La Gamine

- Par l'auteur HDS Jpj -
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La Gamine Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2017 dans la catégorie Plus on est
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La Gamine
Cette gamine, la fille du voisin, tourneboulait tout le quartier. Elle se sapait genre bimbette à montrer ses beaux seins et ses petites fesses. Et ça émoustillait tous les gars du coin et les filles même aussi.
Tous pensaient, assurément c'est une coquine qui a ça dans le sang dans les gènes de faire monter en mayonnaise la libido alentour.

On était au printemps et elle portait des chaussettes qui lui montaient presque aux genoux. Des chaussettes blanches de petite fille lors qu'elle avait, sûr, passé âge de puberté. Fallait voir les nibars de grande qu'elle arborait par devant. À vue de nez, au moins 90C, prometteurs, à l'âge qu'elle avait, de bien plus ample développée ultérieure.

Chaussettes blanches et chaussures étroites de danseuse d'opéra, cuir fin noir ciré. Petits petons mignons en fines ballerines comme extrémités de longues cuisses dansantes.

Mais personne ne regardait sa frimousse, tous étant occupés à mater son cul. Jupette fluide vrappant des fesses rondes aux hanches étroites de garçon, enfin plutôt de fille jeune, pas encore femme. La jupe était courte et l'on apercevait de temps à autre, au hasard de ses fariboles, un blanc de culotte emboîtant d'élastique chaste un pli de fesse charnue.

Et souvent elle levait le bras pour montrer quelque chose au ciel, et souvent aussi elle voulait ramasser au sol un objet indûment échappé. Elle savait y faire.
On sentait que la valeur, chez ces filles bien nées, n'attend pas le nombre des années et qu'elles savent d'instinct ce que la multitude d'yeux mateurs attendent d'elle.
Et leur générosité s'exprime tout naturellement en bonheur d'offrir aux regards tout ce qu'elles ont à donner.

Le chemisier qu'elle portait ne cachait rien de sa déjà forte poitrine. Du moins nibars imposants en relativité de son torse menu. D'autant qu'elle avait totalement oublié de boucler les boutons d'encolure. Au moins trois boutons oubliés.
Sa jeunesse l'exemptait du port de harnais et les deux mamelles éclataient le fin tissu dessinant sur le devant les deux aréoles comme collées à l'étoffe, la rendant translucide, presque transparente.

Malgré son jeune âge, les ronds étaient larges et sombres et portaient en leur centre des tétons épais pointant le fin coton presqu'à le déchirer.

Personne ne regardait sa frimousse et c'était bien dommage tant son regard lubrique courait virevoltant sur les gars sur les filles alentour, exprimant son désir concupiscent.
C'était aujourd'hui son printemps, à cette fille-là. Les trois sourires d'une nuit d'été comme disait Bergman, le trouble de chrisalyde comme aurait dit David Hamilton du temps de sa splendeur nikonographique.

Elle savait ce qu'elle faisait, cette fille. Programmation d'instinct, destin écrit, chemin de nature, inch allah comme beurette entière échappée, miracle, à l'imam sécateur.

Le soir, chaque soir, elle rentrait chez elle, chez ses parents et, longuement faisait sa toilette devant la fenêtre 16/9èmes de sa salle de bain. Une fenêtre plus large que haute, au format d'un écran de télé.
Elle savait que tout le quartier était là, debout serré à mater sa pantomime.
Elle prenait son temps, ôtant d'abord les rubans de ses cheveux. Elle agitait alors sa tignasse de droite de gauche comme pour dire aux prétendants voyez, ma fleur ne sera pas si facile à atteindre, enfouie qu'elle est dans une toison aussi épaisse que cette chevelure-ci. Vous verrez...
Et tous d'espérer un jour voir.
Elle levait ensuite ses cuisses haut, pied posé sur le lavabo, pour ôter ballerine et chausssette, l'une après l'autre, droite après gauche. Longuement.
Et tous de mater en fond de jupette l'obscure clarté du gousset dessinant profondément ses parenthèses gonflées de touffe épaisse.
Elle voulait faire languir et passait ensuite au chemisier, déboutonnant progressivement lentement le devant pour ouvrir aux deux nibars contraints enfin liberté. Leur vie autonome était vrai plaisir de regardage. C'était l'affranchissement des esclaves nègres en Louisane, c'était la libération de Paris du joug des nazis par De Gaule, c'était la sublimation de la neige carbonique autour d'une omelette norvégienne de Christophe Michalak.

On pensait, ses tétons pointent, noirs, sans la moindre stimulation, au naturel : elle est bonne, elle doit l'être.

Torse nu, elle déambulait devant la fenêtre cinémascope, hypergonar, comme écran vidéo, et l'on comprenait qu'elle faisait exhib comme starlet de cinéma sur la Croisette. Et l'on était bien content que cette exib soit rien que pour nous. Sacré poitrail chargé de fille en pleine santé.

On attendait la suite, qu'elle montre son cul.

