La première fois que j’ai trompé ma femme
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La première fois que j’ai trompé ma femme
Depuis un moment ça ne va plus trop avec ma femme. Même au lit, il ne se passe plus rien. J’ai encore des sentiments pour elle alors je n’ai pas envie de la tromper. D’un autre coté je n’arrive plus à me satisfaire de mes séances de masturbations. J’ai besoin de sentir la chaleur d’un autre corps. De toucher, embrasser, caresser… et de l’être aussi.
Avant elle j’avais déjà pas mal essayé de trucs du coté sexuel. Aussi bien avec des femmes qu’avec des hommes. Je me suis dit que si je couchais avec un mec sa ne serrait pas vraiment la tromper et qu’au moins ça assouvirait une partie de mes ardeurs.
Le problème n’est pas de faire ce genre de rencontre (même si à l’époque internet n’était pas aussi développé qu’aujourd’hui!) en tout discrétion. Nous habitions Annecy. C’est une très jolie petite ville de Savoie, où tout ce qui ne doit pas se voir ce sait rapidement!
Mercredi prochain j’ai un rendez vous de boulot à Geneve, en Suisse, qui devrait me prendre la demi journée. Je me renseigne sur le quartier chaud de Geneve, il doit bien y avoir des sex clubs ou je pourrai au moins me faire sucer.
Le jour J arrive. Mon rendez vous est plié dès la fin du déjeuner. Je décide donc de partir directement à la recherche d’un sex club ou cinéma porno pour y arriver avant que les obsédés comme moi, qui ont sacrifié leur pose déjeuner pour un moment sexuel, ne retournent travailler.
J’arrive donc dans le quartier des paquis. En moins de 3 minutes je tombe sur un club, le sub, qui selon l’affiche à l’extérieur propose un étage entier pour les hétéros et un second étage pour les homos. Je rentre dans le sex shop, je fais rapidement un tour. Je remarque que la plupart des articles vendus sont pour les hommes qui aiment les hommes. Il y a beaucoup de cockring, de string surtout en cuir, de godes, des pommes de lavements…
Je me dirige vers la caisses ou une grande affiche donne les prix. Pour les plus de 26 ans, et c’est largement mon cas, l’entrée est à 15 francs suisses. Je paye mon due, le caissier me précise qu’il y a des distributeurs de gel et de capotes un peu partout dans le labyrinthe. Je lui laisse ma veste et ma sacoche et je passe la porte « des labyrinthes ».
Une fois la porte fermée, il fait nettement plus sombre que dans la boutique. On entend le son de différents films porno qui se mélangent. Il y a des gémissement de partout, surtout des voix féminines. Je longe le couloir qui est garni de chaque coté de cabines dont la plus part des portes semblent fermées. J’arrive au bout du couloir sur la droite il y a une plus grande cabine avec un matelas devant un écran qui montre une jolie brune qui fait un strip tease et sur la gauche il y a des escaliers qui descendent, surement vers le labyrinthe gay. Je décide de vite refaire le couloir dans l’autre sens pour voir s’il y a des cabines où l’occupant attend de la compagnie mais rien. Je m’arrête quand même devant une, qui est ouverte mais vide, et je vois une nana les jambes grandes ouvertes se triturant le clito alors qu’elle a une bite dans le cul. Le spectacle est assez excitant pour que je m’arrête un peu. Je rentre dans la cabine je pousse la porte mais la laisse entre ouverte et m’assoies sur le banc afin de voir le film. A ce moment là, une bite apparait au milieu du mur. J’ai envie de sexe mais j’ai plus envie que l’on s’occupe de moi que l’inverse. Je sors donc de la cabine et je décide de descendre visiter le sous sol.
