un peu comme si elle ne devait pas aller plus loin. Pour lui le bout de son chemin, c'était l'extrémité de la route vers l'Ouest, mais comment irait-il si loin si sa voiture avait, elle, terminé son voyage ?
Un peu perdu dans ses pensées, il avançait, il entrait dans la chambre de Johnny. Il n'y avait pas de bruit, il allumait une lampe et pouvait constater qu'il n'y avait personne. Toujours perdu dans ses pensées, il s'approchait du lit puis s'allongeait dessus et finalement s'endormait.
Il était réveillé par des cris, en même temps il était secoué dans tous les sens. Il ouvrait les yeux, c'était Johnny qui s'amusait à le réveiller en sautant sur le lit et en criant. Voyant que Brice réagissait il se laissait tomber sur lui, le chevauchait et s'asseyait sur son ventre avant de lui faire un gros câlin.
Johnny se penchait sur Brice et l'embrassait avec passion tout en le caressant. Il lui ouvrait la chemise et le couvrait de baisers sur le torse et les épaules. Ce soir là il avait l'air très amoureux Johnny, il était ivre.
– Il est quelle heure ? Demandait Brice.
Il était surpris et se réveillait d'un premier sommeil un peu perdu.
– Il est pas tard, j'ai picolé avec un voisin. Je t'ai cherché partout pour t'inviter. Mais je t'ai pas trouvé. Lui répondait Johnny.
En même temps qu'il parlait il s'était déshabillé. Brice le regardait, il n'était pas tout à fait réveillé, un sourire apparaissait sur ses lèvres. Johnny se laissait tomber juste à côté de Brice, il s'allongeait, passait une main et caressait doucement la joue de son camarade en lui donnant un baiser sur les lèvres.
Brice prenait Johnny dans ses bras. Lui faisait un gros câlin, tendrement enlacés il s'embrassaient, chacun serrait l'autre dans ses bras. La main de Johnny glissait sous la chemise de Brice, puis l'autre mains suivait.
La chemise tombait et les caresses étaient peau contre peau. La peau est douce, la peau est chaude brûlante même mais ne brûle pas pour autant. Les lèvres de l'un parcouraient le torse de l'autre puis c'était le contraire. Chacun laissait la place à l'autre.
Brice glissait ses mains sur les hanches de Johnny, avec son pouce il le caressait, là, juste à la commissure du ventre et des cuisses. Sa glissaient avec forces vers le sexe de Johnny. Il bandait ferme et quand Brice se penchait pour lui sucer la queue, Johnny lui glissait les deux mains contre ses fesses, tout contre ses fesses, sous son pantalon !
Brice avalait goulûment la queue de Johnny qui lui glissait un doigt entre les fesses, un doigt qui s'attardait sur le petit trou juste au milieu, entre les deux fesses.
Brice laissait faire, Johnny imprimait à son doigt un mouvement de rotation, il pressait de plus en plus sans toutefois essayer d'entrer. Brice laissait faire et continuait à sucer la queue de Johnny depuis sa base jusqu'à son gland.
Johnny gémissait de plaisir tout en se tortillant pour pouvoir plus facilement atteindre les fesses de son camarade. Il glissait une mains sur le ventre de Brice et lui ouvrait son pantalon, il le faisait glisser et maintenant lui tripotait les couilles.
Brice aussi bandait ferme.
Johnny se faisait glisser et se retournait vers la queue de Brice, sans pour autant l'empêcher de lui sucer la queue . Ils se retrouvaient en tête à queue, en position de soixante neuf et chacun s'attelait à donner à l'autre le plus de plaisir possible.
Johnny insistait sur le cul de Brice, il lubrifiait doucement puis continuait ses mouvement de rotation avec un peu plus de force. Un phalange entrait sans résister. Brice poussait un petit cri. Oh pas bien fort, à peine un hoquet. À peine audible, il est vrai que Brice avait la bouche pleine mais il se serait fait entendre un peu plus si ça lui avait vraiment fait mal. Il continuait à sucer la queue le Johnny.
Les deux jeunes hommes continuaient, les caresses devenaient plus pressantes, plus fortes, il se serraient fermement dans les bras. Johnny insistait sur le cul de son camarade, de nouveau il glissait un doigt, un peu plus profond cette fois-ci. Brice se contractait puis se détendait de nouveau et continuait à sucer la bite de Johnny.
Johnny se retirait et se relevait, Brice ne bougeait pas il relevait la tête et suivait le mouvement. Johnny se penchait sur le dos de Brice qui était resté à quatre-pattes sur le lit. Il le couvrait de caresses et de baisers.
