Laurence et le réveillon

- Par l'auteur HDS Zagalle -
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Récit libertin : Laurence et le réveillon Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Laurence et le réveillon
Laurence n'est vraiment pas timide

Ce matin de décembre débute dans le froid et le jour n'est pas encore levé. Son message arrive sur mon smartphone annonçant son arrivée dans 5 minutes. Un coup d'œil sur ma montre. 7 h 15. Dans quelques instants, je saurai quelle tenue elle a choisi et pourrai respirer son parfum. Je suis sensible à ce détail féminin. Or Laurence en joue. Et tant mieux, je dirais.
Depuis quelques semaines, nous avons pris l’habitude de cheminer ensemble quand nos emplois du temps coïncident. Elle passe ainsi de la vie de femme mariée à celle d’une fille beaucoup plus délurée. Manière élégante de qualifier la vraie salope qu’elle a du mal à cacher. Confirmation visuelle en ouvrant la portière une fois que son véhicule s’est immobilisé à ma hauteur.

Coucou toi, tu as vu j’ai mis la jupette que tu aimes. C’est ce que j’ai remarqué en premier. Evidemment.
Dans la pénombre, je distingue nettement que la petite jupe arrive à mi-cuisses. Peut-être un peu plus haut. Laurence voit bien que son propos m’intéresse particulièrement, attendant que j’ajoute le geste au regard insistant dont je la gratifie. Elle démarre et la voiture file dans le noir. Motivé par le spectacle qu’elle m’offre, je pose une main sur la cuisse de ma conductrice. Sous mes doigts, la texture du tissu m’indique que la vilaine a opté pour des bas résilles. « Ah on dirait que ça te plait ? » me lance-t-elle un brin provocante. J’adore quand elle endosse ce rôle de petite salope. En plein hiver, porter une jupe courte, des bas résilles sur des talons aiguilles en dit long sur le style de cette femme. « Femme de bonne tenue le jour et vraie pute à partouze le soir » comme elle se définit. Sauf que nous sommes le matin et je me sens excité alors que la journée ne fait que commencer. Elle finit de me rendre dingue en me relatant qu’elle sait faite mater avec insistance en prenant de l’essence 15 minutes avant de me rejoindre. « Ils m’ont un peu émoustillée en me tournant autour ces trois gars, ils semblaient me trouver à leur goût… mais bon, on n’aborde pas une femme bien sous tous rapports si tôt le matin, dans le froid et à une station service » dit-elle faussement scandalisée. Tout en manœuvrant pour se garer, elle fouille dans son sac pour en sortir un string.

Tu as la chatte à l’air ? 
Je l’ai enlevé en quittant la station service, tellement cette scène avec les trois types m’a fait mouillée 
Fais voir…

Donc, après avoir immobilisé sa Toyota, la femme mariée bien sous tous rapports écarte les cuisses et j’engouffre ma main dans l’ouverture qu’elle m’offre. Elle passe sa langue sur ses lèvres.

Alors, content ?
Tu es vraiment une salope…trempée ainsi
J’avoue, oui

J’enfonce un, deux puis trois doigts dans cette chatte accueillante. J’ai envie de goûter à ce liquide excitant… je libère ma main trempée, je la porte à ma bouche et me régale de son extrait d’entre jambe. Je lui fais goûter les sécrétions de sa propre chatte. « Mmhhh » s’extasie-t-elle. Cela me rappelle combien elle aime lécher des chattes dès qu’elle en a l’occasion.

Montre moi comme tu bandes…
Ça t’a bien excitée on dirait
Constater leur désir si proche de moi avec quelques mots crus en plus… mouais ! Ça m’inspire.
Allez fourre-moi la chatte encore, je vais m’occuper de ta queue.

Des passants se pressent dans le froid pour rejoindre l’arrêt de bus qui se trouve à une portée de phares, ignorant ce qu’il se trame dans le véhicule stationné avec ses deux occupants.
La salope de conductrice me défait la braguette et d’un geste expert elle extirpe ma bite de sa torpeur matinale.

