La Dame scandinave
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Dame scandinave
Jpj, Batignolles, août 2014
Pour ce séjour à Paris au mois d’août j’avais préféré une chambre d’hôtes plutôt que descendre à l’hôtel. L’adresse sur Google Map, dans le quartier des Batignolles, le coin branché parisien bobo, m’a immédiatement plu.
Au téléphone la logeuse m’avait paru chaleureuse ... cordiale comme on dit maintenant. Voix rauque, sexy, enfin accueillante. En sus elle m'avait dit que j’étais le bienvenu. Tout pour plaire, non ?
Au mois d’août, à Paris, les autos sont reines : stationnement gratuit, peu de circulation et surtout gentillesse des conducteurs ... trop contents que les Parigots soient tous partis sur la côte, en villégiature.
J’ai donc parqué facilement mon auto devant sa porte, belle porte cochère d’immeuble haussmannien. Elle était là, elle m’attendait : j’ai vu, en levant les yeux sur les fenêtres du premier, un rideau bouger. Son casque d’or, aperçu furtivement, a immédiatement capté mon attention et ému mon âme toujours prompte.
Elle m’avait envoyé par mail le code de l’entrée et quand je suis arrivé à sa porte en haut de l’escalier, mon gros sac Lancel à la main, elle était là, déhanchée sur le palier appuyée à la rampe pour m’accueillir.
C’était une femme grande solide sportive, la cinquantaine ou presque, cheveux en coques blonds suédois norvégiens finlandais peut être. Sa voix en vrai était encore plus rauque encore plus sexy que celle qui m’avait séduit quelques jours auparavant au téléphone.
Son sourire de bienvenue a télescopé le mien et nous avons été instantanément en concordance, tous deux ensemble, bien, novae en ciel d'été.
Elle m’a dit, vous avez monté votre bagage pour rien, le studio que je loue est au rez-de-chaussée, il vous faut donc redescendre, je vous accompagne … mais non, entrez donc plutôt chez moi, je vous offre un jus de fruit histoire de faire, déjà, un peu connaissance.
Le studio, on verra ça après, plus tard, peut être.
Moi j’ai tout de suite compris. Je n’ai rien dit, j’ai posé mon sac dans l’entrée de son appart et me suis laissé guider au salon plein soleil, les yeux sur un petit square arboré avec mamans poussettes et gamins hurlants en jeux de poursuite Petit Nicolas par les trois porte-fenêtres, sur balcon en enfilade, largement ouvertes.
Elle voulait tout savoir de ma vie de province et moi je répondais en réciprocité. Était-elle mariée ? Moi non plus. Je n’avais pas d’enfant. En avait-elle ? Nous avons très vite compris que tout était possible entre nous.Puis elle m’a conduit au studio en dessous, qui m’était dévolu, et m’a dit, simplement, je passerai demain à 14h30 pour remettre en ordre et renouveler beurre confitures pour votre petit déjeuner. Moi, je serais volontiers resté avec elle toute la soirée. Malgré la différence d’âge. Ces femmes d’Europe du Nord ont un charme réel avec leur peau bronzée halée leur cheveux si clairs et ces corps musculeux charpentés solides que l’on aime à tenir dans ses bras à serrer à emprisonner, fort.
Mais j’ai dû vaquer aux occupations professionnelles vulgaires qui m’avaient amené à Paris pour ces quelques jours.
Avec des relations stupidement bêtement professionnelles, rien que désespérément professionnelles.
Obligations.
Fulgurance le lendemain, au moment du café, aprés déjeuner, j’ai dit à mon fournisseur, il me faut vous abandonner, j’ai un rendez-vous important à 14h30, que je ne puis manquer.
La tête du gars...
Croyait à une fausse sortie pour obtenir un rabais.
Quatorze heure vingt, en entrant j'ai vu son ombre blonde furtive au rideau
Quatorze heure vingt cinq j'étais sous la douche
Quatorze heure trente elle entrait subrepticement dans le studio, elle avait un double de la clef, je présume...
