La couturière
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La couturière
Madame D. à l'orée de ses trente ans était au sommet de sa forme physique. Originaire d'une famille immigrés d'Espagne et ayant grandit en Afrique du Nord, madame D arrivée en France en 1962 avait été immédiatement placée par ses parents (un peu perdus dans cette société dont ils ne constituaient plus l'élite) dans un pensionnat tenu par des religieuses.
Elle avait donc été éduquée en uniforme (relativement sobre) jusqu'au baccalauréat, et avait découvert la vraie vie avec la faculté de médecine et ses débordements estudiantins.
De ces débordements elle avait gardé une forte impression d'un étudiant en droit qui présentait la particularité de pratiquer la boxe anglaise à un haut niveau, et un physique qu'il qualifiait "à la Gainsbourg".
Sans doute par opposition à ses parents qui considéraient "qu'il n'avait pas une bonne situation et qu'il venait d'un milieu très modeste (il était fils d'un docker communiste et avait grandi en bidon ville),elle l'avait épousé dés qu'elle avait eu ses vingt-un ans (la majorité à l'époque).
De ses années de faculté de médecine madame D avait gardé l'habitude de se vêtir de façon un peu provoquante: mini-jupe et décolletés audacieux, mais dès son arrivée à son cabinet de médecin (elle était gynécologue) elle recouvrait ses "vêtements civils" d'une blouse blanche.
Monsieur D qui réussissait une très belle carrière de juriste terminait, parallèlement, une carrière assez terne de boxeur dans la catégorie des super-légers.
Madame D éprouvait toujours le besoin de faire raccourcir ses robes et ses jupes, et de faire reprendre la coupe de ses chemisiers de façon à ce que ses seins (elle ne portait jamais de soutien gorge) qui n'étaient pas bien gros puissent paraitre comme agressifs avec leurs pointes se signalant sous le tissu. Pour se faire elle avait recours régulièrement à une couturière qui travaillait à son domicile dans la même rue.
Cette dernière trouvait très agréable de travailler pour madame D, d'une part parce qu'elle achetait du prêt à porter de qualité (Chanel, Dior, Cacharel, Saint Laurent...) dont les tissus étaient agréables à travailler, et parce que d'autre part madame D était sa gynécologue et qu'elle se trouvait valorisée d'avoir un contact très direct avec son médecin.
Par ailleurs le mari de la couturière (qui était ouvrier maçon) éprouvait de l'admiration pour le mari de madame D, parce qu'il était boxeur et qu'il avait parfois son nom sur des affiches, parce qu'il avait grandi dans un quartier très très populaire et qu'il était devenu un "monsieur", et que malgré cette ascension sociale il était resté copain avec Tani (un truand du coin) avec qui il avait grandit, et avait parfois ses combats subventionnés par "monsieur Paul" (un parrain local), ce qui n'était pas un secret dans la ville.
Madame D se retrouvait donc régulièrement chez sa couturière, et pour les essayages se retrouvait relativement déshabillée à intervalles réguliers; uniquement avec ses bas et son chemisier au-dessus d-un minuscule string lorsqu'il s'agissait d'une jupe, et totalement dévêtue (uniquement avec le string et les bas) lorsqu'il s'agissait d'une robe.
Madame D avait pris l'habitude de voir le mari de la couturière aller et venir dans l'appartement lorsque, les jours d'intempéries, il ne travaillait pas.
Régulièrement il leur préparait et leur proposait du café. Il profitait de ces moments pour faire des remarques à sa femme ; "Tu as vu comme c'est joli de porter des bas ? Dites lui madame D que c'est plus élégant que des collants et que ce n'est pas parce que l'on est des ouvriers qu'on doit s'interdire l'élégance".
Et il faut admettre que les remarques portaient leurs fruits, car un jour la phrase se transforma.
Alors que madame D était seins nus, uniquement en string avec ses bas notre ouvrier maçon passa à: "montre tes bas à madame D, qu'elle puisse te dire que tes culottes ne vont pas avec!"La brave couturière ôta sa jupe et madame D put constater qu'effectivement elle portait des bas auto fixant, mais aussi une culotte en coton.