Je vais te sucer la queue, en te disant que ta suceuse aurait très bien pu se farcir les trois bites de la station service avant. Tu sais que ça ne me fait pas peur et je sais que ça t’excite de savoir ces détails… Et puis partir au boulot avec une dose de sperme, moi ça me plaît bien cette idée.

Pendant qu’elle s’active sur mon manche tendu au maximum, elle alterne coups de langue sur mon gland, branlette et petits crachats pour bien huiler la manœuvre… elle suce et me raconte de quelle manière elle les aurait pompé ces trois mecs.

Accroupie au milieu du trio de chibres excités, je les branle à tour de rôle. Les défie du regard l’un après l’autre. Vous en voulez de la bonne pipeuse matinale ? Vous avez tiré le gros lots, les gars… après une bonne branlette, il est temps de passer à la séquence pipe.. je me les enfile avec gourmandise : une par une ou deux par deux dans la bouche, sans oublier de bien malaxer leurs couilles, tu vois je les aurais fait exploser comme des salauds en me faisant traiter de petite pute…

Oui elle aime qu’on la couvre d’insultes et de sperme… ce qui ne va pas tarder. Je lui colle une giclée de ma liqueur qu’elle m’a arraché en me suçant comme une chienne. Je peux attester que c’est une sacrée salope à tailler des pipes de bon matin à qui veut décharger. Donc, Laurence la femme bien sous tous rapports a redémarré sa Toyota en avalant une bonne dose de jute… « Mmmhh, j’adore ce goût quand j’arrive au travail… les collègues ne se doutent de rien, ou presque » attise-t-elle par cette confidence.
Personne n’est dupe. Ce n’est pas la première fois (ni la dernière) qu’elle arrive la chatte à l’air au bureau en portant bas et talons aiguilles. « Et dire que j’avais l’occasion de venir ce matin avec une triple giclée de spermmmmhhh » ajoute-t-elle d’un air faussement innocent. Jusqu’à la station de métro où nos chemins vont se séparer, dans la voiture l’excitation est à son comble, dans un mélange de parfum féminin et d’odeur de jouissance.
Regardant sa voiture s’éloigner, je me demande si sa journée sera calme après cela. Comme on peut le constater, Laurence est dotée d’un appétit sexuel assumé en toutes circonstances. Quelques échanges de sms me confirment qu’elle a vraiment le feu au cul cette nana. Je retiens parmi les plus chauds qu’elle a passé la journée avec une forte envie de baiser, repensant aux trois mecs, la pipe bien taillée, le sperme, sa chatte à l’air au travail, les collègues masculins entreprenants et ses nibards qui se balancent sous le chemisier…
Connaissant la belle, cette ambiance érotisée durant toute une journée n’est pas une surprise. En effet, elle ne cache pas être capable d’enchaîner 3 ou 4 plans cul le même jour. Y compris la partouze.

Dans quelques jours, ce sera le 31 décembre qu’elle fêtera avec son conjoint. Or, il y a tant a raconter. En attendant, encore 4 jours avant de basculer dans une autre année. Traditionnellement Laurence s’offre une nouvelle tenue pour la Saint Sylvestre. Elle m’envoie quelques photos de la cabine d’essayage où elle teste différentes robes et jupes. Garce comme elle est, elle prend des clichés de sa poitrine nue lourde et si excitante, d’autant qu’elle sait la faire balancer quand elle baise… et que dire de ce gros plan de sa chatte épilée détaillant sa vulve… il me revient des scènes de cul face au miroir avec cette salope qui aime regarder se faire sauter…
« Un vrai petit garage à bites » écrit-elle en légende de ce visuel. Elle me fait comprendre que ça pourrait être chaud le soir du réveillon… cette chatte parfaitement lisse m’excite. Au même titre que le plug anal qu’elle s’est enfilée pour faire son shopping. Je la questionne sur la présence de ce jouet… « tu sais comme j’aime qu’on le fouille ce cul de salope, alors un petit plug de temps en temps pour garder le rythme, ça fait toujours plaisir »…
Je me demande si elle ne prépare pas un plan cul pour le 31 décembre. Elle répondra par un emoji clin d’œil…

