Laurence les enchaîne bien

- Par l'auteur HDS Zagalle -
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Récit libertin : Laurence les enchaîne bien Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2023 dans la catégorie Plus on est
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Laurence les enchaîne bien
- On va diner ?

Je remettais de l’ordre à mon pantalon au niveau de mon boxer qui a dû résister à la série d’érections qu’elle m’a infligé avec son récit de réveillon de salope…

- Juste le temps de passer aux toilettes pour changer mon plug anal, je suis dilatée comme pas possible, il m’en faut un plus gros pour le dîner…

Je l’observe alors qu’elle se lève et traverse le bar sous l’œil intéressé et admiratif des hommes présents ce soir-là… je ne suis donc pas le seul à aimer ce genre de petite garce allumeuse ? Seul différence avec une allumeuse, Laurence tient ses promesses quand il s’agit de cul. Elle répète à l’envi : « Qu’est-ce que j’aime le cul ! ». Preuve qu’elle passe souvent à l’action.

A la regarder se mouvoir, on comprend quelle salope elle doit être… J’apprécie de mesurer son pouvoir d’attraction imaginant ce que ces hommes pourraient lui infliger de sévices et aussi ce qu’elle saurait, elle, leur concocter de cochonneries…

Nous enchaînons et je suis curieux de connaître la suite. En fait, elle m’a promis de me raconter comment elle enchaînait les coups de bites dans une même journée…

On prend place à la table que nous avait réservé le serveur de ce restaurant. Lumière sombre, coin discret… c’est l’avantage des lieux spacieux : pouvoir se parler cul, se provoquer, se peloter sans attirer l’attention. Même si Laurence n’a pas de problème à s’afficher quand l’envie de baiser lui prend. Nous étions côte à côte. C’est mieux qu’un face à face. On a appris à aimer ce genre de disposition au restaurant, les cuisses de Laurence sont plus accessibles. De plus elle ne rechigne jamais à les écarter pour se faire doigter pendant un repas…

La commande étant passée, je lui demande de tenir sa promesse…

- Mais c'est qu'il est bien curieux mon hardeur d'amour... toujours à vouloir savoir tous les petits vices de sa petite pute perso qui, avant lui, fut à qui lui plaisait.

« Alors peut-être puis-je te confier ceci en attendant l’entrée » entame-t-elle....

« Le maximum d'enchaînement plans cul sur une même journée fut de... quatre. Vacances, soleil, on fait tout et n'importe quoi, à l'instinct. A l’époque, j’ai un peu moins de 30 ans, c’est pas si lointain en fait… ».

Le serveur apporte le pain et la bouteille d’eau pétillante, il annonce qu’une attente de 10 minutes est à prévoir pour le premier plat.

Laurence reprend et se tortille sur son siège… « Ce plug me fouille le cul avec insistance… mmmhhh… ».

« Bon on a le décor… Il y en a bien un qui me plaisait et qui s'est décidé à me faire savoir qu'il était en rut et qu'il me l'aurait bien fourré. Je ne le connaissais pas de plus de 2 jours je dirais, mais je le sentais pas mal.
Belle gueule, belle bite c'était parti, en ce début d'après-midi… belle chevauchée, chaleur extrême, défonce en bonne mesure, un peu trop rapide à mon goût pourtant »…

« Rien d’autre ? » demandé-je…

- Oui, je l’ai sucé comme il fallait, il parait que ma bouche de salope l’inspirait… il n’y avait personne à la piscine pendant le repas du midi, j’avais décidé d’y commencer ma deuxième journée de vacances par une bronzette. J’arborais un maillot deux pièces turquoise particulièrement évocateur par sa composition : le haut de ce micro bikini se résumait en un bandeau très fin qui cachait tout juste les mamelons tout en laissant bien déborder du tissu l‘ensemble de mes nibards ; le bas était constitué d’un string rectangle pas plus large qu’un ticket de métro. A ne pas utiliser si on a une petite toison. Aucune crainte en ce qui me concerne, j’avais bien épilé cette chatte de salope, histoire d’être bien accueillante. Un petit paréo et des mules hautes pour l’été complétaient ma tenue. J’aime bien les mules, ça m’excite et je sais que ça fait bander… la démarche est chaloupée et sensuelle, de plus ça fait balloter les nichons…

