Les débuts et ébats avec Cathy

- Par l'auteur HDS Pierre59 -
Récit érotique écrit par Pierre59 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Les débuts et ébats avec Cathy Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Les débuts et ébats avec Cathy
Chapitre X — Première fois

Le ciel du Nord avait cette couleur d’acier doux, typique des fins de journées d’août. L’air sentait le foin chaud et la terre humide. Les chevaux rentraient lentement aux boxes, et le centre se vidait peu à peu. Cathy, avec son sourire joueur et son regard décidé, s’est approchée :
— Reste un peu, j’ai envie de te montrer quelque chose.

Elle m’a emmené derrière le hangar à matériel, là où personne ne passait à cette heure. Son pas était rapide, presque impatient. Dans l’ombre, elle s’est arrêtée, a posé ses mains sur mon torse, et m’a embrassé longuement, avec cette fougue neuve qui trahit à la fois la curiosité et l’envie retenue.

Quand ses mains sont passées sous mon tee-shirt, son souffle s’est accéléré. Je sentais sa poitrine, ferme et tendue, se presser contre moi. Je l’ai laissée guider le moment, mais très vite, c’est moi qui l’ai adossée contre le mur en bois. Mes doigts ont trouvé le chemin de son pantalon d’équitation, caressant d’abord la ligne de ses hanches, puis plus bas, à travers le tissu encore chaud de son corps. Elle a gémi, surprise, mais n’a pas reculé.

Je l’ai déshabillée lentement, jusqu’à découvrir sa peau nue sous la culotte fine. Elle tremblait, non pas de peur, mais d’anticipation. Quand mes doigts l’ont effleurée, elle a laissé échapper un soupir profond, comme si elle attendait ce moment depuis toujours.

Nous nous sommes allongés dans le foin. Elle m’a regardé, ses yeux brillants :
— Je veux que ce soit toi.

J’ai pris le temps, l’embrassant partout, goûtant chaque frisson, chaque crispation de ses cuisses. Quand je suis entré en elle, lentement, elle a retenu un cri, ses ongles se plantant dans mes épaules. Son corps s’est offert avec une intensité brute, mélange d’inexpérience et d’appétit. Nous avons trouvé un rythme, d’abord doux, puis plus appuyé, plus profond, jusqu’à ce qu’elle se cambre, emportée par un orgasme rapide et violent qui l’a laissée haletante.

Nous sommes restés enlacés, la respiration courte, le parfum du foin et de nos corps mêlés. Elle a souri, encore essoufflée :
— Je crois que je vais aimer ça… beaucoup.


Chapitre XI — Nuit de folie

Quelques jours plus tard, le club organisait une soirée d’été autour d’un feu de camp. Après minuit, les rires s’étaient espacés, et nous avions trouvé un prétexte pour nous éclipser. Cathy m’a entraîné jusqu’à la petite sellerie du fond, celle qui donnait sur les paddocks.

À peine la porte fermée, elle s’est jetée sur moi, ses mains impatientes défaisant ma ceinture. Ses baisers étaient avides, presque affamés. Elle m’a poussé contre le mur, s’est agenouillée sans un mot, me prenant en bouche avec une lenteur calculée, alternant caresses et succions, me regardant droit dans les yeux.

Je l’ai soulevée, l’asseyant sur l’établi couvert de couvertures de selle. Sa culotte a glissé à terre. Je suis entré en elle d’un seul coup, et elle a crié, ses jambes m’enserrant avec force. Le bois craquait sous nos mouvements, le bruit de nos corps se mêlait au souffle de nos respirations saccadées.

Nous avons changé de rythme, de positions, comme si chaque minute devait explorer quelque chose de nouveau. Elle s’est mise à califourchon sur moi, contrôlant la cadence, me faisant gémir à mon tour. Puis elle a voulu que je la prenne par-derrière, penchée sur les selles, ses mains crispées sur le cuir, son dos cambré dans la lumière tremblante d’une lampe.

Chaque orgasme semblait l’enflammer davantage. Elle revenait vers moi, exigeante, avide, jusqu’à ce que la fatigue ne soit plus qu’un arrière-plan flou. À un moment, allongés sur les couvertures, elle a guidé ma main sur elle, m’apprenant le rythme exact qui la rendait folle. Elle a joui encore, ses jambes tremblantes autour de moi.

Quand l’aube a commencé à éclairer les paddocks, nous étions étendus, nus, épuisés, les corps collés l’un à l’autre. Elle m’a regardé avec un sourire fatigué mais gourmand :
— La prochaine fois, on fera encore mieux..

Chapitre XII — Les imprévus

Depuis cette nuit dans la sellerie, Cathy et moi étions devenus presque inséparables… mais surtout insatiables. Le centre équestre était devenu notre terrain de jeu, chaque recoin un possible rendez-vous secret.

Un matin, alors que je finissais de brosser un hongre gris avant un entraînement, elle est apparue derrière moi, un sourire innocent aux lèvres. Personne d’autre n’était là. Elle a passé ses bras autour de ma taille, ses mains glissant sous ma chemise. Son souffle chaud dans mon cou me donnait déjà des frissons.
— On n’a pas beaucoup de temps, murmura-t-elle.

Elle m’a entraîné dans le petit local de stockage à côté du manège. À peine la porte fermée, elle m’a poussé contre les ballots de paille. Sa bouche a trouvé la mienne, ses mains défaisaient déjà ma ceinture. C’était rapide, urgent, presque brutal. Je l’ai soulevée, son pantalon d’équitation à moitié baissé, et elle s’est enroulée autour de moi, se laissant pénétrer avec un soupir étouffé. Le frottement de ses bottes contre ma taille, l’odeur chaude du foin, son bassin qui ondulait avec impatience… Tout s’est passé dans un tourbillon de sensations, et quand elle a joui, ses gémissements étaient étouffés contre mon épaule.

Plus tard, un après-midi de pluie, alors que tout le monde s’abritait dans le club-house, nous sommes restés près des paddocks couverts, soi-disant pour vérifier les chevaux. Le bruit de la pluie masquait tout. Elle a glissé sa main sous ma veste, m’a excité jusqu’à ce que je perde le fil de ce que je faisais, puis s’est agenouillée dans l’ombre, me donnant du plaisir avec cette lenteur calculée qui me rendait fou. Quand je l’ai stoppée pour la relever, elle a ri, et s’est mise dos à moi, s’appuyant sur la barrière. Sa culotte était déjà sur ses chevilles. Je suis entré en elle d’un coup, le bois tremblait sous nos mouvements, la pluie battait au-dessus de nos têtes.

Et puis, il y a eu ce jour où elle m’a attendu dans le camion à foin, juste avant de partir pour un concours. Elle m’a tiré à l’intérieur, refermé la porte, et s’est allongée sur les ballots, m’attirant au-dessus d’elle. Le véhicule sentait le foin sec et la poussière, la lumière passait par une petite lucarne. C’était étroit, mais ça ne l’a pas empêchée de bouger contre moi, de m’embrasser comme si elle voulait me dévorer. Quand nous sommes sortis, encore essoufflés, elle avait cette lueur de fierté dans les yeux, comme si elle adorait l’idée que personne ne se doute de rien.

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