Je n'avais rien entendu et je suis sorti tout mouillé la bousculant
Étonné surpris, vous ici ... passez-moi donc la serviette, là derrière vous à la patère, merci
Et elle, Norvégienne, de me bichonner le thorax comme on le fait à un cheval après le galop, la serviette en boule et ma queue levée.
Ses seins gonflaient le débardeur blanc et j'y ai posé mes mains mouillées dessinant aussitôt le signe de son intérêt, deux tétons pointus gros comme des framboises sauvages à crever le tissu tendu.
Les seins étaient durs et tenaient bien droit, pointés.
Manifestement elle avait des habitudes avec ses locataires et n'imaginait pas que l'un d'entre eux pût avoir velléité à s'y soustraire à s'en exempter.
Moi, je n'étais pas différent des autres et ce qui était politiquement correct à Jacques l'était d'évidence aussi à moi.
Sa bouche a voulu la mienne sa main a empaumé solidement mon paquet et moi encore assez mouillé je l'ai poussée sur le grand lit bas en bascule la tête en arrière les cuisses hautes et moi couché par dessus sa jupe relevée et moi tout contre elle en dedans.
J'étais tout nu
C'était pas voulu
Mais sous sa jupe couvrant ses cuisses écartées
Sa grande culotte danoise blanche et rose
Abba, comme dans la chanson
Comme un short ample
Sans gousset
Juste ficelle de dentelle formant jambettes.
Elle riait et moi, tout mouillé, je suis resté à genoux entre ses cuisses relevées, assis sur mes talons
Ma main a voulu voir, confirmer ce que mes yeux avaient aperçu à savoir un abricot de gamine à la peau dorée
Mes quatre doigts en coque sont allés doucement en exploration
Savoir, avant d’y aller, où aller…
Le shorty norvégien léger était un jupon ouvert bien plus qu’une vraie culotte et l’entrejambe de dentelle n’avait aucune fonction réelle utile.
Mes doigts sont allés loin derrière là où le bas des fesses fait comme deux petites mandarines galbées douces et molles.
Sa peau était incroyablement douce
Le petit trou était à peine strié
J’y ai laissé juste un instant le charnu de mon majeur, comme pour saluer en effleurant comme sans faire exprès
J’ai remonté lentement le périnée puis sa fente glabre close
Les deux lèvres épaisses étaient fermées et gardaient précieusement son intimité.
J’ai compris que je devrai aider
Elle, riait de ma visite, la tête en arrière, ses deux seins étalés sous le débardeur mouillé de mes mains, les tétons encore dressés, ses deux bras en arrière avec à main gauche le paquet de Krisprolls qu'elle avait apporté pour mon petit déjeuner et sa jupe en vrac à sa taille roulée.
J’ai mouillé à ma bouche mes doigts de salive et je suis revenu à elle
Sous la caresse chaude et humide elle s’est ouverte
Son intérieur, réflexe immédiat, était tout doux tout mouillé.
Agenouillé devant elle, je voyais bien tout, comme un chirurgien devant son champ ouvert.
La peau de son ventre de son pubis était blonde bronzée et ses grandes lèvres aussi
On voyait qu'elle avait vécu au soleil toujours dans le plus simple appareil
Sa fleur était rose, d'un rose léger tendre désuet, une couleur passée pastel de blonde authentique qui s'est toujours protégée abritée, là, du soleil et autres agressivités des mers salées.
La languette mouillée par mes soins brillait en arborant une tête luisante effrontée en attente de douces violences.
J'avais mon bitos en main, gland dégagé, et je glissai en caresse douce du tout bas jusqu'au phare dardé, dans le ruisselant l'onctueux le tendre.
Halte-là, a-t-elle murmuré à mon oreille
Coiffez votre outil, prenez
Et j'ai vu qu'elle avait une capote ronde au creux de sa paume, présentée.
