La plage 2 - histoire érotique

La plage 2

Je leur avais donné rendez-vous au camping quasiment désert. Le propriétaire était chez lui devant la télévision et on entendait le son par les fenêtres ouvertes, ils trouvèrent sans mal mon logis éclairé.

J'avais mis de la musique douce et des bougies parfumées à la citronnelle.
J'avais sorti de la vodka et du jus d'orange, alcool â la mode des années70 et du whisky Coca-Cola.
Eux, ils sont arrivés avec la pizza et des fruits comme convenu. Nous avons d'abord mangé et bu.
J'étais assise sur le vieux canapé lit tout défoncé et les deux garçons m'ont rejoints en se plaçant des deux côtés.
Nous avons commencé par flirter gentiment en buvant des verres , il faisait chaud malgré les vitres grandes ouvertes, nous avons parlé de nos centres d'intérêt puis progressivement de ce qui s'était passé l'après midi.

Il me raconte qu'ils étaient intrigués par ce corps allongé sur la plage , immobile : la belle endormie, telle une sirène qui n'attend que le baiser d'un prince charmant pour renaître.

Puis le besoin sexuel s'est imposé. D'abord des attouchements puis ils se sont enhardis, s'attendant à un refus, les barrières sont tombées, les digues ont lâchées : La plage déserte, la mer, une fille qui s'offre, pire, qui en redemande.
Le fantasme adolescent absolu qui se réalise.

Alors les choses se sont enchaînées tout naturellement, une fellation pour l'un, une pénétration vaginale pour l'autre et le plaisir au bout.
Un long moment où la tension est retombée, un grand moment de gêne puis le bain salvateur.

Au fur et à mesure, mon corps s'excite, je revis les émotions de l'après midi et je leur fais part du plaisir qu'ils m'ont donné. Je leur ai avoué que j'ai le fantasme depuis toujours de faire l'amour à deux garçons en même temps. Que cette après midi, j'ai à moitié réalisé ce rêve. Ils sont beaux et ont été parfaits.
Ils cachent leur surprise en riant et en buvant.

Je n'attendais que ce moment de les retrouver et je n'ai aucune gêne. J'ai passé l'âge des minauderies et je ne suis pas une mijaurées, j'ai passé six mois à vivre comme une nonne à travailler d'arrache pied pour mes examens. Aussi je veux m'éclater, baiser un maximum et rattraper le temps perdu avec de beaux mecs sympas de préférence. Et là, j'ai gagné le jackpot . Bien sûr, cela , je le garde pour moi. Je n'ai pas envie de passer pour une pute.

Pendant ce temps ils avaient glissé leurs doigts sur mon chemisier exempt de soutien gorge. Ils me caressaient doucement et maladroitement pendant que mes mains reposaient sur la bosse de leur jeans.
J'aimais ce moment d'excitation, les doigts malhabiles qui tâtonnent sur ma poitrine,
Nos souffles qui s'accélèrent, je sens leurs bites qui grossissent à l'étroit dans leurs pantalons. Je fais durer l'attente et la frustration. En gros, je les chauffe mais ils n'osent pas brusquer les choses.

Nous nous agitons, cherchant une position plus confortable. Ils cherchent ma bouche, mes lèvres, j'embrasse l'un puis l'autre, nos langues s'emmêlent , le baiser dure pendant qu'on me défait les boutons de mon chemisier, des mains me caressent les seins , le ventre, je suis à moitié allongée sur le canapé, mes tétons sont roulés, pincés, étirés, puis une bouche s'en saisit délicatement. Ils sont tour à tour aspirés, léchés, sucés, mordillés pendant qu'on m'embrasse encore. Mon sexe est humide mais je fais durer un long moment. Je sens que je mène la danse et qu'ils attendent que j'aille plus loin.


Je fais une pause pour déplier le lit, et ils me déshabille, puis c'est leur tour.
Ils sont beaux comme des dieux. Frisés, musclés, leur sexe bondit de leur pantalon au garde à vous. Je m'assieds au bord du lit et les mets face à moi. Djibril est plus grand, plus fin, un profil anguleux, plus réservé, plus gauche aussi. C'est lui que j'ai sucé. Pour l'instant, ce sont ses bourses que j'ai sous les yeux. Je prends les deux sexes en main et les masturbe doucement, je prends celui de Malik en bouche, je l'embrasse, ma langue courre sur le côté, j'agace le méat, suçote le gland. Sa verge est épaisse. Au repos c'était un gros boudin noir sur sa cuisse, en érection, elle est magnifique, plus de 15 centimètres, peut être 18 ou vingt. Elle est lourde. Je ne la prendrais pas totalement en bouche.
Elle va m'asphyxier et me faire vomir mais je me régale d'un si beau morceau. J'ai pris son gland en bouche et je le regarde fermer les yeux, lui aussi, il savoure. Ma langue en fait le tour, il frotte contre mon palais et atteint ma gorge. Je monte et je descends et ma main tient la base et tourne alternativement. Il me tient la tête sur les tempes et me caresse les cheveux, il m'accompagne sans forcer. J'apprécie sa douceur, c'est moi qui rythme la fellation et je m'efforce de serrer ma mâchoire et d'augmenter l'amplitude.
Djibril se caresse lentement, sa verge s'est allongée, elle est fine et recourbée avec un gros gland circoncis, il me tarde de les comparer en pleine action.

