La dame 02 Promotion canapé
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La dame 02 Promotion canapé
La dame 02
Promotion canapé
Cette cérémonie s'était passée un samedi, personne ne travaillait le lendemain. Teddy avait été déclaré volontaire par le chef du personnel pour aller à l'enterrement et présenter ses hommage au nom de tous le bureau. Il s'en serait bien passé mais, il était le dernier arrivé dans le service et n'avait pas osé refusé. Le fait est que le lendemain il ne le regrettait pas.
Madame voulait le revoir. Il lui avait promis qu'ils se reverraient quand elle le voudrait.
Il passait la journée du dimanche à penser à elle. Et le lundi matin il était prêt, en avance pour aller au boulot. Il arrivait avec sa petite voiture sur le parking de l'entreprise. Il traversait ensuite tout le parking pour arriver au bâtiment ou il travaillait. Il passait sa carte magnétique et entrait. Quand il arrivait à son bureau, c'était une grande surprise qui l'attendait. Il y avait déjà quelqu'un à son poste. Un jeune secrétaire qui venait juste d'être embauché.
Il ne comprenait plus rien le pauvre Teddy. Le superviseur le voyant venait alors vers lui, il avait un sourire forcé qui d'abord faisait peur à Teddy.
– Monsieur Teddy, comment allez vous. C'est un plaisir de vous voir. Mais vous ne devriez pas être ici, on vous attend au bureau du directeur …
– L'étage au dessus ? Demandait Teddy.
– Non deux étages au dessus encore ! Mais je suis ravi de vous avoir revu, et j'espère que vous garderez un bon souvenir de votre passage ici parmi nous.
Il avait dit tout cela sur le ton du lèche cul. Teddy ne comprenait définitivement plus rien. Il prenait l'ascenseur avec une certaine appréhension. Il ne savait pas à quelle sauce il allait être mangé et par distraction passait à l'étage supérieur.
Le chef de service était de mauvaise humeur et gueulait après ses secrétaires.
– Et vous qu'est ce que vous voulez ? Hurlait-il en voyant Teddy. Puis le reconnaissant …
– Oh Excusez moi Monsieur Teddy, je ne vous avait pas reconnu. Je suis à votre entière disposition, que puis-je faire pour vous ?
Le pauvre Teddy était totalement perdu là.
– On m'a dit que je devait passer voir le directeur …
– Mais c'est le directeur régional qui vous attend. Vous devriez monter sans attendre.
– Oui ! Bien ! Je vais …
Il était sonné le pauvre, il ne comprenait plus rien. Il prenait de nouveau l'ascenseur et montait au dernier étage. La secrétaire à l'accueil le recevait avec un large sourire.
– Monsieur Teddy. Vous voilà enfin ! On commençait à s'inquiéter vous savez surtout que vous êtes réputés pour votre ponctualité.
– Je …
– Le directeur vous attend, ne le faites pas attendre d'avantage, entrez, ne frappez pas, c'est pas la peine.
Elle décrochait alors le téléphone pour avertir son patron. Teddy entrait, il était tout intimidé le petit Teddy, le directeur lui tombait sur le dos en lui tendant la main, il lui faisait un très large sourire et lui exprimait sa joie, son plaisir de le recevoir.
On était lundi ils s'étaient vu le samedi précédent et ce même directeur ne le connaissait pas encore à l'époque … Aujourd'hui c'était le collaborateur qu'on recherchait, la perle rare, le directeur se félicitait d'avoir su choisir quelqu'un d'aussi sérieux et compétent et en même temps félicitait son nouveau collaborateur pour cette promotion méritée et obtenue après toutes ces années de travail au service de l'entreprise …
Il n'avait été recruté que six moi plus tôt …
Teddy se retrouvait à un bureau, il avait deux collaborateurs à son service, et surtout était totalement dépassé par les événements. Il avait les compétence pour ce poste, ses diplômes l'attestaient, mais ça ne changeait rien au fait qu'il était un peu dépassé par une telle promotion.
Son patron le directeur, entrait dans son bureau.
– Notre patronne doit absolument signer plusieurs documents, vous pourriez passer chez elle ? Je vous laisse le dossier. Elle sera chez elle tout l'après midi.
– Bien je vais passer tout à l'heure.