Moi, ce n'est pas le fait du préservatif qui m'a choqué, non
Ce qui m'a, profondément, choqué
C'est qu'en cette posture elle eût encore usé de vouvoiement...
Elle a dit ensuite des mots gutturaux des mots de la tendresse des mythologies nordiques, de wikings, d'icebergs, de Dieux glaciaires Wotan, de trolls, de lutins...
Des mots de populations inuits colons des immensités glaciaires, moustache givrée à la Vassilu et bitos raide de froidure tel le morse de Lennon the Walrus fier bandant assis sur la banquise en compagnie de Lewis Carroll. Hello Goodbye...
Après longtemps de copulât lubrique, on est passés tous deux ensemble à la douche.
Les douches scandinaves sont spéciales, space même.
Il n'y a pas, à proprement parler de bac à douche, non
C'est la pièce tout entière qui fait bac, sans rideau ni rien avec une bonde en plein milieu de la pièce et tout un arsenal de pommes giclantes tous azimuts qui inondent tout de partout.
Lieu d'un porte-savon avec savon normal, il y a sur un mur carrelé une ringuette de divers distributeurs de lotions détergentes de toutes couleurs : gel douche, shampoing, crème à te faire la peau douce, démêlant électrostatique à cheveux, mousse à raser, lotion défoliante.
En dessous, alignés comme à la parade, sont suspendus à des crochets des ustensiles de lavage étonnants : brosse à dos à long manche, gant de toilette en bouquet de tulle, râpe à pied à deux faces gros grain grain fin, pierre ponce savonneuse pour les cals, rasoir Wilkinson special maillot, peigne à large denture pour les onctions balsanes.
Bien entendu, vu qu'on était deux, on en a foutu partout.
Heureusement tout est prévu !
Contre le mur une sorte de racloir à long manche genre balai permet de tout ramener à la bonde centrale au milieu de la pièce...
Pendant qu'elle ramenait, je n'ai pu résister et l'enserrant du bras gauche à la taille, profitant lâchement de ce qu'elle était baissée à racler soigneusement les eaux savonneuses par côté, j'ai passé la main sous le distributeur mauve démêlant capillaire et l'ai promptement enfilée analement sans crier gare.
Enfilée sans vraie détermination, juste en politesse en quelque sorte.
Elle est restée les mains au sol son large fessier ouvert vers moi et j'ai osé, enfin, la tutoyer, mes deux mains crochées à ses hanches élastiques et mouillées.
Elle m'a juste dit, voilà demain vous aurez en sus du pain du beurre et de la confiture, des cornflakes et du fromage danois tranché.
Les Wasa beurrés sont succulents, vous verrez, vous aimerez.
Surtout ne dérèglez pas la machine à café qui est tarée fadass comme on aime chez nous.
Elle s'est séchée a enfilé son grand shorty et je n'ai pu résister au bonheur d'y passer discrêtement encore la main tant tout y était bon, l'ouvert de l'absence de gousset, le doux tendre fin glissant des lotions corporelles scandinaves sur son abricot, la netteté des rasages antitouffe épilatoires, et surtout ce que je savais caché au creux de sa fente bien nette, de villosités accueillantes chaleureusement visqueuses et gluantes.
Cordialement ... comme on dit ici maintenant.
Ses ballerines, sa jupe légère, le débardeur encore humide de mes mains...
Elle m'a dit, me tutoyant enfin, tu sais la capote c'est pas que je te craigne, c'est juste que ça me gène, après, la dèche qui me coule sur les cuisses.
Moi je pensais à Cabrel et à la Dame de Haute Savoie.
Je pensais, quel poète ce gars-là qui a été capable de raconter exactement la même histoire que moi sans jamais dire le mot bite, le mot foutre ... pas même une fois.
Quelle classe, ce Cabrel.
