La Lolotte
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2014 dans la catégorie Fétichisme
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Couleur du fond :
La Lolotte
Moi, le truc qui m'importe, c'est bête, mais c'est ma lolotte. Va savoir pourquoi...
Le soir je l'ôte. Je la roule en boule et je la glisse sous mon oreiller. Non sans l'avoir préalablement longuement humée.
Moi, je suis spéciale...
Ma lolotte à moi, elle chante mes effluves, mes odeurs, mon moi intime. Fort.
En plus je suis monomaniaque
Je les choisis, mes lottes, blanches, sans fioritures, fraiches et accueillantes.
J'aime pas les dentelles, surtout pas les dentelles
Les dentelles, ya ma touffe qui passe au travers que ça fait pas classe du tout
Surtout les dentelles blanches, je vous dis pas l'effet que ça fait.
Je ne supporte pas non plus les culottes noires
Les culottes coordonnées avec les soutifs noirs, genre pros.
Non, c'est pas pour moi ces trucs là
C'est pour les blondes de cinéma, vraiment pas pour moi.
Ne me parlez pas des lottes fuschia
Qui t'éclaboussent
Qui crachent des relents de libido chavirée
Des dessous exotiques d’outre-Méditerranée.
Mes culottes à moi, j'en ai de pleins tiroirs
Je les aime
Elles sont toutes pareilles, du pareil au même.
J'aime les voir, les regarder, les toucher
Le matin, je me choisis ma culotte de la journée
Le soir aussi, avant d'aller dodo, je réfléchis longuement
A celle qui viendra me border, me chérir, m’accompagner.
Parce que moi la nuit, dans mon lit, je ne dors pas toute seule
Je dors avec elle
Qui m'entoure, qui me garde, qui me protège
Je ne porte pas de nuisette, non plus que de teeshirt
Je n'ai pas de pyjama, non, non...
Je suis toute nue, toute
Juste je suis entièrement dans ma lolotte.
Je ne suis pas de ces filles avec petit haut à bretelles fines
Fluide pour protéger les seins
Moi des seins, j'en ai quasiment pas
Mon buste est large et plat
Mes tétons sont discrets, des tétons de sportive, de garçon
Dans mes nuits je suis, je reste seule, avec ma lolotte
Et je les frotte sur le drap, comme ça et c'est bon.
Ma main droite, ou parfois aussi la gauche, connait bien ma lolotte
Mes mains l'aiment bien
Mes mains, ma main, se pose
Je suis là, je dors
Sur le dos, la tête à plat sur le drap, l'oreiller posé sur moi
Ma main me cherche dans la lolotte et me trouve et je suis bien
Ma main dort, elle aussi, posée dessus ; ma main est bien.
Je me retourne, je suis sur la tranche
L'oreiller a filé sous ma tête, c'est mieux ainsi
Ma main s'est enfouie entre mes cuisses
Mon doigt, mon grand doigt est dedans et pousse le tissu de la lotte à l'intérieur
Parfois ils sont deux, les doigts
Et les grands jours, plutôt les grandes nuits, ils y sont tous, toute la fratrie
Je dors, je rêve, je pense que demain il faudra...
Le tissu fin est mouillé, je m'endors complètement
Tranquillement.
La vie pour moi est assez simple
A mon boulot, je virevolte dans mes robes, dans mes jupes
Dedans ma lolotte, bien à l'abri, bien protégée
J'aime bien ça, virevolter
Il y a les hommes là, et il y a moi, ici
Il y a ma lotte entre eux et moi
Eux qui voudraient et moi qui, aussi, voudrais
Et puis il y a ma lotte qui, elle, ne veut pas.
Alors tout ça ça fait pataques de qui on sait pas qui veut et qui veut pas
Quoi c'est qui veut, qui va bien, qui est d'accord on le fait et qui, au bout du compte veut plus, c'est la culotte qui est là et qui veut pas.
La vie c'est compliqué... On sait pas qui veut quoi ou pas.
Moi j'aime choisir le matin ma culotte
Je la prends blanche, fine, douce
Ma touffe y est bien
Elle fait un peu gonfler le tissu et ça, ça me plait bien, vu par dessus, par devant
Le fond aussi est à ma convenance, il couvre bien mon intimité
Je me sens protégée, comme emballée.
Le fond c'est important
Le fond c'est doux, c'est comme qui dirait, en intimité
Le fond, c'est lui qui manque le moins.
L'élastique de ceinture est peu important...
Les ourlets qui tournent les cuisses sont, eux, fondamentaux.
Vous a-t-on déjà parlé de ces ourlets là ?
Moi j'aime quand ils sont lâches
Quand ils courent sous les fesses, juste comme ça, sans serrer.
Quand ils passent de part et d'autre sans vraiment cacher
Quand on voit quelques poils qui s'échappent, par coté
Comme ça, sans faire exprès, par hasard ou presque
C'est ça que j'aime
Et que je me sens bien.