Teddy étudiait les différents dossiers, histoire de prendre ses marques dans ce nouveau bureau. Il n'y était que depuis quelques heures et ne réalisait pas encore tout ce qui se passait ni le poste qu'il occupait maintenant. C'est au début de l'après midi qu'il décidait de se rendre chez sa patronne.
C'est en sortant du bureau qu'il remarquait son nom sur un panneau, dans le parking. Il avait une place de parking juste à côté de l'entrée du bureau, juste à coté de celle des différents présidents et cadres de l'entreprise.
Quand il arrivait chez sa patronne on ouvrait le portail devant lui et le gardien le saluait. Il n'avait pourtant pas l'air sérieux avec sa toute petite voiture qui faisait à peine la moitié des autres. Il avançait jusqu'à l'entrée de la maison et se garait juste à côté de la Rolls de Madame.
C'est elle qui arrivait sur le seuil de la porte. Elle portait une superbe robe rose. Une robe très transparente comme d'habitude, encore plus que d'habitude peut être. Elle descendait vers lui en se déhanchant langoureusement, elle n'avait plus de voile, le deuil, c'était du passé.
Il la rejoignait et c'est en lui tenant le bras que Madame remontait, sa tenue était superbe ou alors c'est elle qui était superbe dans cette tenue presque transparente. En fait cette robe ne montrait rien sinon la silhouette, pour le reste elle couvrait très bien la peau de Madame mais faisait semblant de ne rien cacher et de loin Madame semblait nue.
Teddy commençait déjà à manquer d'air, déjà son rythme cardiaque montait en flèche et on peut supposer que sa tension artérielle faisait de même. Il avalait sa salive à chaque fois qu'il regardait Madame. Elle prenait le dossier, s'installait à un bureau …
– Si on réglait ça tout de suite ! Disait-elle en paraphant et en signant tous les documents.
Puis elle se dirigeait vers la piscine, il la regardait, quand elle y arrivait elle était nue, réellement nue cette fois-ci. Elle s'était effeuillée. Elle se retournait et regardait Teddy.
– Il fait encore très beau, alors tu me rejoins ?
– Mais c'est que ... J'ai …
– C'est moi la patronne, je te signerai un billet d'excuse.
Teddy ne la faisait pas répéter et il ne lui fallait que quelques secondes pour se retrouver à poil, il bandait ferme, il faut dire que sa patronne était sexy. Terriblement sexy, elle plongeait dans la piscine, il l'y retrouvait.
Du fond de la piscine il la regardait nager en surface, ce corps mince, élégant comme une sirène, il remontait alors vers elle. Elle ne le repoussait pas quand elle sentait son corps lisse et doux la toucher, la frôler. Il prenait bien son temps et c'étaient les baisers que Madame sentait en premier.
Des baisers sur l'intérieur de ses cuisses, puis les caresses et les baisers, il les déposait alors sur son sexe, puis c'étaient les caresses qui suivaient. C'est alors avec le bout de son nez, il aimait bien la chatouiller ainsi, et ses lèvres qui suivaient qu'il la caressait sur tout le corps.
Son visage glissait entre ses seins et quand sa tête sortait de l'eau elle refermait ses bras sur lui et enlacés il s'embrassaient avec passion. Il sentait sa poitrine ferme qui déjà lui demandait plus, encore plus.
– Oui vas y prend moi, maintenant prend moi !
Sa queue était déjà en position, il la pénétrait dans un même mouvement et ils se retrouvaient intimement enlacés. Il la retenait d'une main et avec l'autre l'entraînait en nageant. Elle suivait le mouvement se retenant avec un bras et nageant avec l'autre. Elle suivait, elle était allongé sur lui, son visage disparaissait sous la surface de l'eau, et ne se relevait que pour respirer.
Puis ils se retournaient et c'est lui qui se retrouvait sur elle, il prenait le plus grand soin de sa compagne, qu'elle puisse respirer, soupirer et gémir si elle le voulait. Il l'entraînait vers le coin de la piscine elle pourrait se retenir au bord avec ses deux mains.
Et chaque corps caressait l'autre corps. Chaque bouche embrassait la bouche de l'autre. Les visages se touchaient, ils fermaient les yeux pour mieux ressentir la douceur de la peau de l'autre.
Le ventre de Teddy, le bas du ventre de Teddy s'écrasait sur le ventre de Sacha. Elle penchait la tête en arrière, il l'embrassait dans le cou. Il prenait soin de ne pas laisser de trace, vous savez ces baisers qui laissent des traces pendant plusieurs jours, ce n'était plus de leur âge. En tout cas ce n'était, ce ne serait pas de bon goût sur le corps de Madame.