Pour ce séjour à Paris au mois d’août j’avais préféré une chambre d’hôtes plutôt que descendre à l’hôtel. L’adresse sur Google Map, dans le quartier des Batignolles, le coin branché parisien bobo, m’a immédiatement plu.
Au téléphone la logeuse m’avait paru chaleureuse ... cordiale comme on dit maintenant. Voix rauque, sexy, enfin accueillante. En sus elle m'avait dit que j’étais le bienvenu. Tout pour plaire, non ?
Au mois d’août, à Paris, les autos sont reines : stationnement gratuit, peu de circulation et surtout gentillesse des conducteurs ... trop contents que les Parigots soient tous partis sur la côte, en villégiature.
J’ai donc parqué facilement mon auto devant sa porte, belle porte cochère d’immeuble haussmannien. Elle était là, elle m’attendait : j’ai vu, en levant les yeux sur les fenêtres du premier, un rideau bouger. Son casque d’or, aperçu furtivement, a immédiatement capté mon attention et ému mon âme toujours prompte.
Elle m’avait envoyé par mail le code de l’entrée et quand je suis arrivé à sa porte en haut de l’escalier, mon gros sac Lancel à la main, elle était là, déhanchée sur le palier appuyée à la rampe pour m’accueillir.
C’était une femme grande solide sportive, la cinquantaine ou presque, cheveux en coques blonds suédois norvégiens finlandais peut être. Sa voix en vrai était encore plus rauque encore plus sexy que celle qui m’avait séduit quelques jours auparavant au téléphone.
Son sourire de bienvenue a télescopé le mien et nous avons été instantanément en concordance, tous deux ensemble, bien, novae en ciel d'été.
Elle m’a dit, vous avez monté votre bagage pour rien, le studio que je loue est au rez-de-chaussée, il vous faut donc redescendre, je vous accompagne … mais non, entrez donc plutôt chez moi, je vous offre un jus de fruit histoire de faire, déjà, un peu connaissance.
Le studio, on verra ça après, plus tard, peut être.
Moi j’ai tout de suite compris. Je n’ai rien dit, j’ai posé mon sac dans l’entrée de son appart et me suis laissé guider au salon plein soleil, les yeux sur un petit square arboré avec mamans poussettes et gamins hurlants en jeux de poursuite Petit Nicolas par les trois porte-fenêtres, sur balcon en enfilade, largement ouvertes.
Elle voulait tout savoir de ma vie de province et moi je répondais en réciprocité. Était-elle mariée ? Moi non plus. Je n’avais pas d’enfant. En avait-elle ? Nous avons très vite compris que tout était possible entre nous.Puis elle m’a conduit au studio en dessous, qui m’était dévolu, et m’a dit, simplement, je passerai demain à 14h30 pour remettre en ordre et renouveler beurre confitures pour votre petit déjeuner. Moi, je serais volontiers resté avec elle toute la soirée. Malgré la différence d’âge. Ces femmes d’Europe du Nord ont un charme réel avec leur peau bronzée halée leur cheveux si clairs et ces corps musculeux charpentés solides que l’on aime à tenir dans ses bras à serrer à emprisonner, fort.
Mais j’ai dû vaquer aux occupations professionnelles vulgaires qui m’avaient amené à Paris pour ces quelques jours.
Avec des relations stupidement bêtement professionnelles, rien que désespérément professionnelles.
Obligations.
Fulgurance le lendemain, au moment du café, aprés déjeuner, j’ai dit à mon fournisseur, il me faut vous abandonner, j’ai un rendez-vous important à 14h30, que je ne puis manquer.
La tête du gars...
Croyait à une fausse sortie pour obtenir un rabais.
Quatorze heure vingt, en entrant j'ai vu son ombre blonde furtive au rideau
Quatorze heure vingt cinq j'étais sous la douche
Quatorze heure trente elle entrait subrepticement dans le studio, elle avait un double de la clef, je présume...