Cette situation est étrange. L’approche d’évènements de ce genre me stresse car une pointe de jalousie s’empare de moi. Or après coup, je me régale de savoir comment elle a baisé. Mon plaisir est de la sauter en sachant toutes les cochonneries qu’elle a fait avec untel ou à plusieurs.
Une nouvelle photo arrive : il s’agit d’une robe noire courte au décolleté en V profond laissant la poitrine s’exprimer… elle suggère : « sans soutif, t’en penses quoi ? »… je lui fais part de mon approbation totale en tentant d’apporter ma petite touche : «  et tu pourrais mettre des mules à talons ? ». Pour elle, ce détail est connoté : « Si je mets ça, on va penser que je viens pour baiser : les mules, c’est bon pour ça… en même temps, c’est tentant ».
Je sais qu’elle repartira avec cette robe courte… très très sexy. Je ne saurai rien des autres accessoires qui accompagneront cette tenue : mules ou pas ; escarpins ou non ; bas ou pas ; porte-jarretelles ou pas… je découvrirai tout cela le 2 janvier, date de notre prochain rendez-vous.
Aura-t-elle respecté son engagement ? «  Je serai sage cette année ! ».

Il est 18h, Laurence doit me rejoindre dans le salon cosy du bar d’un hôtel parisien. L’idée est de prendre un verre avant de dîner. Elle arrive avec 5 mn de retard.
J’ai le temps d’apprécier sa tenue du jour avant qu’elle ne vienne jusqu’à moi pour m’embrasser goulûment… Je lui lance «   Tu n’as pas froid ? »…
Je remarque qu’elle est vêtue comme j’aime : la robe qu’elle m’avait montrée lors de ses essayages lui va à merveille. Il fallait la voir avec tous ses accessoires : talons aiguilles très hauts, bas résilles et décolleté sans soutien gorge…

Elle prend place confortablement dans le fauteuil club du salon. Le barman vient noter notre commande tout en ne perdant rien du spectacle que Laurence propose.
«  Je n’ai pas froid, non.. quand je suis excitée comme ça ! »
Le barman lorgne la scène pendant qu’une suite intéressante va se produire. Il a raison.
Laurence me regarde droit dans les yeux en mordillant sa lèvre inférieure… « ton réveillon alors » questionne-t-elle avec lascivité. Elle hausse les sourcils, comme pour m’interpeller et attirer mon attention. Elle écarte les cuisses gainées de bas résille… le haut de son entrejambe est désormais largement ouvert… la vulve est apparente. C’est une chatte lisse qu’elle dévoile à mes yeux que je sens captivés par ce jeu de jambes à faire craquer un pantalon. Je ne suis pas le seul à mater cette salope. Le barman profite aussi de la vue… « tu aimes ? ». Cette question tend encore plus mon excitation. Elle me provoque. Elle passe deux doigts sur sa chatte et me les tend. « Goûte moi ça, j’ai le cul a l’air depuis ce matin, je suis trempée »… En se penchant vers moi, elle m’offre une autre vue sur sa belle poitrine mobile que j’adore martyriser.
« C’est comme ça que tu étais au réveillon ? »…
- hum-hum
Cette confirmation par onomatopée appelle à enchaîner sur d’autres questions.
tu veux savoir quoi ?
Ben tu sais…
Si j’ai fait ma baiseuse pendant le réveillon ?
Ben oui
Bon je vais être directe… oui, j’avoue que je suis passée à la casserole.
Tu as fait ta salope ?
Mmm… ben disons que je me suis enfilée tous les mecs de la soirée.
Combien ?
5
Eh bien ?
Tu veux vraiment savoir ? Tu me promets de ne pas être jaloux ?
Oui ça m’excite…
Bon puisque tu le dis… mais sache que j’ai vraiment été cochonne et pute à souhait. Je crois ne l’avoir jamais autant été… en même temps, avec ma tenue, j’avais donné la tendance de la soirée.

