Laurence : A bas les préliminaires

Récit érotique écrit par Zagalle [→ Accès à sa fiche auteur]
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Laurence : A bas les préliminaires
Il est communément admis que les femmes aiment les préliminaires. Certaines comme Laurence ne détestent pas que cette partie avant de passer concrètement à l’action soit oubliée. Ne pas refuser une pénétration cash. A sec. Une belle sodomie sans prévenir ou encore aller directement à l’essentiel en taillant une pipe sans autorisation, il y a des candidates. Plus nombreuses qu’on le croit. Laurence, toujours aussi osée n’en fait pas mystère. Elle prend tout ce qui se présente au gré de ses désirs, de ceux de ses partenaires et en fonction des lieux.
Pour rappel. Laurence a 45 ans. Elle apparait dans ces textes comme une nymphomane qui en a essoré des paires de couilles pleines, se vantant d’avoir un appétit qu’elle ne cesse d’assouvir.
Ce soir, elle est avec moi et pas avec son mari cocu. Elle n’aura pourtant jamais cessé de l’aimer. Un paradoxe qui me plait parfaitement. J’apprécie d’avoir un rôle secondaire mais qui me permet de profiter des talents de baiseuse de Laurence. Car de ce côté-là, il ne faut pas lui en promettre.
Ce soir, elle se prépare pour une soirée libertine avec une sensualité débordante. Elle enfile une robe moulante partiellement transparente, laissant ses seins lourds et naturels se balancer librement, le soutien-gorge ne sera point nécessaire.
Sa chatte, fraîchement épilée et déjà humide d'excitation, est à découvert sous le tissu fin. Sans bas, même si cet accessoire m’excite plus que tout et fait des ravages dans ses séances de cul, elle le laissera au « vestiaire ». Elle chausse des mules à talons vertigineux, accentuant la courbe de ses fesses. Je la dévore des yeux tandis qu'elle se penche pour goûter sa propre excitation du bout des doigts.
"Putain, Laurence, tu me rends fou," grogné-je, les yeux rivés sur son corps qui dans quelques minutes sera à l’œuvre et à la merci des fantasmes les plus torrides et obscènes.
Elle se redresse lentement, un sourire provocateur aux lèvres. "Tu n'as encore rien vu, mon chéri. Attends de voir ce que je vais te faire dans la voiture."
D'une voix rauque, elle me promet une fellation vertigineuse pendant le trajet, alors que je conduirai vers une soirée de débauche. "Je vais te sucer jusqu'à ce que tu exploses dans ma bouche," murmure-t-elle sensuellement. La salope arrivera à la soirée déjà bien chaude et avec le goût de mon foutre en bouche. N’est-ce pas elle qui aime d’ailleurs tailler des pipes en voiture avant d’aller au boulot avec sa dose de sperme ? Affirmatif !
Nous échangeons des regards brûlants, impatients d'explorer de nouvelles expériences sexuelles ensemble, Laurence exprimant sans détour son désir d'une double pénétration qui assouvira sa nature nymphomane.
"Ce soir, je veux deux bites en moi," déclare-t-elle sans ambages. "Une dans ma chatte et l'autre dans mon cul. Je veux être remplie à bloc. « . Elle ajoute sans grande surprise, même si cela produit sur moi un effet excitant immédiat : « J’ai envie d’être une pompe à sperme ce soir, j’adore le goût du foutre et j’en suis accro » confesse-t-elle.
Je gémis d’anticipation, excité par l'audace de cette merveilleuse petite salope dont la manière de sucer me rend fou, en voyant sa langue s’activer autour de mon gland. Elle suce comme une déesse et une affamée de bites qu’elle s’applique à faire cracher pour en récolter la semence avec gourmandise. Un must ! Surtout lorsqu’elle me fixe tout en prenant sa giclée, comme un triomphe voire un défi qu’elle me lance. Mais je ne suis pas dupe, elle procède à l’identique avec son mari qui la laisse se faire baiser plus qu’à son tour également. Concurrents et réunis dans le même plaisir candauliste lui et moi.