Or ce dernier détail est d’importance pour Laurence. A l’époque de l’histoire, elle avait déjà vécu une grossesse et sa poitrine s’était bonifiée, prenant en volume et plasticité. Tous ses mouvements avaient une tournure hyper sexy, elle avait découvert ce fait et s’en délectait de plus en plus. Ces vacances, elle les passait en compagnie d’une de ses amies proche, c’était leur moment à elles. Sans conjoints ni enfants. C’est d’ailleurs Karina qui l’avait initiée au port des mules hautes, lui faisant l’article sur les bienfaits de cet accessoire.
« Mais t’as baisé au bord de la piscine ? » m’inquiétais-je. Elle indiqua lui avoir taillé une pipe à deux pas des appartements au risque de se faire surprendre par les résidents ayant vue sur le bassin. « Dommage parce que ça m’excitait et lui aussi, il était au bord de l’explosion tellement je m’appliquais à bien m’occuper de son manche. On est allé dans son appartement et je me suis faite défoncée bien vite… trop vite peut-être ».

L’entrée arrive, le serveur distribue les plats esquissant un sourire complice qu’il partage avec moi. A-t-il entendu des bribes du récit où se fonde-t-il sur l’apparence salope de Laurence pour se faire une idée de ce que nous évoquons ?

Elle reprend le récit de ce jour de vacances :

- Trop vite, en effet, ce qui explique que quelques heures plus tard, j'ai dit oui à un mec que j'avais jamais vu. Sur la plage, il a juste dit "wanna fuck ?". J'ai pas hésité plus de 3 secondes, le précédent m'avait laissé sur ma faim, pas assez cochon pour moi. Alors que le 2ème, cuisses encore mouillées du sperme du précédent, c'était un putain de salaud. Insultes en rafale, en anglais certes mais j'ai bien tout compris.
Il ne pensait qu'à une chose, se faire mon cul ! Alors là ça a baisé sévère je vais dire, celui-là c'était du lourd.
Sa bite était partout à la fois et il menait tout ça rondement pour me prouver quel mec il était. Pas mal, pas mal du tout...
Si je me souviens bien, ce gars était pressé de tirer son coup, on n’a même pas eu le temps de se mettre à l’abri dans un bungalow. Juste le temps de me lever de ma serviette, rechausser mes petites mules à talons, trouver un endroit propice et commencer à tringler.

Je me suis accroupie cuisses bien écartées, vue plongeante sur mes nibards qui suivaient le rythme du traitement buccal que je lui prodiguais, couilles et chibre bien caressés, petite introduction du doigt dans son petit trou… j’avais envie de lui arracher le plus de centimètres possibles de sa grosse bite et surtout de voir tout ce manche disparaître dans mon cul.
Relevée d’un coup, retournée avec autorité, penchée en avant pour lui offrir ce qu’il voulait : mon cul en version petite pute. Les 11 ou 12 cm de talons de mes mules m’ont permis de me poster à la bonne hauteur pour sa pine. Puisqu’il est question de centimètres, il a enfilé les siens (environ 20 cm au moins) dans mon cul qui sait en prendre sans préparation. C’est l’avantage de se faire enculer régulièrement ou pluguer pour garder le rythme. Il m’a baisée un long moment dans cette position en levrette et me pelotant les seins… il commençait à hurler sa jouissance. J’ai compris qu’il en avait une certaine quantité à me donner. Tout en se retirant, il me retourne, je lui fais face et m’accroupis de nouveau, les yeux dans les yeux il expulse sa semence de foutre comme j’en ai rarement pris. 5 ou 6 jets longs et puissants sont venus me coller une faciale magistrale, bouche entrouverte, je récoltais son sperme qu’il me demandait d’avaler. Mais salope de salope, je recrachais son liquide mélangé à ma salive… le tout coulait sur mes nibards qui avaient perdu leur étoffe de bikini. Le bandeau avait valdingué pendant ma sodomie. Là j’avoue m’être bien fait mettre et l’avoir bien essoré le salaud. J’ai gardé les traces de ces jouissances tout le reste de la journée. J’aime le goût et l’odeur du sperme, c’est confirmé !