Tout en remuant du bassin comme pour trouver une place plus confortable dans son fauteuil, elle m’apprend qu’elle arborait la même tenue vestimentaire à la différence qu’elle s’était décidé à porter des mules à talons qu’elle s’était offert la veille dans un magasin love store parisien.
Ce mouvement de bassin s’intensifie… elle s’assied sur un côté relevant une cuisse, retroussant sa robe, elle m’invite par un clin d’œil à mater et le fait découvrir qu’elle est pluguée.

- je suis allée au réveillon avec ce jouet dans le cul… j’étais déjà bien dilatée dès l’apéro.

Elle retire discrètement l’objet qui trône dans son conduit pour me montrer le calibre qui l’occupe.

Avec son mari, direction le réveillon chez des amis, ils sont les derniers du groupe d’invités à arriver. De nouvelles connaissances font partie des convives. Parmi eux, trois hommes d’une bonne quarantaine d’année ont répondu oui à l’invitation de Murielle (la meilleure amie de Laurence)… On lui présente ainsi Emmanuel (47 ans, directeur marketing), Bob (51 ans, acteur porno amateur), Yves (51 ans, éditeur). Les deux autres hommes sont les conjoints de Murielle et Annie qu’elle connaît depuis des années. Trois autres femmes que Laurence ne connait pas sont venues avec Bob et Yves.

-J’imagine que d’emblée tu t’es faite mater habillée en pute…

En effet, elle m’a confirmé que personne n’en a perdu une miette. Bob a tout de suite vu le potentiel aguicheur de cette salope perchée sur ses mules, bas résilles etc…

il a tout de suite vu que j’étais pluguée, la chatte à l’air et que j’étais venue pour baiser…

On allait passer en 2013… en tout cas 2012 se terminait de la meilleure des manières. Bob amusait beaucoup Laurence et il ne cessait de l’effleurer essayant de la toucher, sentir les formes de sa belle poitrine. La musique, l’alcool avec modération aidant (Laurence ne boit pas en soirée, elle dit vouloir profiter de ce qu’elle vit surtout quand ça tourne à la baise).
Pendant que Bob racontait son expérience dans le porno, il tentait de se frotter à Laurence qui jetait un œil furtif aux réactions de son mari…

Bob devenait de plus en plus entreprenant… « Ta femme est vraiment charmante, Bruno ! » un sourire de l’intéressé validait le propos. Et peut-être bien plus encore.
En s’approchant, on pouvait deviner le thème de la discussion entre Laurence et Bob… on parlait taille de sexe, technique et performance…

Minuit… on se souhaitait bonne année. Bob lançait à Laurence un pitoyable : « Adieu 2012, année de la partouze et bonjour 2013, année de la baise ».
Bien qu’affligeante, cette blague a excité Laurence immédiatement. Bob proposait un jeu autour du porno… mais Laurence qui n’en pouvait plus n’avait qu’un désir : découvrir comment un acteur porno (même dépassé) est réellement membré et comment il baise…

- moi j’ai pas envie de jouer… j’ai envie de passer aux choses sérieuses.
Bob, tu nous montrerais pas comment est membré un acteur porno ?

La question enthousiasme l’assistance… et il se met à exécuter cette injonction devenue collective.