Mais n'allez pas croire que ...
Moi j'aime les culottes qui t'emboitent bien
Je ne supporte pas ces culottes de supermarché aux élastiques avachis qui te rentrent dans les raies. Autant porter un string si t'aimes te faire scier en deux par le milieu.
Je ne comprends pas ces filles qui vivent avec ça qui leur rentre
Le fil à couper le beurre...
Tout ça pour dire que c'est pas si facile ces affaires d'élastique...
Rien n'est plus moche que l'élastoc trop serré qui te marque sous la fesse
Comment peut on oser, après ça, se présenter devant un homme ?
Pour vous dire, j'ai tellement de respect pour mes lottes que je ne porte presque jamais de pantalon
En tous cas pas de jeans !
Le jean, ça t'écrase la culotte, ça l'empêche de respirer
Moi je suis bien comme ça, la culotte à l'air libre
Je sens bien que le Bon Dieu a créé la jupe pour que la culotte soit bienheureuse
La robe aussi pardi
Le Bon Dieu c'est un coquin, il sait bien que notre fleur a besoin de liberté pour s'épanouir et s'ouvrir
Il n'y a rien de pire que ces collants, ces pantalons serrés qui te renferment plis et villosités comme un refus d'exister, comme un destin de pénombre emprisonnée.
Alors, vous pensez bien que, où que je sois, je virevolte et j'aime ça
Et je peux vous dire que les gars et les filles autour de moi ils aiment ça
Aussi.
J'ai acheté un marqueur spécial pour trousseaux de collégiens
Un marqueur noir fin qui sert aux mamans pour marquer le linge de leurs enfants pensionnaires
Avec ce crayon j'ai fait des dessins sur mes lolottes
Sur le devant, un peu décentré, j'ai mis un coeur, un coeur tout simple
On ne voit que ça quand on me regarde.
Je vous assure que ça fait bon effet sur les gars qui me voient ma culotte.
Mais le plus subtil, c'est sur la fesse gauche : j’y ai mis mon email
Je vous dis pas le nombre de mecs qui n'ont pas de crayon ou de papier ou même pire ni l'un ni l'autre
Je ne vous dis pas le nombre de culottes qu'on m'a fauchées...
Comme on dit, les culottes, c'est du consommable…
Jpj, Palavas-les-Flots, mars 2013
Le soir je l'ôte. Je la roule en boule et je la glisse sous mon oreiller. Non sans l'avoir préalablement longuement humée.
Moi, je suis spéciale...
Ma lolotte à moi, elle chante mes effluves, mes odeurs, mon moi intime. Fort.
En plus je suis monomaniaque
Je les choisis, mes lottes, blanches, sans fioritures, fraiches et accueillantes.
J'aime pas les dentelles, surtout pas les dentelles
Les dentelles, ya ma touffe qui passe au travers que ça fait pas classe du tout
Surtout les dentelles blanches, je vous dis pas l'effet que ça fait.
Je ne supporte pas non plus les culottes noires
Les culottes coordonnées avec les soutifs noirs, genre pros.
Non, c'est pas pour moi ces trucs là
C'est pour les blondes de cinéma, vraiment pas pour moi.
Ne me parlez pas des lottes fuschia
Qui t'éclaboussent
Qui crachent des relents de libido chavirée
Des dessous exotiques d’outre-Méditerranée.
Mes culottes à moi, j'en ai de pleins tiroirs
Je les aime
Elles sont toutes pareilles, du pareil au même.
J'aime les voir, les regarder, les toucher
Le matin, je me choisis ma culotte de la journée
Le soir aussi, avant d'aller dodo, je réfléchis longuement
A celle qui viendra me border, me chérir, m’accompagner.
Parce que moi la nuit, dans mon lit, je ne dors pas toute seule
Je dors avec elle
Qui m'entoure, qui me garde, qui me protège
Je ne porte pas de nuisette, non plus que de teeshirt
Je n'ai pas de pyjama, non, non...
Je suis toute nue, toute
Juste je suis entièrement dans ma lolotte.
Je ne suis pas de ces filles avec petit haut à bretelles fines
Fluide pour protéger les seins
Moi des seins, j'en ai quasiment pas
Mon buste est large et plat
Mes tétons sont discrets, des tétons de sportive, de garçon
Dans mes nuits je suis, je reste seule, avec ma lolotte
Et je les frotte sur le drap, comme ça et c'est bon.
Ma main droite, ou parfois aussi la gauche, connait bien ma lolotte
Mes mains l'aiment bien
Mes mains, ma main, se pose
Je suis là, je dors
Sur le dos, la tête à plat sur le drap, l'oreiller posé sur moi
Ma main me cherche dans la lolotte et me trouve et je suis bien
Ma main dort, elle aussi, posée dessus ; ma main est bien.
