Le chauffeur piegé

- Par l'auteur HDS Lamaly -
Récit érotique écrit par Lamaly [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Le chauffeur piegé Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le chauffeur piegé
Chapitre 1 : Une journée comme les autres… ou presque
Je suis conducteur de car scolaire, la cinquantaine bien entamée. Mes journées sont paisibles : je fais mon travail, je rentre chez moi, et je retrouve ma famille, ma raison de vivre. Ma femme, mes enfants, ils sont tout pour moi. Au boulot, les lycéens que je transporte sont plutôt sympas, sauf une. Une jeune fille dont je ne sais rien, toujours distante, avec un regard sévère. Elle ne répond jamais à mes bonjours matinaux. Mais bon, je ne vais pas me laisser démonter le moral par une gamine arrogante.
Il y a un mois, après avoir déposé mes lycéens, je faisais une pause avant mon prochain service. Je me suis garé sur un parking près de l’établissement suivant. Ce matin-là, j’avais encore en tête l’image de ma femme, à peine couverte d’un drap, ses formes nues à moitié dévoilées dans notre lit. Je l’avais contemplée un moment, mais le temps pressait, et je devais partir travailler. Son corps m’excite toujours autant, même après toutes ces années. Vieilli à mes côtés, il me rend fou. J’aime l’embrasser, la caresser, lui faire l’amour comme au premier jour. Aucune autre femme ne m’attire comme elle.
Mais ce matin-là, cette image refusait de me quitter. Une érection persistante tendait mon pantalon. Pour me calmer, j’ai commencé à me caresser, discrètement, derrière le volant. Peu à peu, ma main s’est faite plus insistante. Ma verge était sortie, et je me masturbais franchement, jusqu’à jouir violemment. Mon sperme a giclé sur le tableau de bord, accompagné d’un râle sourd. J’étais encore dans l’euphorie, cherchant un chiffon pour nettoyer, quand un rire féminin, strident et moqueur, a déchiré le silence.
Je me suis retourné, sous le choc, la verge encore à l’air. Là, debout dans l’allée du car, cette lycéenne, celle au regard sévère, me filmait avec son téléphone. Elle riait, un rire cruel, presque démoniaque.
— Bravo, chauffeur, lança-t-elle, ironique. J’ai bien fait de m’endormir et d’oublier de descendre au lycée. J’aurais raté ce spectacle !
Mon sang s’est glacé. Elle m’avait filmé. Moi, un chauffeur de car scolaire, en train de me masturber. Une vidéo qui pouvait ruiner ma vie.
— Efface ça immédiatement ! criai-je, paniqué, en remballant ma verge comme je pouvais, les doigts encore gluants de sperme. Efface ça et ne dis rien à personne !
Elle riait de plus belle, toujours en filmant.
— Surtout pas, j’ai un scoop !
Mon visage s’est décomposé. Je voyais ma vie s’effondrer : ma femme, ma famille, mon travail, tout perdu à cause de cette gamine. La honte m’étouffait.
— Lèche tes doigts ! ordonna-t-elle soudain.
— Quoi ? T’es folle ! m’écriai-je, abasourdi.
— Lèche ton sperme, sale dégueulasse, ou j’envoie la vidéo à ton boulot !
Piégé, je n’avais pas le choix. À contrecœur, j’ai porté mes doigts à ma bouche. Le goût salé et écœurant m’a donné la nausée. Elle hurlait :
— Dépêche-toi, sale bâtard ! Regarde-moi, je veux qu’on te reconnaisse bien !
J’ai obéi, les yeux baissés, humilié. Elle a continué, implacable :
— C’est bien, sale chien. Maintenant, tu feras tout ce que je t’ordonne.
Elle a ouvert la porte du car et s’est éloignée, disparaissant derrière un virage. J’étais abasourdi, incapable de réaliser ce qui venait de se passer. J’ai essuyé le tableau de bord, repris mes esprits, et je suis parti pour mon service suivant.
Mais dans ma tête, tout tournait. Pourquoi avais-je fait ça ? Pourquoi avais-je obéi ? Ce n’était qu’une vidéo d’un homme qui se masturbe, pas un crime. Pourtant, j’étais devenu son esclave. Et, pire encore, une part de moi – que je refusais d’admettre – semblait excitée par cette humiliation. Non, impossible. Cette gamine ne m’attirait pas. Elle était jolie, certes, mais rien à voir avec ma femme, une femme mature, celle que j’aime. Les gamines comme elle ne m’intéressent pas.
Ce soir-là, je suis rentré chez moi, blanc comme un linge. Ma famille s’inquiétait, mais je ne pouvais rien leur dire. À chaque fois qu’ils prenaient leurs smartphones, j’avais peur qu’ils tombent sur cette maudite vidéo.
Chapitre 2 : Le début du cauchemar
Le lendemain, je suis retourné au travail la boule au ventre. J’aurais voulu ne pas y aller, mais inventer une excuse à ma femme m’aurait forcé à lui mentir, et je ne pouvais m’y résoudre. En arrivant au point de ramassage des élèves, j’espérais de tout mon cœur qu’elle ne serait pas là. Pas de chance. Elle était là, parmi les autres, avec sa jupe écossaise et son air malicieux. Ma gorge s’est nouée.
