LA POUTRE (3) : Le trio - histoire érotique

CHAPITRE 3
- Le trio -

Après l'épisode des toilettes, je pensais que Bryan me laisserait tranquille. Au lieu de quoi, les brimades reprirent de plus belles. Certes, il ne me fit plus sucer sa grosse queue (à mon grand désespoir!) mais il prit un malin plaisir à m'humilier devant les autres élèves de ma classe, ce qui ajouta à mon isolement.

Le point culminant fut atteint lors de notre séance commune à la piscine Saint Roch. J'avais tellement été rabaissé que je redoutais le pire.

Je patientais en frissonnant sur le parking du lycée. Nous attendions l'autre classe de terminale. Je priais pour qu'ils n'arrivent pas mais peine perdue, je les entendais rire au loin. Et la grande silhouette de Bryan qui émergeait à mesure qu'ils approchaient accentua mon angoisse. Qu'allait-il me réserver aujourd'hui?

Le bus arriva. Il m'agrippa le bras au moment de monter et m'entraîna tout au fond, accompagné de ses deux acolytes.

- Je t'ai réservé un programme de choix, aujourd'hui.

S'étant assuré que les deux profs, à l'avant, étaient confortablement installés et ne leur poseraient pas d'ennuis, il ouvrit sa braguette et en sortit un sexe à demi bandé. De l'endroit où nous étions, aucun élève ne pouvait voir précisément ce qui se passait. Et puis, personne n'aurait songé à dénoncer le tyrannique Bryan. Il m'obligea à le branler et à lécher sa mouille sur mes doigts gluants. Ses deux compères s'astiquèrent aussi le manche tout en murmurant des mots grossiers.

Une fois arrivés, nous fûmes répartis par groupes de quatre dans de petits box. Inutile de préciser que mon clavaire ne fit qu'empirer.

- Fous-toi à genoux, comme la dernière fois.

- Mais,... la prof va s'apercevoir de notre abs...

- T'inquiète, ajouta-t-il goguenard, le cours commence dans cinq minutes.

Il se tourna vers ses deux complices.

- Faites-vous plaisir, les gars. Cette pute est à vous.

Aussitôt, deux queues s'avancèrent dans ma direction. J'en pris une en bouche pendant que je branlais l'autre. Elles n'étaient pas aussi grosses que celle de Bryan, ce qui me frustra un peu.

- Humm! T'as raison Bryan, il est vraiment doué.

- Aaarggghh!!! je viens...

Il déchargea dans ma bouche. J'essayai de ne rien perdre pour ne pas tâcher mes vêtements mais celui que je branlais aspergea mon jeans et mes chaussures. J'allais protester lorsque je reçus deux beignes.

- Tu t'es conduit comme la petite pute que tu es devenu. Allez, dessape-toi, c'est l'heure.

Je me retournai pour ôter mon pantalon poisseux et mon boxer. Mais la cabine était vraiment trop exiguë et je fus forcé d'exhiber mon sexe à mes tortionnaires qui en restèrent bouche-bée.

- Putain, l'engin! s'exclama Nolan le rouquin. Combien il fait au repos?

Je bégayai quelques mots incompréhensibles.

- Je... Enfin,... 19cm, je crois.

- La vache! C'est plus que le mien en érection.

Des pas se firent entendre dans le couloir, suivis de rires et de cris.

- Grouillons-nous, c'est l'heure.

Bryan se tourna vers moi et m'arracha mon maillot des mains.

Puisque t'es monté comme un cheval, tu vas mettre un des Speedo de Pierre-Henry. Il est pas à ta taille mais, au moins, les filles profiteront du spectacle.

C'est extrêmement gêné que je me présentai parmi mes camarade de terminale avec un slip de bain deux fois en dessous de ma taille. Mon sexe était comprimé et mon gland menaçait à tout instant de sortir hors de l'élastique.