Il lui mordillait la peau, et elle gémissait, son sexe s'enfonçait dans le corps de Madame, il ressortait puis revenait. Elle gardait les bras écartés et le laissait faire, elle s'était offerte. Elle était totalement offerte à son plaisir, car elle en prenait du plaisir, il n'en doutait pas. Déjà elle vibrait, déjà elle gémissait , elle ne tentait pas de dissimuler le plaisir qu'elle ressentait. Elle préférait de loin se lâcher et crier si nécessaire, ne serai-ce que pour encourager son partenaire.
C'est avec son torse musclé qu'il caressait ses seins, c'est avec ses mains qu'il lui caressait les fesses, il la tirait vers lui à chaque coups de bassin qu'il donnait. Elle finissait par s'agripper à lui en repliant ses jambes dans son dos.
Il la soulevait alors hors de l'eau, puis avec force l'entraînait, toujours accrochée à lui, toujours bien en place sa queue manifestait les prémisses du plaisir à venir. Ils sortaient ainsi de la piscine. Il faisait très attention à chacun de ses gestes et c'est avec une extrême douceur qu'il la déposait sur un large et confortable coussin.
Sa queue toujours bien en place ressortait et revenait de plus en plus vite, elle gémissait fort, il respirait fort. Elle tremblait de nouveau, mais pourtant il faisait chaud. Il se concentrait, sur son visage une grimace se dessinait.
– OUI MAINTENANT !
Elle a hurlé, il a crié au moment du plaisir partagé. Les gestes sont devenus confus, on se serrait l'un contre l'autre, chacun regardait l'autre comme ébahi. C'est comblés de plaisir que les deux corps brusquement se sont relâchés. Ils ne bougeaient plus puis Teddy se laissait tomber sur le côté, le tapis n'était pas assez large mais il s'en moquait.
Les deux corps se touchaient toujours, il passait une main sur le ventre de sa maîtresse, il lui donnait encore une caresse depuis sa poitrine jusqu'à son sexe. Jusque là les caresses, il les avait donnée avec son corps plus qu'avec ses mains.
Elle lui rendait sa caresse et se retournait vers lui. Elle se penchait vers lui et l'embrassait. Avec des gestes lents et calculé elle s'allongeait sur le corps doux et musclé de son nouveau directeur de projets, et écrasait sa poitrine sur son torse.
Il n'avait pas vraiment débandé et déjà sa queue se remettait au garde à vous. Elle glissait son corps sur le corps de son amant et glissait sa queue en elle. C'est avec de grands yeux qu'il la regardait. Là c'est lui qui écartait les bras et se laissait faire. C'est elle qui faisait le travail. Elle glissait sur lui, sa queue glissait en elle. Et pendant de longues, de très longues minutes elle continuait à se donner du plaisir. Elle se servait.
Sa poitrine se balançait avec légèreté sous les yeux ravis de Teddy. Pendant de longues minutes il ne faisait rien, il se contentait de regarder.
Le visage de Madame devenait plus grave, puis c'est une grimace qui se dessinait, elle jouissait, il sentait ses muscles se contracter. Il sentait ses cuisses se resserrer contre les sienne et les contraction dans son ventre contre sa queue.
Elle jouissait avec force, enfin c'était ses cris de plaisir qui étaient forts, très forts. Elle se laissait alors tomber sur son partenaire. Il refermait les bras sur elle et lui faisait un gros câlin, juste un gros câlin.
Cette fois ci il n'avait pas éjaculé et il bandait toujours.
Elle se relevait avec vigueur, d'un geste elle appelait. Un employé de maison très distingué arrivait avec sur un plateau deux grands verres de boisson fraîche.
– Je te garde à souper ce soir !
– Oui mais je …
– Tu n'est pas libre ?
– Si je suis libre mais c'est le bureau …
– Personne ne me dira rien, personne ne te dira rien … Mais tu n'est pas obligé.
Il était là debout à côté d'une piscine avec contre lui une femme sublime, à peine plus âgée que lui juste au sommet de la beauté, il était nu et il bandait elle était nue rayonnante du plaisir qu'il venait de lui donné, un majordome habillé très chic leur servait une boisson rafraîchissante …
Que pouvait-il répondre ?
A Suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Promotion canapé
Cette cérémonie s'était passée un samedi, personne ne travaillait le lendemain. Teddy avait été déclaré volontaire par le chef du personnel pour aller à l'enterrement et présenter ses hommage au nom de tous le bureau. Il s'en serait bien passé mais, il était le dernier arrivé dans le service et n'avait pas osé refusé. Le fait est que le lendemain il ne le regrettait pas.
Madame voulait le revoir. Il lui avait promis qu'ils se reverraient quand elle le voudrait.
Il passait la journée du dimanche à penser à elle. Et le lundi matin il était prêt, en avance pour aller au boulot. Il arrivait avec sa petite voiture sur le parking de l'entreprise. Il traversait ensuite tout le parking pour arriver au bâtiment ou il travaillait. Il passait sa carte magnétique et entrait. Quand il arrivait à son bureau, c'était une grande surprise qui l'attendait. Il y avait déjà quelqu'un à son poste. Un jeune secrétaire qui venait juste d'être embauché.
Il ne comprenait plus rien le pauvre Teddy. Le superviseur le voyant venait alors vers lui, il avait un sourire forcé qui d'abord faisait peur à Teddy.
– Monsieur Teddy, comment allez vous. C'est un plaisir de vous voir. Mais vous ne devriez pas être ici, on vous attend au bureau du directeur …
– L'étage au dessus ? Demandait Teddy.
– Non deux étages au dessus encore ! Mais je suis ravi de vous avoir revu, et j'espère que vous garderez un bon souvenir de votre passage ici parmi nous.
Il avait dit tout cela sur le ton du lèche cul. Teddy ne comprenait définitivement plus rien. Il prenait l'ascenseur avec une certaine appréhension. Il ne savait pas à quelle sauce il allait être mangé et par distraction passait à l'étage supérieur.
Le chef de service était de mauvaise humeur et gueulait après ses secrétaires.
– Et vous qu'est ce que vous voulez ? Hurlait-il en voyant Teddy. Puis le reconnaissant …
– Oh Excusez moi Monsieur Teddy, je ne vous avait pas reconnu. Je suis à votre entière disposition, que puis-je faire pour vous ?
Le pauvre Teddy était totalement perdu là.
– On m'a dit que je devait passer voir le directeur …
– Mais c'est le directeur régional qui vous attend. Vous devriez monter sans attendre.
– Oui ! Bien ! Je vais …
Il était sonné le pauvre, il ne comprenait plus rien. Il prenait de nouveau l'ascenseur et montait au dernier étage. La secrétaire à l'accueil le recevait avec un large sourire.
– Monsieur Teddy. Vous voilà enfin ! On commençait à s'inquiéter vous savez surtout que vous êtes réputés pour votre ponctualité.
– Je …
– Le directeur vous attend, ne le faites pas attendre d'avantage, entrez, ne frappez pas, c'est pas la peine.
Elle décrochait alors le téléphone pour avertir son patron. Teddy entrait, il était tout intimidé le petit Teddy, le directeur lui tombait sur le dos en lui tendant la main, il lui faisait un très large sourire et lui exprimait sa joie, son plaisir de le recevoir.
On était lundi ils s'étaient vu le samedi précédent et ce même directeur ne le connaissait pas encore à l'époque … Aujourd'hui c'était le collaborateur qu'on recherchait, la perle rare, le directeur se félicitait d'avoir su choisir quelqu'un d'aussi sérieux et compétent et en même temps félicitait son nouveau collaborateur pour cette promotion méritée et obtenue après toutes ces années de travail au service de l'entreprise …
Il n'avait été recruté que six moi plus tôt …
Teddy se retrouvait à un bureau, il avait deux collaborateurs à son service, et surtout était totalement dépassé par les événements. Il avait les compétence pour ce poste, ses diplômes l'attestaient, mais ça ne changeait rien au fait qu'il était un peu dépassé par une telle promotion.
Son patron le directeur, entrait dans son bureau.
– Notre patronne doit absolument signer plusieurs documents, vous pourriez passer chez elle ? Je vous laisse le dossier. Elle sera chez elle tout l'après midi.
– Bien je vais passer tout à l'heure.