On aurait pu croire que ma petite chérie avait eu son compte non ? Mais le hasard a fait que le même soir fut la soirée où l'une de ses copines, Karina, qui ne cessait de vouloir gouiner avec elle, se tapait un mec qui lui montait dessus sans vergogne. Laurence se trouvait à côté, le pote de celui qui tringlait Karina aussi. Inévitablement ça donne des idées. Ni une ni deux, cette chienne a écarté les cuisses et le salaud l’a littéralement enfourchée, complètement dingue de voir son pote et l’autre nana baiser devant lui. On peut dire qu'il en voulait !

- La nana et moi on n'a rien fait ensemble, mais on se regardait bien pendant qu'on se faisait tringler l'une à côté de l'autre, elle bavait de pas pouvoir se payer ta petite chérie en plus. Elle était vache en commentaires sur le mec qui me défonçait, elle faisait sa jalouse, disant qu'il avait l'air de baiser comme un manche, mais qu'elle, elle pourrait m'en donner. Les mecs n'étaient pas français, donc n'ont rien capté. Je crois bien que ça m'excitait de me faire fourrer devant elle en la narguant et en poussant des petits cris quand la bite du mec s'enfonçait bien profond. Elle, ça la rendait folle !

Jamais en panne d’idée, Laurence décidait de faire évoluer ce côte-à-côtisme. Elle a fait comprendre à son baiseur de la rapprocher de sa copine tout en restant planté dans sa chatte… Commençant à peloter Karina, elle lui pince les nibards lui procurant une autre source de plaisir. La scène décupla l’excitation de celui qui ramonait la copine. En un rien de temps, Laurence alla s’intéresser à la bite qui besognait Karina.

- J’ai commencé à lui malaxer les couilles et titiller le clito excité de ma copine. Ça gueulait dans la piaule, on se faisait traiter de chiennes en Hollandais. Ça me rendait folle. J’ai dégagé la queue qui fourrait Karina et l’ai taillée avec hardeur, comme une hardeuse. Hop, je l’ai réintroduite dans le conduit trempé de ma salope. Doublement excitée par les soins que je prodiguais à ce couple et le lascar qui me baisait de toutes ses forces, je me déchaînais alternativement à lécher le clito baveux et la queue qui la besognait. Mmmhhhh…

Encore de longues minutes à ce rythme et Laurence sent monter la purée chez les deux étalons. Vite elle dégage la bite du con de Karina pour la faire éjaculer. Elle approche pour récolter cette semence blanchâtre, lape les filets de jute qui lui ont échappé et sont tombés sur la chatte de la copine baisée.
Pendant ce temps, le baiseur de Laurence se prépare à la gratifier d’une faciale. A genoux, face à son bourreau sexuel, bouche entrouverte déjà souillée du sperme du copain, elle aguiche une dernière fois et reçoit sa dose de jute.

- Bien jouéééé… ayant récolté les deux productions, j’attrape Karina à pleine bouche pour lui rouler une pelle pleine de sperme que l’on va s’échanger ainsi en matant nos deux salauds. Fières de les avoir rincés comme des chiennes.

Les deux petites putes continuent de faire connaissance avec leurs amants du soir en dînant rigolant en Anglais. Ça continue de se chauffer mutuellement. Les uns complimentant les autres sur leur talents de baiseurs ou de suceuses. Laurence étant régulièrement citée pour ses divers talents.

- On se congratule, on rigole, moi ça me donne encore des idées…

« Chiche ! » lance Karina…
Nous venions de terminer le second plat, finalement ce sera sans dessert. Et sans culotte. Laurence s’est refait une beauté, comme l’on dit. Bilan : plug anal remis en place et chatte toujours à l’air qu’elle me présente effrontément pour le digestif.

Sa journée de vacances n’est toujours pas terminée. Quelle forme !

A 1 heure du mat’ on a encore de belles choses à faire quand on est de belles salopes. Prenant le relais de l’enthousiasme de leurs baiseuses, les deux Hollandais suggèrent de se rendre au bungalow des Italiens qui reçoit encore du monde à cette heure de la nuit.

