La Mamma
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Mamma
La Mamma, pour moi, c'est Charles Aznavour mes années d'adolescence, aussi Robert, le papa de France.
L'écriveur de la chanson.
France Gall
Qui n'a pas été amoureux de France Gall un jour ?
Amoureux d'elle un jour, toujours...
Dans ma vie j'ai peu détesté
Mais il y a un type que j'ai haï, vraiment
A fond
Longtemps
C'est ce Berger, le mec debout derrière son clavier
Mec à bouclettes, ridicule
France, qui ne l'a pas aimée, n'a pas été amoureux fou d'elle, n'a pas vécu.
Dalida aussi l'a chantée, la Mamma
C'est pour moi avenir destin de Camargue
Les Saintes Maries
Les roseaux couchés par les vents
Cette fille brune Magali
Sein rond qui pommelait le chemisier au téton pointu
Cheveux agités au vent
Yeux bleus de brune d'ici
Magnifiques
J'en suis encore aujourd'hui bousculé
De tourments des sables et des mers
Dans la cour du mas je l'avais, j'avais osé, prise à la taille
Elle s'était lovée
Et les chevaux blancs, derrière, avaient henni complices
Ses cheveux dans mon cou chatouillaient ma nuque
La Mamma, Pierre Barouh près du feu de sarments et souches grattait un air oublié et nous deux, Magali et moi, on se tenait l'un contre l'autre en symbiose avec lui et sa mélodie.
La jupe de toile dure point serré, longue, protégeait ses cuisses
Mes mains remontaient, chaudes, sur icelles
Sous mes paumes sa peau pileuse
Je pensais, que sera son intimité ?
A coup sûr touffue
Elle l'était
La vie, c'est ça
Des mots des paroles des phrases des vers
Dire sa touffe et l'éternité explose
Des silences des rêves, écrits ici, là
Des musiques des vers
Paroles, paroles, que tous ces mots
Sous la jupe mes mains étaient remonté au but ultime de mes intérêts
La culotte légère écartée j'étais entré au coeur.
Mamma, chantait Aznavour et moi je voyais les Saintes et ma bite bandait pour elles
Magali m'a souri et elle a pris de sa dextre
Elle l'a amenée à elle
Nymphe, je savais
Palpitante
Mamma est sur sa couche moribonde
Magali le sait et s'ouvre pour renouveau
Pour un nouvel enfant
Pour la vie.
L'écriveur de la chanson.
France Gall
Qui n'a pas été amoureux de France Gall un jour ?
Amoureux d'elle un jour, toujours...
Dans ma vie j'ai peu détesté
Mais il y a un type que j'ai haï, vraiment
A fond
Longtemps
C'est ce Berger, le mec debout derrière son clavier
Mec à bouclettes, ridicule
France, qui ne l'a pas aimée, n'a pas été amoureux fou d'elle, n'a pas vécu.
Dalida aussi l'a chantée, la Mamma
C'est pour moi avenir destin de Camargue
Les Saintes Maries
Les roseaux couchés par les vents
Cette fille brune Magali
Sein rond qui pommelait le chemisier au téton pointu
Cheveux agités au vent
Yeux bleus de brune d'ici
Magnifiques
J'en suis encore aujourd'hui bousculé
De tourments des sables et des mers
Dans la cour du mas je l'avais, j'avais osé, prise à la taille
Elle s'était lovée
Et les chevaux blancs, derrière, avaient henni complices
Ses cheveux dans mon cou chatouillaient ma nuque
La Mamma, Pierre Barouh près du feu de sarments et souches grattait un air oublié et nous deux, Magali et moi, on se tenait l'un contre l'autre en symbiose avec lui et sa mélodie.
La jupe de toile dure point serré, longue, protégeait ses cuisses
Mes mains remontaient, chaudes, sur icelles
Sous mes paumes sa peau pileuse
Je pensais, que sera son intimité ?
A coup sûr touffue
Elle l'était
La vie, c'est ça
Des mots des paroles des phrases des vers
Dire sa touffe et l'éternité explose
Des silences des rêves, écrits ici, là
Des musiques des vers
Paroles, paroles, que tous ces mots
Sous la jupe mes mains étaient remonté au but ultime de mes intérêts
La culotte légère écartée j'étais entré au coeur.
Mamma, chantait Aznavour et moi je voyais les Saintes et ma bite bandait pour elles
Magali m'a souri et elle a pris de sa dextre
Elle l'a amenée à elle
Nymphe, je savais
Palpitante
Mamma est sur sa couche moribonde
Magali le sait et s'ouvre pour renouveau
Pour un nouvel enfant
Pour la vie.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vraiment superbe. Bravo!