Sait-il seulement qu’à l’instant précis, elle va se faire défoncer et prendre un maximum de foutre sur son joli minois et qu’elle va aimer cela ? Tout autant qu’elle aime se faire déglinguer en double pénétration ? Car, ce soir tel a bien été le cas. Et cela dans un symphonie d’insultes dont elle a été gratifié de la part de ses partenaires. Combien de salauds lui ont-ils cassé le cul ? Elle ne sait pas non plus vraiment elle-même. Elle finira de s’abreuver du foutre de ses assaillants dans la voiture en passant les doigts dans sa chatte remplie… et dégoulinante. Je l’entends se délecter à côté et son attrait pour le sexe total m’excite, même au milieu de la nuit après de tels moments où je l’ai admiré se faire baiser le cul dans tous les sens.
Elle me confiera avoir été subjuguée par un certain Julien qui s’est souvent intéressé à ses atouts. « Il s’est bien servi le salaud : ma chatte, mon cul, ma bouche de salope… et mes nibards aussi qu’il a bien martyrisés ». J’aimerais bien le revoir… D’ailleurs ledit Julien se manifeste déjà en lui envoyant une photo. Elle me tend le smartphone, je constate Laurence au milieu de 4 mecs. Double-pénétrée, suçant deux autres membres énormes. Scène qui m’avait échappé.
Quelques jours plus tard. Nous sommes un jeudi soir. Laurence accueille Julien chez elle, vêtue d'une micro robe transparente noire et chaussée de mules à talons aiguilles, j’observe la scène. Sans préambule, Elle se jette sur son invité lui arrachant presque son pantalon. Elle commence par une fellation brutale et baveuse, alternant entre des va-et-vient profonds et rapides et des succions intenses sur le gland. Laurence crache abondamment sur le sexe de Julien, produisant des bruits obscènes qui m’excitent davantage. Elle passe ensuite à un anulingus agressif sur Julien, le doigtant simultanément avec deux doigts. Vicieuse et salope à souhait, Laurence tient à maintenir un contact visuel provocateur avec moi. Elle m’invite explicitement à les rejoindre. Le dialogue devient extrêmement cru, Julien traitant Laurence de "salope insatiable" et de "chienne en chaleur", ce qui la fait gémir de plaisir. Excitée au maximum, Laurence exige que Julien la sodomise violemment comme il y a quelques jours lors de la partouze. Elle hurle de plaisir et m’ordonne de venir lui "défoncer la gorge". La scène atteint son paroxysme dans une orgie frénétique, Laurence au centre, réclamant toujours plus. Elle finit par me forcer et à me lécher l'anus pendant qu'elle continue de se faire prendre par Julien, dans une démonstration de luxure et de domination totale. Elle recevra sa double dose de sperme dans un duo de faciale bien mérité qu’elle accepte derechef en s’agenouillant prête à nous recevoir. « Ouaiiiis, bien joué les gars, vous m’avez douchée comme une petite traînée ! ».
Confidences entre copines qu’elle me rapporta un jour. Laurence retrouve son amie Sophie, une libertine expérimentée, dans un café discret. Vêtue de façon provocante, Laurence attire tous les regards, comme souvent. Les deux femmes bisexuelles entament une conversation torride sur leurs expériences sexuelles. Le sujet est l’absence de préliminaires et la propension à s’en dispenser de plus en plus pour passer à l’action. A ce propos…
"Tu devrais voir comment je suce Julien," lance Laurence d'un ton coquin. "Il devient fou quand je prends ses couilles dans ma bouche."
Sophie, excitée, glisse sa main sur la cuisse de Laurence. En remontant, elle découvre avec surprise que son amie n'a pas de culotte sous sa jupe courte. "Mmmm, tu es déjà toute mouillée," murmure Sophie. "Une vraie petite putain. J'adorerais goûter ton nectar. »
« Je sais que tu pratiques avec talent ce genre de petit plaisir. En même temps une petite chatte bien baveuse, c’est bon, hein ? » renchérit Laurence.
