Laurence n’est pas timide

- Par l'auteur HDS Zagalle -
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Récit libertin : Laurence n’est pas timide Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2023 dans la catégorie Plus on est
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Laurence n’est pas timide
Laurence aime se faire plaisir. C’est son credo. Pour cela, elle s’appuie sur une personnalité solaire et enjouée et sur un physique très attirant. La quarantaine épanouie, une chevelure couleur noir de jais, bouclée et tombant jusqu’au milieu du dos. Elle ne mesure pas plus de 1m60, quand elle ne porte pas ses talons aiguilles qu’elle arbore avantageusement. D’autant que la ligne de ses jambes rehaussée d’escarpins de 11cm provoque allègrement le tournis chez les hommes autour… mais aussi chez ses congénères féminines. Voilà qui est intéressant. Ce petit déhanchement félin auquel il faut ajouter le balancement aguicheur de sa copieuse et naturelle poitrine ne laisse pas indifférent. Personne.


Depuis 2 ans, nous entretenons une relation intense au niveau sexuel. Tant physique que dans les fantasmes que nous partageons. Ouvert aux échanges les plus torrides, j’accepte avec enthousiasme qu’elle me rapporte ses expériences passées qui me permettent aujourd’hui de profiter de tous ses talents. Et ils sont nombreux ! « Tu veux savoir à quelle chaudasse tu as affaire ? » me rappelle-t-elle. J’avoue être aux anges et parfois piqué par une certaine jalousie de n’avoir pas pu la connaitre auparavant.


Ce soir là, nous avions décidé de sortir. Une sortie simple, un restaurant. Nous avions un petit rituel désormais, celui d’exiger une table à deux couverts, non pas face à face mais côte à côte et disposés à 90*. Ceci pour avoir le loisir d’une proximité discrète et érotique. Laurence n’hésite pas à être provocante, n’hésitant pas à offrir son décolleté ouvert sur ce balancement mammaire qui me plaît tant. Les regards des hommes n’en perdent pas une miette non plus… Mater ses cuisses souvent découvertes fait partie du spectacle qui l’amuse avec excitation.


Ces soirées sont souvent l’occasion qui lui est donnée d’allumer l’amateur de fille aguicheuse que je suis. Or ce soir là, elle avait tout fait pour me faire comprendre ce qu’elle avait introduit dans son anus. Tout le diner à se dandiner sur sa chaise ne laissait planer aucun doute : elle se dilatait l’entrée anale à l’aide d’un plug qu’elle venait de s’offrir. « J’étais aux anges », d’autant que la disposition de la table nous donnait entière liberté pour fouiller nos intimités respectives… Difficile de supporter l’insupportable dans ces conditions. Il fallait donc pouvoir patienter un moment plus propice pour poursuivre ce bouillant tête à tête…


On pouvait rentrer, le chemin retour fut des plus excitants, prélude à de plus torrides ébats.

On décidait finalement de prendre une chambre d’hôtel afin d’apporter une dose de piment à cette soirée.


Voilà ce qu’on peut en dire :

Tu es en manque cher amour ? En manque de ta Laurence version garce peut-être… oui oui oui… je le sens. Ca tombe pas mal, il me faut un salaud de ta trempe pour me satisfaire… bien membré et prêt à toutes les belles cochonneries.

Car vois-tu je me sens dépendante de tes 18 cm et de la façon dont tu en joues avec moi. Fouille mes orifices sur toute leur profondeur, défonce les, montre leur qui commande… avec ce membre exigeant, si ferme qu’il me donne envie de crier…
Ta petite nympho a besoin de preuves aussi, par des faciales abondantes et bien appliquées. Tout ce sperme, toutes ces giclées que je me prends… mmhhh… qu’elles soient la conséquence de t’être fait bien taillé ou d’une chatte bien limée, peu importe finalement. Ce qu’il te faut c’est de la vicieuse qui aime le cul. De celles qui aime mater un porno avec toi hein ? Regarder tous ces salauds, bite tendue qui attendent leur tour pour se faire tailler par de la bonne pute, qui enchaînent par de la double à tour de rôle… et surtout voir la cochonne qui aime ça ! Elle en redemande… comme moi quand tu me pilonnes ou que tu tiens ma tête pour une pipe bien profonde.
J’aime quand tu exiges. J’aime être la petite chose dont tu disposes.