Jambes écartées elle m’avoue : «  J’attendais que cela, il se met à poil, on voit son engin au repos qui atteint une taille imposante… moi ça m’fait frémir de partout »…

La pute qui sommeille en elle se réveille sans barguigner et sans même regarder son mari…

- je m’approche de lui et caresse sa bite qui s’active illico… il bande aussi sec, je continue ma caresse devant le reste de la troupe. Quelques va et vient de ma main sur cette tige et le calibre se déploie. J’en reviens pas : 25cm bien large en plus.. ça va être ma fête et la sienne d’abord. J’ai envie de le sucer sur le champ. Je m’accroupis, j’offre à Bob une vue magnifique sur mes nibards qui se balancent en rythme quand je le branle et commence à le goûter. D’abord avec ma langue et puis ma bouche tout entière qui va avoir du mal à engloutir ce manche dur comme du bois… cela semble lui plaire. On est en pleine scène porno, il me traite de chienne et de salope à porno… ça m’excite bien d’autant qu’il se penche pour me choper les pointes de seins pour me rendre dingue et me faire gueuler… sur les conseils de Bob, Emmanuel et Yves sortent leur bite. De belles tailles aussi. La pute que je suis est veinarde. Je commence bien l’année dis donc… ils s’approchent et commencent à me peloter pendant que je taille une pipe comme j’en ai jamais fait. Je suis excitée à un point. Cette grosse queue raide me motive. Le gland bien rond et rougi, les veines du chibre de ce salaud, son jus bien goûteux, ses couilles énormes et bien lisses… mmmhhhh.

Pendant qu’elle me défie du regard, elle poursuit son récit nymphomaniaque. Pendant que les trois bites sont autour d’elle, elle fixe son mari du regard en poursuivant sa fellation experte. Le summum du vice.

Allez les gars… approchez, je vais vous pomper la bite à vous aussi. L’un après l’autre. En même temps ça marche aussi. Sucer et branler deux copains, tout cela est dans mes cordes. Ça vous plaît on dirait ? Je vous lèche les couilles aussi… mmmhhh c’est bon ça. Vous allez me les vider hein ? Mais avant cela vous allez me baiser comme une pute. Il n’y en a pas un qui a eu la curiosité de me regarder le cul ?

Bob prend les choses en main… on sent le professionnel. Il s’occupe de remuer le plug que Laurence a dans le cul en lui promettant de lui fourrer ses 25 cm à la place…
Il la relève, elle tient bien en équilibre sur ses mules hautes de pute à porno. Elle se penche en avant pour poursuivre la double fellation sur Emmanuel et yves qui grognent de plaisir sous le traitement buccal de cette chienne. Les yeux dans ceux de son mari qui commence à se branler devant sa femme en chaleur, Bob introduit sa grosse queue dans la chatte à l’air et humide de Laurence. Mais le cul occupé par le plug lui fait l’effet immédiat d’une double pénétration qui lui arrache un «  salaud… vas-y défonce-moi avec ta queue… tu te rends compte, il me met une double avec le plug, c’est affreusement délicieux ». Bob est aux anges et pourtant il en a vu des salopes. Mais les ondulations de Laurence, sa cambrure, sa chevelure ondulée noire tombant dans les reins, ses nibards de chienne allant et venant sous les coups de boutoir de l’acteur porno le rendent fou.
La chatte limée par ce Performer commence à se contracter de jouissance. Il l’a gratifié de quelques insultes dignes d’un film dont il est le héros, ce qui accentue l’excitation de la belle salope.

Bob ressort de la chatte lustrée. Il retire le plug du trou du cul de Laurence pour enfiler sa bite à la place. Il investit le conduit anal, pendant que la bouche pleine des bites qu’elle suce laisse échapper des râles de plaisirs intenses. On entend des « putain c’et bon, baisez moi les mecs ».

