La Nuit des Officiers
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Nuit des Officiers
Jpj, Grand Théâtre de Bordeaux janvier 2014
Elle m'a dit, ce soir ce sera sans culotte
Je n'en n'ai plus de propre, ma bonne est malade
Enfin tout ça pour te dire que, ce soir, je n'ai pas de culotte
Ce soir
Moi, qu'elle n'ait pas eu de culotte ce soir-là, n'était pas le truc important...
Tant de filles n'en n'ont pas
Souvent, si souvent
Et, nous, n'en faisons pas un pataquès
N'est-il ?
Les filles elles sont spéciales
Elles croient que c'est important qu'elles aient ou non culotte
En fait, pour nous c'est peanuts, la culotte
Nous on s'en fout de leur culotte
De toutes façons, les filles, la culotte elles l'ôtent
Chaque fois
Sans rouscailler
Les filles, elles rouscaillent jamais pour l'ôter
Les filles, elles sont comme ça...
Enfin, en arrivant au bas du grand escalier d'honneur du grand théâtre de Bordeaux
Je pensais, elle est là à mon bras et elle n'a pas de culotte
On montait les marches, elle pendue à moi, sans sa culotte
Et tous les sous-offs mataient ses fesses
Sous la robe longue blanche en maille acrylique moulante
Elle pensait ces jeunes sont là à bander sur les marches
Les yeux braqués sur le bas de mon dos
Dessiné en ondulations floues, sans le marqué
Sans l'élastique si peu seyant de la culotte
Elle pensait et, en regardant les gars en ringuette appuyés à la rampe de pierre
Les yeux braqués
Elle mouillait sa culotte
Enfin, elle mouillait abondamment
Sans savoir quoi ni où
Elle mouillait son absence de culotte
Et, étonnamment, ça lui faisait de l'effet
Les filles, elles sont comme ça
La culotte, elles la mouillent, même quand elles n'en n'ont pas
Les filles, tout se passe dans leur tête...
Moi, les filles, je les aime
Surtout quand elles ne portent pas de culotte
Enfin, pas tout à fait vrai...
Moi je les aime, sans conditions, les filles...
Moi, en montant l'escalier du grand théâtre de Bordeaux
Je pensais
En regardant les gars, les jeunes gars, en habits bleu marine à parement rouge et ors
Avec cette femelle qui exhalait luxure à mon bras
Moi, je pensais, ils bandent tous, les cons
S'ils savaient qu'en plus elle ne porte pas de culotte...
Les slips trempés de foutre sous le futal raide de l'uniforme
Penseraient-ils encore ?
Ou bien seraient-ils tous bouches bées en attente d'un regard de la belle ?
L'orchestre dans le grand salon jouait du ,jazz
En slow, Moonlight in Vermont, moi je l'ai prise dans mes bras
Mon ventre cherchait le sien à travers la fine maille blanche
Je savais pour l'avoir aperçu un peu plus tôt
Qu'un de ses poils pubiens
Noir, frisé
Avait traversé la maille claire de sa robe longue
Et faisait le fier, là devant le pubis
Son pubis chatoyant, proéminent, rond et saillant
Sur l'étoffe blanche
Ondulante, moulante
Mon abdomen collé au sien ressentait les vibrations de son ventre
J'étais perdu dans des pensées de connivence
Et d'unisson
Un officier
Sanglé dans son uniforme flamboyant est venu à nous
Son sourire était d'une totale indécence
Il a pris, doucement, tendrement, fermement, mon amie par la main
Elle était subjuguée
Je pensais, en sus elle n'a pas de culotte
Sur le balcon du Grand Théâtre de Bordeaux
Les yeux perdus sur les toits de la ville percluse de lumiéres
Elle a senti la robe sur son dos troussée