Les élèves sont montés un à un. Elle, en dernier. Elle s’est approchée de moi et a murmuré, tout près de mon visage :
— Tu me ramènes 50 € demain, sale chien !
Je n’en croyais pas mes oreilles. Elle m’extorquait de l’argent maintenant ? J’ai jeté un coup d’œil dans le rétroviseur pour vérifier si quelqu’un avait entendu, mais personne n’avait prêté attention. Soulagé, mais terrifié, j’ai passé la journée dans un état second. Devais-je lui donner l’argent ou tout arrêter ? La honte de voir cette vidéo diffusée m’a convaincu d’obéir. Mais 50 €, ce n’était pas rien. Avec ma femme, nous avons un compte commun. Comment justifier cette dépense ?
Naïvement, je me suis dit qu’elle abandonnerait peut-être son chantage après ça. Étrangement, j’étais à la fois anéanti, déprimé… et excité.
Le lendemain matin, tout s’est déroulé normalement. Les élèves sont montés en silence, et elle, avec un regard dédaigneux, est allé s’asseoir. Pendant tout le trajet, je la voyais dans le rétroviseur, me fixant. J’ai failli provoquer plusieurs accidents, tellement son regard me perturbait.
Arrivé au lycée, tout le monde est descendu, sauf elle. J’ai compris qu’elle voulait m’accompagner jusqu’au parking où je faisais ma pause. Une fois garé, elle s’est approchée, téléphone à la main, me filmant. Elle a tendu l’autre main pour que je lui donne le billet de 50 €. J’ai tenté de reprendre un peu le contrôle :
— Ça va, t’es pas si pressée que ça, dis-je en lui tendant l’argent.
Elle m’a arraché le billet des mains et a ordonné :
— Va au fond du car.
J’ai compris qu’elle n’en avait pas fini avec moi. J’ai obéi, et elle m’a suivi, toujours en filmant.
— Déshabille-toi, sale crevard !
— Non, ça va pas ! protestai-je, sous le choc.
— Tu veux que je diffuse ces vidéos, sale chien ? hurla-t-elle.
J’ai dû m’exécuter. Tremblant, j’ai retiré mes vêtements. Elle a crié :
— Complètement nu, sale traînée !
Et me voilà, nu, avec une érection involontaire devant cette gamine. Elle a ricané :
— Tu bandes avec ta petite queue de salope ? T’as pas honte ?
J’étais humilié. J’ai hoché la tête, les yeux rivés au sol, et murmuré :
— Oui…
— À quatre pattes ! Montre-moi ton cul, connard !
Je me suis mis à quatre pattes dans l’allée du car, nu, exposant mon intimité. Elle s’est penchée pour mieux filmer mes testicules, riant :
— Tes couilles, on dirait des noisettes, sale pédé !
Soudain, elle m’a asséné un violent coup de pied dans les testicules. La douleur m’a fait m’écrouler, gémissant, pleurant, essayant de reprendre mon souffle. Elle riait à gorge déployée.
— J’en ai pas fini avec toi. Demain, tu ramènes encore 50 €, dit-elle avant de sortir, me laissant seul, anéanti.
Je me suis rhabillé à la hâte, la douleur irradiant encore mes testicules, et je suis parti pour mon service suivant. L’humiliation et la peur de ce qu’elle me ferait subir le lendemain me hantaient.
Chapitre 3 : L’escalade de l’horreur
Les jours suivants, le calvaire s’est intensifié. Chaque matin, elle était là, avec de nouvelles exigences, toutes plus humiliantes les unes que les autres. Elle m’a forcé à me masturber devant son téléphone et à avaler mon sperme. Elle m’a obligé à me mettre nu, à quatre pattes, pendant qu’elle écartait sa culotte sous sa jupe et urinait sur mon visage, m’ordonnant de boire. Elle m’a forcé à introduire un godemichet énorme dans mon anus, ce qui m’a causé une douleur insupportable. Elle m’a aussi ordonné de lui lécher l’entrejambe et l’anus, alors qu’elle ne s’était pas lavée, exprès pour m’humilier davantage.
Chaque acte était filmé, chaque humiliation immortalisée. J’étais brisé, prisonnier de son chantage. Et pourtant, une part de moi, que je refusais d’accepter, semblait réagir physiquement à cette domination.
Chapitre 4 : Une disparition soudaine
Puis, un jour, elle a disparu. Elle n’était plus au point de ramassage. J’ai appris plus tard qu’elle avait probablement été expulsée de son lycée, mais je n’en savais pas plus. Où était-elle ? Que faisait-elle ? Elle était quelque part, avec toutes ces vidéos de moi. La peur qu’elles refassent surface un jour ne me quittait plus.
Je vivais dans l’angoisse, guettant chaque notification sur le téléphone de ma femme ou de mes enfants, terrifié à l’idée qu’ils découvrent mon secret. Ma vie était suspendue à la menace de cette gamine, dont je ne savais même pas le nom.

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