Et là il m’ont collée une double bien corsée… bob m’a retournée, debout il m’a mis la jambe sur son épaule et m’a enfilée la chatte en face à face, par derrière c’est emmanuel qui s’est décidé à m’enculer en même temps… il n’a pas eu de mal tant mon cul était dilaté par le travail du plug et la bite énorme de Bob… quel régal, cette double pénétration sous le regard de mon conjoint.
Et moi comment j’ai aimé ça : baisée sur mes mules, en bas résille et encore habillée de ma robe. C’est comme ça que j’aime les plans cul. Je peux te dire qu’ils m’ont baisée comme des dingues. Les maris des copines qui les suçaient pendant ce spectacle motivant se sont approchés de moi… deux me fourraient en double pénétration, les trois autres autour de moi attendaient leur tour, bite tendue.
Bob et Emmanuel m’ont ensuite prise sur le canapé en changeant les rôles. Je l’ai senti passé quand ce salaud de Bob est venu pointer son gland sur le bord de mon anus… il a bien attendu qu’Emmaniel trouve le bon rythme pour pousser et m’enfiler ses 25 cm dans le cul. Wouahhh c’est un délice à la fin. On a le souffle coupé mais on veut que ça continue tellement c’est bon. Je sais que les salopes aiment ça et aiment aimer cela.

Pendant une bonne vingtaine de minutes, Laurence se fait trouer de partout avec ses deux mâles qui vont lui cracher tout ce que leurs couilles contiennent de sperme. En simultanée, la décharge vient de sa chatte et de son anus ensuite.
Tout cela dans un râle commun et une odeur de sperme.
Elle ramasse le jus de ses deux amants avec les doigts et les porte à sa bouche. Se léchant les doigts, elle attire les trois autres invités à venir prendre la suite. Langue sur les lèvres…

Le sperme dégoulinant de ses entrailles, elle s’assied sur le bord du canapé à la hauteur des queues tendues des copains. Et vas-y que ça suce et branle à la queue leu leu. Les deux autres qui viennent de se vider les couilles approchent pour lui peloter les bobards et lui pincer les pointes… « Hey les mecs, mais vous continuez de m’exciter ».
C’est bon pour les trois salauds qui se font tailler une pipe d’enfer. Le mari cinq fois cocu dans cette affaire continue de se branler. « Ça me plaît de baisers devant toi tu sais ?’ »

- Toi et toi, je prends la décision : toi tu vas m’enfiler ! Je veux un beau calibre pour me casser le cul. Et toi tu me prends par la chatte et tu vas tourner avec ton pote que je suce. Et vous allez alterner… ok ? Allez c’est parti.
Une dans le fion ( la plus grosse des trois) et les deux autres me liment ou je les suce… on va se finir comme ça sur une double bien balancée. Au bout d’un long moment à me faire sauter comme une salope à partouze, mes deux alternants viennent me balancer leur sperme sur ma petite gueule de chienne. J’ouvre grand la bouche… ben oui, j’aime ça en plus… mmmhhh… du bon sperme bien odorant et capiteux. Le dernier des trois a aussi envie de lâcher sa semence… il éjacule dans un verre à champagne (c’est la fête oui) et me le présente pour que je m’abreuve de son jus exquis…

Pendant ce temps, Bob et Emmanuel avaient récupéré grâce au spectacle auquel ils asssitaient. À nouveau 25 cm pour moi ? Ouiii… ils me remettent le plug dans le cul et m’obligent cette fois à les sucer… jusqu’à ce qu’ils me balancent une faciale énorme. J’étais couverte de jute bien odorante. J’adore le sperme… et ils m’ont couverte autant de petits mots gentils (insultes bien méritées) que de liqueur.
Si on compte bien je me suis envoyé les 5 mecs de la soirée. Pendant que je finissais le nettoyage des pines en question… les deux copines se partageait la queue de mon mec. Une belle pipe à deux bouches… oui c’est bien aussi, je sais bien faire…

Et dire que les trois autres nana regardaient là le programme télé au même moment… un porno justement.

Laurence scrutait mon pantalon et constatait que je bandais comme un dingue.
« Mais dis donc tu es une affamée «  lui lançais-je.

- J’aime de plus en plus ça… et Bob m’a dit que j’avais du potentiel comme baiseuse de porno… surtout dans les plans cul à partouze.

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