La nuisette de Noémie
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2020 dans la catégorie Plus on est
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La nuisette de Noémie
Noémie me tournait le dos. Elle m’avait dit, moi, pour dormir je relève mes genoux car j’ai mal au dos si je ne suis pas ainsi en chien de fusil. Alors viens-t-en contre mon dos contre mes fesses. Serre moi, c’est bon c’est chaud, j’aime.
J’aime quand un garçon ainsi me tient.
Noémie portait pour dormir ce soir-là, dans mes bras, une nuisette de coton fin.
Une nuisette, c’est une sorte de chemise sans manches qui couvre à peine le thorax jusqu’au haut du pubis.
Une nuisette, c’est une sorte de prétexte comme quoi la fille n’est pas entièrement toute nue mais quasiment presque.
Mes bras l’embrassaient et mes mains étaient posées sur sa poitrine, sur ses petites excroissances. Tandis que mes mains se posaient sur eux ses petits tétons pointaient. Magie de poitrine de jeune fille ingénue.
Je m’endormis ainsi et me réveillai matin en même situation de ses pointus affûtés au creux de mes paumes. Miracle de tendresse partagée. Et penser qu’elle avait bandé toute la nuit durant... Moi, en eus-je été capable ? Enfin sur une autre échelle, il est vrai.
Car bander je ne vivais que cela contre ses fesses chaudes et cela m’empêchait de m’endormir à fond, moi.
Ma bite était tantôt rigide tantôt comme bâton de bois. Enfin pour vous dire, je n’avais aucun répit.
Et c’était bon. On ne le dit jamais assez mais, pour un gars, il n’y a rien de meilleur que bandaison. Faudrait enseigner ça aux jeunes filles en éducation civique au lycée, elles sauraient alors mieux mener leur affaire avec leurs petits copains.
Les mercredi après-midi entre amis sur des lits de circonstance en tripotages et touche pipi. Enfin, souvenirs souvenirs... Je ne vous dis pas, vous avez connu ça vous aussi. Sûr. De troisième jusqu’en classe de première.
Les fesses de Noémie étaient douces à la main. Je descendais par dessus la nuisette depuis son cou et ses petits cheveux jusqu’au sacrum en longeant doucement sa colonne vertébrale et les multiples os pointus. Arrivée au bas de la nuisette ma main préhensile découvrait la chair de haut de craque, douce, moite accueillante, nue.
Mon équipe exploratrice avait trois doigts et une large paume.
Noémie aimait ce moment où ma paume balayait ses fesses. Non seulement elle remontait les genoux au menton mais encore elle cambrait son postérieur pour venir à la rencontre de la caresse.
Moi, mon moment sublime était quand ma paume embrassait les deux petits charnus de bas de fesses qui couvrent les ischions et mes trois doigts découvraient le creux velu et trempé et tout ouvert tout accueillant du fond d’elle.
Alors ses chairs compliquées s’agitaient doucement comme pour engloutir mes bouts de doigt en sables mouvants de villosités préhensiles. Une phalange, deux phalanges et j’étais capturé prisonnier d’une contraction puissante qui me voulait garder, ambassadeur émissaire de paix, estafette porteur de drapeau blanc, comme invite à visite plus protocolaire ultérieure.
Un moment de calme s’en suivait, toujours.
Tu étais, Noémie, chaude dans mes bras et j’avais alors entre les cuisses un énorme sentiment de tendresse.
Ma main droite à l’intérieur de toi et mon bras gauche qui te tenait serrée, main posée sur ton petit sein dont le téton tout dur disait ton accord à notre union, ta détermination à l’aboutissement de nous deux.
Noémie était douce, Noémie était dure, musculeuse contre moi. Les petits cheveux fins de la nuque de Noémie sentaient bon et m’enivraient lors que je me shootais à les respirer de profondes inspirations.
Ma main l’a quittée et mon ventre a remplacé.
Ses fesses contre moi ouvertes et reculées cherchaient à m’enfoncer plus profond encore au creux d’elle.
Alors mon extrémité abutée au col dur d’elle s’est mise à hoqueter lâchant de puissantes envolées karchérisant le fond de son intimité pour lui dire la sincérité de mon amitié.