En bas ça ressemble plus à un vrai labyrinthe. Plein de chemins se croisent. Il y a plusieurs grandes cabines équipées. La première que je vois a 2 grands lit et un grand écran où 3 mecs sont allongés en triangle, chaque bouche est rempli par une bite. Un gros mec entièrement habillé est allongé sur un des lits, j’ai l’impression qu’il dort. Même si chaque petite cabane ici a des glorys, je préfère le vrai contact. Je pars donc à la recherche des grandes cabines. La seconde que je trouve d’ouverte a une table avec au bout des étriers. Un grand et fin mec y est allongé, il est en train de se faire défoncer la rondelle par un mec d’environ 1m60, extrêmement poilu de partout, je ne vois pas la longueur de sa queue mais la largeur doit faire beaucoup d’envieux. Je reste un moment à les observer. Même si je suis en érection depuis que je suis rentré dans ces labyrinthes je sens ma queue encore plus confiner dans mon boxer. Je la sors et commence à me caresser mais la pièce est trop petite pour pouvoir s’activer à 3 alors au bout de quelques minutes je remballe mon matos et je vais a la recherche de la salle suivante. Je rentre dans une très grande pièce qui est séparé en 2. L’ambiance est totalement différentes. Un petit écran diffuse un film plus hard. Un mec, allongé sur un sling se fait fister. Cette première partie de pièce est presque vide il y a une chaise haute avec une assise trouée et des chaines au plafond. Je passe la grande porte pour accéder à l’autre partie. C’est encore plus hard. Il y a une petite pièce fermée par des barreaux en fer qui font toute la hauteur de la pièce et qui font penser à une cellule de prison, à l’intérieur il y a juste un lit. La cellule est occupé par un mec entièrement nu qui se branle devant le spectacle qui est derrière les barreaux. De l’autre coté la pièce est très grande. Il y a un swing inoccupé. Un homme entièrement nu, très grand avec un petit bide, rasé du cou aux pieds, est attaché au niveau des bras et des jambes à une croix de Saint André. Un autre mec en caleçon est à genoux devant lui en train de le sucer goulument tandis qu’un troisième, lui debout, vêtu uniquement d’un slip en cuir avec un trou devant qui laisse passer sa bite qui commence à durcir, place des pinces sur les tétons du mec attaché. J’ai même pas le temps de finir de voir la scène que mon « codétenu » pose sa main sur mon entrejambe qui est toujours gonflé et me caresse par dessus le pantalon. Je le regarde fixement. Sa main passe à travers ma braguette, que j’avais oublie de refermer. Ca fait je ne sais pas combien de mois que mon sexe n’a pas était touché par une autre main que la mienne, la sensation est trop bonne ma bite réagit immédiatement et se gonfle encore plus ce qui apparement plait à mon nouvel ami parce qu’il retire sa main pour ouvrir mon pantalon et le baisse avec le boxer. Ma queue sort comme un ressort et mes 17 centimètre n’ont pas le temps de s’immobiliser qu’ils sont engloutis par la bouche qui s’offre devant moi. Il en rempli entièrement sa bouche et me fait taper sa glotte. Avec une de ses mains il me malaxe les couilles. Ca fait tellement longtemps que j’attends ça que je sens déjà l’excitation monter en moi. Je lui attrape les cheveux et commande moi même le rythme des vas et viens de ses lèvres autour de ma queue. Je prends tellement mon pied à sentir cette langue se promener autour de ma tige que j’en ai oublié les 3 mecs de l’autre coté des barreaux. Le grand est toujours attaché à la croix, maintenant il a également des pinces sur les couilles, au bout de 2 pinces sont attachés des poids, ce qui lui tire encore plus la peau des couilles. Ses testicules semblent avoir 80 ans. L’autre mec est derrière lui, je n’arrive pas à voir s’il lui bouffe le cul, le doigte ou le gode mais ça a l’air de plaire au mec attaché. Le dernier a sortie un martinet et sangle le torse du mec attaché qui compte les coups.
La bouche de mon codétenu a abandonné ma queue pour gober mes couilles, mais elle est remplacer par une de ses mains qui me masturbe alors que son autre main me caresse les fesses. Je sens que du liquide commence à couler de mon méat. Sa langue quitte mes couilles pour remonter tout doucement vers mon gland mais au moment ou elle touche le liquide qui lui descend, il remonte immédiatement et gobe ma queue pour ne pas perdre une goutte de ce pré nectar. Encore 2 minutes de se traitement et je ne réponds plus de rien. Quand tout un coup un doigts force ma rondelle, puis je sens un torse se coller à mon dos J’ai toujours adoré me faire doigter pendant que l’on me suce. Je me cambre un peu pour mieux libérer le passage. J’ai l’impression que se doigt tourne sur ma rondelle au même rythme que la langue qui est autour de ma bite. Mes sphincters se sont détendus, je me penche un peu plus pour faire comprendre à ce doigt totalement inconnu, qu’il peut rentrer. Il n’a pas le temps de faire passer la deuxième phalanges que j’attrape la tête de mon codétenu, enfonce ma queue au plus profond de sa bouche et lâche je ne sais combien de giclées directement dans sa gorge, en même temps je sens mon cul se contracter autour du doigt qu’il vient d’accueillir. La situation a dû exciter le mec derrière moi parce qu’il me pousse sur le lit et j’entends un bruit de ceinture cogner le sol. Je me relève avant que son caleçon est eu le temps de toucher le sol et lui dit « je prend mais je ne me fais pas prendre! ». Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça, c’est complètement débile mais je n’ai pas le temps de ramasser mes habits que mon suceur lui dit « moi oui » en se mettant à 4 pattes sur le lit, les jambes bien écartés.
Ca commence à faire beaucoup trop de sexe pour moi qui n’est plus rien vécu depuis bientôt un an alors je me rhabille et je sors fumer une clope mais tout ça pour mieux revenir.
