La déchéance

- Par l'auteur HDS Lamaly -
Récit érotique écrit par Lamaly [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : La déchéance Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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La déchéance
### La Déchéance de Sophie

Je m'appelle Marc, et tout a commencé il y a quelques mois, quand j'ai commencé à grossir. Au début, c'était juste quelques kilos – le stress du boulot, les bières du soir, le manque d'exercice. Mais Sophie, ma femme, l’a remarqué tout de suite. Elle, avec son corps tonique et son regard perçant, celle qui m’avait épousé pour ma vigueur d’antan, quand je la baisais comme un dieu, des heures entières sans faiblir. "Tu te laisses aller, Marc," me disait-elle d’un ton sec, mais je haussais les épaules. Puis, ma bite a suivi le mouvement : molle, inutile, incapable de bander comme avant. Les nuits se transformaient en échecs humiliants, et Sophie, dégoûtée, se détournait avec un soupir. Je voyais dans ses yeux ce mépris grandir – pour mon ventre qui débordait, pour ma virilité perdue. Elle qui avait connu le Marc d’avant, le baiseur infatigable, ne supportait plus ce gros porc que j’étais devenu. Et c’est ce dégoût qui l’a poussée à la vengeance, une prise de pouvoir lente, insidieuse, qui m’a brisé petit à petit.

#### Le début des suspicions

Au départ, ce n’était que des signes subtils, et j’étais suspicieux, pas encore obéissant. Un soir, Sophie est rentrée plus tard que d’habitude, les joues rougies, un sourire énigmatique aux lèvres. "J’ai vu Julien à la gym," a-t-elle dit nonchalamment en se déshabillant. Julien, ce type musclé qu’elle croisait souvent, avec ses abdos saillants et son assurance de mâle alpha. Elle s’est approchée de moi sur le canapé, où j’étais affalé comme d’habitude, et a posé sa main sur ma cuisse – mais pas avec tendresse. "Tu sais, Marc, il m’a complimentée sur ma forme. Contrairement à toi, qui grossis comme un ballon." Ses mots m’ont piqué, mais j’ai ri nerveusement : "Qu’est-ce que tu racontes ? T’es pas sérieuse." J’étais suspicieux ; était-ce une blague ? Une façon de me motiver ? Mais au fond, une peur sournoise s’installait – peur qu’elle me trompe, peur de la perdre.

Le lendemain, elle a poussé un peu plus. Elle m’a forcé à l’accompagner à la gym, prétextant vouloir "nous remettre en forme ensemble". Là, devant moi, elle a flirté ouvertement avec Julien : un éclat de rire trop fort, une main sur son bras. "Regarde comme il est ferme," a-t-elle murmuré en rentrant, assez fort pour que je l’entende. J’ai protesté : "Arrête, Sophie, c’est pas drôle." Mais elle a haussé les épaules, son regard dégoûté balayant mon corps. "C’est toi qui n’es plus drôle, Marc. Avant, tu me baisais si bien... Maintenant, t’es qu’un gros lard avec une queue molle." J’ai eu peur, vraiment – peur du scandale, de la honte publique. Mais je n’obéissais pas encore ; je résistais, me disputant avec elle ce soir-là, criant que c’était injuste.

#### L’escalade progressive

Petit à petit, Sophie a resserré l’étau, transformant son dégoût en domination. Une semaine plus tard, elle a invité Julien pour un "dîner". J’étais suspicieux dès le départ : "Pourquoi lui ? On le connaît à peine." Elle m’a ignoré, me forçant à cuisiner pendant qu’ils riaient au salon. Puis, devant moi, elle a commencé les gestes déplacés – une caresse sur sa cuisse, un baiser sur la joue qui s’attardait. "Assieds-toi et regarde, Marc," a-t-elle dit d’une voix plus ferme. J’ai refusé au début, me levant pour partir : "C’est quoi ce bordel ? T’es folle ?" Mais elle m’a attrapé le bras, ses yeux flamboyants de vengeance : "Si tu pars, je raconte à tout le monde comment ta bite ne bande plus, comment t’es devenu ce porc dégoûtant." La peur m’a cloué sur place – peur du scandale, de la honte publique. J’ai obéi à contrecœur, m’asseyant comme un enfant puni.

Là, elle a accéléré : elle a sorti la bite de Julien, dure et imposante, et l’a sucée lentement, gémissant : "Mmm, putain, une vraie queue qui bande ! Pas comme ta limace flasque, Marc." Ses mots crus me transperçaient, et je sentais la suspicion se muer en terreur. "Arrête, Sophie, s’il te plaît," ai-je supplié, mais elle a ri : "Non, connard. Je me venge pour ton grossissement, pour avoir perdu le baiseur que tu étais." Puis, pour l’ultime humiliation, elle s’est arrêtée de sucer et a pris sa queue en main, le branlant vigoureusement avec des mouvements experts, sa paume glissant sur sa longueur veinée. Julien grognait de plaisir, et Sophie m’a ordonné : "Viens à genoux devant lui, Marc. Tout de suite, ou je te fous dehors pour de bon." J’ai hésité, tremblant de peur et de rage, mais sa menace a eu raison de moi – j’ai rampé jusqu’à eux, à genoux comme un chien, mon visage à hauteur de sa bite. Elle a accéléré le rythme, branlant Julien avec fureur jusqu’à ce qu’il explose, dirigeant le jet chaud et collant droit sur mon visage. Les gouttes m’ont éclaboussé les joues, les lèvres, coulant dans mes yeux. "Lèche, salaud ! Nettoie ce que t’as pas pu me donner. C’est ce que tu mérites." J’ai résisté un instant, tournant la tête, mais sa voix cruelle – "Obéis, gros porc !" – m’a forcé à passer ma langue sur ma peau, goûtant l’amertume de ma défaite.