** *
Au soleil levant, quand les tourterelles se sont mises à chanter dans le grand arbre devant la fenêtre ouverte, Noémie a quitté mes bras et a sauté hors du lit. La nuisette était troussée à ses aisselles et j’avais sous les yeux ses deux fesses rondes comme assise de son grand dos. Elle s’est baissée pour enfiler les deux mules qui lui servaient de chaussons d’intérieur et j’ai pu admirer les parenthèses velues entre ses cuisses.
Noémie était une vraie blonde à chevelure en tignasse épaisse. Aussi, en concordance, son intimité était-elle couverte d’une toison presqu’aussi claire presqu’autant blonde mais encore plus touffue qui cachait pudiquement ses secrets.
Seule différence, les cheveux sur sa tête étaient longs et raides lors que les poils de son creux étaient courts et frisés.
Moi, je matais, en contre-plongée depuis le traversin, et je me régalais. Sa petite boulette s’échappait d’en bas du dindon, tête rose presque décalottée comme gland miniature de garçon.
Je pensais, je l’amène à la douche et je lui bouffe la chatoune tandis qu’elle me lave les cheveux au shampoing ultra lisse de Garnier.
Tandis que je sortais de dessous la couette elle a tiré la nuisette sur ses hanches sur son ventre, fille pudique.
Elle a vu mon zob dressé, glorieux comme souvent le matin au réveil.
Elle a dit, je t’aurais volontiers engoulé d’une bonne petite pipe mais franchement ton engin est hors norme, bien trop gros pour ce genre de prestation d’aube.
Alors, comme le corbeau de la fable, je ne me sentais plus de joie.
Sous la douche, après avoir pendu sa nuisette à la patère, elle a oint ses deux mains de Sanex 0% et entrepris un pompier de légende sur ma tige dressée. Il m’a fallu toute ma détermination pour ne pas m’épanouir dans ses paumes et garder quelques réserves pour la suite des opérations.
Car Noémie était l’aînée d’une fratrie de filles. Trois sœurs, quasiment du même âge. Et blondes l’une et l’autre comme elle.
Elle m’avait dit, tu verras, mes frangines, bien que jeunettes, sont chaleureuses avec les garçons. On est comme ça dans notre famille. C’est un truc de gènes je crois.
Heureusement que nous n’avons pas de frère, il aurait été baptisé le queutard par tout le quartier au grand dam de nous trois, ses frangines.
Ou alors, el Caliente... Ça sonne bien, El Caliente pour un gars un peu chaud, non ?
Les deux gamines étaient entrées dans la chambre en rigolant et sautaient sur le lit en chahutant dans leurs pyjamas bleus jumeaux. Et moi, sous la douche, bandant comme un âne dans les mains habiles de la grande sœur, je me sentais pris au piège d’une embuscade de trois filles.
Les deux frangines se pourléchaient déjà les babines en matant le beau spécimen, moi tout nu sous la douche, qui plus est en bonnes mains, ramené à la maison par leur grande sœur ce jour-là.
Enfin, la veille au soir plutôt.
L’une d’entre elles avait une bouche géante, une gueule à enfourner les pains dits de campagne.
Moi je pensais, à la ville, nous on se contente modestement de baguettes mais à la campagne les filles sont bien plus voraces.
Enfin, pour tout dire j’étais tout à fait enthousiaste devant la cadette et son gosier béant à la Béatrice Dalle, avec des lèvres de fellatrice prédatrice en totale appétence.
On s’est séchés, Noémie et moi, en se frottant mutuellement d’une grande serviette éponge et on est revenus amoureux à la chambre, tous nus, main dans la main.
Les deux gamines étaient dans le lit cachées sous la couette et, pour bien marquer leur détermination, avaient posé leurs pyjamas bleus, haut et bas deux fois, sur le couvre-pied.
Noémie a dit, c’est tradition chez nous, tu te dois.
Le king size s’y prêtait. On s’est glissés à notre tour dans le lit, tous frais tout propres, et les deux petites m’ont fait fête, l’une plongeant sur ma quique pour la bouffer jusqu’au trognon, l’autre m’embrassant de palot mouillé french kiss la langue aux amygdales et de l’autre côté un doigt mouillé profond dans mon cul à peser sur ma glande prostatique.
