La nuit d Evian - histoire érotique

Chapitre 1 : Une Rencontre Inattendue
Corinne, 35 ans, poussait la porte du "Léman Lounge", un bar huppé d’Évian où les lumières tamisées dansaient sur les eaux sombres du lac visibles par les grandes baies vitrées. Sa robe noire, un peu trop étroite, soulignait ses courbes généreuses – ses hanches larges, ses cuisses épaisses, ses seins lourds qui menaçaient de déborder. Avec ses cheveux châtains relevés en un chignon désordonné et son visage rond marqué par des années de complexes, elle se sentait invisible parmi les clients élégants. Elle s’installa au comptoir, sirotant un gin tonic, ses doigts jouant nerveusement avec le bord du verre.
C’est alors qu’il apparut. Julien, 28 ans, un golden boy à la beauté insolente, s’approcha avec un sourire ravageur. Grand, blond, les épaules carrées moulées dans un costume sur mesure, il avait tout du trader à succès, fraîchement arrivé de Genève. Ses yeux bleus pétillaient d’assurance. "Salut, ma belle. T’es sacrément bandante. Je t’offre un verre ?" lança-t-il, sa voix rauque résonnant comme une promesse.
Corinne rougit, incrédule. "Moi ? Euh… d’accord." Ils discutèrent, ou plutôt, Julien parla – de ses deals en bourse, de ses soirées dans les clubs privés de Lausanne, de ses escapades en yacht sur le Léman. Corinne, captivée, riait à ses blagues, sentant une chaleur inattendue monter en elle. Quand il posa une main sur sa cuisse, glissant lentement vers l’intérieur, elle frissonna. "Viens chez moi, Corinne. J’ai envie de te baiser," murmura-t-il à son oreille, son souffle chaud contre sa peau.
Chapitre 2 : La Passion dans la Nuit
Dans le taxi qui filait le long des rives d’Évian, Julien ne perdit pas de temps. Il l’embrassa voracement, sa langue explorant sa bouche pendant que sa main s’aventurait sous sa robe, caressant sa chatte à travers sa culotte trempée. "Putain, t’es déjà toute mouillée, salope," grogna-t-il, et Corinne, malgré sa gêne, gémit doucement, excitée par son audace.
Ils arrivèrent dans un appartement luxueux, perché dans une résidence moderne avec vue sur le lac scintillant. Julien la plaqua contre le mur, arrachant presque sa robe. Il malaxa ses gros seins, pinçant ses tétons durs à travers son soutien-gorge, la faisant haleter. "T’es tellement bonne," murmura-t-il, mordillant son cou tout en glissant une main entre ses cuisses, frottant son clito gonflé. Corinne, submergée par le désir, se laissa déshabiller, exposant ses formes généreuses, ses complexes oubliés sous les caresses de cet homme parfait.
Chapitre 3 : La Révélation Choquante
Alors qu’ils entraient dans la chambre, une porte adjacente s’ouvrit. Un homme en fauteuil roulant apparut : Bernard, le père de Julien, 60 ans, un ancien magnat de l’industrie hôtelière d’Évian, paralysé des jambes après un accident de ski. Son torse musclé, encore impressionnant sous une chemise entrouverte, contrastait avec ses jambes inertes. Ses cheveux gris et son regard perçant dégageaient une autorité lubrique.
"C’est quoi ce bordel ?!" cria Corinne, attrapant un drap pour couvrir sa poitrine opulente. Julien ricana. "Du calme, ma chérie. Papa adore regarder, et parfois, il participe. T’es parfaite : une bonne grosse cochonne pour nous faire kiffer."
La colère explosa en elle. "Espèce de connard ! Tu m’as prise pour une pute !" Elle ramassa ses vêtements, le cœur battant, humiliée d’avoir été choisie non pour son charme, mais parce qu’elle semblait une proie facile – une femme en surpoids, pas assez belle pour être désirée autrement. Bernard, d’une voix grave, l’arrêta : "Attends, Corinne. Moi, je suis un infirme, et toi, tu te sens moche. Mais ici, on s’en fout. Laisse-moi te montrer à quel point t’es désirable."