Que dirais-tu de t’approcher et de te plaquer contre mon dos, alors que je devinerais déjà que mon salaud va me faire ma fête. Je te dis « non pas maintenant, je peux pas… ». Ma réponse ne te convient pas, tu te presses plus fort contre mon petit cul et d’une main tu saisis une pointe de sein pour me faire gémir, tu pinces de plus en plus fort pour m’arracher un petit cri.
« T’es sûre ma petite salope que c’est pas le moment ? ». Ton autre main va se nicher entre mes cuisses pour constater que je commence à mouiller.
« Petite chienne va ! Il t’en faut pas beaucoup hein… ».
Espèce de salaud va, donne moi ta bite maintenant, je te supplie, ta pute veut sa part, je veux me faire tringler, là, maintenant. Tu soulèves ma petite robe du jour et tu découvres qu’aucune barrière n’est à retirer. Ouhhh, tu redoubles d’insultes en voyant que mes trous sont à découvert, près à se faire mettre.
« Mais c’est pas vrai ça, ma garce ! Tu vas t’en prendre de la queue et tu viendras pas te plaindre ».
Je crois naïvement que tu vas gentiment enfiler cette chatte aux lèvres écartées… mais non, tu viens cogner ta bite directement contre mon petit cul.
« Hey ! Doucement ! » Mais non. Tu pointes le bout de ton gland et il veut y rentrer, crois-moi. Alors tu commences à pousser pour forcer cette pénétration dont tu sais qu’elle va me faire hurler tout en étant réclamée… Un cran de passé… « Salope ! Je le savais ! T’en veux hein ? Tu l’auras pas volé ta petite correction, je te la devais… » Oui j’en veux, je commence à réclamer « Vas-y mon salaud, encule-moi, vas-y, faut la calmer ta petite chienne en chaleur… ».
Il t’en faut pas plus pour pousser encore et allez… de la sodomie largement méritée, pointe de seins toujours martyrisée. C’est que ça t’excite hein de voir ta vicieuse qui couine de plaisir… Ca y est t’es tout au fond. Et ça y va, des coups de queue profonds, presque violents, des insultes « ma garce qu’est-ce que je te mets ! chaudasse va ! dis-moi que t’aimes ça ! gueule je veux t’entendre ! » Et moi je t’encourage en te suppliant de m’exploser encore plus « salaud vas-y, donne-moi ce que je mérite, mais vas-y casse-le ce petit cul il est à toi ! ».

Et là, ça suffit, je veux me venger de ce que tu me fais subir. Je me retire et me plaque contre toi en face à face pour m’enfiler quelques minutes ta queue au fond de la chatte pour faire bonne mesure. Les yeux dans les yeux, ça lime sévère, mon bassin vient chercher presque autant que tes coups de reins me fourrent. Et je me retire à nouveau, ta queue est pleine de jus de salope hein ? Bien. On va goûter tout ça et je vais te la bouffer ta bite mon salaud, taillé profond, sans concession. Parce que moi aussi je veux t’entendre crier tu vois. Je lâcherai rien. Rythme soutenu, branlette à l’appui, couilles pressées et gobées…
Tu vas venir toi… je le sens…
« petite pute à partouze va ! chiennasse ! arrête ça tout de suite ».
Sûrement pas, je taille de plus belle, elle va venir ma faciale, je vais me la faire… Et ça tardera pas hein… tout sur ma petite gueule de putain… comme tu aimes… de la bonne douche bien fournie…
hein mon amour que j’aimme ?


J’avoue être chanceux de pouvoir jouir d’autant d’options sexuelles avec Laurence. Or, son penchant nymphomane (qui me va parfaitement) et totalement sans tabou m’a permis de découvrir avec quelle transparence elle est dithyrambique quant à dévoiler ses cochonneries passées. Et dieu sait comme « elle n’a pas souvent laissé sa part », se vante-t-elle.

Voilà ce qui a achevé de m’exciter ce soir-là, alors qu’elle fouillait dans quelques souvenirs sexuels récents auxquels je ne participais pas. Dommage…


« Mais je suis timide moi monsieur, quand je pénètre chez ces gens que je ne connais pas et puis il n’y a que des hommes. 5 si je compte bien. Ils ont passé commande d’une bonne petite pute qui tient la distance et… je suis là. Inspectée dès mon arrivée, leurs regards me déshabillent déjà. Oui tu le sais, ma jupe est extrêmement courte, mon chemisier est transparent à moitié ouvert sur des pointes de seins déjà tendues et mes hauts talons aiguille font briller leurs yeux.