La prof eut une réaction de surprise en me voyant ainsi mais elle se reprit rapidement et donna des instructions de nage pour toute la classe.

L'heure me parut interminable. Heureusement qu'il y avait le beau maître-nageur perché sur sa chaise de surveillance. (oui, celui que je me ferais un mois plus tard -voir le premier chapitre-). À chaque longueur de bassin, je zieutais sous ses cuisses poilues quand je passais près de lui.

Après le cours, je crus mon supplice terminé. Je m'apprêtais à rejoindre la cabine quand Bryan me barra le passage.

- Tss, tss. Pas si vite, la pédale. Tu vois ce vieux près des urinoirs, tu vas aller le draguer.

- Mais tu es fou. Il est pas homo. Et puis,... il est moche.

Il me tordit le bras, m'arrachant un cri de douleur.

- Discute pas. Moi et mes potes, on va voir comment tu t'y prends.

C'est d'une démarche traînante que je m'approchai des toilettes. Le type était en train d'uriner. Je me collai près de lui. Il m'ignora royalement jusqu'à ce que je sorte ma queue. Sa physionomie changea. Il se tourna vers moi et me regarda avec intérêt. Il était gros, sale, avec un visage bouffi. Il respirait fort et son haleine empestait l'alcool.

- Bel objet, jeune-homme. Je peux?

Et sans même me laisser répondre, il se saisit de mon membre qu'il branla avec autorité. Je jetai un œil en direction des trois tyrans. Ils rigolaient en devinant ma gêne et Nolan se touchait même les roubignoles pendant que Pierre-Henry mimait une fellation.

Le vieux devenait entreprenant. Il chercha à m'embrasser. Je détournai la tête. Il prit ma main et la posa sur son sexe. Il était de petite taille, perdu sous un amas de graisse. Je le masturbai sans conviction. Ce gros porc devait être excité car il éjacula presque aussitôt.

Je tentai de le repousser mais lui me saisit le bras et m'entraîna dans une des cabines de douche. Il voulut fermer la porte, je l'en empêchai. Je lui dis que c'était ça ou rien. Il marmonna quelques mots incompréhensibles puis finit par s'accroupir au niveau de mon entrejambe.

Je tournai le regard vers mes tourmenteurs. Ils s'étaient rapprochés et ne perdaient pas une miette du spectacle.

Le vieux baissa mon slip de bain. Ses yeux brillaient de désir. Il commença par me caresser les couilles puis la raie des fesses. Je reculai instinctivement mais ce gros porc réussit à rentrer un doigt. Il entreprit de me sucer en même temps. Je bandais à moitié, pourtant mon vioc ne parvenait pas à tout avaler.

- Bordel, t'es monté comme un turc!

Je lui agrippai la nuque et le forçai à reprendre sa fellation. Je voulais en finir au plus vite. Je sentais ma bite lui remplir la bouche complètement. J'étais en train de bander sous les caresses de ce pervers et ça me dégoûtait!

Les trois autres chuchotaient tout près de nous mais ça n'avait pas l'air de perturber mon suceur. Il faisait de longs va-et-vient, avalait ma bite le plus loin possible. Un fond de gorge digne d'éloges.
Je sentais en même temps ses phalanges s'agiter dans mon cul. Lorsqu'il m'introduisit deux doigts, la douleur traversa mon corps. Cela me fit éjaculer dans sa bouche. De longs jets crémeux qu'il s'empressa d'avaler. La charge était telle, qu'un long filet blanchâtre s'écoulait par la commissure des lèvres.

Je laissai ce détraqué se débattre pour se relever, tant sa bedaine le tirait vers le bas, et rejoignis le box.

Arrivé sur les lieux, Bryan me saisit par la gorge. Rouge de colère.

- Bâtard. Je t'avais pas dit de jouir. C'est toi qui devais le sucer.

Il me claqua deux gifles.

- Sale pédale, tu vas me le payer.

( FIN DE LA PARTIE 1 )