Leur discussion s'échauffe davantage. Sophie suggère, "Et si on trouvait une belle queue à partager ? On pourrait la sucer ensemble comme deux chiennes affamées. »
Laurence, haletante, répond, "Oh oui ! J'imagine déjà nos langues se croisant sur une grosse bite dure. On pourrait même demander à ton amant de nous rejoindre."
"Excellente idée," approuve Sophie. "Je suis sûre qu’il adorerait voir sa copine et moi le dévorer comme des gourmandes. Et imaginer sa giclée de foutre en faciale qu'on se lécherait mutuellement… ». Avec un snow ball à la clé ! Une merveille de salopes qui aiment se régaler d’une bite dure et pleine de jute. A suivre… La scène ne s’est pas déroulée comme décrite, mais peut-être avec un chanceux autre que moi. On ne peut pas être partout.
De nouveau une soirée échangiste en perspective à laquelle nous nous rendons. Laurence porte une robe fendue révélant sa chatte nue et des mules à hauts talons très suggestifs. Dès son arrivée, elle attire tous les regards, se qualifiant elle-même de "petite pute à partouze". Sa tenue et son attitude provocante excitent les participants. Laurence s'engage dans des actes sexuels multiples, incluant une double pénétration tant désirée. Elle verbalise crûment ses envies, demandant à être "prise comme une vraie salope". Au milieu de l'action, Laurence crie explicitement : "Enculez-moi fort, je veux sentir vos bites me défoncer le cul !". Elle guide les hommes verbalement, ordonnant : "Plus fort, baisez-moi comme une chienne !". Alors que l'intensité monte, elle supplie : "Je veux du sperme partout sur mon visage, arrosez-moi comme une vraie pute !".
J'observe et participe par moments, savourant le spectacle de ma partenaire déchaînée. La soirée atteint son apogée avec Laurence recevant ce qu'elle a demandé, son visage couvert de sperme alors qu'elle gémit de plaisir. Elle termine la nuit en déclarant être une "chienne insatiable couverte de foutre", à la grande excitation de tous les présents.
Cette expérience a renforcé notre mode de vie libertin et l'appétit sexuel débridé de Laurence que j’accepte d’autant plus aisément que je ne suis que son amant.
Même au travail quelques semaines après. Lors d'un événement professionnel, Laurence, une vraie salope nymphomane, repère Marc, un homme marié en quête d'aventures. Vêtue d'une tenue ultra-provocante sans sous-vêtements et perchée sur ses mules à talons hauts, elle l'aborde sans détour : "Tu veux baiser, chéri ? J'ai envie de sentir ta grosse bite." Marc, stupéfait, ne peut résister à cette femme au décolleté plongeant et à la jupe qui laisse entrevoir son cul parfait.
Ils se faufilent dans les toilettes où Laurence s'agenouille immédiatement : "Voyons voir ce que tu caches là," dit-elle en libérant le membre de Marc. Elle le suce goulûment, murmurant entre deux va-et-vient : "Hmm, j'adore sucer des bites. Si tu savais combien j'en prends chaque semaine..." Marc, excité comme jamais, la pénètre sauvagement contre le mur. Laurence gémit fort : "Oui, défonce-moi ! Plus fort !"
Après l'acte, Laurence se rhabille rapidement, laissant le sperme couler le long de ses cuisses. Elle lance à Marc : "C'était sympa, mais j'ai connu mieux. Tu devrais venir à ma prochaine partouze, je t'apprendrai des trucs."
Elle sort, laissant Marc pantois, et retourne à l'événement comme si de rien n'était, déjà en quête de sa prochaine proie, sa chatte encore humide et son cul bien mis en valeur dans sa tenue aguicheuse.
Finalement elle s’assoie sur un chaise haute croisant et décroisant lascivement les jambes, faisant balancer avec la juste provocation de celles qui savent y faire, ses mules à talons. Aucun homme ne semble avoir manqué cette scène post-coitale.