Je retire lentement ma veste que je laisse glisser sur le sol. Pas de temps à perdre. Je me passe la langue sur les lèvres en les regardant, ils commencent à bander. Chacun son tour les mecs, c’est moi qui choisit. Je choisis les deux premiers en m’approchant d’eux et en leur intimant de me montrer ce qu’ils ont à proposer. Immédiatement ils sortent leur queue déjà bien étirée. Oui… c’est de la belle que j’ai envie de tailler… j’attaque une bonne branlette des deux salauds et commence à les sucer. A quatre pattes, pour que les trois autres matent les pipes, mon petit cul, ma chatte et mes seins qui sortent de mon chemisier en se balançant…
Bien concentrée sur les deux bites que je fais se toucher, mêlant leur jus, que j’enfourne en même temps, avec deux paires de couilles à presser et à gober aussi, les deux là, il faut que je les calme sinon ils vont juter très vite… alors je vais leur fouiller l’anus pour temporiser hein ?
Mais les trois autres qui se branlent n’ont pas prévu de rester à ne rien faire, l’un s’approche et me met une petite claque sur les fesses pour attirer mon attention… je m’interromps et me tourne vers lui… Petite salope, on en veut nous aussi… écarte ton petit cul, je vais t’enculer direct… Mmhhh..
ça me va mais il faut que je goûte sa queue d’abord… alors c’est reparti pour une pipe et le 4ème qui se rapproche… allez mes salauds, vous en voulez tous de la baiseuse… de la queutarde… pas de problème…


Mais les deux premiers sont des tricheurs hein… maintenant que je m’occupe de leurs copains, ça ne va plus.
Moi d’abord ! dit le plus fortement membré. Et pendant que je suis encore occupée à tailler, il se place derrière moi, m’enfonce trois doigts dans la chatte, la goûte et montre que ça lui convient. Il me l’enfile d’un trait et me défonce tout de suite comme une chienne en me traitant de tous les noms… mais déjà son copain attend son tour et lui demande de laisser la place… je taille toujours les deux salauds, et c’est un autre qui vient me fourrer… puis le 3ème et l’autre et l’autre… car les salauds enfilent la chatte de la garce à tour de rôle, laisse la place pour se faire tailler et y reviennent à nouveau…


Les gars… il n’y en aurait pas un qui serait tenté par mon petit cul aussi ? Et c’est parti, les baiseurs n’attendaient que mon feu vert… ils vont se le faire les uns derrière les autres, explosé, défoncé, bien ramoné comme il faut, tandis que je taille ceux qui patientent…
Dites-moi les mecs… je me ferais bien enfiler une bonne double… toi et toi. J’ai choisi. Nous sommes debout. L’un est contre le mur et je viens m’empaler de face sur sa queue, il me tient par une cuisse qu’il lève et c’est moi qui met les coups de reins. Le second vient derrière moi et entame la sodomie. Sa grosse queue a du mal à rentrer, pas grave, je l’encourage à pousser encore et encore… c’est fait, par petits crans il a fini par tout rentrer. Et il me défonce. Sauvagement. A chacun de ses coups de reins, ma chatte s’empale comme une folle sur le mec en face de moi…
Les autres deviennent dingues devant cette scène, ils se branlent comme des malades… Pas question d’arrêter, j’arrêterai quand les deux salauds m’auront remplie chatte et cul. Ce qui ne manque pas d’arriver, moi au milieu, perforée par leurs jouissances et croulant sous les « baiseuse ! videuse de couilles ! queutarde ! ».


Les 3 qui patientaient en ont assez. Les deux suivants me saisissent et veulent la même chose, allongés par terre cette fois. Et c’est reparti, la garce se fait mettre une seconde double bien corsée alors qu’elle est encore pleine du foutre des précédents… quelle cochonne alors…
Et le dernier ? Il va mettre sa giclée, lui… il se branle au-dessus de mon visage et m’envoie une douche très très abondante, une belle faciale alors que les deux salauds crachent tout dans le même temps… bien au fond.
Bilan… et de 4 mecs qui ont déchargé au fond de la petite pute et une faciale… »


Une histoire que je me repasse avec plaisir le plus souvent possible. Un vrai bonheur cette Laurence qui n’a pas son pareil pour faire monter la température.

La suite au prochain numéro…

Les avis des lecteurs

Pas timide et très cochonne!



Texte coquin : Laurence n’est pas timide
Histoire sexe : Une rose rouge
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