La timide - Dialogues interdits -

Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 254 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.6
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La timide - Dialogues interdits -
« Dialogues Interdits » : seule série littéraire d’histoires sulfureuses… uniquement constituées de dialogues.
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La timide
— Quand je pense que j’ai accepté une partie de sexe de groupe… qu’est-ce que j’ai eu tort !
— C’était pas bien ?
— Très ambigu. A la fois sexuellement au top du top… et mauvais souvenir.
— Mais pourquoi ? Tu culpabilises, t’as honte ?
— En fait, je m’étais laissée convaincre par mon copain. Bon, je vais pas jouer la pauvre petite naïve manipulée : j’étais consentante, et si j’ai accepté c’est que ça me tentait. On est bien d’accord ! Je me sentais un peu une OVNI car les filles majeures depuis pas si longtemps participent apparemment très peu à ce genre de trucs.
— La perle rare.
— Franchement oui. Moi pas même encore vingt ans, fine, bonne… tout ça quoi.
— Alors ?
— Alors on arrive dans une assez grande pièce, plongée dans une semi-obscurité. Dans tous les coins des parties de sexe, à deux, trois ou plus.
— Combien de personnes en tout ?
— Quand même pas mal, je dirais entre quinze et vingt. Je veux pas rejoindre quelque chose déjà en cours, je sais pas trop quoi faire. Alors j’accepte de me mettre nue et de faire l’amour avec mon copain au milieu de la pièce, tout simplement. Autour chacun est affairé, ça m’aide… personne s’occupe de nous. On débute, et peu à peu je me détends. Entendre les soupirs et gémissements, percevoir toutes ces scènes de sexe commence à m’exciter. Il est allongé, je suis sur lui. Un homme s’approche… Allez, j’ose. Je l’invite du regard. Il me tend sa bite, je la suce. Un autre homme s’invite, je le laisse me caresser les seins, m’astiquer le clito. Bref… je continue à aller et venir sur mon mec pendant que je masturbe les deux hommes, en les pompant un peu l’un l’autre. Et en recevant caresses et baisers qui me plaisent bien. Un ou deux autres hommes passent dans le coin, que j’ignore : plus de trois sur moi ferait vraiment trop. C’est déjà beaucoup à gérer !
— Evidemment…
— Je m’étonne moi-même. Je pensais que la première fois je serais surtout à observer. Et finalement je suis en action ! Et je m’excite de plus en plus, et j’en fais jouir un, et j’avale, et idem pour le second. Ils s’éloignent… Tout ça m’a surexcitée. Toujours sur mon mec j’y vais plus fort, plus profond. Je gémis, puis je crie. J’accélère, je jouis bruyamment, j’ai un énorme orgasme. Dans mon monde… yeux fermés. De la brume, un état second. Je reprends mon souffle, je rouvre enfin les yeux… et là ! Honte de ma vie. Plus personne ne faisait rien ! Rien d’autre que… me regarder. Chacun avait arrêté de faire du sexe, fasciné par mon corps ondulant et ma voix. Je suis devenue toute rouge, je me suis cachée les yeux. Puis… je me suis retirée, rhabillée et j’ai quitté l’endroit. En m’éloignant j’entendais les participants reprendre : j’avais été comme une petite pause charmante dans leurs coups multiples. Mon copain avait pris son pied, mais comprenait pas bien pourquoi je partais si tôt. Je crois que je referai jamais un truc pareil.
— Admettons. Mais… tout de même ! Tu restes une timide très particulière.…
A très vite pour de nouveaux Dialogues Interdits.
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La timide
— Quand je pense que j’ai accepté une partie de sexe de groupe… qu’est-ce que j’ai eu tort !
— C’était pas bien ?
— Très ambigu. A la fois sexuellement au top du top… et mauvais souvenir.
— Mais pourquoi ? Tu culpabilises, t’as honte ?
— En fait, je m’étais laissée convaincre par mon copain. Bon, je vais pas jouer la pauvre petite naïve manipulée : j’étais consentante, et si j’ai accepté c’est que ça me tentait. On est bien d’accord ! Je me sentais un peu une OVNI car les filles majeures depuis pas si longtemps participent apparemment très peu à ce genre de trucs.
— La perle rare.
— Franchement oui. Moi pas même encore vingt ans, fine, bonne… tout ça quoi.
— Alors ?
— Alors on arrive dans une assez grande pièce, plongée dans une semi-obscurité. Dans tous les coins des parties de sexe, à deux, trois ou plus.
— Combien de personnes en tout ?
— Quand même pas mal, je dirais entre quinze et vingt. Je veux pas rejoindre quelque chose déjà en cours, je sais pas trop quoi faire. Alors j’accepte de me mettre nue et de faire l’amour avec mon copain au milieu de la pièce, tout simplement. Autour chacun est affairé, ça m’aide… personne s’occupe de nous. On débute, et peu à peu je me détends. Entendre les soupirs et gémissements, percevoir toutes ces scènes de sexe commence à m’exciter. Il est allongé, je suis sur lui. Un homme s’approche… Allez, j’ose. Je l’invite du regard. Il me tend sa bite, je la suce. Un autre homme s’invite, je le laisse me caresser les seins, m’astiquer le clito. Bref… je continue à aller et venir sur mon mec pendant que je masturbe les deux hommes, en les pompant un peu l’un l’autre. Et en recevant caresses et baisers qui me plaisent bien. Un ou deux autres hommes passent dans le coin, que j’ignore : plus de trois sur moi ferait vraiment trop. C’est déjà beaucoup à gérer !
— Evidemment…
— Je m’étonne moi-même. Je pensais que la première fois je serais surtout à observer. Et finalement je suis en action ! Et je m’excite de plus en plus, et j’en fais jouir un, et j’avale, et idem pour le second. Ils s’éloignent… Tout ça m’a surexcitée. Toujours sur mon mec j’y vais plus fort, plus profond. Je gémis, puis je crie. J’accélère, je jouis bruyamment, j’ai un énorme orgasme. Dans mon monde… yeux fermés. De la brume, un état second. Je reprends mon souffle, je rouvre enfin les yeux… et là ! Honte de ma vie. Plus personne ne faisait rien ! Rien d’autre que… me regarder. Chacun avait arrêté de faire du sexe, fasciné par mon corps ondulant et ma voix. Je suis devenue toute rouge, je me suis cachée les yeux. Puis… je me suis retirée, rhabillée et j’ai quitté l’endroit. En m’éloignant j’entendais les participants reprendre : j’avais été comme une petite pause charmante dans leurs coups multiples. Mon copain avait pris son pied, mais comprenait pas bien pourquoi je partais si tôt. Je crois que je referai jamais un truc pareil.
— Admettons. Mais… tout de même ! Tu restes une timide très particulière.…
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