Sous le soleil brûlant de Plougnoc - histoire érotique

Sous le soleil brûlant de Plougnoc
Chapitre 1 : Une chaleur oppressante
L’air vibrait de chaleur sous le soleil impitoyable qui écrasait les champs de
Plougnoc-en-Provence en cet été 1987. Les blés dorés ondulaient sous la
brise chaude, et les sentiers caillouteux craquaient sous les pas de Sylvie,
seule rupture dans le chant des cigales et le grondement lointain des
tracteurs.
À 23 ans, elle avançait avec une assurance féline, sa robe d’été bleu ciel
collant à sa peau moite, la brise taquine caressant son entrejambe nu. Elle
savait sa beauté irrésistible et s’en jouait avec délice, allumant les garçons du
coin pour les rendre fous. « Je sens mieux le vent ainsi », répondait-elle avec
un sourire en coin quand on lui demandait pourquoi elle ne portait jamais de
sous-vêtements sous ses jupes légères.
Chapitre 2 : Une promesse d’agitation
Son excitation montait tandis qu’elle imaginait le village, où elle devait voir son
oncle, tenancier d’un bar crasseux fréquenté par des paysans, des
alcooliques et des paumés. Elle se voyait se hissant sur la pointe des pieds
pour l’embrasser, consciente que tous les regards se fixeraient sur ses fesses
nues que sa jupe courte dévoilerait. Elle jouerait l’innocente, mais elle saurait
qu’ils seraient tous en érection – et ça, elle adorait.
Chapitre 3 : Un esprit rebelle
Sylvie était belle et le savait, mais elle refusait de finir comme sa mère,
soumise, marquée par les coups d’un mari brutal qui rentrait ivre pour la
frapper. Elle voulait dominer ces hommes qui voyaient les femmes comme
des objets.
Son corps était un appel : des seins lourds où l’on devinait les tétons durcis
frotter le tissu fin, des hanches larges portant des fesses voluptueuses, une
peau hâlée luisant sous le soleil.
Chapitre 4 : La marche vers l’inconnu
Il restait trois kilomètres jusqu’au village. Ses cheveux collaient à son visage
rougi, la sueur coulait le long de son front et de son décolleté. La chaleur
l’étouffait, mais elle l’excitait – chaque souffle de vent soulevant sa jupe
envoyait un frisson délicieux, mêlant soif, fatigue et envie d’allumer les
hommes du village.
Chapitre 5 : Une rencontre inattendue
Un grincement métallique la tira de ses pensées. Elle se retourna, plissant les
yeux contre le soleil, et vit un vélo vaciller vers elle. Elle reconnut Florian, le
fils de Josef, dont le père était probablement saoul au village, affalé sous un
tabouret de bar.
Florian, l’idiot du village, avait l’esprit troublé par les coups de son père dans
son enfance. Boutonneux, la vingtaine, puceau, il bégayait devant les filles, sa
gentillesse ignorée. « Sa-sa-salut Si-Sylvie », lança-t-il, freinant pour faire
déraper sa roue, soulevant un nuage de poussière.
Chapitre 6 : Un jeu dangereux
« Qu’est-ce que tu veux ? » aboya-t-elle sans le saluer. « T’as perdu tes
parents ? Dégage ! »
« N-n-non, je vais au v-v-village », bégaya-t-il.
« Je peux rester avec toi ? »
Sylvie hésita. Elle ne voulait pas qu’on la voie avec cet idiot, mais l’idée de le
tourmenter la tenta. « OK, mais tu fais ce que je dis et tu te tais », dit-elle.
Dans sa tête, elle imaginait déjà le rendre dingue, son excitation grandissant.
Chapitre 7 : La tentation commence
« Laisse-moi essayer ton vélo pourri », ordonna-t-elle.
