La fin de l’été et l’arrivée de Katie

Récit érotique écrit par Pierre59 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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La fin de l’été et l’arrivée de Katie
Épisode 3 — Chapitre VI
Les corps, la liberté, le vertige
Il y a des étés qui semblent suspendus, hors du temps, où chaque journée devient une parenthèse. Après ce concours, quelque chose avait changé entre nous. Tout était plus évident. Plus assumé. Plus libre.
Nos mains ne se cherchaient plus en cachette. Elles se trouvaient. Partout. Tout le temps. Derrière les boxes quand le club se vidait, dans le foin écrasé d’un paddock oublié, ou même dans l’ombre chaude de la sellerie, porte entrebâillée.
Nos baisers étaient devenus des préludes, jamais des fins. Et nos corps avaient appris à parler un langage qui n’avait plus besoin de mots.
Je me souviens d’un après-midi où la chaleur avait vidé le manège. Seuls quelques oiseaux osaient troubler le silence. Elle m’a attrapé par la main, sans prévenir. Direction la douche des chevaux.
Viens me dit-elle
Sous le jet tiède, elle a défait lentement son débardeur, laissant apparaître ses seins tendus, ruisselants. Puis elle a tiré sur mon tee-shirt trempé, m’a collé contre elle, peau contre peau, lèvres contre lèvres.
L’eau glissait entre nos corps, soulignait ses courbes, l’arrondi de ses hanches, la fermeté de ses cuisses. Elle a glissé ses mains dans mon short détrempé, cherchant, pressant, jouant. J’ai fait de même, découvrant sa peau douce sous la culotte qu’elle a fait glisser lentement jusqu’à ses chevilles.
Elle s’est retournée, plaquant ses mains contre le carrelage humide. Son dos cambré offrait la courbe parfaite de ses reins. Son regard par-dessus l’épaule était une invitation, un ordre silencieux.
Je me suis glissé en elle d’un coup d’un seul, avec ce mélange de brutalité contenue et de tendresse animale. Nos souffles se sont mêlés à celui de l’eau qui frappait nos dos. Ses gémissements résonnaient contre les murs, étouffés par le claquement de la douche.
Je la tenais par les hanches, la pénétrant avec un rythme soutenu, presque brutal, jusqu’à sentir ses jambes trembler, son ventre se crisper et son orgasme la traverser comme une onde chaude. Je l’ai suivie dans ce vertige, m’abandonnant en elle, tout entier, les mains agrippées à sa peau mouillée.
Nous sommes restés un long moment collés l’un à l’autre, haletants, avant de rire doucement de cette audace insensée.
Ce n’était qu’un début.
Les jours suivants, tout devenait prétexte. Dans le camion à foin, au fond de la carrière déserte à la tombée de la nuit, dans sa tente lors d’une randonnée organisée avec le club. Nous osions tout. Le plaisir n’était plus un territoire discret, mais un espace à explorer.
Elle a voulu que je la prenne alors qu’elle était assise sur moi, face à moi, nous permettant de nous regarder, de nous embrasser longuement, tandis que son bassin ondulait. Puis elle a voulu me dominer, me chevaucher, m’imposer son rythme, ses désirs, ses cris.
Il y a eu ce soir aussi, où elle m’a demandé de lui nouer les poignets avec ma ceinture. Ce n’était pas de la soumission. C’était de la confiance, totale, offerte. Elle riait, les yeux brillants, frémissante sous mes caresses lentes, tendue d’attente. Je l’ai fait jouir sans la pénétrer, simplement avec ma bouche, mes doigts, mes dents parfois, jusqu’à ce que son corps entier soit traversé de spasmes.
Nous étions deux explorateurs d’un même continent secret. Deux jeunes adultes découvrant à quel point le plaisir peut être un langage du cœur autant que du corps.
Chapitre VII — La fin d’un été
Mais le temps, lui, ne s’arrête jamais. Les jours raccourcissaient. Les feuilles commençaient à dorer aux bords des chemins.