Je me retourne, je suis sur la tranche
L'oreiller a filé sous ma tête, c'est mieux ainsi
Ma main s'est enfouie entre mes cuisses
Mon doigt, mon grand doigt est dedans et pousse le tissu de la lotte à l'intérieur
Parfois ils sont deux, les doigts
Et les grands jours, plutôt les grandes nuits, ils y sont tous, toute la fratrie
Je dors, je rêve, je pense que demain il faudra...
Le tissu fin est mouillé, je m'endors complètement
Tranquillement.
La vie pour moi est assez simple
A mon boulot, je virevolte dans mes robes, dans mes jupes
Dedans ma lolotte, bien à l'abri, bien protégée
J'aime bien ça, virevolter
Il y a les hommes là, et il y a moi, ici
Il y a ma lotte entre eux et moi
Eux qui voudraient et moi qui, aussi, voudrais
Et puis il y a ma lotte qui, elle, ne veut pas.
Alors tout ça ça fait pataques de qui on sait pas qui veut et qui veut pas
Quoi c'est qui veut, qui va bien, qui est d'accord on le fait et qui, au bout du compte veut plus, c'est la culotte qui est là et qui veut pas.
La vie c'est compliqué... On sait pas qui veut quoi ou pas.
Moi j'aime choisir le matin ma culotte
Je la prends blanche, fine, douce
Ma touffe y est bien
Elle fait un peu gonfler le tissu et ça, ça me plait bien, vu par dessus, par devant
Le fond aussi est à ma convenance, il couvre bien mon intimité
Je me sens protégée, comme emballée.
Le fond c'est important
Le fond c'est doux, c'est comme qui dirait, en intimité
Le fond, c'est lui qui manque le moins.
L'élastique de ceinture est peu important...
Les ourlets qui tournent les cuisses sont, eux, fondamentaux.
Vous a-t-on déjà parlé de ces ourlets là ?
Moi j'aime quand ils sont lâches
Quand ils courent sous les fesses, juste comme ça, sans serrer.
Quand ils passent de part et d'autre sans vraiment cacher
Quand on voit quelques poils qui s'échappent, par coté
Comme ça, sans faire exprès, par hasard ou presque
C'est ça que j'aime
Et que je me sens bien.
Mais n'allez pas croire que ...
Moi j'aime les culottes qui t'emboitent bien
Je ne supporte pas ces culottes de supermarché aux élastiques avachis qui te rentrent dans les raies. Autant porter un string si t'aimes te faire scier en deux par le milieu.
Je ne comprends pas ces filles qui vivent avec ça qui leur rentre
Le fil à couper le beurre...
Tout ça pour dire que c'est pas si facile ces affaires d'élastique...
Rien n'est plus moche que l'élastoc trop serré qui te marque sous la fesse
Comment peut on oser, après ça, se présenter devant un homme ?
Pour vous dire, j'ai tellement de respect pour mes lottes que je ne porte presque jamais de pantalon
En tous cas pas de jeans !
Le jean, ça t'écrase la culotte, ça l'empêche de respirer
Moi je suis bien comme ça, la culotte à l'air libre
Je sens bien que le Bon Dieu a créé la jupe pour que la culotte soit bienheureuse
La robe aussi pardi
Le Bon Dieu c'est un coquin, il sait bien que notre fleur a besoin de liberté pour s'épanouir et s'ouvrir
Il n'y a rien de pire que ces collants, ces pantalons serrés qui te renferment plis et villosités comme un refus d'exister, comme un destin de pénombre emprisonnée.
Alors, vous pensez bien que, où que je sois, je virevolte et j'aime ça
Et je peux vous dire que les gars et les filles autour de moi ils aiment ça
Aussi.
J'ai acheté un marqueur spécial pour trousseaux de collégiens
Un marqueur noir fin qui sert aux mamans pour marquer le linge de leurs enfants pensionnaires
Avec ce crayon j'ai fait des dessins sur mes lolottes
Sur le devant, un peu décentré, j'ai mis un coeur, un coeur tout simple
On ne voit que ça quand on me regarde.
Je vous assure que ça fait bon effet sur les gars qui me voient ma culotte.
Mais le plus subtil, c'est sur la fesse gauche : j’y ai mis mon email
Je vous dis pas le nombre de mecs qui n'ont pas de crayon ou de papier ou même pire ni l'un ni l'autre
Je ne vous dis pas le nombre de culottes qu'on m'a fauchées...
Comme on dit, les culottes, c'est du consommable…
Jpj, Palavas-les-Flots, mars 2013
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une très belle histoire de culotte blanche, sans chichis. Elle est très bien représentée sur la photo n°1 - sur la photo n°2, je pense que c'est un string que la nana tient dans sa main droite. Quant à la n°3, elle a tout simplement oublié de couvrir sa vulve, joliment dénudée elle aussi.