"Tu vois ces strings, vu le peu de tissu que cela comporte, cela ne doit pas coûter bien cher!"Compatissante, madame D promit d'offrir quelques strings à sa couturière.
C'était devenu pratiquement un jeu pour madame D, dès qu'il pleuvait, et qu'elle savait l'ouvrier maçon à domicile, en profitait pour venir faire des essayages, elle trouvait amusant, voire excitant, d'être pratiquement nue devant cet individu qui la couvrait de compliments et qui essayait de faire évoluer sa propre femme dans le domaine de la sexualité et de l'érotisme, et de plus elle avait là un terrain d'application des théories de sexologie en vogue à l'époque.
Dés la séance suivante, alors que madame D était en string face à un miroir, l'ouvrier maçon arriva avec son plateau et ses tasses de café; "Montre à madame D comment tu portes les strings!"La couturière retira sa jupe et il les fit mettre côte à côte face au miroir les tenant toutes les deux par la taille.
"Regardez, vous conviendrez madame D , que le foin qui dépasse de la charrette c'est pas top!"Ce faisant il montrait les poils touffus de sa femme qui dépassaient généreusement du string. Et il rajouta "regarde comme c'est joli comme ça!" et ce faisant il passa deux doigts sur les grandes lèvres et le clitoris de madame D (par dessus le tissu du string bien sûr).
Les deux femmes étaient côte à côte face au miroir et madame D crut déceler une larme au coin des yeux de sa couturière. Immédiatement elle dit: "Ecoutez demain j'ai rendez vous à l'institut de beauté, j'y emmène votre femme et à notre retour nous vous ferons une surprise!"
Effectivement le lendemain madame D passa chercher sa couturière, et elles se rendirent à l'institut de beauté où la brave couturière eu droit à une épilation complète. Ce rapprochement fit que la couturière fit des confidences à madame D: "vous qui êtes sexologue, vous devriez faire des remarques à mon mari, il en a jamais assez, il peut me baiser cinq, six fois de suite, je n'en peut plus moi..."Incrédule madame D demanda "vous voulez dire cinq, six fois dans la même nuit?""Dans une nuit ou une demi journée quand c'est le week-end, et chaque fois il me fait crier, jouir si vous préférez, je suis épuisée moi, dites lui de se calmer, s'il vous plait"
De retour au domicile de la couturière, madame D la fit s'installer dans la banquette habituellement réservée aux clientes, uniquement vêtue d'une robe de chambre.
A l'arrivée de l'ouvrier maçon, madame D l'accueillit dans l'entrée de l'appartement, elle réalisa que cela faisait bien longtemps qu'il ne l'avait plus vu complètement habillée, il en fut d'ailleurs un peu déstabilisé.
"Venez voir votre femme, elle vous a fait une surprise", ils pénétrèrent dans le salon, la couturière ouvrit largement sa robe de chambre sur un sexe totalement épilé. "Voyez votre femme a fait un effort pour vous faire plaisir, mais quand on n'a pas l'habitude c'est douloureux, aussi, au début vous n'allez pouvoir la toucher qu'avec votre langue"L'homme avança de deux pas en murmurant "merci docteur" (c'était la première fois qu'il l'appelait ainsi) puis il se jeta à genoux et entreprit un cunnilingus magistral, en quelques minutes la couturière se mit à gémir puis carrément à crier son plaisir, elle jouissait intensément.