Enfin, pour vous dire, c’était vraiment sympa.
J’aime quand un garçon ainsi me tient.
Noémie portait pour dormir ce soir-là, dans mes bras, une nuisette de coton fin.
Une nuisette, c’est une sorte de chemise sans manches qui couvre à peine le thorax jusqu’au haut du pubis.
Une nuisette, c’est une sorte de prétexte comme quoi la fille n’est pas entièrement toute nue mais quasiment presque.
Mes bras l’embrassaient et mes mains étaient posées sur sa poitrine, sur ses petites excroissances. Tandis que mes mains se posaient sur eux ses petits tétons pointaient. Magie de poitrine de jeune fille ingénue.
Je m’endormis ainsi et me réveillai matin en même situation de ses pointus affûtés au creux de mes paumes. Miracle de tendresse partagée. Et penser qu’elle avait bandé toute la nuit durant... Moi, en eus-je été capable ? Enfin sur une autre échelle, il est vrai.
Car bander je ne vivais que cela contre ses fesses chaudes et cela m’empêchait de m’endormir à fond, moi.
Ma bite était tantôt rigide tantôt comme bâton de bois. Enfin pour vous dire, je n’avais aucun répit.
Et c’était bon. On ne le dit jamais assez mais, pour un gars, il n’y a rien de meilleur que bandaison. Faudrait enseigner ça aux jeunes filles en éducation civique au lycée, elles sauraient alors mieux mener leur affaire avec leurs petits copains.
Les mercredi après-midi entre amis sur des lits de circonstance en tripotages et touche pipi. Enfin, souvenirs souvenirs... Je ne vous dis pas, vous avez connu ça vous aussi. Sûr. De troisième jusqu’en classe de première.
Les fesses de Noémie étaient douces à la main. Je descendais par dessus la nuisette depuis son cou et ses petits cheveux jusqu’au sacrum en longeant doucement sa colonne vertébrale et les multiples os pointus. Arrivée au bas de la nuisette ma main préhensile découvrait la chair de haut de craque, douce, moite accueillante, nue.
Mon équipe exploratrice avait trois doigts et une large paume.
Noémie aimait ce moment où ma paume balayait ses fesses. Non seulement elle remontait les genoux au menton mais encore elle cambrait son postérieur pour venir à la rencontre de la caresse.
Moi, mon moment sublime était quand ma paume embrassait les deux petits charnus de bas de fesses qui couvrent les ischions et mes trois doigts découvraient le creux velu et trempé et tout ouvert tout accueillant du fond d’elle.
Alors ses chairs compliquées s’agitaient doucement comme pour engloutir mes bouts de doigt en sables mouvants de villosités préhensiles. Une phalange, deux phalanges et j’étais capturé prisonnier d’une contraction puissante qui me voulait garder, ambassadeur émissaire de paix, estafette porteur de drapeau blanc, comme invite à visite plus protocolaire ultérieure.
Un moment de calme s’en suivait, toujours.
Tu étais, Noémie, chaude dans mes bras et j’avais alors entre les cuisses un énorme sentiment de tendresse.
Ma main droite à l’intérieur de toi et mon bras gauche qui te tenait serrée, main posée sur ton petit sein dont le téton tout dur disait ton accord à notre union, ta détermination à l’aboutissement de nous deux.
Noémie était douce, Noémie était dure, musculeuse contre moi. Les petits cheveux fins de la nuque de Noémie sentaient bon et m’enivraient lors que je me shootais à les respirer de profondes inspirations.
Ma main l’a quittée et mon ventre a remplacé.
Ses fesses contre moi ouvertes et reculées cherchaient à m’enfoncer plus profond encore au creux d’elle.
Alors mon extrémité abutée au col dur d’elle s’est mise à hoqueter lâchant de puissantes envolées karchérisant le fond de son intimité pour lui dire la sincérité de mon amitié.