Et la bite de l'homme la pénétrer
Son bassin est venu doucement en arrière
Coller ses fesses contre l'officier
Sa queue, ses couilles
Pour mieux
Pour mieux
Quand on est rentrés
Dans mon Audi
Je l'ai ramenée
Elle m'a dit
Non, je me trompe, elle n'a rien dit
Ce soir-là
Faut dire que, mine de rien, les officiers, nous les gars à Bordeaux
Je ne dirai pas qu'on les aime pas
Mais tout de même, on se méfie, on se gare
Des vrais, de Terre ou de Marine
Pire même, des Aéros de Mérignac
Enfin ceux qu'on préfère, les cons, c'est les Santé-Navale
Leur uniforme est bleu foncé
Comme celui des Gad'zarts
Avec épaulettes dorées
Mais on ne sait jamais
Si ce sont les Uns ou si ce sont les Autres
Les Gad'z avec leur Fignolante rouge à la pochette
Les Gad'z tous des salauds, on se méfie
On se gare
On gare nos gonzesses
Les filles aussi se méfient
Enfin, elles ne se méfient jamais assez
Enfin pas tant qu'il faudrait
Pas tant qu'on voudrait
Nous les gars Bordelais
L'eût fallu qu'elles se méfiassent ben plus
Ma copine, s'était pas méfié assez à cette soirée des Officiers
Et voilà ce qui est arrivé
Moi, j'aime bien à Bordeaux, les histoires de soirées, de balcons, d'officiers
Moi, j'aime cette saison des bals au Grand Théâtre et dans les Châteaux de Bord de Garonne
Dans la douceur de la fin du Printemps
J'aime les filles qui ne savent pas mais qui aiment
Le soir sentir en elles monter la bite dure longue aimante des Officiers
Penchées, le thorax, le buste en avant
Appuyées sur les margelles
Fesses hautes
Accueillantes
Elle m'a dit, ce soir ce sera sans culotte
Je n'en n'ai plus de propre, ma bonne est malade
Enfin tout ça pour te dire que, ce soir, je n'ai pas de culotte
Ce soir
Moi, qu'elle n'ait pas eu de culotte ce soir-là, n'était pas le truc important...
Tant de filles n'en n'ont pas
Souvent, si souvent
Et, nous, n'en faisons pas un pataquès
N'est-il ?
Les filles elles sont spéciales
Elles croient que c'est important qu'elles aient ou non culotte
En fait, pour nous c'est peanuts, la culotte
Nous on s'en fout de leur culotte
De toutes façons, les filles, la culotte elles l'ôtent
Chaque fois
Sans rouscailler
Les filles, elles rouscaillent jamais pour l'ôter
Les filles, elles sont comme ça...
Enfin, en arrivant au bas du grand escalier d'honneur du grand théâtre de Bordeaux
Je pensais, elle est là à mon bras et elle n'a pas de culotte
On montait les marches, elle pendue à moi, sans sa culotte
Et tous les sous-offs mataient ses fesses
Sous la robe longue blanche en maille acrylique moulante
Elle pensait ces jeunes sont là à bander sur les marches
Les yeux braqués sur le bas de mon dos
Dessiné en ondulations floues, sans le marqué
Sans l'élastique si peu seyant de la culotte
Elle pensait et, en regardant les gars en ringuette appuyés à la rampe de pierre
Les yeux braqués
Elle mouillait sa culotte
Enfin, elle mouillait abondamment
Sans savoir quoi ni où
Elle mouillait son absence de culotte
Et, étonnamment, ça lui faisait de l'effet
Les filles, elles sont comme ça
La culotte, elles la mouillent, même quand elles n'en n'ont pas
Les filles, tout se passe dans leur tête...
Moi, les filles, je les aime
Surtout quand elles ne portent pas de culotte
Enfin, pas tout à fait vrai...
Moi je les aime, sans conditions, les filles...