Madame D posa sa main sur l'épaule de l'homme en lui disant "vous devez arrêter un moment, la laisser se reposer un peu"L'ouvrier maçon se redressa, regarda madame D avec un air de reproche dans les yeux en lui disant avec son langage imagé d'ouvrier: "alors moi docteur, je me la tape sur le bord du lavabo?"Amusée par la verdeur du langage madame D lui dit: "mais elle peut vous faire la même chose avec sa bouche!""Un pompier? Elle n'a jamais voulu!" et la couturière d'intervenir:"non c'est sale!"Madame D dur argumenter que toutes les parties du corps, une fois lavées, étaient propres. "Non c'est une chose qu'il me met dans la chatte et dans le cul, jamais dans la bouche!"Avec cette information madame D comprit que le couple pratiquait également la sodomie; à court d'arguments elle se résolut à dire : "Ecoutez, si moi qui suis médecin, je mets son sexe dans la bouche vous le ferez?"Incrédule la couturière consentit: "si vous, vous le faites, je le ferai!"L'ouvrier maçon n'en croyait pas ses oreilles, "Venez monsieur dans la salle de bain, je vais vous laver le sexe et ensuite nous montrerons à votre femme que c'est parfaitement faisable!"
L'homme, comme dans un rêve suivit la gynéco, au dessus du lavabo il exhiba un sexe en érection qui fut lavé avec application.
De retour devant le canapé madame D se mit à genoux devant l'homme, de profil par rapport au canapé pour que leur spectatrice puisse bien voir, entreprit une fellation.
Elle expliqua que la femme pouvait être active et l'homme passif, ou qu'au contraire la tête de la femme pouvait être immobile et le sexe de l'homme coulisser entre les lèvres, précisa les interventions de la langue, les possibilités de gorges profondes et les subtilités que différentes positions pouvaient offrir.
Se retirant madame D dit à sa couturière "à vous maintenant!", la couturière se mit à genoux et s'appliqua à mettre en oeuvre les informations qu'elle venait de recevoir...
A un moment l'homme immobilisa son bassin, tenant la tête de sa femme à deux mains et se mit à pousser un énorme soupir, il éjaculait.
Comprenant le désarroi de la couturière madame D lui indiqua: "vous pouvez avaler, que ça entre par le haut ou par le bas dans votre corps, c'est la même chose!"Quelques minutes plus tard le couple raccompagnait madame D à leur porte, la couturière se confondant en "merci docteur, merci" et l'ouvrier maçon faillit une phrase malheureuse qui commençait par "merci beaucoup docteur, combien...", phrase interrompue par madame D d'un geste leur intima de se taire.
(à suivre)
Elle avait donc été éduquée en uniforme (relativement sobre) jusqu'au baccalauréat, et avait découvert la vraie vie avec la faculté de médecine et ses débordements estudiantins.
De ces débordements elle avait gardé une forte impression d'un étudiant en droit qui présentait la particularité de pratiquer la boxe anglaise à un haut niveau, et un physique qu'il qualifiait "à la Gainsbourg".
Sans doute par opposition à ses parents qui considéraient "qu'il n'avait pas une bonne situation et qu'il venait d'un milieu très modeste (il était fils d'un docker communiste et avait grandi en bidon ville),elle l'avait épousé dés qu'elle avait eu ses vingt-un ans (la majorité à l'époque).
De ses années de faculté de médecine madame D avait gardé l'habitude de se vêtir de façon un peu provoquante: mini-jupe et décolletés audacieux, mais dès son arrivée à son cabinet de médecin (elle était gynécologue) elle recouvrait ses "vêtements civils" d'une blouse blanche.
Monsieur D qui réussissait une très belle carrière de juriste terminait, parallèlement, une carrière assez terne de boxeur dans la catégorie des super-légers.
Madame D éprouvait toujours le besoin de faire raccourcir ses robes et ses jupes, et de faire reprendre la coupe de ses chemisiers de façon à ce que ses seins (elle ne portait jamais de soutien gorge) qui n'étaient pas bien gros puissent paraitre comme agressifs avec leurs pointes se signalant sous le tissu. Pour se faire elle avait recours régulièrement à une couturière qui travaillait à son domicile dans la même rue.
Cette dernière trouvait très agréable de travailler pour madame D, d'une part parce qu'elle achetait du prêt à porter de qualité (Chanel, Dior, Cacharel, Saint Laurent...) dont les tissus étaient agréables à travailler, et parce que d'autre part madame D était sa gynécologue et qu'elle se trouvait valorisée d'avoir un contact très direct avec son médecin.