Ce site HDS est un bonheur de liberté
Liberté de l’écriveur jamais censuré, ni pour excès de cochonceté ni pour mièvrerie.
Les administrateurs du site, les auteurs et les lecteurs ont tous une grande ouverture d’esprit et beaucoup de bienveillance.
C’est donc bien à tous ces gens que vous rendez hommage en écrivant :
« C'est très beau de trouver ce texte ici, sur ce site. »
C’est pas si facile.
Moi qui ai pas mal navigué de droite et de gauche je suis parfois étonné qu’après cinq mille lectures de 15 000 histoires il y ait eu si peu de rejet d’intolérance
Cela fait tout de même 75 millions de fois !!!
Bravo à cette population, un peu marginale, qui fait ainsi preuve d’une modernité épatante.
Comme quoi c’est à la marge qu’on trouve le bon.
La suite de votre commentaire est plus difficile à suivre
L’écriveur écrit des choses qu’il a dans la tête et qui sont souvent, idées images mots expressions des choses qu’il a vécues lues entendues ici ou là.
L’écriveur ne « glisse pas des citations » dans son texte.
C’est la tête de l’écriveur qui est pleine de choses qui glissent sous ses doigts sans qu’il en connaisse l’origine ou s’en souvienne de façon précise
« L’éternité explose » est une idée qui m’est chère car elle rapporte au concept du big bang, point initial
Penser que Pi le rapport de la circonférence au diamètre ou Pythagore sont des concept d’éternité, existant avant même le big bang et qui perdureront au delà de tout.
Ici le poème exprime l’inouï de sa fécondité, mère du monde, vie au delà des bornes communément admises de réalité, avant big bang et après encore.
« Dire sa touffe et l’éternité explose », c’est la réponse à « elle va mourir la Mamma. »
La chose que l’on ressent en écoutant la chanson.
La vie la mort sont idées qui préexistent au big bang tout comme Pi et quelques autres trucs que je n’ai pas encore réfléchis.
Personne ici n’a dit « hors sujet »
Tout le monde a compris que c’était là une véritable histoire de sexe, digne d’être ici publiée sur HDS
Jpj, écriveur
Liberté de l’écriveur jamais censuré, ni pour excès de cochonceté ni pour mièvrerie.
Les administrateurs du site, les auteurs et les lecteurs ont tous une grande ouverture d’esprit et beaucoup de bienveillance.
C’est donc bien à tous ces gens que vous rendez hommage en écrivant :
« C'est très beau de trouver ce texte ici, sur ce site. »
C’est pas si facile.
Moi qui ai pas mal navigué de droite et de gauche je suis parfois étonné qu’après cinq mille lectures de 15 000 histoires il y ait eu si peu de rejet d’intolérance
Cela fait tout de même 75 millions de fois !!!
Bravo à cette population, un peu marginale, qui fait ainsi preuve d’une modernité épatante.
Comme quoi c’est à la marge qu’on trouve le bon.
La suite de votre commentaire est plus difficile à suivre
L’écriveur écrit des choses qu’il a dans la tête et qui sont souvent, idées images mots expressions des choses qu’il a vécues lues entendues ici ou là.
L’écriveur ne « glisse pas des citations » dans son texte.
C’est la tête de l’écriveur qui est pleine de choses qui glissent sous ses doigts sans qu’il en connaisse l’origine ou s’en souvienne de façon précise
« L’éternité explose » est une idée qui m’est chère car elle rapporte au concept du big bang, point initial
Penser que Pi le rapport de la circonférence au diamètre ou Pythagore sont des concept d’éternité, existant avant même le big bang et qui perdureront au delà de tout.
Ici le poème exprime l’inouï de sa fécondité, mère du monde, vie au delà des bornes communément admises de réalité, avant big bang et après encore.
« Dire sa touffe et l’éternité explose », c’est la réponse à « elle va mourir la Mamma. »
La chose que l’on ressent en écoutant la chanson.
La vie la mort sont idées qui préexistent au big bang tout comme Pi et quelques autres trucs que je n’ai pas encore réfléchis.
Personne ici n’a dit « hors sujet »
Tout le monde a compris que c’était là une véritable histoire de sexe, digne d’être ici publiée sur HDS
Jpj, écriveur
C'est très beau de trouver ce texte ici, sur ce site. J'aime beaucoup vos citations, très finement glissées dans votre "poème". Bravo ! A ce propos : "l'éternité explose..." est-ce de vous ?