Une pensée me traverse : Et si je lui offrais mon dépucelage anal, je suis vierge de ce côté-là, malgré plusieurs sollicitations. Sa verge me paraît être idéale. Ce soir, je veux m'éclater et tout essayer.

Je fatigue dans cette position et je propose à Malik d'inverser, je me mets à quatre pattes le visage tourné vers Djibril à la bonne hauteur, les fesses de l'autre. Je leur ai dit que j'aime sucer mais que l'inverse est encore meilleur.
Malik se glisse sous moi, les jambes au sol et m'attrape par les hanches. Mon sexe est collé à sa bouche. Il lappe les grandes lèvres puis recueille mon jus à l'entrée du vagin, remonte et darde le bout de sa langue sur mon bouton. Je réagis en contractant mon bassin et me lâche, sa langue tourne autour et il me fait de petits suçons divins, je me sens partir et un premier orgasme me saisit.

J'interromps ma fellation pour lui dire d'arrêter, il rampe sur le dos et je viens l'embrasser. Je goûte ma mouille puis je m'empale sur son braquemart qui redevient très rigide.
Nous accordons nos mouvements, lui, soulevant son bassin, moi, venant à sa rencontre en abaissant le mien.
Je reprends ma fellation en saisissant les fesses de Djibril à pleines mains, il me baise la bouche en alternant mouvements lents et profonds et coups rapides, je bave sur le canapé. Il tient le rythme mais je lui fais signe d'arrêter.

Je suis au bord d'un nouvel orgasme que je sens monter et explose. Je m'écroule sur Malik .
Nous nous dégageons mais les garçons sont frustrés. Je reprends mon souffle et je leur explique que je n'aime pas le sperme dans ma bouche ni avaler. Je leur explique aussi que je ne suis pas sûr de ma contraception et que j'ai apprécié qu'ils éjaculent respectivement sur le sable et mon dos.
A ce moment-là, on aurait dit deux enfants de la maternelle que l'on prive de dessert aussi je propose à Djibril de me sodomiser à condition d'y mettre du temps et de la douceur et pendant ce temps Malik s'occupera de moi avec ses doigts et sa bouche en attendant son tour.

Les garçons sont prêts à accepter tout ce que leur propose mais Malik a une autre idée. Il sort une boîte de préservatifs de la poche de son jeans et nous dit : Rapports protégés. "Cela facilitera la sodomie et on pourra même te prendre en double pénétration anale et vaginale. J'ai vu ça sur une vidéo porno."
Là, je me sens prise au dépourvu. J''accepte dans le principe mais on stoppe tout si cela ne me convient pas.
Encore une fois, ils sont prêts à accepter tout mais j'ai franchement peur du dérapage.

Malik prend les choses en main. Je suis à quatre pattes sur le lit, Djibril à côté de moi me caresse et m'embrasse en me chuchotant des mots doux. Malik s'est agenouillé derrière et sa langue me lèche l'anus, il salive abondamment et entre un puis deux doigts qu'il fait pénétrer et tourner. Il me demande ce que je ressens, je lui dis que c'est étrange mais pas désagréable, il rajoute de l'huile solaire er un troisième doigt. Il me dit de me relâcher et agite ses doigts en mimant un coït. Je ressens du plaisir, celui d'être pénétrer, mon vagin aussi le ressens. Il me dit que la verge de Djibril n'est pas plus large que ses doigts. Il se retire et je sens mon anneau se refermer. Djibril met le préservatif avec difficulté, il n'a visiblement pas l'habitude…

Je sens sa verge qui tâtonne, j'écarte mes fesses et il trouve l'entrée. Je le bloque, son gland est sur ma corolle, Malik me dit de pousser comme pour aller aux toilettes. Je sens l'anneau qui cède. Il entre doucement, s'arrête pour que m'y habitue puis reprend sa progression. Je le sens bien, la sensation est délicieuse. Je comprends que l'on puisse jouir de cette manière pour moi sans risque.
Je me laisse aller, les doigts de Malik remplacent les miens sur mon clitoris, il martyrise mon clitoris et de l'autre main, tente une pénétration vaginale.
A ce moment-là, je lâche prise : Djibril me pourfend et me pilonne, Malik a réussi à me pénétrer vaginalement avec ses doigts et fait des va et viens rapides. Je feule, j'explose, je tremble de tout mon corps…

Djibril a joui également dans son préservatif qu'il récupère en se retirant , je suis allongée en nage sur Malik. Nous restons un long moment ainsi puis décidons de prendre une douche tous ensemble dans la cabine pour handicapé.


Minuit passé, nous dormons tous les trois ensembles dans le lit en 140, imbriqués, les deux garçons de chaque côté.
Au réveil, nous avons un peu la gueule de bois, les caleçons sont tendus, j'ai un peu mal à la tête, aux lèvres et à la mâchoire mais aussi au cul en allant à la selle.

Mais quelle partie de baise.
Les garçons voudraient remettre le couvert mais je leur annonce que les vacances sont finies pour moi.