Par ailleurs le mari de la couturière (qui était ouvrier maçon) éprouvait de l'admiration pour le mari de madame D, parce qu'il était boxeur et qu'il avait parfois son nom sur des affiches, parce qu'il avait grandi dans un quartier très très populaire et qu'il était devenu un "monsieur", et que malgré cette ascension sociale il était resté copain avec Tani (un truand du coin) avec qui il avait grandit, et avait parfois ses combats subventionnés par "monsieur Paul" (un parrain local), ce qui n'était pas un secret dans la ville.
Madame D se retrouvait donc régulièrement chez sa couturière, et pour les essayages se retrouvait relativement déshabillée à intervalles réguliers; uniquement avec ses bas et son chemisier au-dessus d-un minuscule string lorsqu'il s'agissait d'une jupe, et totalement dévêtue (uniquement avec le string et les bas) lorsqu'il s'agissait d'une robe.
Madame D avait pris l'habitude de voir le mari de la couturière aller et venir dans l'appartement lorsque, les jours d'intempéries, il ne travaillait pas.
Régulièrement il leur préparait et leur proposait du café. Il profitait de ces moments pour faire des remarques à sa femme ; "Tu as vu comme c'est joli de porter des bas ? Dites lui madame D que c'est plus élégant que des collants et que ce n'est pas parce que l'on est des ouvriers qu'on doit s'interdire l'élégance".
Et il faut admettre que les remarques portaient leurs fruits, car un jour la phrase se transforma.
Alors que madame D était seins nus, uniquement en string avec ses bas notre ouvrier maçon passa à: "montre tes bas à madame D, qu'elle puisse te dire que tes culottes ne vont pas avec!"La brave couturière ôta sa jupe et madame D put constater qu'effectivement elle portait des bas auto fixant, mais aussi une culotte en coton.
"Tu vois ces strings, vu le peu de tissu que cela comporte, cela ne doit pas coûter bien cher!"Compatissante, madame D promit d'offrir quelques strings à sa couturière.
C'était devenu pratiquement un jeu pour madame D, dès qu'il pleuvait, et qu'elle savait l'ouvrier maçon à domicile, en profitait pour venir faire des essayages, elle trouvait amusant, voire excitant, d'être pratiquement nue devant cet individu qui la couvrait de compliments et qui essayait de faire évoluer sa propre femme dans le domaine de la sexualité et de l'érotisme, et de plus elle avait là un terrain d'application des théories de sexologie en vogue à l'époque.
Dés la séance suivante, alors que madame D était en string face à un miroir, l'ouvrier maçon arriva avec son plateau et ses tasses de café; "Montre à madame D comment tu portes les strings!"La couturière retira sa jupe et il les fit mettre côte à côte face au miroir les tenant toutes les deux par la taille.
"Regardez, vous conviendrez madame D , que le foin qui dépasse de la charrette c'est pas top!"Ce faisant il montrait les poils touffus de sa femme qui dépassaient généreusement du string. Et il rajouta "regarde comme c'est joli comme ça!" et ce faisant il passa deux doigts sur les grandes lèvres et le clitoris de madame D (par dessus le tissu du string bien sûr).
Les deux femmes étaient côte à côte face au miroir et madame D crut déceler une larme au coin des yeux de sa couturière. Immédiatement elle dit: "Ecoutez demain j'ai rendez vous à l'institut de beauté, j'y emmène votre femme et à notre retour nous vous ferons une surprise!"