Finalement, à la fin de la journée, elle descend au parking pour reprendre sa voiture, accompagné de Marc qui aura été le seul à avoir profité de la bouche et du trou accueillant de la salope. Et si elle remettait cela ? Vu le niveau d’appétit sexuel dont elle gratifie ses amants, ce serait bien dans ses cordes de petite putain.
Quelques instants plus tard. Julien descend dans le même parking souterrain et découvre Laurence en plein acte sexuel avec Marc. Elle est toujours vêtue de façon aussi provocante : sa mini-jupe qui ne cache vraiment presque rien, son décolleté plongeant qui dévoile généreusement sa poitrine, et ses fameuses mules à talons vertigineux qui accentuent ses jambes.
Choqué, Julien les confronte. Laurence, loin d'être gênée, se tourne vers lui avec un sourire lubrique.
"Oh, Julien! Tu tombes bien. Tu veux te joindre à nous?" lance-t-elle d'une voix rauque.
"Laurence, qu'est-ce que tu fais?" demande Julien, incrédule.
Elle rit, s'essuyant le coin de la bouche. "Ce que je fais? J'adore sucer des bites, mon chéri. Partout et n'importe quand. C'est tellement bon!"
Marc, gêné, tente de se rhabiller, mais Laurence l'arrête. "Reste là, on n'a pas fini."
Se tournant à nouveau vers Julien, elle ajoute avec fierté : "Tu sais, en 10 jours sans te voir, j'ai dû me taper une vingtaine de queues. Peut-être plus, j'ai arrêté de compter."
Julien reste bouche bée, confronté à la nature insatiable de Laurence. Elle s'approche de lui, ses talons claquant sur le béton.
"Ne fais pas cette tête-là. Tu savais que j'aimais le sexe quand on s'est rencontrés. Je suis une vraie nympho, et j'assume totalement. La vie est trop courte pour se priver de plaisir!"
Puis, avec un regard provocateur, Laurence ajoute : "Tu savais que tu avais à faire à une vraie pute, mon chéri." Tout en parlant, elle glisse sa main sous sa jupe et commence à se doigter la chatte sans aucune gêne. Après quelques instants, elle retire ses doigts trempés et les porte à sa bouche, les goûtant avec un plaisir évident. Elle les tend pour les faire goûter à Marc et Julien…
« Allez goutez-moi cette petite chatte toute baveuse ! »…
Ni une ni deux, elle s’accroupit entre les deux hommes dans ce parking. Jupe retroussée laissant apparaître sa fente toute luisante, elle les invite à se faire pomper ici et maintenant. Au risque de se faire surprendre par d’autres personnes. En quelques minutes, la pompe à sperme va se mettre en action, puis ils abdiqueront… dans un râle commun, il lui auront lâché tout ce que leurs couilles contenaient de semence chaude et odorante dont elle s’enduit le visage avec plaisir. Et fierté ! Chacun est reparti de son côté.
Lors d'un voyage libertin quelques mois plus tard qu’elle effectue avec son mari, Laurence pousse l'audace encore plus loin. Dans un club échangiste, elle ne porte qu'un micro-bikini en chaînes métalliques qui ne cache rien de son anatomie. Son cul parfait est orné d'un plug anal étincelant. Elle va s'engager dans une orgie effrénée, criant à pleins poumons : "Défoncez-moi tous les trous ! Je suis votre pute internationale !" Rien que cela.
Le retour en France promet d’être toujours plus hardcore. Il semble que Laurence franchisse à chaque fois un palier supplémentaire vers la sexualité totale et plurielle. Ce sont les hommes qui en profitent pleinement.
Le chapitre se termine avec Laurence, couverte de fluides, déclarant fièrement à son conjoint : "Je suis ta salope sans limites, mon amour. Regarde comme je me suis fait baiser pour toi. ». C’est ce qu’elle me rapportera de son voyage. Des photos et vidéos doivent circuler, j’attends avec impatience de les voir.