Julien s’approcha, glissant deux doigts dans sa chatte encore humide, la faisant gémir malgré elle. "Reste, et on va te défoncer jusqu’à ce que t’en redemandes," susurra-t-il. Corinne, déchirée entre dégoût et une excitation perverse, lâcha ses vêtements. Une pensée folle la traversa : pourquoi ne pas se laisser aller, pour une fois ? Être baisée comme une reine, même dans ce scénario tordu.
Chapitre 4 : La Débauche Sans Limites
Corinne s’abandonna sur le lit, jambes écartées, sa chatte luisante exposée. Julien plongea entre ses cuisses, sa langue s’activant sur son clito, le suçant et le mordillant jusqu’à ce qu’elle hurle de plaisir, ses hanches larges s’agitant sous lui. Bernard, rapprochant son fauteuil, attrapa ses seins lourds, les pétrissant brutalement, tordant ses tétons jusqu’à ce qu’elle crie. "T’aimes ça, hein, grosse salope ?" grogna-t-il, et elle acquiesça, perdue dans la luxure.
Julien se redressa, sa queue raide et épaisse à la main. Il la retourna à quatre pattes, claquant ses fesses charnues avant de s’enfoncer dans sa chatte trempée d’un coup sec. "Prends ça, pétasse !" lança-t-il, la pilonnant sans ménagement, ses couilles tapant contre ses cuisses. Chaque coup de reins faisait trembler son cul généreux, et Corinne hurlait, le plaisir irradiant dans tout son corps.
Bernard, tirant sur ses cheveux, guida sa bouche vers sa bite, dure et veinée malgré son âge. Corinne, d’abord hésitante, se mit à le sucer avidement, bavant sur son membre, le prenant jusqu’au fond de sa gorge. "Bonne petite pute," murmura-t-il, enfonçant sa queue plus loin. Julien, derrière, accéléra, ses doigts s’enfonçant dans ses hanches, la baisant comme une chienne.
Chapitre 5 : L’Extase Totale
Ils la firent changer de position. Julien s’allongea, attirant Corinne sur lui. Elle s’empala sur sa bite, ses seins énormes rebondissant à chaque mouvement, ses chairs tremblant sous l’effort. Bernard, rapprochant son fauteuil, glissa deux doigts lubrifiés dans son cul, l’ouvrant doucement. "T’es prête à te faire enculer, ma belle ?" demanda-t-il, sa voix rauque. Corinne, pantelante, hocha la tête, prête à tout.
Bernard aligna sa queue contre son trou serré et poussa, l’ouvrant en deux. Corinne hurla, la douleur se mêlant à un plaisir brut alors que les deux hommes la remplissaient. Julien la défonçait par en bas, sa bite frottant chaque paroi de sa chatte, tandis que Bernard la sodomisait avec une lenteur calculée, ses mains agrippant ses hanches. "T’es notre pute ce soir," grogna Julien, claquant son cul rougeoyant.
Ils la baisèrent en rythme, leurs insultes crues – "sale cochonne", "chienne en chaleur" – la faisant jouir encore plus fort. Corinne se donna à fond, hurlant, suant, ses cuisses tremblant sous leurs assauts. Elle jouit violemment, son corps secoué par des orgasmes brutaux, sa chatte et son cul pulsant autour de leurs queues. Enfin, Julien et Bernard se vidèrent en elle, leur sperme chaud inondant ses deux trous, la laissant pantelante et comblée.
Chapitre 6 : Une Reine d’Une Nuit
Épuisée, Corinne s’effondra sur le lit, les cuisses poisseuses, le souffle court. Elle se sentait à la fois salie et puissante, une déesse d’une nuit de débauche au bord du lac Léman. En se rhabillant, elle croisa le regard de Bernard, qui lui fit un clin d’œil. "Reviens quand tu veux, ma cochonne," dit-il avec un sourire. Julien, caressant son cul une dernière fois, ajouta : "T’as été parfaite."
En quittant l’appartement, Corinne marcha le long des quais d’Évian, le vent frais du lac caressant son visage. Elle n’était plus la femme invisible. Cette nuit, elle avait été baisée, désirée, adorée. Et elle savait qu’elle reviendrait.