Et la coquine nous faisait languir, se penchant bas en avant pour ramasser un savon tombé au fond du bac à douche ou pire se hissant sur la pointe des pieds pour attrapper une serviette propre sur une étagère haute. Et chaque fois, tous de rester scotchés au pli longitudinal de son slip blanc révélant de façon indécente le caractère profondément ouvert de son entre-jambe, du pubis jusqu'au coccyx.

Elle a fini par tomber la culotte tout en conservant la jupette. Tous alors ont compris que sarabande était arrivée et qu'il allait leur falloir assumer.
Imaginez la scène, la fille torse nu, ses beaux nibars en bandoulière, jupette courte et légère et rien en dessous, et tout ça sur l'écran noir de nos nuits blanches, la fenêtre de la salle de bain du voisin. Windows, comme chez Microsoft mais version hard.

Ils étaient quoi, dix mecs, la bite au chaud dans leur main. Droite pour les droitiers, gauche pour les autres.

Une grosse majorité se contenterait d'une satisfaction personnelle. Mais d'autres, moins nombreux, avaient prétention.

Les trois gars et la fille qui ne s'étaient pas apaisés personnellement ont marché droit vers la villa du voisin. Ils étaient déterminés.
La gamine est descendue à la porte pour les accueillir.
Elle avait gardé sa jupette mais tous savaient qu'elle était toute nue en dessous. Abricot déluré enfoui de toison épaisse.
Était-il, lui aussi, ruisselant comme un nageur qu'on n'attend plus? Maudit blues du vieil anar.

La fille a été la plus audacieuse et a chopé la gamine par un bras pour la clouer sur le lit et lui bouffer les replis, tête plongée entre ses cuisses. Les autres ont formé comme un nid pour la protéger, chacun la bite saillante, phare sur récif en mer tourmentée.

Jeunesse n'est pas ignorance et manifestement cette petite avait du sang noble en ses veines. Sous les caresses linguales elle s'était mise à chanter. Sonnets liturgiques comme rarement on en entend, même à la cathédrale. Tous en étaient subjugués, en vocation de fous chantants d'arène alésienne.

Les trois gars ont compris qu'ils devraient montrer. Et il leur a fallu le faire.

Le premier a présenté son gland, largement dégagé du prépuce, aux deux lèvres entr'ouvertes. Le pieu dressé n'était qu'un mat rude et abrupt saillant de pubis velu sans autre agrément que son odeur musquée. La gamine, tout à ses jouissances saphiques, a néanmoins sorti une langue rose pour lapper l'appendice caudal suintant de liquide préséminal.
Cela a suffi à l'impétrant, novice lui aussi au demeurant, pour hoqueter puissamment de longues giclées spermatiques claires nappant le visage juvénile.

Le second a saisi la paluche de la donzelle et l'a menée à sa bite tendue comme pour dire, vois si cet outil serait à ta convenance. Convenance, encore un mot convenu mais diablement convenant. Et la gamine, chantant les mélopées de ses plaisirs sous la langue habile de sa congénère, ses lèvres sa bouche ointes de liquide clair et visqueux, offrande prompte du premier garçon, branlait doucement le bitos raide et souple, oxymore libidineux, du second en cherchant harmonie avec ses propres voluptés.

Le troisième avait passé une main sous les fesses de l'héroïne du jour. Son autre main était à la hanche. Sous les deux globes musculeux et tendres il sentait le creux humide offert par cambrure en invite. Ses doigts ont remonté le périnée pour envahir l'antre gluant et agité, et ses mille villosités.
Ses doigts imprégnés de la mouille fluide sont revenus en arrière, ont pénétré, l'un après l'autre, en estafette, la porte étroite. Un seul, le plus grand le plus long a voulu y rester et visiter jusqu'à fond, rencontrant impromptu un étron comme sentinelle, occupant du lieu. Son périple en caresse des bas-reliefs fut sublime stimulus à la donzelle.

Et alors, sous cette quadruple sollicitation, elle s'est éclatée, bassin tendu au ciel, spincter anal en pulsions saccadées martyrisant le majeur hardi en visite, vulve en coulette giclante sur le visage de celle qui s'y adonnait, mains compulsives convulsives sur le bitos rigide paquet contracté du troisième et bouche pleine jusqu'à fond de gosier de la queue flasque du dernier, de celui qui avait déjà tout donné et se sentait confus de n'en plus pouvoir.

Sûr que cette gamine là promettait.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Cette facétieuse gamine est de retour … mais était-elle vraiment disparue ?
Ou était-ce un coup de pub d’un auteur imbu de sa personne qui voulait faire parler de lui ? … parce que avant son coup de gueule, je l’avais déjà lue !
Deux questions sans malice aucune, même si, connaissant le personnage, il est permis de se les poser …
Bon, assez de ce qui peut ressembler à un commentaire négatif … cette histoire est délicieusement agréable … lue et relue, je l’ai appréciée comme il se doit.
Très bien Monsieur J P J, je vous « autorise » à récidiver … !

Voila enfin publié le délicieux récit de "La Gamine" dont Jpj m'avait fait la primeur avant même sa parution. Je trouve ce récit délectable et HDS a enfin corrigé les bugs de publication.



Texte coquin : La Gamine
Histoire sexe : Une rose rouge
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