Anouk devait faire son entrée à la faculté de pharmacie. Moi une école de gestion.
On le savait. On ne s’était jamais menti. Cet été était un moment suspendu, pas une promesse d’éternité.
Nous avons passé la dernière soirée ensemble, dans la sellerie, porte verrouillée. Nos corps se sont aimés comme jamais. Avec une lenteur presque douloureuse, une tendresse brûlante, comme si chaque caresse était un au revoir, chaque frisson un souvenir planté dans la peau.
Quand elle a sangloté doucement, enfouie dans mon cou, je n’ai rien dit. J’ai simplement serré plus fort.
Le lendemain, on s’est embrassés longtemps. Sans mots. Puis elle est montée dans la voiture de ses parents. J’ai regardé les feux arrière disparaître au bout du chemin, le cœur serré mais plein de gratitude.
Chapitre VIII — Le retour, et Katie
La vie au centre a repris. Différente. Un peu vide au début. Mais la passion pour les chevaux et la préparation des compétitions me tenaient debout.
C’est lors d’un concours régional que tout s’est joué. Katie était là.
Katie, c’est cette fille pétillante, une habituée du centre. On se connaissait depuis longtemps. Elle avait toujours été là, en retrait, attentive.
Après mon passage sur le parcours — un sans-faute tendu mais réussi — elle m’a attendu près du camion.
T’étais incroyable, Pierre. Vraiment.
Son regard brillait. Il y avait dans ses yeux autre chose qu’une simple admiration sportive.
Nous avons marché ensemble, la lumière dorée du soir baignait les champs. Le silence entre nous était doux, complice, chargé de ce quelque chose qui précède les choses importantes.
Elle s’est arrêtée. Elle m’a regardé longuement, a souri, puis, sans prévenir, s’est hissée sur la pointe des pieds et m’a embrassé. Un baiser tendre, hésitant, un peu tremblant. Mais un baiser vrai.
Quand nos lèvres se sont séparées, ses joues étaient rouges. Elle a murmuré :
J’en avais envie depuis longtemps…
Je n’ai pas répondu. Mais mon sourire en disait long.
À suivre…
Les corps, la liberté, le vertige
Il y a des étés qui semblent suspendus, hors du temps, où chaque journée devient une parenthèse. Après ce concours, quelque chose avait changé entre nous. Tout était plus évident. Plus assumé. Plus libre.
Nos mains ne se cherchaient plus en cachette. Elles se trouvaient. Partout. Tout le temps. Derrière les boxes quand le club se vidait, dans le foin écrasé d’un paddock oublié, ou même dans l’ombre chaude de la sellerie, porte entrebâillée.
Nos baisers étaient devenus des préludes, jamais des fins. Et nos corps avaient appris à parler un langage qui n’avait plus besoin de mots.
Je me souviens d’un après-midi où la chaleur avait vidé le manège. Seuls quelques oiseaux osaient troubler le silence. Elle m’a attrapé par la main, sans prévenir. Direction la douche des chevaux.
Viens me dit-elle
Sous le jet tiède, elle a défait lentement son débardeur, laissant apparaître ses seins tendus, ruisselants. Puis elle a tiré sur mon tee-shirt trempé, m’a collé contre elle, peau contre peau, lèvres contre lèvres.
L’eau glissait entre nos corps, soulignait ses courbes, l’arrondi de ses hanches, la fermeté de ses cuisses. Elle a glissé ses mains dans mon short détrempé, cherchant, pressant, jouant. J’ai fait de même, découvrant sa peau douce sous la culotte qu’elle a fait glisser lentement jusqu’à ses chevilles.
Elle s’est retournée, plaquant ses mains contre le carrelage humide. Son dos cambré offrait la courbe parfaite de ses reins. Son regard par-dessus l’épaule était une invitation, un ordre silencieux.
Je me suis glissé en elle d’un coup d’un seul, avec ce mélange de brutalité contenue et de tendresse animale. Nos souffles se sont mêlés à celui de l’eau qui frappait nos dos. Ses gémissements résonnaient contre les murs, étouffés par le claquement de la douche.