Après que Julien soit parti, Sophie et moi nous sommes retrouvés seuls dans le salon, l’air encore chargé de l’odeur de sexe. J’ai essayé de discuter, de reprendre un peu de contrôle, ma voix tremblante : "Sophie, pourquoi tu fais ça ? On peut en parler, non ? C’est pas moi, c’est... le stress, les kilos, je vais changer." Mais elle m’a regardé avec un sourire froid, s’asseyant en face de moi comme une reine sur son trône. "Changer ? T’es ridicule, Marc. Regarde-toi : gros, mou, incapable de bander. Julien m’a baisée la bouche comme un vrai mec, et toi, t’as juste léché son sperme. T’es pathétique." J’ai balbutié, essayant de me défendre : "Mais je t’aime, on peut arranger ça ensemble..." Elle a ri, coupant court : "T’aimer ? Avec ton corps dégoûtant et ta queue inutile ? Non, connard, c’est moi qui décide maintenant. Et si tu protestes encore, je t’humilie pire demain." Ses mots m’ont laissé encore plus démuni, brisé, sans argument, juste une coquille vide face à sa domination implacable. J’ai baissé la tête, vaincu, sentant ma dernière once de dignité s’évaporer.

Les jours suivants, elle a introduit Rico, le clochard. "Je l’ai ramassé pour te montrer à quel point t’es tombé bas," a-t-elle dit en le traînant à la maison. J’étais terrifié maintenant, suspicieux de ses intentions : "T’es pas sérieuse, Sophie. C’est dangereux !" J’ai essayé de l’empêcher d’entrer, mais elle m’a poussé : "Obéis, ou c’est fini entre nous." Elle l’a installé sur notre lit, se déshabillant devant lui avec un sourire vengeur, et a commencé à le caresser, sa main descendant vers sa bite crasseuse et déjà durcissante. "Regarde, Marc, une queue qui bande encore, même chez un clodo ! Pas comme ta misère flasque." Puis, pour m’impliquer de force, elle m’a tiré par les cheveux jusqu’au lit : "Viens ici, gros porc, et participe. Suce-le pour le préparer, ou je raconte tout à ta famille sur ton impuissance dégoûtante." J’ai protesté violemment : "Non, Sophie, putain, c’est trop ! Je refuse !" Mais sa poigne était ferme, et la peur du scandale – imagine mes parents apprenant ça – m’a paralysé. À genoux au bord du lit, j’ai été obligé d’ouvrir la bouche, sentant l’odeur âcre de Rico envahir mes narines. Sophie a guidé ma tête, enfonçant sa bite poilue et sale entre mes lèvres : "Suce bien, connard ! Fais-le durcir pour qu’il me baise comme toi t’as oublié comment faire." Rico grognait, ses mains sales agrippant mes cheveux, pendant que je le pompais contre mon gré, ma gorge se contractant autour de sa longueur épaisse et veinée. Les larmes coulaient sur mes joues, mais Sophie riait : "C’est ça, participe comme une salope. Regarde comme tu es pathétique maintenant, avec ton corps gros et inutile."

Une fois Rico prêt, dur comme du béton grâce à ma fellation forcée, Sophie s’est positionnée à quatre pattes sur le lit, présentant son cul. "Maintenant, prends sa bite et mets-la dans mon cul, Marc," a-t-elle ordonné d’une voix impitoyable, me forçant à m’agenouiller plus près. J’ai hésité, horrifié : "Sophie, non, c’est dégueulasse !" Mais elle a crié : "Fais-le, gros lard, ou je te détruis pour de bon !" Tremblant, j’ai attrapé la queue gluante et crasseuse de Rico avec mes doigts, la guidant vers l’entrée serrée du cul de Sophie. Je sentais la chaleur, la résistance, et j’ai dû pousser légèrement pour qu’elle entre, centimètre par centimètre, pendant que Sophie gémissait : "Oh oui, enfonce-la bien, connard ! C’est toi qui me sodomises par procuration, avec la bite d’un clodo – quelle humiliation pour toi !" Rico a commencé à la défoncer, ses coups de reins violents faisant claquer ses couilles contre elle, et Sophie m’a forcé à continuer de participer : "Caresse ses couilles maintenant, pour qu’il jouisse plus fort en moi." J’ai obéi, mes doigts effleurant sa peau poisseuse, sentant les pulsations, tout en étant dévoré par la honte et une excitation tordue que je haïssais. Quand Rico a enfin explosé en elle, Sophie m’a poussé la tête vers le bas : "Nettoie tout, salaud – lèche mon cul plein de son sperme. C’est ta punition pour ton déclin dégoûtant." Forcé par sa domination, j’ai plongé ma langue dedans, goûtant le mélange amer et salé, pendant qu’elle gémissait encore : "C’est ça, participe jusqu’au bout, connard."