Dites moi si vous voulez une suite.
Avant elle j’avais déjà pas mal essayé de trucs du coté sexuel. Aussi bien avec des femmes qu’avec des hommes. Je me suis dit que si je couchais avec un mec sa ne serrait pas vraiment la tromper et qu’au moins ça assouvirait une partie de mes ardeurs.
Le problème n’est pas de faire ce genre de rencontre (même si à l’époque internet n’était pas aussi développé qu’aujourd’hui!) en tout discrétion. Nous habitions Annecy. C’est une très jolie petite ville de Savoie, où tout ce qui ne doit pas se voir ce sait rapidement!
Mercredi prochain j’ai un rendez vous de boulot à Geneve, en Suisse, qui devrait me prendre la demi journée. Je me renseigne sur le quartier chaud de Geneve, il doit bien y avoir des sex clubs ou je pourrai au moins me faire sucer.
Le jour J arrive. Mon rendez vous est plié dès la fin du déjeuner. Je décide donc de partir directement à la recherche d’un sex club ou cinéma porno pour y arriver avant que les obsédés comme moi, qui ont sacrifié leur pose déjeuner pour un moment sexuel, ne retournent travailler.
J’arrive donc dans le quartier des paquis. En moins de 3 minutes je tombe sur un club, le sub, qui selon l’affiche à l’extérieur propose un étage entier pour les hétéros et un second étage pour les homos. Je rentre dans le sex shop, je fais rapidement un tour. Je remarque que la plupart des articles vendus sont pour les hommes qui aiment les hommes. Il y a beaucoup de cockring, de string surtout en cuir, de godes, des pommes de lavements…
Je me dirige vers la caisses ou une grande affiche donne les prix. Pour les plus de 26 ans, et c’est largement mon cas, l’entrée est à 15 francs suisses. Je paye mon due, le caissier me précise qu’il y a des distributeurs de gel et de capotes un peu partout dans le labyrinthe. Je lui laisse ma veste et ma sacoche et je passe la porte « des labyrinthes ».
Une fois la porte fermée, il fait nettement plus sombre que dans la boutique. On entend le son de différents films porno qui se mélangent. Il y a des gémissement de partout, surtout des voix féminines. Je longe le couloir qui est garni de chaque coté de cabines dont la plus part des portes semblent fermées. J’arrive au bout du couloir sur la droite il y a une plus grande cabine avec un matelas devant un écran qui montre une jolie brune qui fait un strip tease et sur la gauche il y a des escaliers qui descendent, surement vers le labyrinthe gay. Je décide de vite refaire le couloir dans l’autre sens pour voir s’il y a des cabines où l’occupant attend de la compagnie mais rien. Je m’arrête quand même devant une, qui est ouverte mais vide, et je vois une nana les jambes grandes ouvertes se triturant le clito alors qu’elle a une bite dans le cul. Le spectacle est assez excitant pour que je m’arrête un peu. Je rentre dans la cabine je pousse la porte mais la laisse entre ouverte et m’assoies sur le banc afin de voir le film. A ce moment là, une bite apparait au milieu du mur. J’ai envie de sexe mais j’ai plus envie que l’on s’occupe de moi que l’inverse. Je sors donc de la cabine et je décide de descendre visiter le sous sol.
En bas ça ressemble plus à un vrai labyrinthe. Plein de chemins se croisent. Il y a plusieurs grandes cabines équipées. La première que je vois a 2 grands lit et un grand écran où 3 mecs sont allongés en triangle, chaque bouche est rempli par une bite. Un gros mec entièrement habillé est allongé sur un des lits, j’ai l’impression qu’il dort. Même si chaque petite cabane ici a des glorys, je préfère le vrai contact. Je pars donc à la recherche des grandes cabines. La seconde que je trouve d’ouverte a une table avec au bout des étriers. Un grand et fin mec y est allongé, il est en train de se faire défoncer la rondelle par un mec d’environ 1m60, extrêmement poilu de partout, je ne vois pas la longueur de sa queue mais la largeur doit faire beaucoup d’envieux. Je reste un moment à les observer. Même si je suis en érection depuis que je suis rentré dans ces labyrinthes je sens ma queue encore plus confiner dans mon boxer. Je la sors et commence à me caresser mais la pièce est trop petite pour pouvoir s’activer à 3 alors au bout de quelques minutes je remballe mon matos et je vais a la recherche de la salle suivante. Je rentre dans une très grande pièce qui est séparé en 2. L’ambiance est totalement différentes. Un petit écran diffuse un film plus hard. Un mec, allongé sur un sling se fait fister. Cette première partie de pièce est presque vide il y a une chaise haute avec une assise trouée et des chaines au plafond. Je passe la grande porte pour accéder à l’autre partie. C’est encore plus hard. Il y a une petite pièce fermée par des barreaux en fer qui font toute