Effectivement le lendemain madame D passa chercher sa couturière, et elles se rendirent à l'institut de beauté où la brave couturière eu droit à une épilation complète. Ce rapprochement fit que la couturière fit des confidences à madame D: "vous qui êtes sexologue, vous devriez faire des remarques à mon mari, il en a jamais assez, il peut me baiser cinq, six fois de suite, je n'en peut plus moi..."Incrédule madame D demanda "vous voulez dire cinq, six fois dans la même nuit?""Dans une nuit ou une demi journée quand c'est le week-end, et chaque fois il me fait crier, jouir si vous préférez, je suis épuisée moi, dites lui de se calmer, s'il vous plait"
De retour au domicile de la couturière, madame D la fit s'installer dans la banquette habituellement réservée aux clientes, uniquement vêtue d'une robe de chambre.
A l'arrivée de l'ouvrier maçon, madame D l'accueillit dans l'entrée de l'appartement, elle réalisa que cela faisait bien longtemps qu'il ne l'avait plus vu complètement habillée, il en fut d'ailleurs un peu déstabilisé.
"Venez voir votre femme, elle vous a fait une surprise", ils pénétrèrent dans le salon, la couturière ouvrit largement sa robe de chambre sur un sexe totalement épilé. "Voyez votre femme a fait un effort pour vous faire plaisir, mais quand on n'a pas l'habitude c'est douloureux, aussi, au début vous n'allez pouvoir la toucher qu'avec votre langue"L'homme avança de deux pas en murmurant "merci docteur" (c'était la première fois qu'il l'appelait ainsi) puis il se jeta à genoux et entreprit un cunnilingus magistral, en quelques minutes la couturière se mit à gémir puis carrément à crier son plaisir, elle jouissait intensément.
Madame D posa sa main sur l'épaule de l'homme en lui disant "vous devez arrêter un moment, la laisser se reposer un peu"L'ouvrier maçon se redressa, regarda madame D avec un air de reproche dans les yeux en lui disant avec son langage imagé d'ouvrier: "alors moi docteur, je me la tape sur le bord du lavabo?"Amusée par la verdeur du langage madame D lui dit: "mais elle peut vous faire la même chose avec sa bouche!""Un pompier? Elle n'a jamais voulu!" et la couturière d'intervenir:"non c'est sale!"Madame D dur argumenter que toutes les parties du corps, une fois lavées, étaient propres. "Non c'est une chose qu'il me met dans la chatte et dans le cul, jamais dans la bouche!"Avec cette information madame D comprit que le couple pratiquait également la sodomie; à court d'arguments elle se résolut à dire : "Ecoutez, si moi qui suis médecin, je mets son sexe dans la bouche vous le ferez?"Incrédule la couturière consentit: "si vous, vous le faites, je le ferai!"L'ouvrier maçon n'en croyait pas ses oreilles, "Venez monsieur dans la salle de bain, je vais vous laver le sexe et ensuite nous montrerons à votre femme que c'est parfaitement faisable!"
L'homme, comme dans un rêve suivit la gynéco, au dessus du lavabo il exhiba un sexe en érection qui fut lavé avec application.
De retour devant le canapé madame D se mit à genoux devant l'homme, de profil par rapport au canapé pour que leur spectatrice puisse bien voir, entreprit une fellation.
Elle expliqua que la femme pouvait être active et l'homme passif, ou qu'au contraire la tête de la femme pouvait être immobile et le sexe de l'homme coulisser entre les lèvres, précisa les interventions de la langue, les possibilités de gorges profondes et les subtilités que différentes positions pouvaient offrir.
Se retirant madame D dit à sa couturière "à vous maintenant!", la couturière se mit à genoux et s'appliqua à mettre en oeuvre les informations qu'elle venait de recevoir...
A un moment l'homme immobilisa son bassin, tenant la tête de sa femme à deux mains et se mit à pousser un énorme soupir, il éjaculait.
Comprenant le désarroi de la couturière madame D lui indiqua: "vous pouvez avaler, que ça entre par le haut ou par le bas dans votre corps, c'est la même chose!"Quelques minutes plus tard le couple raccompagnait madame D à leur porte, la couturière se confondant en "merci docteur, merci" et l'ouvrier maçon faillit une phrase malheureuse qui commençait par "merci beaucoup docteur, combien...", phrase interrompue par madame D d'un geste leur intima de se taire.
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