Je la tenais par les hanches, la pénétrant avec un rythme soutenu, presque brutal, jusqu’à sentir ses jambes trembler, son ventre se crisper et son orgasme la traverser comme une onde chaude. Je l’ai suivie dans ce vertige, m’abandonnant en elle, tout entier, les mains agrippées à sa peau mouillée.
Nous sommes restés un long moment collés l’un à l’autre, haletants, avant de rire doucement de cette audace insensée.
Ce n’était qu’un début.
Les jours suivants, tout devenait prétexte. Dans le camion à foin, au fond de la carrière déserte à la tombée de la nuit, dans sa tente lors d’une randonnée organisée avec le club. Nous osions tout. Le plaisir n’était plus un territoire discret, mais un espace à explorer.
Elle a voulu que je la prenne alors qu’elle était assise sur moi, face à moi, nous permettant de nous regarder, de nous embrasser longuement, tandis que son bassin ondulait. Puis elle a voulu me dominer, me chevaucher, m’imposer son rythme, ses désirs, ses cris.
Il y a eu ce soir aussi, où elle m’a demandé de lui nouer les poignets avec ma ceinture. Ce n’était pas de la soumission. C’était de la confiance, totale, offerte. Elle riait, les yeux brillants, frémissante sous mes caresses lentes, tendue d’attente. Je l’ai fait jouir sans la pénétrer, simplement avec ma bouche, mes doigts, mes dents parfois, jusqu’à ce que son corps entier soit traversé de spasmes.
Nous étions deux explorateurs d’un même continent secret. Deux jeunes adultes découvrant à quel point le plaisir peut être un langage du cœur autant que du corps.
Chapitre VII — La fin d’un été
Mais le temps, lui, ne s’arrête jamais. Les jours raccourcissaient. Les feuilles commençaient à dorer aux bords des chemins.
Anouk devait faire son entrée à la faculté de pharmacie. Moi une école de gestion.
On le savait. On ne s’était jamais menti. Cet été était un moment suspendu, pas une promesse d’éternité.
Nous avons passé la dernière soirée ensemble, dans la sellerie, porte verrouillée. Nos corps se sont aimés comme jamais. Avec une lenteur presque douloureuse, une tendresse brûlante, comme si chaque caresse était un au revoir, chaque frisson un souvenir planté dans la peau.
Quand elle a sangloté doucement, enfouie dans mon cou, je n’ai rien dit. J’ai simplement serré plus fort.
Le lendemain, on s’est embrassés longtemps. Sans mots. Puis elle est montée dans la voiture de ses parents. J’ai regardé les feux arrière disparaître au bout du chemin, le cœur serré mais plein de gratitude.
Chapitre VIII — Le retour, et Katie
La vie au centre a repris. Différente. Un peu vide au début. Mais la passion pour les chevaux et la préparation des compétitions me tenaient debout.
C’est lors d’un concours régional que tout s’est joué. Katie était là.
Katie, c’est cette fille pétillante, une habituée du centre. On se connaissait depuis longtemps. Elle avait toujours été là, en retrait, attentive.
Après mon passage sur le parcours — un sans-faute tendu mais réussi — elle m’a attendu près du camion.
T’étais incroyable, Pierre. Vraiment.
Son regard brillait. Il y avait dans ses yeux autre chose qu’une simple admiration sportive.
Nous avons marché ensemble, la lumière dorée du soir baignait les champs. Le silence entre nous était doux, complice, chargé de ce quelque chose qui précède les choses importantes.
Elle s’est arrêtée. Elle m’a regardé longuement, a souri, puis, sans prévenir, s’est hissée sur la pointe des pieds et m’a embrassé. Un baiser tendre, hésitant, un peu tremblant. Mais un baiser vrai.
Quand nos lèvres se sont séparées, ses joues étaient rouges. Elle a murmuré :
J’en avais envie depuis longtemps…
Je n’ai pas répondu. Mais mon sourire en disait long.
À suivre…
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