Moi, en montant l'escalier du grand théâtre de Bordeaux
Je pensais
En regardant les gars, les jeunes gars, en habits bleu marine à parement rouge et ors
Avec cette femelle qui exhalait luxure à mon bras
Moi, je pensais, ils bandent tous, les cons
S'ils savaient qu'en plus elle ne porte pas de culotte...
Les slips trempés de foutre sous le futal raide de l'uniforme
Penseraient-ils encore ?
Ou bien seraient-ils tous bouches bées en attente d'un regard de la belle ?
L'orchestre dans le grand salon jouait du ,jazz
En slow, Moonlight in Vermont, moi je l'ai prise dans mes bras
Mon ventre cherchait le sien à travers la fine maille blanche
Je savais pour l'avoir aperçu un peu plus tôt
Qu'un de ses poils pubiens
Noir, frisé
Avait traversé la maille claire de sa robe longue
Et faisait le fier, là devant le pubis
Son pubis chatoyant, proéminent, rond et saillant
Sur l'étoffe blanche
Ondulante, moulante
Mon abdomen collé au sien ressentait les vibrations de son ventre
J'étais perdu dans des pensées de connivence
Et d'unisson
Un officier
Sanglé dans son uniforme flamboyant est venu à nous
Son sourire était d'une totale indécence
Il a pris, doucement, tendrement, fermement, mon amie par la main
Elle était subjuguée
Je pensais, en sus elle n'a pas de culotte
Sur le balcon du Grand Théâtre de Bordeaux
Les yeux perdus sur les toits de la ville percluse de lumiéres
Elle a senti la robe sur son dos troussée
Et la bite de l'homme la pénétrer
Son bassin est venu doucement en arrière
Coller ses fesses contre l'officier
Sa queue, ses couilles
Pour mieux
Pour mieux
Quand on est rentrés
Dans mon Audi
Je l'ai ramenée
Elle m'a dit
Non, je me trompe, elle n'a rien dit
Ce soir-là
Faut dire que, mine de rien, les officiers, nous les gars à Bordeaux
Je ne dirai pas qu'on les aime pas
Mais tout de même, on se méfie, on se gare
Des vrais, de Terre ou de Marine
Pire même, des Aéros de Mérignac
Enfin ceux qu'on préfère, les cons, c'est les Santé-Navale
Leur uniforme est bleu foncé
Comme celui des Gad'zarts
Avec épaulettes dorées
Mais on ne sait jamais
Si ce sont les Uns ou si ce sont les Autres
Les Gad'z avec leur Fignolante rouge à la pochette
Les Gad'z tous des salauds, on se méfie
On se gare
On gare nos gonzesses
Les filles aussi se méfient
Enfin, elles ne se méfient jamais assez
Enfin pas tant qu'il faudrait
Pas tant qu'on voudrait
Nous les gars Bordelais
L'eût fallu qu'elles se méfiassent ben plus
Ma copine, s'était pas méfié assez à cette soirée des Officiers
Et voilà ce qui est arrivé
Moi, j'aime bien à Bordeaux, les histoires de soirées, de balcons, d'officiers
Moi, j'aime cette saison des bals au Grand Théâtre et dans les Châteaux de Bord de Garonne
Dans la douceur de la fin du Printemps
J'aime les filles qui ne savent pas mais qui aiment
Le soir sentir en elles monter la bite dure longue aimante des Officiers
Penchées, le thorax, le buste en avant
Appuyées sur les margelles
Fesses hautes
Accueillantes
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bien !!
Ces soirées seraient sans doute ennuyeuses,
Les officiers peut-être s'y ennuieraient,
S'il n'y avait de jolies bordelaises pour les égayer,
Oublieuses de leurs dessous,
... qu'elles se méfiassent?
... fussent moins généreuses à se partager?
C'eût été dommage!
Les officiers peut-être s'y ennuieraient,
S'il n'y avait de jolies bordelaises pour les égayer,
Oublieuses de leurs dessous,
... qu'elles se méfiassent?
... fussent moins généreuses à se partager?
C'eût été dommage!