Johnny : Ne bouge pas ! Laisse moi faire !
Avec de plus en plus de douceur, il glissait un doigt dans le cul de Brice qui laissait faire. Johnny agissait avec douceur, lubrifiait longuement le cul de Brice et glissait deux doigt, lentement mais bien à fond.
C'est comme un frisson qui parcourait le dos de Brice, il se contractait mais poussait un léger gémissement de plaisir en relevant la tête.
Le sentant parfaitement bien détendu Johnny décidait de passer aux choses plus sérieuses. Il prenait position, plaçait sa queue bien en face du cul de son camarade, se la lubrifiait abondamment puis avec à la fois douceur et force la poussait contre l'anus de Brice.
Ça résistait mais il poussait un peu plus fort. Brice râlait mais laissait faire.
– Vas y doucement ! Gémissait Brice.
Brice se détendait lentement et très lentement Johnny poussait de plus en plus fort. Il a senti le muscle de détendre d'un coup, Brice à hurlé. Son anus se dilatait et laissait passer la queue de Johnny, d'abord timidement puis avec plus de violence.
Brice hurlait, Johnny le retenait. Brice respirait fort, Johnny s'enfonçait de plus en plus profond jusqu'au moment ou son ventre s'écrasait sur les fesses de son … sa … victime …
Brice s'appuyait sur ses coudes, il gémissait '' Doucement, vas-y doucement, la tu me fais mal !''.
Johnny n'en tenait pas plus compte qu'il ne le fallait et se contentait de ne plus bouger, il retenait Brice avec force contre lui, mais ne bougeait plus. Brice tremblait, gémissait, ce n'était pas que du plaisir. Du plaisir, il devait y en avoir sinon il se serait dégagé mais il n'y avait pas que du plaisir. Ça c'est sûr !
Johnny se retirait lentement, Brice gémissait encore plus fort. Johnny se retirait presque totalement, Brice poussait des cris étouffés, comme s'il suffoquait et se laissait retombe, il tremblait. Johnny s'enfonçait de nouveau, Brice criait de nouveau plus fort peut être même.
Brice se cramponnait au draps, et tremblait, son visage était rouge et il y affichait une grimace monstrueuse. Sans pitié maintenant Johnny se retirait et revenait. Ce mouvement était plus rapide, plus violent. Brice avait le réflexe de tenter de se retirer mais Johnny le retenait en le tirant par les hanches avec force. Son ventre claquait contre les fesses de Brice qui criait nettement plus fort maintenant.
Johnny ne voulait pas lâcher et pilonnait le cul de Brice avec de plus en plus de force. Il ne retenait plus ses coups. Brice tentait de se dégager. Johnny s'allongeait de tout son poids et immobilisait de force Brice qui râlait et implorait.
Johnny continuait avec détermination. Il ne lâchait qu'au moment ou il jutais, qu'au moment ou il jouissait dans le cul de Brice qui suppliait. Johnny était ivre, il avait joui, il s'effondrait à côté de Brice et s'endormait.
Brice pleurait mais il jouissait lui aussi, il dégustait le pauvre, il ne l'aurait certainement jamais avoué, mais il avait aimé, il avait vraiment joui et il savait qu'il ne tarderait pas à en redemander. Il se laissait tomber sur le lit, s'approchait de Johnny, tout contre Johnny, glissait un bras sur lui et s'endormait à son tour.
Le lendemain matin les deux amants dormaient profondément quand ils étaient réveillés par un klaxon, un coup de klaxon particulièrement fort, de ceux que seul un très gros véhicule peut produire. Johnny et Brice se réveillaient mais restaient un peu sonné. Le son semblait venir de l'intérieur de l'atelier tant il était fort. Il était suivi par deux autres coups de klaxon.
Johnny se levait d'un geste rapide et sautait dans sa salopette. Il avait deviné. Quand Brice suivait un peu plus tard, le chauffeur et Johnny descendait du camion un colis, il n'était pas très gros mais paressait très lourd …
Johnny : Ce sont les pièces pour ta voiture, j'espère que ce sont les bonnes cette fois !
Brice devinait que son voyage allait reprendre, que cette pause prendrait fin. C'était juste au moment ou il commençait à ne plus avoir envie de repartir, juste au moment ou il avait envie de se poser, de ne plus bouger et de dormir toutes les nuits, comme la nuit dernière, avec Johnny dans ses bras.