Voilà, elle s’est fait baiser pour son mari, mais c’est aussi comme cela qu’elle s’adresse à moi quand nous sortons d’une belle partie où elle s'est faite démonter comme une chienne. Oui c’est bien sans préliminaires ! Je confirme...
Pour rappel. Laurence a 45 ans. Elle apparait dans ces textes comme une nymphomane qui en a essoré des paires de couilles pleines, se vantant d’avoir un appétit qu’elle ne cesse d’assouvir.
Ce soir, elle est avec moi et pas avec son mari cocu. Elle n’aura pourtant jamais cessé de l’aimer. Un paradoxe qui me plait parfaitement. J’apprécie d’avoir un rôle secondaire mais qui me permet de profiter des talents de baiseuse de Laurence. Car de ce côté-là, il ne faut pas lui en promettre.
Ce soir, elle se prépare pour une soirée libertine avec une sensualité débordante. Elle enfile une robe moulante partiellement transparente, laissant ses seins lourds et naturels se balancer librement, le soutien-gorge ne sera point nécessaire.
Sa chatte, fraîchement épilée et déjà humide d'excitation, est à découvert sous le tissu fin. Sans bas, même si cet accessoire m’excite plus que tout et fait des ravages dans ses séances de cul, elle le laissera au « vestiaire ». Elle chausse des mules à talons vertigineux, accentuant la courbe de ses fesses. Je la dévore des yeux tandis qu'elle se penche pour goûter sa propre excitation du bout des doigts.
"Putain, Laurence, tu me rends fou," grogné-je, les yeux rivés sur son corps qui dans quelques minutes sera à l’œuvre et à la merci des fantasmes les plus torrides et obscènes.
Elle se redresse lentement, un sourire provocateur aux lèvres. "Tu n'as encore rien vu, mon chéri. Attends de voir ce que je vais te faire dans la voiture."
D'une voix rauque, elle me promet une fellation vertigineuse pendant le trajet, alors que je conduirai vers une soirée de débauche. "Je vais te sucer jusqu'à ce que tu exploses dans ma bouche," murmure-t-elle sensuellement. La salope arrivera à la soirée déjà bien chaude et avec le goût de mon foutre en bouche. N’est-ce pas elle qui aime d’ailleurs tailler des pipes en voiture avant d’aller au boulot avec sa dose de sperme ? Affirmatif !
Nous échangeons des regards brûlants, impatients d'explorer de nouvelles expériences sexuelles ensemble, Laurence exprimant sans détour son désir d'une double pénétration qui assouvira sa nature nymphomane.
"Ce soir, je veux deux bites en moi," déclare-t-elle sans ambages. "Une dans ma chatte et l'autre dans mon cul. Je veux être remplie à bloc. « . Elle ajoute sans grande surprise, même si cela produit sur moi un effet excitant immédiat : « J’ai envie d’être une pompe à sperme ce soir, j’adore le goût du foutre et j’en suis accro » confesse-t-elle.
Je gémis d’anticipation, excité par l'audace de cette merveilleuse petite salope dont la manière de sucer me rend fou, en voyant sa langue s’activer autour de mon gland. Elle suce comme une déesse et une affamée de bites qu’elle s’applique à faire cracher pour en récolter la semence avec gourmandise. Un must ! Surtout lorsqu’elle me fixe tout en prenant sa giclée, comme un triomphe voire un défi qu’elle me lance. Mais je ne suis pas dupe, elle procède à l’identique avec son mari qui la laisse se faire baiser plus qu’à son tour également. Concurrents et réunis dans le même plaisir candauliste lui et moi.