** *
Au soleil levant, quand les tourterelles se sont mises à chanter dans le grand arbre devant la fenêtre ouverte, Noémie a quitté mes bras et a sauté hors du lit. La nuisette était troussée à ses aisselles et j’avais sous les yeux ses deux fesses rondes comme assise de son grand dos. Elle s’est baissée pour enfiler les deux mules qui lui servaient de chaussons d’intérieur et j’ai pu admirer les parenthèses velues entre ses cuisses.
Noémie était une vraie blonde à chevelure en tignasse épaisse. Aussi, en concordance, son intimité était-elle couverte d’une toison presqu’aussi claire presqu’autant blonde mais encore plus touffue qui cachait pudiquement ses secrets.
Seule différence, les cheveux sur sa tête étaient longs et raides lors que les poils de son creux étaient courts et frisés.
Moi, je matais, en contre-plongée depuis le traversin, et je me régalais. Sa petite boulette s’échappait d’en bas du dindon, tête rose presque décalottée comme gland miniature de garçon.
Je pensais, je l’amène à la douche et je lui bouffe la chatoune tandis qu’elle me lave les cheveux au shampoing ultra lisse de Garnier.
Tandis que je sortais de dessous la couette elle a tiré la nuisette sur ses hanches sur son ventre, fille pudique.
Elle a vu mon zob dressé, glorieux comme souvent le matin au réveil.
Elle a dit, je t’aurais volontiers engoulé d’une bonne petite pipe mais franchement ton engin est hors norme, bien trop gros pour ce genre de prestation d’aube.
Alors, comme le corbeau de la fable, je ne me sentais plus de joie.
Sous la douche, après avoir pendu sa nuisette à la patère, elle a oint ses deux mains de Sanex 0% et entrepris un pompier de légende sur ma tige dressée. Il m’a fallu toute ma détermination pour ne pas m’épanouir dans ses paumes et garder quelques réserves pour la suite des opérations.
Car Noémie était l’aînée d’une fratrie de filles. Trois sœurs, quasiment du même âge. Et blondes l’une et l’autre comme elle.
Elle m’avait dit, tu verras, mes frangines, bien que jeunettes, sont chaleureuses avec les garçons. On est comme ça dans notre famille. C’est un truc de gènes je crois.
Heureusement que nous n’avons pas de frère, il aurait été baptisé le queutard par tout le quartier au grand dam de nous trois, ses frangines.
Ou alors, el Caliente... Ça sonne bien, El Caliente pour un gars un peu chaud, non ?
Les deux gamines étaient entrées dans la chambre en rigolant et sautaient sur le lit en chahutant dans leurs pyjamas bleus jumeaux. Et moi, sous la douche, bandant comme un âne dans les mains habiles de la grande sœur, je me sentais pris au piège d’une embuscade de trois filles.
Les deux frangines se pourléchaient déjà les babines en matant le beau spécimen, moi tout nu sous la douche, qui plus est en bonnes mains, ramené à la maison par leur grande sœur ce jour-là.
Enfin, la veille au soir plutôt.
L’une d’entre elles avait une bouche géante, une gueule à enfourner les pains dits de campagne.
Moi je pensais, à la ville, nous on se contente modestement de baguettes mais à la campagne les filles sont bien plus voraces.
Enfin, pour tout dire j’étais tout à fait enthousiaste devant la cadette et son gosier béant à la Béatrice Dalle, avec des lèvres de fellatrice prédatrice en totale appétence.
On s’est séchés, Noémie et moi, en se frottant mutuellement d’une grande serviette éponge et on est revenus amoureux à la chambre, tous nus, main dans la main.
Les deux gamines étaient dans le lit cachées sous la couette et, pour bien marquer leur détermination, avaient posé leurs pyjamas bleus, haut et bas deux fois, sur le couvre-pied.
Noémie a dit, c’est tradition chez nous, tu te dois.
Le king size s’y prêtait. On s’est glissés à notre tour dans le lit, tous frais tout propres, et les deux petites m’ont fait fête, l’une plongeant sur ma quique pour la bouffer jusqu’au trognon, l’autre m’embrassant de palot mouillé french kiss la langue aux amygdales et de l’autre côté un doigt mouillé profond dans mon cul à peser sur ma glande prostatique.
Enfin, pour vous dire, c’était vraiment sympa.
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