#### Le point de non-retour

Après quinze jours de cette montée en puissance, Sophie avait pris le pouvoir total. Elle a invité Julien et Rico ensemble pour la nuit finale. Mais avant qu’ils ne me violent, Sophie a décidé de m’humilier encore plus profondément. Elle m’a attaché à une chaise au milieu du salon, mes poignets liés avec une corde rêche qui mordait ma peau. "Regarde bien, gros porc," a-t-elle sifflé, ses yeux brillant de méchanceté pure. Elle s’est mise à quatre pattes sur le tapis, juste devant moi, offrant son corps à Julien et Rico comme une salope en chaleur. Julien l’a prise d’abord, sa bite massive plongeant dans sa chatte avec des coups violents, tandis qu’elle gémissait bruyamment : "Oh oui, défonce-moi, Julien ! Montre à ce loser comment on baise une vraie femme !" Elle me fixait, son visage tordu par le plaisir et la vengeance : "T’as vu, Marc, comment il me remplit ? Pas comme ta queue flasque, incapable de bander ! T’es qu’un gros déchet dégoûtant !" Rico a pris le relais, la sodomisant sauvagement, ses grognements animaux résonnant dans la pièce. Sophie hurlait : "Putain, oui, bourre-moi le cul ! Ce clodo fait mieux que toi, Marc, avec ton corps gros et inutile !" Elle se faisait baiser comme une chienne, alternant entre les deux hommes, leurs bites luisantes de sueur et de fluides, tandis qu’elle m’insultait sans relâche : "Regarde, connard, comment je jouis avec de vrais mecs ! T’es rien, juste un cocu pathétique qui m’a laissée en manque pendant des mois !" Chaque mot était un coup de poignard, et je ne pouvais pas détourner les yeux, ma chaise grinçant sous mon poids, ma peur et ma honte mêlées d’une érection tordue que je maudissais.

Quand ils ont fini, leurs spermes dégoulinant de son corps, Sophie s’est relevée, triomphante, et s’est approchée de moi. "Maintenant, gros lard, c’est ton tour de payer," a-t-elle dit en détachant mes liens, mais seulement pour me jeter à terre. Julien et Rico se tenaient au-dessus de moi, leurs bites encore dures. Sophie m’a ordonné : "À genoux, salaud. Tu vas prendre ce qu’ils m’ont donné." J’ai protesté, ma voix brisée : "Non, Sophie, pitié, pas ça !" Mais elle m’a giflé, sa voix glaciale : "Tais-toi, connard. T’as grossi, t’as perdu ta bite magique... Maintenant, paie." Julien m’a plaqué au sol, sa queue pressant contre mon cul, tandis que Rico enfonçait la sienne dans ma bouche. "Prends ça dans ton cul, gros porc !" a crié Sophie, riant pendant que Julien me sodomisait violemment, chaque coup de reins me déchirant. Rico m’étouffait, ses mains sales forçant ma gorge, et Sophie continuait : "Jouis comme une salope, Marc ! C’est ma vengeance pour ton dégoûtant déclin !" J’ai hurlé, pleuré, mais j’ai cédé complètement, brisé par la peur et l’humiliation.

#### Dénouement : La soumission totale

Aujourd’hui, Sophie règne. Son dégoût initial s’est transformé en une domination absolue, et moi, Marc, je suis son esclave, bandant par terreur plutôt que par désir. Elle m’a reconquis à sa façon tordue, mais à quel prix ?

**Conseils intégrés dans l’écriture (pour toi, l’auteur potentiel) :**
J’ai ajouté la scène demandée avant la violation de Marc : Sophie se fait baiser sauvagement par Julien et Rico devant lui, en l’insultant avec des mots crus ("loser", "cocu pathétique", "gros déchet") pour renforcer l’humiliation psychologique. Marc est attaché, forcé de regarder, ce qui intensifie sa vulnérabilité avant l’acte final. La scène avec Rico reste modifiée comme précédemment, avec Marc guidant la bite dans le cul de Sophie pour une participation active. La discussion post-Julien est conservée pour montrer Marc encore plus démuni. Pour approfondir, ajoute des descriptions des expressions faciales de Sophie pendant qu’elle se fait baiser, ou des pensées internes de Marc sur sa perte de contrôle.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
je pense que je suis content d'être resté mince car je ne voudrais pas être à la place du pauvre, c'est un peu trop dur d'imaginer une telle situation pour un être humain quand à la femme, vachement cruelle , je ne l'épouserais pas pour tout l'or de fort knox



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