Sait-il seulement qu’à l’instant précis, elle va se faire défoncer et prendre un maximum de foutre sur son joli minois et qu’elle va aimer cela ? Tout autant qu’elle aime se faire déglinguer en double pénétration ? Car, ce soir tel a bien été le cas. Et cela dans un symphonie d’insultes dont elle a été gratifié de la part de ses partenaires. Combien de salauds lui ont-ils cassé le cul ? Elle ne sait pas non plus vraiment elle-même. Elle finira de s’abreuver du foutre de ses assaillants dans la voiture en passant les doigts dans sa chatte remplie… et dégoulinante. Je l’entends se délecter à côté et son attrait pour le sexe total m’excite, même au milieu de la nuit après de tels moments où je l’ai admiré se faire baiser le cul dans tous les sens.
Elle me confiera avoir été subjuguée par un certain Julien qui s’est souvent intéressé à ses atouts. « Il s’est bien servi le salaud : ma chatte, mon cul, ma bouche de salope… et mes nibards aussi qu’il a bien martyrisés ». J’aimerais bien le revoir… D’ailleurs ledit Julien se manifeste déjà en lui envoyant une photo. Elle me tend le smartphone, je constate Laurence au milieu de 4 mecs. Double-pénétrée, suçant deux autres membres énormes. Scène qui m’avait échappé.
Quelques jours plus tard. Nous sommes un jeudi soir. Laurence accueille Julien chez elle, vêtue d'une micro robe transparente noire et chaussée de mules à talons aiguilles, j’observe la scène. Sans préambule, Elle se jette sur son invité lui arrachant presque son pantalon. Elle commence par une fellation brutale et baveuse, alternant entre des va-et-vient profonds et rapides et des succions intenses sur le gland. Laurence crache abondamment sur le sexe de Julien, produisant des bruits obscènes qui m’excitent davantage. Elle passe ensuite à un anulingus agressif sur Julien, le doigtant simultanément avec deux doigts. Vicieuse et salope à souhait, Laurence tient à maintenir un contact visuel provocateur avec moi. Elle m’invite explicitement à les rejoindre. Le dialogue devient extrêmement cru, Julien traitant Laurence de "salope insatiable" et de "chienne en chaleur", ce qui la fait gémir de plaisir. Excitée au maximum, Laurence exige que Julien la sodomise violemment comme il y a quelques jours lors de la partouze. Elle hurle de plaisir et m’ordonne de venir lui "défoncer la gorge". La scène atteint son paroxysme dans une orgie frénétique, Laurence au centre, réclamant toujours plus. Elle finit par me forcer et à me lécher l'anus pendant qu'elle continue de se faire prendre par Julien, dans une démonstration de luxure et de domination totale. Elle recevra sa double dose de sperme dans un duo de faciale bien mérité qu’elle accepte derechef en s’agenouillant prête à nous recevoir. « Ouaiiiis, bien joué les gars, vous m’avez douchée comme une petite traînée ! ».
Confidences entre copines qu’elle me rapporta un jour. Laurence retrouve son amie Sophie, une libertine expérimentée, dans un café discret. Vêtue de façon provocante, Laurence attire tous les regards, comme souvent. Les deux femmes bisexuelles entament une conversation torride sur leurs expériences sexuelles. Le sujet est l’absence de préliminaires et la propension à s’en dispenser de plus en plus pour passer à l’action. A ce propos…
"Tu devrais voir comment je suce Julien," lance Laurence d'un ton coquin. "Il devient fou quand je prends ses couilles dans ma bouche."
Sophie, excitée, glisse sa main sur la cuisse de Laurence. En remontant, elle découvre avec surprise que son amie n'a pas de culotte sous sa jupe courte. "Mmmm, tu es déjà toute mouillée," murmure Sophie. "Une vraie petite putain. J'adorerais goûter ton nectar. »
« Je sais que tu pratiques avec talent ce genre de petit plaisir. En même temps une petite chatte bien baveuse, c’est bon, hein ? » renchérit Laurence.
Leur discussion s'échauffe davantage. Sophie suggère, "Et si on trouvait une belle queue à partager ? On pourrait la sucer ensemble comme deux chiennes affamées. »
Laurence, haletante, répond, "Oh oui ! J'imagine déjà nos langues se croisant sur une grosse bite dure. On pourrait même demander à ton amant de nous rejoindre."