- Ok ! Vite fait, j’enfile mon paréo transparent, rien dessous et mes mules à talon de 12cm. Je connais par avance l’effet que cela va procurer. Je vais avoir une démarche de chienne et mes nibards vont chahuter sous le paréo. Je me délecte par anticipation de la réaction des personnes que nous croiserons.Pas le temps de passer par la douche, je garde le goût et l’odeur du sperme de la première partie de la soirée. Je suis encore excitée tout comme Karina. Elle s’habille d’un cache-cœur sans soutif, d’une micro jupe sans culotte bien sûr) et d’une paire de petite mules hautes (tiens tiens). Je me dis qu’elle est partie pour baiser…

Perchées sur leurs talons comme des putes, Karina et Laurence suivent les Hollandais qui semblent avoir une idée derrière la tête. Le bungalow est au bout du village, l’air est doux et presque moite. Les blagues vicieuses fusent, les filles rient et l’on entend sur le sol le tic-tic délicat de leur démarche. C’est là ?

Le serveur apporte un digestif et l’addition. Ayant repéré le manège aguicheur de Laurence entre la table et les toilettes, il comprend qu’il y a une belle salope. Belle on peut le dire : cette crinière noire bouclée, sa silhouette fine et sa poitrine avantageuse offrent un profil très intéressant sexuellement. Les jambes fines sont propices au port de talons aiguilles. Son sourire franc est engageant. C’est une jolie femme sexy. Lui aussi aimerait en profiter, c’est certain.

Reprenant le récit de son souvenir…

- De la musique parvient à la hauteur du groupe, c’est bien le bungalow des Italiens d’où l’on reconnaît les intonations joviales. On est invitées à entrer dans la suite des Hollandais. Salutations en bonne et due forme en Anglais à l’ensemble du groupe. 5 mecs et 4 nanas sont en train de faire la fête. Karina et moi, on se fait reluquer sérieusement. On repère vite fait qui des mecs pourraient nous plaire. Aucun n’est à jeter, je sens qu’on va bien s’amuser en fait…

C’est Laurence qui attire les regards les plus intenses et fait l’objet des plus vives attentions et intentions. Le paréo transparent, la chatte à l’air et les mules sont des critères parfaits. Laurence entend planer des « Bella ou bellissima » à droite ou à gauche. Ça pelote sérieusement, ça veut tester la salope française on dirait. Les Hollandais connaissent déjà et vont s’occuper des 4 nanas pas farouches apparemment.
Karina est entreprise par deux des 5 italiens, quant à Laurence, elle se fait draguer par les 3 autres. Ça va vite se retrouver à poil… ce soir là, la petite salope de Laurence aura tout fait aux mâles de la soirée… elle va se faire défoncer plus qu’à son tour, en double pénétration aussi. Et pas qu’une fois et par de gros calibres ! Karina a dû la complimenter quand elle va constater ce qu’elle se prend : une bite dans la chatte, une dans le fion et 3 bites à branler et sucer.. tout cela sans jamais quitter ses mules, histoire d’attiser un peu plus l’excitation de toute l’assemblée. Elle aura même donné ce soir là une leçon de fellation aux 4 nanas, partageant les queues avec quelques unes des filles. Elle s’est pris des faciales à répétition et récolté des filets de sperme. Elle aura organisé avec Karina une belle séance de snow ball où comment se repasser entre salopes les giclées de sperme tout en roulant de belles pelles. Tout cela jusqu’à 4h du matin… et dire que Laurence appelle cela « un joyeux bordel de vacances. Pas vraiment une partouze ». Ben voyons.

Si on compte bien, elle a en effet enchaîné 4 plans cul et des bien corsés en plus. Il lui fallait aussi ses double pénétrations.

En sortant, elle fait un bref détour par le comptoir, visiblement le serveur essaie de garder le contact. On dirait qu’il a laissé son téléphone le salaud. Elle me rejoint, me fait comprendre qu’elle a une touche avec le jeune type. En attendant, nous voilà dans la voiture et se touche la chatte, me fait goûter ses doigts tout trempés… il faut poursuivre cette soirée, moi j’ai une érection énorme qu’elle va s’appliquer à câliner pendant que je conduis. C’est une vraie vicieuse et partouzeuse hors pair.

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