Florian, rouge, descendit et lui tendit le guidon. Avec un sourire malicieux, elle
remonta sa jupe à mi-fesses pour enfourcher la selle, dévoilant délibérément
sa chatte épilée, lisse et légèrement humide sous la chaleur. L’air chaud frôla
sa peau exposée, accentuant son audace. Florian blêmit, les yeux rivés sur
elle, figé par la vision – rien à voir avec les rares coups d’œil furtifs sur sa
mère ivre sous la douche, dont les formes flétries n’avaient rien de
comparable : celle de Sylvie était jeune, rasée, d’une beauté provocante qui le
laissa sans voix.
Sa queue durcit instantanément, tendant son pantalon serré, et il gigota, mal à
l’aise, incapable de détourner le regard.
Chapitre 8 : La provocation s’intensifie
Sylvie riait intérieurement de son embarras et en rajouta, sa voix cinglante
comme un fouet. « Tu as regardé ma chatte, sale pervers ? T’es qu’un
minable, incapable de te contrôler ! Regarde-toi, tu bandes comme un chien –
t’as pas honte ? Va te cacher, petite chose pathétique, ou je raconte tout à tes
parents ! » Elle le pointa du doigt, un rictus cruel sur les lèvres, avant de
lancer ses commandements : « À genoux, maintenant ! Lèche la poussière
sous mes pieds pour te faire pardonner, et dis-moi que t’es un faible ! Ensuite,
touche-toi devant moi, montre-moi à quel point tu es ridicule ! »
Florian, les joues en feu, obéit à contrecœur, s’agenouillant sur le sol brûlant,
murmurant un « je suis faible » à peine audible, ses mains tremblantes
descendant vers son pantalon sous son regard dominateur.
« Sais-tu pourquoi je n’ai pas de vélo ? » continua-t-elle. Il secoua la tête,
humilié. « Ça fait mal au minou. Regarde ! » Elle releva sa jupe, montrant sa
chatte humide sur la selle, les lèvres débordant, et se frotta d’avant en arrière,
haletant de plus en plus fort, chaque mouvement amplifiant son plaisir.
Chapitre 9 : L’explosion des désirs
Florian, perdu, osait à peine bouger, sa verge dure pulsant contre son
pantalon, ses mains tremblantes de peur. Sylvie, jupe relevée, se masturbait
sur la selle, haletante. « Sors ta bite ! Montre-moi comme tu es content de me
voir souffrir, méchant Florian ! »
Forcé par la douleur, il obéit, dévoilant un engin énorme. « Hooo, waow, tu
m’avais caché ça ! Caresse-la, tu me dois ton sperme pour m’avoir fait mal ! »
s’exclama-t-elle, ses yeux brillants, accélérant ses mouvements.
Chapitre 10 : Le point de non-retour
Son clitoris en feu sur le cuir de la selle, Sylvie s’abandonna dans un cri de
plaisir qui fit taire les oiseaux, son corps tremblant, son jus coulant sur la selle.
Le foutre chaud de Florian jaillit sur sa robe en jets puissants. D’un réflexe,
elle jeta le vélo au sol, s’agenouilla et prit les quatre jets suivants dans sa
gorge, avalant goulûment, suçant jusqu’à la dernière goutte avec des bruits
humides, ses mains pressant ses couilles.
Mais elle en voulait plus. Elle le força à s’allonger sur le sol brûlant, montant
sur lui, sa chatte trempée engloutissant son membre encore dur dans un
glissement serré. Elle chevaucha avec sauvagerie, ses ongles griffant sa
poitrine, ses seins rebondissant, jusqu’à un second orgasme qui la fit hurler,
son corps convulsant autour de lui. Florian, incapable de résister, jouit à
nouveau en elle, son sperme chaud inondant son intérieur. Pantelante, elle le
chevaucha encore, exigeant un troisième round, le forçant à la pénétrer plus
fort, leurs corps glissant de sueur, jusqu’à ce qu’ils s’effondrent, épuisés, dans
un enchevêtrement de chairs et de gémissements, le soleil témoin de leur
extase débridée.