"Excellente idée," approuve Sophie. "Je suis sûre qu’il adorerait voir sa copine et moi le dévorer comme des gourmandes. Et imaginer sa giclée de foutre en faciale qu'on se lécherait mutuellement… ». Avec un snow ball à la clé ! Une merveille de salopes qui aiment se régaler d’une bite dure et pleine de jute. A suivre… La scène ne s’est pas déroulée comme décrite, mais peut-être avec un chanceux autre que moi. On ne peut pas être partout.
De nouveau une soirée échangiste en perspective à laquelle nous nous rendons. Laurence porte une robe fendue révélant sa chatte nue et des mules à hauts talons très suggestifs. Dès son arrivée, elle attire tous les regards, se qualifiant elle-même de "petite pute à partouze". Sa tenue et son attitude provocante excitent les participants. Laurence s'engage dans des actes sexuels multiples, incluant une double pénétration tant désirée. Elle verbalise crûment ses envies, demandant à être "prise comme une vraie salope". Au milieu de l'action, Laurence crie explicitement : "Enculez-moi fort, je veux sentir vos bites me défoncer le cul !". Elle guide les hommes verbalement, ordonnant : "Plus fort, baisez-moi comme une chienne !". Alors que l'intensité monte, elle supplie : "Je veux du sperme partout sur mon visage, arrosez-moi comme une vraie pute !".
J'observe et participe par moments, savourant le spectacle de ma partenaire déchaînée. La soirée atteint son apogée avec Laurence recevant ce qu'elle a demandé, son visage couvert de sperme alors qu'elle gémit de plaisir. Elle termine la nuit en déclarant être une "chienne insatiable couverte de foutre", à la grande excitation de tous les présents.
Cette expérience a renforcé notre mode de vie libertin et l'appétit sexuel débridé de Laurence que j’accepte d’autant plus aisément que je ne suis que son amant.
Même au travail quelques semaines après. Lors d'un événement professionnel, Laurence, une vraie salope nymphomane, repère Marc, un homme marié en quête d'aventures. Vêtue d'une tenue ultra-provocante sans sous-vêtements et perchée sur ses mules à talons hauts, elle l'aborde sans détour : "Tu veux baiser, chéri ? J'ai envie de sentir ta grosse bite." Marc, stupéfait, ne peut résister à cette femme au décolleté plongeant et à la jupe qui laisse entrevoir son cul parfait.
Ils se faufilent dans les toilettes où Laurence s'agenouille immédiatement : "Voyons voir ce que tu caches là," dit-elle en libérant le membre de Marc. Elle le suce goulûment, murmurant entre deux va-et-vient : "Hmm, j'adore sucer des bites. Si tu savais combien j'en prends chaque semaine..." Marc, excité comme jamais, la pénètre sauvagement contre le mur. Laurence gémit fort : "Oui, défonce-moi ! Plus fort !"
Après l'acte, Laurence se rhabille rapidement, laissant le sperme couler le long de ses cuisses. Elle lance à Marc : "C'était sympa, mais j'ai connu mieux. Tu devrais venir à ma prochaine partouze, je t'apprendrai des trucs."
Elle sort, laissant Marc pantois, et retourne à l'événement comme si de rien n'était, déjà en quête de sa prochaine proie, sa chatte encore humide et son cul bien mis en valeur dans sa tenue aguicheuse.
Finalement elle s’assoie sur un chaise haute croisant et décroisant lascivement les jambes, faisant balancer avec la juste provocation de celles qui savent y faire, ses mules à talons. Aucun homme ne semble avoir manqué cette scène post-coitale.
Finalement, à la fin de la journée, elle descend au parking pour reprendre sa voiture, accompagné de Marc qui aura été le seul à avoir profité de la bouche et du trou accueillant de la salope. Et si elle remettait cela ? Vu le niveau d’appétit sexuel dont elle gratifie ses amants, ce serait bien dans ses cordes de petite putain.