Il regardait Johnny avec désir, il le trouvait sexy torse nue sous sa salopette, il lui plaisait de plus en plus, il savait qu'il ne portait pas de sous vêtements et n'avait qu'une seule envie …
Le prendre dans ses bras et lui faire un câlin !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Il fallait encore attendre, et les grèves n'étaient toujours pas terminées donc les livraisons se faisaient au compte goûte. Johnny passait le reste de la journée au téléphone. Quand il en revenait enfin, il retrouvait à table Brice et Alice …
– Alors ? Lui demandait Alice.
– Ce sont vraiment des abrutis dans cette casse, je leur donne tous les détails sur la voiture et ils sont incapable de me trouver la bonne pièce.
– Casse ? Rajoutait Brice.
– Bein oui, je ne vais pas commander une pièce neuve, ta voiture à l'âge, ce serait une dépense excessives.
– Et si tu ne trouves pas la pièce …– Je vais trouver la pièce !
– Jure moi que tu ne le fais pas exprès ! Lui demandait Alice.
– Allons Alice, tu plaisante ou quoi !
– Dommage, j'aurais su te remercier !
– Ça complote pour m'empêcher de repartir ? Rajoutait Brice.
– Mais c'est une idée ça, il va falloir que je m'en mêle ! Concluait Alice.
Le lendemain Brice était réveillé par un bruit de camion. Il sautait du lit en pensant que sa voiture serait bientôt réparée. Sur le parking il y avait quatre gros semis remorque. Ça lui faisait tout drôle, il avait toujours vu ce parking totalement vide. Un groupe d'homme était dans la salle du bar, et prenait tranquillement le petit déjeuner.
Brice s'installait au bar après avoir salué tout le monde.
– Mais il y a un monde fou ce matin. S'étonnait Brice.
– Ils m'ont dit que la circulation ne devrait pas tarder à reprendre. Lui expliquait Cathy.
– Les affaires reprennent !
– On a soixante dix couverts de prévus pour ce midi. Lui répondait Cathy.
Plusieurs nouvelles tête apparaissaient. Une voisine que Brice n'avait jamais vu, une dame du même âge que Cathy, son mari était là aussi. Ils travaillaient au restaurant et depuis quelques semaines étaient en chaumage technique. Un bus plein de voyageurs qui auraient faim allait arriver, ils étaient partis très tôt dans la nuit et quand ils arriveraient il ne faudrait pas perdre de temps. Le trajet est long et il ne faut surtout pas retarder le bus.
– Johnny m'avait dit que c'était le soir que les voyageurs s'arrêtaient. Faisait remarquer Brice.
– En temps normal oui, c'est le soir mais en ce moment c'est un peu la panique. On vient de me téléphoner, il y en aura autant ce soir. Pendant quelques jours il y aura plus de passage, après tout va rentrer dans l'ordre. Expliquait Cathy.
– Et au niveau main d’œuvre, vous vous en sortez ? Demandait Brice.
– On est organisé, il y deux personnes en cuisine, on prépare tout à l'avance, et quand tout le monde arrive, ça va très vite ! Lui racontait Cathy.
– Il y a aussi les routiers qui arrivent j'ai l'impression. Faisait remarquer Brice.
– Pour le moment il y a encore des grèves, mais tout devrait entrer dans l'ordre assez vite maintenant ! Concluait Cathy.
Les jours qui suivaient, l'hôtel devenait soudainement moins calme, surtout à l'heure des repas. Brice préférait prendre ses repas avant l'arrivée de la foule.
Ce jour là il avait laissé tout le monde, Alice donnait un coup de main à Cathy en salle. Tranquillement Brice faisait un petit tour pour digérer, il s'avançait dans le désert en prenant bien son temps. Quand il se retournait il avait parcouru plusieurs kilomètres, plusieurs autres camions étaient arrivés entre temps, on voyait toujours l'enseigne qui clignotait dans un décor qui plongeait lentement dans la pénombre. Plus loin, plus haut, le ciel à l'horizon devenait bleu marine et encore plus haut c'est dans un ciel désormais noir que les premières étoiles apparaissaient.
Ce décor lui devenait familier et il le trouvait très beau finalement. Il pensait un moment à l'endroit d'où il venait, se demandait pourquoi il était parti. Il ne s'en souvenait plus. Il regardait vers le soleil couchant, la seule partie du ciel qui n'avait pas encore plongés dans l'obscurité totale. Il ne savait plus ni ou il allait ni pourquoi. Un cour instant il se voyait passer le reste de sa vie ici. Et, finalement ça ne lui déplaisait pas.
Quand il se décidait à revenir vers l'hôtel, seule l'enseigne lui en indiquait clairement la direction, ce n'était pas la première fois que cette lumière chancelante l'appelait. Il passait devant l'atelier, en poussait la porte. Sa voiture était là, un peu comme si elle ne devait pas aller plus loin. Pour lui le bout de son chemin, c'était l'extrémité de la route vers l'Ouest, mais comment irait-il si loin si sa voiture avait, elle, terminé son voyage ?
