Le Club
Récit érotique écrit par Alain Dex [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Club
Le Club était au premier étage. Je frappai. « Ouais, c’est ouvert ! » cria une grosse voix. Ma femme et moi, nous entrâmes. Le club était encore en désordre de la soirée de la veille. Il a fallu quelques instants pour nous habituer à la très faible lumière tamisée. Il y avait cinq malabars africains et personne d’autre. « Salut ! » a fait le chef. « Bonjour… » que j’ai répondu. Ma femme n’a rien dit.
Elle a retiré sa veste et l’a tendue à un des Africains. Il est allé l’accrocher au vestiaire sans dire un mot.
Un Africain m’a regardé. « Toi, tu vas t’asseoir là, sans bouger. » Il me désigna un fauteuil avec accoudoir. Je m’exécutai en silence. « Émile va s’occuper de toi. »
Ma femme était allée s’asseoir sur un tabouret, au bar. Un Africain lui servit du champagne et elle porta la flûte à ses lèvres.
Puis, soudain, la musique se fit entendre. Un concert de cuivres et de tam-tams. Envoûtant.
Un Africain vint l'inviter à danser et ce fut le déferlement. Un véritable show. L'Africain se mit à se frotter à ma femme. Elle ne refusa pas ce contact indécent. Par moment, elle fermait les yeux. Un deuxième Africain s'invita dans la chorégraphie. Le spectacle devint obscène. Il se frottait le sexe sur ses fesses. Elle répondit par des mouvements lascifs du croupion. Le premier Africain l'embrassa. Elle répondit à son baiser. Le deuxième Africain qui se frottait le sexe sur sa croupe ondulante, fit glisser lentement les bretelles de sa robe. Elle ne portait pas de soutien. Je bandais.
Les deux Africains, tout en continuant à se frotter à elle, la firent se retourner et elle embrassa le deuxième Africain. Je n'avais jamais été aussi excité.
Puis les Africains se succédèrent, l'un devant, l'autre derrière. Ma femme embrassait le nouveau partenaire. Ils étaient tous en forme et le spectacle restait aussi excitant.
Enfin, la chorégraphie prit la tournure extrême. Le temps fut suspendu.
Ma femme se retrouva couchée sur le ventre en travers d'un pouf. Là où j’étais, je voyais tout. Sa petite culotte fut rapidement enlevée.
Un Africain agenouillé lui léchait le sexe. Un autre l'embrassait sur la bouche de l'autre côté. Pendant ce temps, les autres Africains se déshabillaient. Le premier qui fut nu vint remplacer celui qui lui embrassait la mimi. Il enduit de salive l'anus bien offert à la vue. Puis, après avoir joué avec son énorme bite contre cette entrée réservée, il se mit à la pénétration.
Il prit bien son temps. Puis il commença un lent mouvement de va-et-vient tandis qu’un autre vint présenter son sexe à la bouche de ma femme qu’elle ouvrit sans résistance. Elle donna à cette grosse bite visqueuse quelques coups de langue avant d'ouvrir grand la bouche et de l'avaler. Les cinq se relayèrent ainsi ne s’interrompant que pour boire, eux, une bière et, elle, du champagne. Moi, je restais assis.
Trois heures plus tard, Emile vint me réclamer l'argent que je leur devais encore. J'avais payé la moitié d'avance. Je les remerciai. Je pris un autre rendez-vous.
Elle a retiré sa veste et l’a tendue à un des Africains. Il est allé l’accrocher au vestiaire sans dire un mot.
Un Africain m’a regardé. « Toi, tu vas t’asseoir là, sans bouger. » Il me désigna un fauteuil avec accoudoir. Je m’exécutai en silence. « Émile va s’occuper de toi. »
Ma femme était allée s’asseoir sur un tabouret, au bar. Un Africain lui servit du champagne et elle porta la flûte à ses lèvres.
Puis, soudain, la musique se fit entendre. Un concert de cuivres et de tam-tams. Envoûtant.
Un Africain vint l'inviter à danser et ce fut le déferlement. Un véritable show. L'Africain se mit à se frotter à ma femme. Elle ne refusa pas ce contact indécent. Par moment, elle fermait les yeux. Un deuxième Africain s'invita dans la chorégraphie. Le spectacle devint obscène. Il se frottait le sexe sur ses fesses. Elle répondit par des mouvements lascifs du croupion. Le premier Africain l'embrassa. Elle répondit à son baiser. Le deuxième Africain qui se frottait le sexe sur sa croupe ondulante, fit glisser lentement les bretelles de sa robe. Elle ne portait pas de soutien. Je bandais.
Les deux Africains, tout en continuant à se frotter à elle, la firent se retourner et elle embrassa le deuxième Africain. Je n'avais jamais été aussi excité.
Puis les Africains se succédèrent, l'un devant, l'autre derrière. Ma femme embrassait le nouveau partenaire. Ils étaient tous en forme et le spectacle restait aussi excitant.
Enfin, la chorégraphie prit la tournure extrême. Le temps fut suspendu.
Ma femme se retrouva couchée sur le ventre en travers d'un pouf. Là où j’étais, je voyais tout. Sa petite culotte fut rapidement enlevée.
Un Africain agenouillé lui léchait le sexe. Un autre l'embrassait sur la bouche de l'autre côté. Pendant ce temps, les autres Africains se déshabillaient. Le premier qui fut nu vint remplacer celui qui lui embrassait la mimi. Il enduit de salive l'anus bien offert à la vue. Puis, après avoir joué avec son énorme bite contre cette entrée réservée, il se mit à la pénétration.
Il prit bien son temps. Puis il commença un lent mouvement de va-et-vient tandis qu’un autre vint présenter son sexe à la bouche de ma femme qu’elle ouvrit sans résistance. Elle donna à cette grosse bite visqueuse quelques coups de langue avant d'ouvrir grand la bouche et de l'avaler. Les cinq se relayèrent ainsi ne s’interrompant que pour boire, eux, une bière et, elle, du champagne. Moi, je restais assis.
Trois heures plus tard, Emile vint me réclamer l'argent que je leur devais encore. J'avais payé la moitié d'avance. Je les remerciai. Je pris un autre rendez-vous.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime bien l'idée du voyeur qui'mate sa femme prendre du plaisir. Dommage qu'il manque les détails de son offrande et de vos gestes à vous. A moins que vous n'ayez même pas sorti votre membre de la soirée et que votre excitation ne soit restée que cérébrale. Au plaisir de lire vos autres récits...Merci pour celui ci