Quelques instants plus tard. Julien descend dans le même parking souterrain et découvre Laurence en plein acte sexuel avec Marc. Elle est toujours vêtue de façon aussi provocante : sa mini-jupe qui ne cache vraiment presque rien, son décolleté plongeant qui dévoile généreusement sa poitrine, et ses fameuses mules à talons vertigineux qui accentuent ses jambes.
Choqué, Julien les confronte. Laurence, loin d'être gênée, se tourne vers lui avec un sourire lubrique.
"Oh, Julien! Tu tombes bien. Tu veux te joindre à nous?" lance-t-elle d'une voix rauque.
"Laurence, qu'est-ce que tu fais?" demande Julien, incrédule.
Elle rit, s'essuyant le coin de la bouche. "Ce que je fais? J'adore sucer des bites, mon chéri. Partout et n'importe quand. C'est tellement bon!"
Marc, gêné, tente de se rhabiller, mais Laurence l'arrête. "Reste là, on n'a pas fini."
Se tournant à nouveau vers Julien, elle ajoute avec fierté : "Tu sais, en 10 jours sans te voir, j'ai dû me taper une vingtaine de queues. Peut-être plus, j'ai arrêté de compter."
Julien reste bouche bée, confronté à la nature insatiable de Laurence. Elle s'approche de lui, ses talons claquant sur le béton.
"Ne fais pas cette tête-là. Tu savais que j'aimais le sexe quand on s'est rencontrés. Je suis une vraie nympho, et j'assume totalement. La vie est trop courte pour se priver de plaisir!"
Puis, avec un regard provocateur, Laurence ajoute : "Tu savais que tu avais à faire à une vraie pute, mon chéri." Tout en parlant, elle glisse sa main sous sa jupe et commence à se doigter la chatte sans aucune gêne. Après quelques instants, elle retire ses doigts trempés et les porte à sa bouche, les goûtant avec un plaisir évident. Elle les tend pour les faire goûter à Marc et Julien…
« Allez goutez-moi cette petite chatte toute baveuse ! »…
Ni une ni deux, elle s’accroupit entre les deux hommes dans ce parking. Jupe retroussée laissant apparaître sa fente toute luisante, elle les invite à se faire pomper ici et maintenant. Au risque de se faire surprendre par d’autres personnes. En quelques minutes, la pompe à sperme va se mettre en action, puis ils abdiqueront… dans un râle commun, il lui auront lâché tout ce que leurs couilles contenaient de semence chaude et odorante dont elle s’enduit le visage avec plaisir. Et fierté ! Chacun est reparti de son côté.
Lors d'un voyage libertin quelques mois plus tard qu’elle effectue avec son mari, Laurence pousse l'audace encore plus loin. Dans un club échangiste, elle ne porte qu'un micro-bikini en chaînes métalliques qui ne cache rien de son anatomie. Son cul parfait est orné d'un plug anal étincelant. Elle va s'engager dans une orgie effrénée, criant à pleins poumons : "Défoncez-moi tous les trous ! Je suis votre pute internationale !" Rien que cela.
Le retour en France promet d’être toujours plus hardcore. Il semble que Laurence franchisse à chaque fois un palier supplémentaire vers la sexualité totale et plurielle. Ce sont les hommes qui en profitent pleinement.
Le chapitre se termine avec Laurence, couverte de fluides, déclarant fièrement à son conjoint : "Je suis ta salope sans limites, mon amour. Regarde comme je me suis fait baiser pour toi. ». C’est ce qu’elle me rapportera de son voyage. Des photos et vidéos doivent circuler, j’attends avec impatience de les voir.
Voilà, elle s’est fait baiser pour son mari, mais c’est aussi comme cela qu’elle s’adresse à moi quand nous sortons d’une belle partie où elle s'est faite démonter comme une chienne. Oui c’est bien sans préliminaires ! Je confirme...
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