Teddy étudiait les différents dossiers, histoire de prendre ses marques dans ce nouveau bureau. Il n'y était que depuis quelques heures et ne réalisait pas encore tout ce qui se passait ni le poste qu'il occupait maintenant. C'est au début de l'après midi qu'il décidait de se rendre chez sa patronne.
C'est en sortant du bureau qu'il remarquait son nom sur un panneau, dans le parking. Il avait une place de parking juste à côté de l'entrée du bureau, juste à coté de celle des différents présidents et cadres de l'entreprise.
Quand il arrivait chez sa patronne on ouvrait le portail devant lui et le gardien le saluait. Il n'avait pourtant pas l'air sérieux avec sa toute petite voiture qui faisait à peine la moitié des autres. Il avançait jusqu'à l'entrée de la maison et se garait juste à côté de la Rolls de Madame.
C'est elle qui arrivait sur le seuil de la porte. Elle portait une superbe robe rose. Une robe très transparente comme d'habitude, encore plus que d'habitude peut être. Elle descendait vers lui en se déhanchant langoureusement, elle n'avait plus de voile, le deuil, c'était du passé.
Il la rejoignait et c'est en lui tenant le bras que Madame remontait, sa tenue était superbe ou alors c'est elle qui était superbe dans cette tenue presque transparente. En fait cette robe ne montrait rien sinon la silhouette, pour le reste elle couvrait très bien la peau de Madame mais faisait semblant de ne rien cacher et de loin Madame semblait nue.
Teddy commençait déjà à manquer d'air, déjà son rythme cardiaque montait en flèche et on peut supposer que sa tension artérielle faisait de même. Il avalait sa salive à chaque fois qu'il regardait Madame. Elle prenait le dossier, s'installait à un bureau …
– Si on réglait ça tout de suite ! Disait-elle en paraphant et en signant tous les documents.
Puis elle se dirigeait vers la piscine, il la regardait, quand elle y arrivait elle était nue, réellement nue cette fois-ci. Elle s'était effeuillée. Elle se retournait et regardait Teddy.
– Il fait encore très beau, alors tu me rejoins ?
– Mais c'est que ... J'ai …
– C'est moi la patronne, je te signerai un billet d'excuse.
Teddy ne la faisait pas répéter et il ne lui fallait que quelques secondes pour se retrouver à poil, il bandait ferme, il faut dire que sa patronne était sexy. Terriblement sexy, elle plongeait dans la piscine, il l'y retrouvait.
Du fond de la piscine il la regardait nager en surface, ce corps mince, élégant comme une sirène, il remontait alors vers elle. Elle ne le repoussait pas quand elle sentait son corps lisse et doux la toucher, la frôler. Il prenait bien son temps et c'étaient les baisers que Madame sentait en premier.
Des baisers sur l'intérieur de ses cuisses, puis les caresses et les baisers, il les déposait alors sur son sexe, puis c'étaient les caresses qui suivaient. C'est alors avec le bout de son nez, il aimait bien la chatouiller ainsi, et ses lèvres qui suivaient qu'il la caressait sur tout le corps.
Son visage glissait entre ses seins et quand sa tête sortait de l'eau elle refermait ses bras sur lui et enlacés il s'embrassaient avec passion. Il sentait sa poitrine ferme qui déjà lui demandait plus, encore plus.
– Oui vas y prend moi, maintenant prend moi !
Sa queue était déjà en position, il la pénétrait dans un même mouvement et ils se retrouvaient intimement enlacés. Il la retenait d'une main et avec l'autre l'entraînait en nageant. Elle suivait le mouvement se retenant avec un bras et nageant avec l'autre. Elle suivait, elle était allongé sur lui, son visage disparaissait sous la surface de l'eau, et ne se relevait que pour respirer.
Puis ils se retournaient et c'est lui qui se retrouvait sur elle, il prenait le plus grand soin de sa compagne, qu'elle puisse respirer, soupirer et gémir si elle le voulait. Il l'entraînait vers le coin de la piscine elle pourrait se retenir au bord avec ses deux mains.
Et chaque corps caressait l'autre corps. Chaque bouche embrassait la bouche de l'autre. Les visages se touchaient, ils fermaient les yeux pour mieux ressentir la douceur de la peau de l'autre.
Le ventre de Teddy, le bas du ventre de Teddy s'écrasait sur le ventre de Sacha. Elle penchait la tête en arrière, il l'embrassait dans le cou. Il prenait soin de ne pas laisser de trace, vous savez ces baisers qui laissent des traces pendant plusieurs jours, ce n'était plus de leur âge. En tout cas ce n'était, ce ne serait pas de bon goût sur le corps de Madame.