Je n'avais rien entendu et je suis sorti tout mouillé la bousculant
Étonné surpris, vous ici ... passez-moi donc la serviette, là derrière vous à la patère, merci
Et elle, Norvégienne, de me bichonner le thorax comme on le fait à un cheval après le galop, la serviette en boule et ma queue levée.
Ses seins gonflaient le débardeur blanc et j'y ai posé mes mains mouillées dessinant aussitôt le signe de son intérêt, deux tétons pointus gros comme des framboises sauvages à crever le tissu tendu.
Les seins étaient durs et tenaient bien droit, pointés.
Manifestement elle avait des habitudes avec ses locataires et n'imaginait pas que l'un d'entre eux pût avoir velléité à s'y soustraire à s'en exempter.
Moi, je n'étais pas différent des autres et ce qui était politiquement correct à Jacques l'était d'évidence aussi à moi.
Sa bouche a voulu la mienne sa main a empaumé solidement mon paquet et moi encore assez mouillé je l'ai poussée sur le grand lit bas en bascule la tête en arrière les cuisses hautes et moi couché par dessus sa jupe relevée et moi tout contre elle en dedans.
J'étais tout nu
C'était pas voulu
Mais sous sa jupe couvrant ses cuisses écartées
Sa grande culotte danoise blanche et rose
Abba, comme dans la chanson
Comme un short ample
Sans gousset
Juste ficelle de dentelle formant jambettes.
Elle riait et moi, tout mouillé, je suis resté à genoux entre ses cuisses relevées, assis sur mes talons
Ma main a voulu voir, confirmer ce que mes yeux avaient aperçu à savoir un abricot de gamine à la peau dorée
Mes quatre doigts en coque sont allés doucement en exploration
Savoir, avant d’y aller, où aller…
Le shorty norvégien léger était un jupon ouvert bien plus qu’une vraie culotte et l’entrejambe de dentelle n’avait aucune fonction réelle utile.
Mes doigts sont allés loin derrière là où le bas des fesses fait comme deux petites mandarines galbées douces et molles.
Sa peau était incroyablement douce
Le petit trou était à peine strié
J’y ai laissé juste un instant le charnu de mon majeur, comme pour saluer en effleurant comme sans faire exprès
J’ai remonté lentement le périnée puis sa fente glabre close
Les deux lèvres épaisses étaient fermées et gardaient précieusement son intimité.
J’ai compris que je devrai aider
Elle, riait de ma visite, la tête en arrière, ses deux seins étalés sous le débardeur mouillé de mes mains, les tétons encore dressés, ses deux bras en arrière avec à main gauche le paquet de Krisprolls qu'elle avait apporté pour mon petit déjeuner et sa jupe en vrac à sa taille roulée.
J’ai mouillé à ma bouche mes doigts de salive et je suis revenu à elle
Sous la caresse chaude et humide elle s’est ouverte
Son intérieur, réflexe immédiat, était tout doux tout mouillé.
Agenouillé devant elle, je voyais bien tout, comme un chirurgien devant son champ ouvert.
La peau de son ventre de son pubis était blonde bronzée et ses grandes lèvres aussi
On voyait qu'elle avait vécu au soleil toujours dans le plus simple appareil
Sa fleur était rose, d'un rose léger tendre désuet, une couleur passée pastel de blonde authentique qui s'est toujours protégée abritée, là, du soleil et autres agressivités des mers salées.
La languette mouillée par mes soins brillait en arborant une tête luisante effrontée en attente de douces violences.
J'avais mon bitos en main, gland dégagé, et je glissai en caresse douce du tout bas jusqu'au phare dardé, dans le ruisselant l'onctueux le tendre.
Halte-là, a-t-elle murmuré à mon oreille
Coiffez votre outil, prenez
Et j'ai vu qu'elle avait une capote ronde au creux de sa paume, présentée.