Un peu perdu dans ses pensées, il avançait, il entrait dans la chambre de Johnny. Il n'y avait pas de bruit, il allumait une lampe et pouvait constater qu'il n'y avait personne. Toujours perdu dans ses pensées, il s'approchait du lit puis s'allongeait dessus et finalement s'endormait.
Il était réveillé par des cris, en même temps il était secoué dans tous les sens. Il ouvrait les yeux, c'était Johnny qui s'amusait à le réveiller en sautant sur le lit et en criant. Voyant que Brice réagissait il se laissait tomber sur lui, le chevauchait et s'asseyait sur son ventre avant de lui faire un gros câlin.
Johnny se penchait sur Brice et l'embrassait avec passion tout en le caressant. Il lui ouvrait la chemise et le couvrait de baisers sur le torse et les épaules. Ce soir là il avait l'air très amoureux Johnny, il était ivre.
– Il est quelle heure ? Demandait Brice.
Il était surpris et se réveillait d'un premier sommeil un peu perdu.
– Il est pas tard, j'ai picolé avec un voisin. Je t'ai cherché partout pour t'inviter. Mais je t'ai pas trouvé. Lui répondait Johnny.
En même temps qu'il parlait il s'était déshabillé. Brice le regardait, il n'était pas tout à fait réveillé, un sourire apparaissait sur ses lèvres. Johnny se laissait tomber juste à côté de Brice, il s'allongeait, passait une main et caressait doucement la joue de son camarade en lui donnant un baiser sur les lèvres.
Brice prenait Johnny dans ses bras. Lui faisait un gros câlin, tendrement enlacés il s'embrassaient, chacun serrait l'autre dans ses bras. La main de Johnny glissait sous la chemise de Brice, puis l'autre mains suivait.
La chemise tombait et les caresses étaient peau contre peau. La peau est douce, la peau est chaude brûlante même mais ne brûle pas pour autant. Les lèvres de l'un parcouraient le torse de l'autre puis c'était le contraire. Chacun laissait la place à l'autre.
Brice glissait ses mains sur les hanches de Johnny, avec son pouce il le caressait, là, juste à la commissure du ventre et des cuisses. Sa glissaient avec forces vers le sexe de Johnny. Il bandait ferme et quand Brice se penchait pour lui sucer la queue, Johnny lui glissait les deux mains contre ses fesses, tout contre ses fesses, sous son pantalon !
Brice avalait goulûment la queue de Johnny qui lui glissait un doigt entre les fesses, un doigt qui s'attardait sur le petit trou juste au milieu, entre les deux fesses.
Brice laissait faire, Johnny imprimait à son doigt un mouvement de rotation, il pressait de plus en plus sans toutefois essayer d'entrer. Brice laissait faire et continuait à sucer la queue de Johnny depuis sa base jusqu'à son gland.
Johnny gémissait de plaisir tout en se tortillant pour pouvoir plus facilement atteindre les fesses de son camarade. Il glissait une mains sur le ventre de Brice et lui ouvrait son pantalon, il le faisait glisser et maintenant lui tripotait les couilles.
Brice aussi bandait ferme.
Johnny se faisait glisser et se retournait vers la queue de Brice, sans pour autant l'empêcher de lui sucer la queue . Ils se retrouvaient en tête à queue, en position de soixante neuf et chacun s'attelait à donner à l'autre le plus de plaisir possible.
Johnny insistait sur le cul de Brice, il lubrifiait doucement puis continuait ses mouvement de rotation avec un peu plus de force. Un phalange entrait sans résister. Brice poussait un petit cri. Oh pas bien fort, à peine un hoquet. À peine audible, il est vrai que Brice avait la bouche pleine mais il se serait fait entendre un peu plus si ça lui avait vraiment fait mal. Il continuait à sucer la queue le Johnny.
Les deux jeunes hommes continuaient, les caresses devenaient plus pressantes, plus fortes, il se serraient fermement dans les bras. Johnny insistait sur le cul de son camarade, de nouveau il glissait un doigt, un peu plus profond cette fois-ci. Brice se contractait puis se détendait de nouveau et continuait à sucer la bite de Johnny.
Johnny se retirait et se relevait, Brice ne bougeait pas il relevait la tête et suivait le mouvement. Johnny se penchait sur le dos de Brice qui était resté à quatre-pattes sur le lit. Il le couvrait de caresses et de baisers.
Johnny : Ne bouge pas ! Laisse moi faire !