la hauteur de la pièce et qui font penser à une cellule de prison, à l’intérieur il y a juste un lit. La cellule est occupé par un mec entièrement nu qui se branle devant le spectacle qui est derrière les barreaux. De l’autre coté la pièce est très grande. Il y a un swing inoccupé. Un homme entièrement nu, très grand avec un petit bide, rasé du cou aux pieds, est attaché au niveau des bras et des jambes à une croix de Saint André. Un autre mec en caleçon est à genoux devant lui en train de le sucer goulument tandis qu’un troisième, lui debout, vêtu uniquement d’un slip en cuir avec un trou devant qui laisse passer sa bite qui commence à durcir, place des pinces sur les tétons du mec attaché. J’ai même pas le temps de finir de voir la scène que mon « codétenu » pose sa main sur mon entrejambe qui est toujours gonflé et me caresse par dessus le pantalon. Je le regarde fixement. Sa main passe à travers ma braguette, que j’avais oublie de refermer. Ca fait je ne sais pas combien de mois que mon sexe n’a pas était touché par une autre main que la mienne, la sensation est trop bonne ma bite réagit immédiatement et se gonfle encore plus ce qui apparement plait à mon nouvel ami parce qu’il retire sa main pour ouvrir mon pantalon et le baisse avec le boxer. Ma queue sort comme un ressort et mes 17 centimètre n’ont pas le temps de s’immobiliser qu’ils sont engloutis par la bouche qui s’offre devant moi. Il en rempli entièrement sa bouche et me fait taper sa glotte. Avec une de ses mains il me malaxe les couilles. Ca fait tellement longtemps que j’attends ça que je sens déjà l’excitation monter en moi. Je lui attrape les cheveux et commande moi même le rythme des vas et viens de ses lèvres autour de ma queue. Je prends tellement mon pied à sentir cette langue se promener autour de ma tige que j’en ai oublié les 3 mecs de l’autre coté des barreaux. Le grand est toujours attaché à la croix, maintenant il a également des pinces sur les couilles, au bout de 2 pinces sont attachés des poids, ce qui lui tire encore plus la peau des couilles. Ses testicules semblent avoir 80 ans. L’autre mec est derrière lui, je n’arrive pas à voir s’il lui bouffe le cul, le doigte ou le gode mais ça a l’air de plaire au mec attaché. Le dernier a sortie un martinet et sangle le torse du mec attaché qui compte les coups.
La bouche de mon codétenu a abandonné ma queue pour gober mes couilles, mais elle est remplacer par une de ses mains qui me masturbe alors que son autre main me caresse les fesses. Je sens que du liquide commence à couler de mon méat. Sa langue quitte mes couilles pour remonter tout doucement vers mon gland mais au moment ou elle touche le liquide qui lui descend, il remonte immédiatement et gobe ma queue pour ne pas perdre une goutte de ce pré nectar. Encore 2 minutes de se traitement et je ne réponds plus de rien. Quand tout un coup un doigts force ma rondelle, puis je sens un torse se coller à mon dos J’ai toujours adoré me faire doigter pendant que l’on me suce. Je me cambre un peu pour mieux libérer le passage. J’ai l’impression que se doigt tourne sur ma rondelle au même rythme que la langue qui est autour de ma bite. Mes sphincters se sont détendus, je me penche un peu plus pour faire comprendre à ce doigt totalement inconnu, qu’il peut rentrer. Il n’a pas le temps de faire passer la deuxième phalanges que j’attrape la tête de mon codétenu, enfonce ma queue au plus profond de sa bouche et lâche je ne sais combien de giclées directement dans sa gorge, en même temps je sens mon cul se contracter autour du doigt qu’il vient d’accueillir. La situation a dû exciter le mec derrière moi parce qu’il me pousse sur le lit et j’entends un bruit de ceinture cogner le sol. Je me relève avant que son caleçon est eu le temps de toucher le sol et lui dit « je prend mais je ne me fais pas prendre! ». Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça, c’est complètement débile mais je n’ai pas le temps de ramasser mes habits que mon suceur lui dit « moi oui » en se mettant à 4 pattes sur le lit, les jambes bien écartés.
Ca commence à faire beaucoup trop de sexe pour moi qui n’est plus rien vécu depuis bientôt un an alors je me rhabille et je sors fumer une clope mais tout ça pour mieux revenir.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
de jose salut ses avec beaucoup de plaisir que je vien de lire ton histoire qui ma plus hate de lire la suite a bientot
Oui vivement la suite de cette histoire bandante
J'ai adoré, vivement la suite
un peu mdr ...... l'histoire relatée ici est a moins de 100m de mon domicile .... me rappelle trop comment je suis devenu l'exutoire d'un homme marié, que madame ne supportais plus sexuellement !!!!!