Moi, ce n'est pas le fait du préservatif qui m'a choqué, non
Ce qui m'a, profondément, choqué
C'est qu'en cette posture elle eût encore usé de vouvoiement...
Elle a dit ensuite des mots gutturaux des mots de la tendresse des mythologies nordiques, de wikings, d'icebergs, de Dieux glaciaires Wotan, de trolls, de lutins...
Des mots de populations inuits colons des immensités glaciaires, moustache givrée à la Vassilu et bitos raide de froidure tel le morse de Lennon the Walrus fier bandant assis sur la banquise en compagnie de Lewis Carroll. Hello Goodbye...
Après longtemps de copulât lubrique, on est passés tous deux ensemble à la douche.
Les douches scandinaves sont spéciales, space même.
Il n'y a pas, à proprement parler de bac à douche, non
C'est la pièce tout entière qui fait bac, sans rideau ni rien avec une bonde en plein milieu de la pièce et tout un arsenal de pommes giclantes tous azimuts qui inondent tout de partout.
Lieu d'un porte-savon avec savon normal, il y a sur un mur carrelé une ringuette de divers distributeurs de lotions détergentes de toutes couleurs : gel douche, shampoing, crème à te faire la peau douce, démêlant électrostatique à cheveux, mousse à raser, lotion défoliante.
En dessous, alignés comme à la parade, sont suspendus à des crochets des ustensiles de lavage étonnants : brosse à dos à long manche, gant de toilette en bouquet de tulle, râpe à pied à deux faces gros grain grain fin, pierre ponce savonneuse pour les cals, rasoir Wilkinson special maillot, peigne à large denture pour les onctions balsanes.
Bien entendu, vu qu'on était deux, on en a foutu partout.
Heureusement tout est prévu !
Contre le mur une sorte de racloir à long manche genre balai permet de tout ramener à la bonde centrale au milieu de la pièce...
Pendant qu'elle ramenait, je n'ai pu résister et l'enserrant du bras gauche à la taille, profitant lâchement de ce qu'elle était baissée à racler soigneusement les eaux savonneuses par côté, j'ai passé la main sous le distributeur mauve démêlant capillaire et l'ai promptement enfilée analement sans crier gare.
Enfilée sans vraie détermination, juste en politesse en quelque sorte.
Elle est restée les mains au sol son large fessier ouvert vers moi et j'ai osé, enfin, la tutoyer, mes deux mains crochées à ses hanches élastiques et mouillées.
Elle m'a juste dit, voilà demain vous aurez en sus du pain du beurre et de la confiture, des cornflakes et du fromage danois tranché.
Les Wasa beurrés sont succulents, vous verrez, vous aimerez.
Surtout ne dérèglez pas la machine à café qui est tarée fadass comme on aime chez nous.
Elle s'est séchée a enfilé son grand shorty et je n'ai pu résister au bonheur d'y passer discrêtement encore la main tant tout y était bon, l'ouvert de l'absence de gousset, le doux tendre fin glissant des lotions corporelles scandinaves sur son abricot, la netteté des rasages antitouffe épilatoires, et surtout ce que je savais caché au creux de sa fente bien nette, de villosités accueillantes chaleureusement visqueuses et gluantes.
Cordialement ... comme on dit ici maintenant.
Ses ballerines, sa jupe légère, le débardeur encore humide de mes mains...
Elle m'a dit, me tutoyant enfin, tu sais la capote c'est pas que je te craigne, c'est juste que ça me gène, après, la dèche qui me coule sur les cuisses.
Moi je pensais à Cabrel et à la Dame de Haute Savoie.
Je pensais, quel poète ce gars-là qui a été capable de raconter exactement la même histoire que moi sans jamais dire le mot bite, le mot foutre ... pas même une fois.
Quelle classe, ce Cabrel.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est comme toujours du grand Jpj ! Qu'il est bon de se « vautrer » dans un si beau rêve, plus que réel.
Mais quelle classe aussi d'écrire pareillement !