Avec de plus en plus de douceur, il glissait un doigt dans le cul de Brice qui laissait faire. Johnny agissait avec douceur, lubrifiait longuement le cul de Brice et glissait deux doigt, lentement mais bien à fond.
C'est comme un frisson qui parcourait le dos de Brice, il se contractait mais poussait un léger gémissement de plaisir en relevant la tête.
Le sentant parfaitement bien détendu Johnny décidait de passer aux choses plus sérieuses. Il prenait position, plaçait sa queue bien en face du cul de son camarade, se la lubrifiait abondamment puis avec à la fois douceur et force la poussait contre l'anus de Brice.
Ça résistait mais il poussait un peu plus fort. Brice râlait mais laissait faire.
– Vas y doucement ! Gémissait Brice.
Brice se détendait lentement et très lentement Johnny poussait de plus en plus fort. Il a senti le muscle de détendre d'un coup, Brice à hurlé. Son anus se dilatait et laissait passer la queue de Johnny, d'abord timidement puis avec plus de violence.
Brice hurlait, Johnny le retenait. Brice respirait fort, Johnny s'enfonçait de plus en plus profond jusqu'au moment ou son ventre s'écrasait sur les fesses de son … sa … victime …
Brice s'appuyait sur ses coudes, il gémissait '' Doucement, vas-y doucement, la tu me fais mal !''.
Johnny n'en tenait pas plus compte qu'il ne le fallait et se contentait de ne plus bouger, il retenait Brice avec force contre lui, mais ne bougeait plus. Brice tremblait, gémissait, ce n'était pas que du plaisir. Du plaisir, il devait y en avoir sinon il se serait dégagé mais il n'y avait pas que du plaisir. Ça c'est sûr !
Johnny se retirait lentement, Brice gémissait encore plus fort. Johnny se retirait presque totalement, Brice poussait des cris étouffés, comme s'il suffoquait et se laissait retombe, il tremblait. Johnny s'enfonçait de nouveau, Brice criait de nouveau plus fort peut être même.
Brice se cramponnait au draps, et tremblait, son visage était rouge et il y affichait une grimace monstrueuse. Sans pitié maintenant Johnny se retirait et revenait. Ce mouvement était plus rapide, plus violent. Brice avait le réflexe de tenter de se retirer mais Johnny le retenait en le tirant par les hanches avec force. Son ventre claquait contre les fesses de Brice qui criait nettement plus fort maintenant.
Johnny ne voulait pas lâcher et pilonnait le cul de Brice avec de plus en plus de force. Il ne retenait plus ses coups. Brice tentait de se dégager. Johnny s'allongeait de tout son poids et immobilisait de force Brice qui râlait et implorait.
Johnny continuait avec détermination. Il ne lâchait qu'au moment ou il jutais, qu'au moment ou il jouissait dans le cul de Brice qui suppliait. Johnny était ivre, il avait joui, il s'effondrait à côté de Brice et s'endormait.
Brice pleurait mais il jouissait lui aussi, il dégustait le pauvre, il ne l'aurait certainement jamais avoué, mais il avait aimé, il avait vraiment joui et il savait qu'il ne tarderait pas à en redemander. Il se laissait tomber sur le lit, s'approchait de Johnny, tout contre Johnny, glissait un bras sur lui et s'endormait à son tour.
Le lendemain matin les deux amants dormaient profondément quand ils étaient réveillés par un klaxon, un coup de klaxon particulièrement fort, de ceux que seul un très gros véhicule peut produire. Johnny et Brice se réveillaient mais restaient un peu sonné. Le son semblait venir de l'intérieur de l'atelier tant il était fort. Il était suivi par deux autres coups de klaxon.
Johnny se levait d'un geste rapide et sautait dans sa salopette. Il avait deviné. Quand Brice suivait un peu plus tard, le chauffeur et Johnny descendait du camion un colis, il n'était pas très gros mais paressait très lourd …
Johnny : Ce sont les pièces pour ta voiture, j'espère que ce sont les bonnes cette fois !
Brice devinait que son voyage allait reprendre, que cette pause prendrait fin. C'était juste au moment ou il commençait à ne plus avoir envie de repartir, juste au moment ou il avait envie de se poser, de ne plus bouger et de dormir toutes les nuits, comme la nuit dernière, avec Johnny dans ses bras.
Il regardait Johnny avec désir, il le trouvait sexy torse nue sous sa salopette, il lui plaisait de plus en plus, il savait qu'il ne portait pas de sous vêtements et n'avait qu'une seule envie …
Le prendre dans ses bras et lui faire un câlin !
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