Il lui mordillait la peau, et elle gémissait, son sexe s'enfonçait dans le corps de Madame, il ressortait puis revenait. Elle gardait les bras écartés et le laissait faire, elle s'était offerte. Elle était totalement offerte à son plaisir, car elle en prenait du plaisir, il n'en doutait pas. Déjà elle vibrait, déjà elle gémissait , elle ne tentait pas de dissimuler le plaisir qu'elle ressentait. Elle préférait de loin se lâcher et crier si nécessaire, ne serai-ce que pour encourager son partenaire.
C'est avec son torse musclé qu'il caressait ses seins, c'est avec ses mains qu'il lui caressait les fesses, il la tirait vers lui à chaque coups de bassin qu'il donnait. Elle finissait par s'agripper à lui en repliant ses jambes dans son dos.
Il la soulevait alors hors de l'eau, puis avec force l'entraînait, toujours accrochée à lui, toujours bien en place sa queue manifestait les prémisses du plaisir à venir. Ils sortaient ainsi de la piscine. Il faisait très attention à chacun de ses gestes et c'est avec une extrême douceur qu'il la déposait sur un large et confortable coussin.
Sa queue toujours bien en place ressortait et revenait de plus en plus vite, elle gémissait fort, il respirait fort. Elle tremblait de nouveau, mais pourtant il faisait chaud. Il se concentrait, sur son visage une grimace se dessinait.
– OUI MAINTENANT !
Elle a hurlé, il a crié au moment du plaisir partagé. Les gestes sont devenus confus, on se serrait l'un contre l'autre, chacun regardait l'autre comme ébahi. C'est comblés de plaisir que les deux corps brusquement se sont relâchés. Ils ne bougeaient plus puis Teddy se laissait tomber sur le côté, le tapis n'était pas assez large mais il s'en moquait.
Les deux corps se touchaient toujours, il passait une main sur le ventre de sa maîtresse, il lui donnait encore une caresse depuis sa poitrine jusqu'à son sexe. Jusque là les caresses, il les avait donnée avec son corps plus qu'avec ses mains.
Elle lui rendait sa caresse et se retournait vers lui. Elle se penchait vers lui et l'embrassait. Avec des gestes lents et calculé elle s'allongeait sur le corps doux et musclé de son nouveau directeur de projets, et écrasait sa poitrine sur son torse.
Il n'avait pas vraiment débandé et déjà sa queue se remettait au garde à vous. Elle glissait son corps sur le corps de son amant et glissait sa queue en elle. C'est avec de grands yeux qu'il la regardait. Là c'est lui qui écartait les bras et se laissait faire. C'est elle qui faisait le travail. Elle glissait sur lui, sa queue glissait en elle. Et pendant de longues, de très longues minutes elle continuait à se donner du plaisir. Elle se servait.
Sa poitrine se balançait avec légèreté sous les yeux ravis de Teddy. Pendant de longues minutes il ne faisait rien, il se contentait de regarder.
Le visage de Madame devenait plus grave, puis c'est une grimace qui se dessinait, elle jouissait, il sentait ses muscles se contracter. Il sentait ses cuisses se resserrer contre les sienne et les contraction dans son ventre contre sa queue.
Elle jouissait avec force, enfin c'était ses cris de plaisir qui étaient forts, très forts. Elle se laissait alors tomber sur son partenaire. Il refermait les bras sur elle et lui faisait un gros câlin, juste un gros câlin.
Cette fois ci il n'avait pas éjaculé et il bandait toujours.
Elle se relevait avec vigueur, d'un geste elle appelait. Un employé de maison très distingué arrivait avec sur un plateau deux grands verres de boisson fraîche.
– Je te garde à souper ce soir !
– Oui mais je …
– Tu n'est pas libre ?
– Si je suis libre mais c'est le bureau …
– Personne ne me dira rien, personne ne te dira rien … Mais tu n'est pas obligé.
Il était là debout à côté d'une piscine avec contre lui une femme sublime, à peine plus âgée que lui juste au sommet de la beauté, il était nu et il bandait elle était nue rayonnante du plaisir qu'il venait de lui donné, un majordome habillé très chic leur servait une boisson rafraîchissante …
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