La truie 2. - histoire érotique

La truie 2.

Fille de ferme au visage ingrat, ronde, Maryse subit les quolibets de son entourage. Son beau père, personnage fruste, brutal, en a fait sa servante et depuis ses dix huit ans, depuis qu'il a découvert qu'elle avait une sale réputation, sa maîtresse.

Maryse se plie par crainte à lui mais en secret, elle aime ses étreintes brèves et brutales.

Elle est coutumière des rencontres furtives avec des vieux pervers du village qui lui offrent des petits cadeaux : une montre, un collier, du parfum, du rouge à lèvres, des bas…

Les jeunes du village ne sont pas en reste. En chemin, elle est souvent abordée et conduite dans une grange ou même en pleine nature. Il lui enlève sa robe, la tripote, joue avec ses mamelles, les suce, puis elle s'accroupit, il déboutonne son pantalon ou ouvre la fermeture éclair de sa salopette et elle se saisit de la verge qu'elle décalotte et suce.
Elle aime sucer à fond prendre le pouvoir et l'engloutir le plus possible. D'une main elle branle la verge, de l'autre elle se masturbe.
Parfois le garçon l'encourage ou lui tient la tête pour baiser sa bouche. Elle le regarde et semble l'implorer.

Certains aiment éjaculer dans sa bouche mais d'autres préfèrent maculer sa poitrine.
Il est arrivé qu'elle soit mise à l'abattage. Trois garçons à la file qui s'était donné le mot. Au début, le premier l'avait abordé en route et elle l'avait suivie en vélo bien qu'elle avait rendez-vous avec le pharmacien. Elle aimait leur fougue, leur peau, leur maladresse, leur désir.

Elle n'avait rien connu d'autres et cet avilissement l'excitait.

Quand il a eu fini, il a gardé sa robe et son frère est rentré dans la grange, puis ce fut le tour d'un copain avant de pouvoir se rhabiller et rejoindre le pharmacien à l'arrière de son officine.

Il entendait son vélo arriver. Elle montait les escaliers et rentrait dans son bureau qui était aussi sa garçonnière.
Il était assis à faire sa comptabilité. Elle enlevait sa robe, il la conduisait devant un cabinet de toilette, il aimait entendre le jet d'urine sur la faïence puis il l'a lavait avec un gant pour enlever la sueur . Il s'attardait entre les fesses et sa vulve puis devant la glace, elle revêtait bas , jarretelles et culotte fendue, elle se maquillait outrageusement et ajustait une belle perruque qui parfois changeait : rousse frisée, brune aile de pigeon, blonde qui lui arrivait aux épaules.
Le pharmacien dans la cinquantaine était veuf et discret. Il lui offrait souvent une collation : un verre de porto, du champagne avant de la coucher sur le canapé.

Il était prévenant et généreux. Il lui a appris à mettre des condoms et c'est avec lui que prise en missionnaire, elle a découvert l'orgasme vaginal.

Leur rencontre durait une heure en moyenne. Il l'embrassait, la lutinait, se faisait sucer puis il la pénétrait en missionnaire, en levrette et parfois il l'a sodomisait souvent à sa demande.

Elle enlevait ensuite le préservatif et recevait sa semence sur ses seins qu'elle étalait et elle suçait ses doigts, mutine er provocante.
Il l'aimait ainsi, dépravée.
Il aimait la voir se promener, impudique dans la pièce. Elle repartait lavée, démaquillée avec des boites de condoms, nantie d'un beau billet de deux cents mille francs qu'elle gardait précieusement dans une boîte en fer sous une latte de sa chambre.

Elle avait par contre mis sa mère au courant pour l'utilisation des condoms et de sa relation avec le pharmacien.
En retour, elle poussait sa fille à paraître plus coquette et surtout plus sexy. Ainsi elle allait une fois par mois chez la coiffeuse qui tentait de discipliner sa tignasse. La mode était aux choucroutes et autres coiffures pour paraître plus grande. Elle portait aussi des corsets qui affinaient sa silhouette et relevaient sa poitrine.

De son côté, le beau père multipliait les occasions. Sa femme ne lui suffisait pas, il voulait la fille presque quotidiennement.

Dès les enfants partis, (le plus grand, en internat au lycée agricole pour reprendre la ferme parce que lui, c'était un homme), il montait dans sa chambre : A genoux, elle gardait son corset et ses bas. Après une fellation, elle lui mettait un condom et il la pénétrait en levrette sur le lit. S'il débandait, il l'enlevait et se masturbait, s'enduisait de vaseline et la sodomisait sans faillir.
Quelques minutes plus tard, ils se rhabillaient et vaquaient à leurs occupations. Elle devait garder sa semence qui coulait contre ses cuisses pendant la journée, marque de son infamie.

Le père était content d'avoir une pute sous la main, la mère faisait avec…


Un matin , le père en sortant de la chambre est tombé dans l'escalier, inconscient, il a été conduit à l'hôpital : Commotion cérébrale, à demi paralysé, impossible de parler correctement et encore moins de baiser à la hussarde sans espoir de rémission.

Lui, le tyran est devenu agneau, content qu'on s'occupe de lui.

Les choses allaient changer pour le plus grand bien de la famille...